Gestion du médicament et des produits pharmaceutiques

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Composants du médicament

Substance active

Le médicament est composé d’une ou de plusieurs substances actives (ancienne désignation: principe actif) .C’est souvent la substance active qui est appelé le médicament. La ou les substances actives sont constituées d’une quantité de produit actif (dose) ayant un effet pharmacologique démontré et un intérêt thérapeutique également démontré cliniquement. Il est à remarquer que toute substance pharmacologiquement active ne constitue pas nécessairement la base d’un médicament et encore moins d’une thérapie médicamenteuse.

Excipients

Le médicament est également composé d’un ou de plusieurs excipients qui sont des substances auxiliaires servant à la formulation de la forme galénique. Ces excipients sont le plus souvent des substances inertes sur le plan pharmacologique. Les excipients permettent de formuler la ou les substances actives, c’est-à-dire de présenter la substance active sous une forme galénique déterminée. La formulation permet en plus de présenter le médicament sous la forme la plus adaptée pour la voie d’administration souhaitée et éventuellement, le cas échéant, de moduler la vitesse de libération de la substance active vers l’organisme.

Exemples

Comme exemples d’excipients on peut citer l’eau et le saccharose, qui sont les deux excipients constituant le sirop simple, ou encore, pour des formes sèches, le ou les amidons modifiés et la ou les celluloses modifiées qui sont des agents de délitement utilisés dans des formes sèches (comprimés, gélules, etc.) pour accélérer la désintégration (ou encore délitement) de celles-ci une fois arrivées dans l’estomac.

Remarques importantes

Les excipients sont dans leur très grande majorité, des substances chimiquement inertes et pharmacologiquement inactives. Mais ils ne sont pas toujours exempts d’effets pharmacologiques sur certains patients.
En effet, certains excipients sont connus pour être à l’origine d’effets secondaires (réactions allergiques ou d’intolérance) chez une minorité de patients particulièrement sensibles. On parle alors d’excipient à ‘effet notoire’.
On citera en exemple le lactose chez des patients intolérants au lactose. Le prescripteur ou le pharmacien devra en tenir compte lors de la prescription et de la dispensation du médicament. Cela est très important notamment lors de la substitution d’un ‘produit princeps’ par une forme générique du produit original (copie meilleur marché).
Le produit générique n’est pas nécessairement formulé avec les mêmes excipients que le produit princeps d’origine. Cela est une des raisons pour lesquelles un patient peut ne pas tolérer des produits génériques de substitution.
Il est à remarquer qu’une substance active peut être par exemple un produit de contraste (sulfate de baryum) qui n’est pas pharmacologiquement actif car il n’est pas destiné à traiter le patient mais à aider à poser le diagnostic (il est actif sur le rayonnement auquel sera exposé le patient).

Paramètres de l’excipient

Il convient de rappeler que les excipients et adjuvants ont longtemps été considérés comme inertes. Pourtant, les mêmes contraintes que pour le principe actif sont à prendre en compte et plus encore car la quantité d’excipients est souvent majoritaire dans une formulation.
De plus, l’extrême diversité des excipients [38] et leur usage dans d’autres industries rend plus difficile l’établissement d’une qualité standardisée. II faut tenir compte de la qualité chimique, de la pureté cristalline, de la qualité technologique.
Une étude rhéologique des différentes poudres doit être effectuée, ainsi que la solubilité et la cinétique de dissolution, la détermination de la surface spécifique, l’établissement de la courbe granulométrique, des tests de cisaillement.
Toute modification de l’excipient peut entraîner une variation de la biodisponibilité et être responsable de l’apparition de phénomènes toxiques ou allergiques.
De nombreux exemples ont été décrits, le plus douloureux étant celui de sirop de paracétamol retrouvé en Haïti et ayant entraîné de nombreux décès. Le taux de diéthylène glycol, l’agent toxique, était très important dans la glycérine incorporée dans le sirop en tant qu’excipient.
La recherche de di éthylène glycol n’est pas prévue par les monographies du glycérol des différentes pharmacopées.
Des essais de fonctionnalité serviront à définir et contrôler les caractéristiques physiques des excipients.

