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L’eau
La consommation mondiale d’eau a été multipliée parsix entre 1900 et 1995, soit une croissance supérieure au double du taux d’accroissement de la population. Environ un tiers de la population mondiale vit dans des pays considérés comme étant sous « stresshydrique ». Si la tendance actuelle se poursuit, deux personnes sur trois vivront dans cette situation en 2025. Si les eaux souterraines fournissent environ le tiers des besoins, l’exploitation irrationnelle de celles-ci constitue une préoccupation importante. Dans un monde où 30 à 40 %9 de la production alimentaire provient de terres irriguées, ce problème est fondamental pour la sécurité alimentaire. Dans certaines régions du monde, on assiste déjà à une compétition acharnée au sujet de ’eaul pour l’irrigation et pour la production d’énergie, et elle ne pourra que s’aggraver tant que la population mondiale continuera d’augmenter.
De plus, il apparaît que la pollution des eaux de surface et souterraines serait de plus en plus importante. Plus d’un milliard de personnes n’ont pas accès à l ’eau potable, soit 20 % de la population mondiale et la moitié de l’humanité (3 milliards de personnes) ne disposent pas de moyens d’assainissement adéquats. Dans de nombreux pays en développement, les fleuves en avaldes grandes villes ressemblent à des égouts à ciel ouvert. Selon les estimations, l’insalubrité de l’eau et de l’assainissement est à l’origine de 80 % de toutes les maladies dans les pays en développement. Néanmoins, des progrès sont faits. Depuis le début des années 90, 800 millions de personnes ont bénéficié pour la premièrfois d’approvisionnement en eau salubre. Les efforts entrepris ont également permis d’observer une amélioration de la santé des personnes. Dans les pays industrialisés, seul un faible pourcentage (pour la Belgique, il se situe aux environs de 5 %) de l’eau consommée l’est à des fins alimentaires. Par souci d’économie, il apparaît donc que le reste de la consommation pourrait être de l’eau ‘grise’ utilisée dans les WC, les douches, les laves linge, … . Il serait intéressant de se pencher sur la faisabilité d’un double réseau de distribution.
Nous avons déjà souligné la contribution de la biodiversité et de la disponibilité en eau à la sécurit alimentaire, nous allons maintenant aborder l’apport de l’agriculture à cette même préoccupation touten précisant la place de l’environnement pour ce secteur.
L’agriculture et la sécurité alimentaire
Pour les Physiocrates, comme F. Quesnay10 l’agriculture a tenu une place importante dans une économie. Elle continue de jouer un rôle primordial dans le développement durable tant des pays industrialisés que des pays en développement. Elle contribue à l’alimentation de la population mondiale, à la protect ion de l’environnement, à la gestion des paysages, au main tien de la viabilité des régions rurales, et à la éductionr de la pauvreté.
Néanmoins, son but premier n’est pas le marché mondial, mais de bien nourrir la population. Etant donné que la moitié de la population mondiale vit ed l’agriculture et que 40 % 11 de la surface utilisable y sont consacrés, les problèmes de pauvreté et de nutrition, de sécurité alimentaire, de réchauffement de planète et de diminution de la biodiversité ne pourront être ésolusr que si toutes les fonctions de l’agriculture sont considérées.
1. Dans les pays industrialisés,afin de nourrir une population grandissante, le secteur agricole a eu comme recommandation de produire davantage et de passer petit à petit d’une agriculture traditionnelle à une agriculture plus ‘industrialisée’ pour faire face à cette croissance démographique et à la diminution de la superficie des terres arables. Ceci a rendu la productivité des terres plus dépendantes des quantitésd’énergie appliquées sur la culture.
Actuellement, la notion de sécurité alimentaire dans les pays industrialisés n’a plus la même signification que dans les pays en développement.
La sécurité alimentaire se pose plus en terme de qualité qu’en termes de quantité comme c’est le cas dans les pays en développement.
2. Dans les pays en développement,la sécurité alimentaire repose sur les problèmes esd quantités produites, de la conservation des marchandises et de l’acheminement vers le lieu de distribution.
Plus de 800 millions de personnes n’ont pas accès à une nourriture couvrant leurs besoins essentiels.