Rappel sur les formes galéniques

La Pharmacie (de Galien, médecin de l’Antiquité) ou « art de formuler les médicaments », permet de présenter la substance active à des doses différentes et sous différentes formes galéniques (les formes d’administration de la substance active au patient) : comprimés, gélules, capsules molles, suppositoires, ampoules, gouttes (orales, oculaires ou nasales), collutoires, collyres, pommades, gels et crèmes, solutions, ovules, emplâtre, dispositifs transdermiques, etc.

Conditionnement

Définition

Le récipient pour usage pharmaceutique est un article qui contient ou qui est destiné à contenir un produit et qui est ou peut être en contact direct avec celui-ci. La fermeture fait partie du récipient (Ph. Eur. 3e édition).

Problèmes éventuels

Le verre apporte généralement une certaine sécurité d’inertie, bien qu’en milieu alcalin le réseau vitreux se dégrade.
Par contre, les récipients en plastique présentent des inconvénients dus aux interactions contenant-contenu observées principalement avec des contenus liquides.
Cependant, un fort taux d’humidité relative existant dans les pays des zones intertropicales peut aussi favoriser les interactions entre les poudres et les parois des contenants.
Il existe deux types d’interaction :
– migration et fixation du contenu sur le matériau plastique via des mécanismes d’adsorption, modifiant ainsi la stabilité du produit ainsi que sa concentration et altérant éventuellement le matériau plastique,
– relargages de constituants du contenant vers le contenu, modifiant ainsi la stabilité de la préparation pharmaceutique et pouvant déclencher des réactions d’intolérance ou des phénomènes toxiques.
L’exemple le plus connu est celui du chlorure de polyvinyle pour lequel on peut assister à une migration des nombreux adjuvants présents (anti-oxydants, stabilisants, plastifiants, agents de renforcement, colorants, charges inertes, etc.).

Monopole pharmaceutique

La profession pharmaceutique est une profession libérale. Le pharmacien, en raison de la mission d’intérêt public qui lui est assignée, à savoir participer à la promotion de la santé des populations, est soumis à certaines contraintes. Le monopole pharmaceutique réserve alors le service aux seuls titulaires du diplôme de pharmacien comme garantie de la bonne exécution de la mission de santé publique. Ce monopole accordé aux pharmaciens les oblige à respecter la réglementation en vigueur dans leurs entreprises respectives.
Donc ce n’est pas un privilège pour le pharmacien mais un gage de sécurité pour la population. Le monopole pharmaceutique est défini dans l’article L512 du code de santé publique [30], ainsi libellé:
« Sont réservée aux pharmaciens sauf les dérogations prévues aux articles 513, 594, 660 et 662 du présent livre :
– La préparation des médicaments destinés à l’usage de la médecine humaine ;
– La vente en gros, la vente au détail et toute délivrance au public des mêmes produits et objets;
– La vente des plantes médicales inscrites au codex….
Le monopole pharmaceutique comprend les objets et produits ainsi que les opérations.
 Les produits et objets compris dans le monopole pharmaceutique sont énumérés dans l’article  L512 du CSP :
Il s’agit
– Des médicaments destinés à la médecine humaine c’est-à-dire tous les produits auxquels l’article L511 attribue la qualité de médicament.
– Des objets de pansement et tous les articles présentés comme conformes à la pharmacopée,
– Des insecticides et acaricides destinés à être appliqué sur l’homme,
– Des produits destinés à l’application des lentilles de contact,
– Des produits et réactifs destinés au diagnostic médical,
– Des plantes médicinales inscrites à la pharmacopée,
– Des appâts empoisonnés
– Des aiguilles et seringues destinées aux injectons parentérales.
 Les opérations comprises dans le monopole vont du stade de la fabrication jusqu’à celui de la délivrance du produit en passant par le stade de répartition pharmaceutique c’est-à-dire la vente et la distribution en gros de ces produits.
Ainsi sont compris dans le monopole pharmaceutique :
– La préparation des médicaments à l’unité c’est-à-dire la préparation des médicaments magistraux et officinaux ;
– La fabrication en gros des médicaments ;
– La vente en gros des médicaments ;
– La vente au détail et toute forme de délivrance au public.
Des dérogations ont été prévues pour la vente au détail en faveur notamment des médecins propharmaciens, des médecins vétérinaires et des gérants de dépôts publics comme privés.
Sommaire

Visa ou AMM

Les spécialités ne peuvent être commercialisées qu’après obtention d’une autorisation spéciale du ministre de la santé appelée « visa » ou AMM (autorisation de mise sur le marché)
Cette autorisation n’est accordée que si le fabricant prouve l’intérêt thérapeutique de sa spécialité et son innocuité. Pour cela il doit fournir un dossier qui comporte :
Les méthodes de fabrication et de contrôle de la spécialité, des rapports d’expertise analytique, pharmacologique, toxicologique et clinique.
Une commission nationale examine le dossier et fait une proposition au ministre de la santé qui répond par un accord ou un refus du visa, ou alors par une demande de complément du dossier.
Il faudra alors une 2éme autorisation appelée autorisation de débit. Cette dernière est obtenue après que l’autorité ait vérifié que les conditions de fabrication et de contrôle du fabricant sont conformes à celles qui figurent dans son dossier de demande de visa. Il existe une dérogation pour certains médicaments (ED) [29].

Différents dossiers

Dossier scientifique

Il comprend principalement :
_ Une étude analytique approfondie des matières premières avec la définition, la structure, les caractéristiques physiques et techniques, l’identification, la pureté, le dosage etc.
_ Une étude galénique approfondie qui comporte les éléments d’explication du choix de la formulation, des procédures de fabrication, des contrôles, de leur fréquence et des conditions d’études de la stabilité.

Dossier technique et analytique

Ce dossier a pour objectif de montrer que le fabricant dispose d’une méthode de fabrication et des procédés de contrôle de nature à garantir la qualité du produit au stade de la fabrication en série.
Il doit notamment décrire la composition qualitative et quantitative du produit.

Dossier des expertises

Il comporte les rapports des expertises réalisées en vue de l’obtention l’AMM.
 ) L’expertise Analytique
Elle vérifie la validité des techniques de contrôle mises au point par le fabricant et apporte la preuve de la conformité du produit à sa formule.
 ) L’expertise pharmacologique
Elle rend compte de l’étude pharmacologique réalisée sur l’animal ; elle comporte deux parties :
Une étude pharmacocinétique qui permet d’avoir l’évolution, des concentrations plasmatiques du principe actif au cours du temps.
Et une étude pharmacodynamique qui décrie les variations provoquées par le produit dans les fonctions de l’organisme.
 ) L’expertise toxicologique
Elle est destinée à assurer la sécurité du médicament.
D’une part elle recherche les limites de l’innocuité du produit, et d’autre part, elle essaie de mettre en évidence les organes atteints lorsque la dose administrée quitte la zone thérapeutique pour entrer dans la zone toxique.
Le protocole d’expertise toxicologique comprend les études suivantes :
• Détermination de la toxicité aigue, la dose létale 50 (DL50) ;
• Détermination de la toxicité à long terme ;
• Détermination de la toxicité fœtale avec ;
_ Une étude de l’embryotoxité.
_ Une étude sur la fertilité.
_ Une étude de péri et post natalité.
• Détermination de la mutagenicité.
• Détermination de la cancérogénicité.
 ) L’expertise clinique
Elle s’applique à l’ensemble des études menées chez l’homme lors de l’administration du médicament. Elle permet d’apprécier l’intérêt et l’effet thérapeutique du médicament et détermine ses effets secondaires, ses contre-indications, sa posologie et ses conditions d’emploi [6], [8], [20].

Cas particulier des médicaments génériques

Pour les médicaments génériques, le fabricant peut être dispensé de la production des rapports d’expertises pharmacologique, toxicologique et clinique. Mais il lui est exigé un rapport établissant la bioéquivalence avec un produit de référence.