Selon les chiffres de la Banque Mondiale, il pourrait y avoir 1,5 milliards de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté en 1999 et 75 millions de bouchessupplémentaires à nourrir chaque année. Depuis 1984, la récolte de céréales baisse en moyenne de plus de %1 par habitant et par an. Ceci est dû à une réduction du taux de croissance des rendements, mais aussi à une augm entation constante de la population mondiale.
La protection des agricultures nationales et des productions vivrières est donc impérative pour répondre aux besoins d’une population croissante donc, pour la sécurité alimentaire et par la suite, pour le développement. On peut déjà constater que la conservation de l’environnement est à la fois un moyen et un objectif.
Après avoir vu l’importance des ressources naturelles pour un pays et sa population dans les différents pays du monde, nous allons aborder la question du développement durable.
Le DEVELOPPEMENT DURABLE
Au paravent, la durabilité du développement est unressent concept qui n’est apparu qu’à partir de 19 87. Le mot « développement » était, auparavant, tout court et avait une signification bien différente du « développement durable ». C’est pourquoi, il est nécessaire de voir leurs distinctions.
Le développement :
On peut analyser le développement par les définitions que les grands économistes ont avancé, ainsi que par les stratégies applicables pour y parvenir.
1. Définitions :
Pour F. Perroux12, Pour un espace social (un pays par exemple), le développement est « la combinaison des changements mentaux et sociaux d’une population qui la rendent apte à faire croître, cumulativemen t et durablement, son produit réel global ». PourP. Bairoch13, c’est un phénomène qualitatif irréversible qui estlui-même lié à l’augmentation du niveau de vie – revenu réel par tête -.
Le sous développement est le fait qu’un pays présente des retards économiques considérables par rapport à d’autres qui sont plus avancés. Les pays en développement s’opposent aux pays développés, car ils n’ont pas encore eu les qualités de production de ces derniers.
Il existe deux grands types de stratégie de développement que nous allons analyser pour mieux connaître les démarches prises par les différents pays danseursl politiques avant que le « développement durable » ne soit apparu.
2. Les stratégies de développement :
On distingue deux grands types de développement : le développement auto-centré et le développement extraverti.
– Le développement auto-centré : « self reliance »
Dans ce type de développement, le but de la production est de satisfaire en premier lieu les besoins domestiques, c’est-à-dire à la consommation intérie ure, ce qui en reste est destiné à l’exportation14. On parle en ce sens de politique de déconnexion . Cela correspond au principe de « compter sur ses propres forces ».
– Le développement extraverti :
Une économie extravertie est la situation d’un pays dont une partie très importante de la production nationale sert à payer les importations qui constit uent l’essentiel des ressources 16.
Ce type de développement a favorisé une croissanceéconomique rapide (par exemple, en Asie du sud : Corée du sud, Singapour, Hong Kong, puis dans les pays d’Amérique Latine : Mexique, Brésil, Chili, etdans quelques pays d’Afrique : Maroc, Tunisie et Côte d’ Ivoire), mais n’a pas pu résoudre les problèmes d’endettement externe, d’inégalités sociales ou depressions inflationnistes. En plus, il favorise de plus en plus la mondialisation ; ce qui représente un réel danger pour la conservation de l’environnement si des mesures de gestions rationnelles ne sont appliquées contre l’utilisation extensive des ressources.
On peut ainsi constater que, dans ce concept de développement, les objectifs économiques ont primé sur le social et, cela au dépend de la négligence de l’environnement. Le social17 n’était invoqué que dans un but économique, c’est-à-dire, un moyen pour parvenir à la croissance et à une amélioration du niveau de vie. On se préoccupait peux de la durabilité de la satisfaction des besoins dans le future.
C’est à partir de 1987 que l’on parle de développement durable. Il se trouve jusqu’à maintenant au centre des préoccupations de la communauté internationale et des gouvernements des Etats membres.
Le Développement Durable :
Qu’est ce que le développement durable ?
Cette notion demeure assez floue puisque l’on dénombre plusieurs définitions. L’explication la plus communément retenue et qui fut la première explicitée est celle développée dans le Rapport Brundtland de 1987, à savoir : « Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent, nssa compromettre la capacité des générations futures derépondre aux leurs ».