Gestion du médicament et des produits pharmaceutiques

Quelques aspects de la politique pharmaceutique

Médicaments Essentiels

Définition

« Ce sont des médicaments d’une importance primordiale, fondamentale et qui sont indispensables pour satisfaire les besoins sanitaires d’une population donnée. Ils doivent être disponibles à tout moment en qualité suffisante et sous la forme pharmaceutique appropriée » [45].
Ils doivent être efficaces, de qualité sure et acceptable et de cout moindre.

Principe

La politique des médicaments essentiels vise à assurer à la communauté la fourniture régulière et l’usage rationnel des médicaments, afin d’atteindre la santé pour tous et par tous [45].

Soins de Santé Primaires (SSP) et Initiative de Bamako

Devant les problèmes graves d’approvisionnement en médicaments et en couverture sanitaire de la plupart des pays africains, la conférence d’Alma Ata en 1978 a identifié les médicaments essentiels comme une des huit composantes des soins de santé primaires. Elle a mandaté le Comité Régional de l’OMS pour dresser le bilan dans certains pays [16].
Les problèmes ainsi identifiés se résument comme suit :
– Insuffisance notoire des médicaments essentiels ;
– Couts excessivement élevés ;
– Manque de laboratoires de contrôle de qualité ;
– Manque de personnel qualifié ;
– Difficultés de se procurer des devises pour l’importation des médicaments.
Ainsi, c’est pour tenter de redresser la situation que fut lancé le programme des médicaments essentiels avec pour objectifs :
– favoriser l’utilisation des médicaments génériques ;
– organiser les commandes des médicaments génériques ;
– encourager la mise en place de laboratoires de contrôle de qualité ;
– assurer la formation locale des pharmaciens ;
– encourager la coopération inter-pays et la recherche.
Tous ces objectifs ne sont pas atteints, surtout celui concernant les mesures préconisées pour réduire le cout des médicaments.
En 1987, les Ministres de le Santé de la région Africaine, réunis à Bamako sous les auspices de l’UNICEF et de l’OMS, ont adopté un programme nommé « INITIATIVE DE BAMAKO ».
Le but principal de l’I.B est de redynamiser la mise en œuvre de la politique des soins de Santé Primaires.
Le programme met à la disposition des communautés, un stock de médicaments essentiels dont la vente constitue un fonds auto -renouvelable qui, avec l’appui du district et des structures supérieures, assurera l’autonomie en soins de santé.
Au Sénégal, l’Initiative da Bamako, lancée en 1991, a permis de régler dans certaines localités, les problèmes d’approvisionnement.

Liste des médicaments et produits essentiels

Dans le secteur public, le médicaments essentiels sélectionnés commune internationale depuis 1990.
Cette liste est révisée tous les deux ans, la dernière révision a eu lieu en Décembre 2008. Le nombre total de dénominations figurant sur la liste actuelle est de 416, y compris les ARV, les anticancéreux et des médicaments de prise en charge des insuffisances rénales.

Approvisionnement en Médicaments au Sénégal

Principes

Dans le secteur public, l’approvisionnement en médicament est régi par trois principes : [43]
– La régularité ;
– Des qualités suffisantes ;
– Les soins de la communauté.
Un bon approvisionnement suppose une bonne estimation des besoins ; une détermination des types de médicaments à approvisionner de même que les quantités. On utilise trois méthodes pour l’estimation des besoins
 Celle fondée sur la consommation ;
 Celle fondée sur la population ;
 Celle fondée sur les services.
– Une bonne maîtrise du processus de gestion comprend quatre étapes essentielles :
 La sélection qui prend en compte deux questions essentielles : *le type de produit ;
*la qualité à pourvoir.
 L’acquisition : c’est le processus permettant d’obtenir des médicaments par les trois méthodes suivantes :
*l’achat ; *la donation. *la production.
Comme procédure d’achat, on peut avoir un achat direct, un appel d’offres ouvert, un appel d’offres restreint.
 Le stockage et la distribution : ils constituent tout le processus consistant à acquérir les médicaments et à les livrer aux différentes structures de santé ;
 L’utilisation rationnelle des médicaments : le médicament doit être utilisé à bon escient. Il doit être sûr, efficace, de qualité bien établie, prescrit et utilisé convenablement.
– Il doit assurer la formation continue en gestion des médicaments.

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Table des matières

Introduction
Première Partie : Importance du médicament dans le système de sante
1 Généralités sur le Médicament
1.1 Définition
1.2 Classification
1.2.1 Médicaments magistraux
1.2.2 Médicaments officinaux
1.2.3 Produits officinaux divisés (P.O.D)
1.2.4 Spécialités pharmaceutiques
1.2.4.1 Définition
1.2.4.2 Eléments de la définition de la spécialité pharmaceutique
1.2.4.3 Principe de bioéquivalence
1.2.5 Substances vénéneuses
1.2.6 Médicament générique
1.2.6.1 Définition du médicament générique
1.2.6.2 Différents types de médicaments génériques
a) Génériques intégraux
b) Génériques plus
c) Vrais faux génériques
d) Génériques «Défensifs» et «Offensifs»
1.2.7 Médicaments vétérinaires
1.3 Composants du médicament
1.3.1 Substance active
1.3.2 Excipients
1.3.2.1 Exemples
1.3.2.2 Remarques importantes
1.3.2.3 Paramètres de l’excipient
1.3.2.4 Rappel sur les formes galéniques
1.3.3 Conditionnement
1.3.3.1 Définitions
1.3.3.2 Problèmes éventuels
1.4 Monopole pharmaceutique
1.5 Visa ou AMM
1.5.1 Différents dossiers
1.5.1.1 Dossier scientifique
1.5.1.2 Dossier technique et analytique
1.5.1.3 Dossier des expertises
1.5.2 Cas particulier des médicaments génériques
2 Gestion du médicament et des produits pharmaceutiques
2.1 Quelques aspects de la politique pharmaceutique
2.1.1 Médicaments Essentiels
2.1.1.1 Définition
2.1.1.2 Principe
2.1.2 Soins de Santé Primaires (SSP) et Initiative de Bamako
2.2 Liste des médicaments et produits essentiels
2.3 Approvisionnement en Médicaments au Sénégal
2.3.1 Principes
2.3.2 Circuits d’approvisionnement en médicaments
2.3.2.1 Circuit de distribution privé
2.3.2.2 Circuit de distribution public
2.4 Financement du coût des médicaments
2.5 Assurance qualité des médicaments au Sénégal
Deuxième Partie: Contrefaçon
1 Généralités sur la contrefaçon
1.1 Définition
1.2 Origine de la contrefaçon
1.2.1 Origine des médicaments contrefaits
1.2.2 Fabrication des médicaments contrefaits
1.3 Evaluation de l’étendue du problème
1.3.1 Contrefaçon dans de monde
1.3.2 Cas particulier du Sénégal
1.4 Eléments permettant d’identifier les médicaments contrefaits
1.4.1 Anomalies observées au niveau de l’emballage
1.4.2 Anomalies présentées par le contenu suspect
1.5 Différentes formes de contrefaçons
1.5.1 Médicaments illicites bien faits
1.5.2 Malfaçons et les faux médicaments
1.6 Conséquences de la contrefaçon médicamenteuse
1.6.1 Conséquences en santé publique
1.6.2 Conséquences sur le plan socio-économique
1.6.3 Répercussions au niveau des industries pharmaceutiques
1.7 Facteurs favorisants la contrefaçon
1.7.1 Absence de législation
1.7.1.1 Absence ou faiblesse des autorités nationales de réglementation pharmaceutiques
1.7.1.2 Manque de rigueur dans l’application de la législation existante
1.7.1.3 Corruption et conflits d’intérêts
1.7.1.4 Prix élevés
1.7.1.5 Absence de réglementation dans les pays exportateurs et dans les zones de libre échange
1.7.2 Pour le consommateur
1.7.3 Pour le vendeur
1.7.4 Pour le contrefacteur
1.7.5 Autres facteurs
2. Lutte contre la contrefaçon
2.1 Mesures spécifiques provoqués par l’OMS
2.2 Mesures préconisées au niveau des consommateurs et leur éducation
2.3 Mesures spécifiques au Sénégal
Conclusion
Références bibliographiques

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