Deux concepts sont inhérents à cette définition : el concept de besoins, et plus particulièrement des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité ; et l’idée des limitations que l’état ed nos techniques et de notre organisation sociale imposent à la capacité de l’environnement de répondre aux besoins actuels et à venir.
Le développement durable se définit donc en référence à la solidarité et à l’équité entre les générations actuelles et les générations futures ; et à la solidarité et à l’équité au sein même des générations,entre les pays du Nord et du Sud. Pour être durable ou soutenable,le développement doit être reproductible (lien écologique), transmissible (lien intergénérationnel), vivable (lien social) et viable (lien économique). Le souci environnemental ne doit en aucun cas effacer la notion de développement de l’expression ‘développement durable’. La croissance doit se poursuivre, surtout dans les pays en développement, mais en intégrantles considérations d’ordre environnemental.
La croissance de la consommation matérielle au cours du 20ème siècle est sans précédent dans l’histoire de l’Humanité, qu’il s’agisse des échanges mondiaux, de l’investissement direct étranger, des prêts bancaires internationaux, … . Depuis 1970, le commerce a plus que triplé. Il apparaît donc une profonde interdépendance de l’économie mondiale appelée globalisation, qui aitf prendre conscience que le ‘monde est un village’. Malheureusement, le commerce, les progrès économiques et le développement qui les accompagne, ont souvent primé sur les préoccupations environnementales. Deplus, l’accroissement de la population et même, la surpopulation dans certaines régions du monde, exercent une pression grandissante sur la planète et ses ressources naturelles.
Les risques les plus redoutables ne tiendraient donc plus aux agissements potentiellement hostiles d’ennemis, mais aux perturbations des systèmes globaux intéressant l’ensemble de la société humaine.
Le développement durable répond donc surtout au développement humain.
Le développement humain durable peut être défini comme la capacité de toutes lesommunautésc humaines, y compris les plus démunies, à satisfaire leurs besoins fondamentaux en matière d’habitat, d’eau potable, d’alimentation, de conditions sanitaires et d’hygiène, de participation à la prise de décisions, de cohésion sociale, de tissu relationnel, d’expression culturelle et spirituelle, etc.
En définitive, il faut que tout homme soit rationnel pour que « le développement soit économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement rudentp »20.
Le chapitre suivant va d’ailleurs parler de cette gestion rationnelle de l’environnement dans l’object if d’un développement durable.
La gestion rationnelle de l’environnement pour un développement durable
Dans ce chapitre, nous allons voir les grands principes de protection de l’environnement et étudier un mode particulier de gestion des ressources naturelles renouvelables qui est leur privatisation. Mais avant, nous aborderons d’abord les raisons d’une gestion ration nelle de cet environnement.
La nécessité d’une gestion rationnelle de l’environnement
C’est en 1992 que la Conférence de Rio décida qu’ilétait urgent de promouvoir un autre mode de développement pour la planète entière : le développement soutenable, viable ou durable. Les nouveaux principes et programmes adoptés à Rio reposent sur l’idée que l’humanité est à un tournant de son histoire. Soit elle continue dans la voie des politiques qui perpétuent les écarts économiques à l’intérieur des payset entre eux, et qui aggravent la misère humaine et les dégradations de la planète. Soit elle met résolument lecap sur des politiques de développement durable luttant systématiquement dans le cadre d’un partenariat mondial contre les effets externes21 du mode de croissance économique actuel sur le monde. L’option prise à Rio fut la seconde, il faut faire progresser, en même temps, les 3 piliersde la société : social, économique et environnemental.
Le développement durable appelle donc d’autres modes de consommation, d’autres pratiques de production. Les trois piliers sociétaires doivent participer à un même objectif de qualité. Mais, aucun pays ne saurait réaliser cela tout seul, cette tâche n’est possible que si nous œuvrions tous ensemble pour le développement durable. Il est impératif de mettre al mondialisation au service du développement durable pour aller vers un ‘global deal’ entre le Nord et le Sud , avec des objectifs communs pour construire un avenir commun. Et comme le disait Madame Gro Harlem Brundtland à Rio : « If national governments are basically unilateral in their attitudes towards golbal problems, anarchy will prevail over international governance and what should be our global village may turn into a gobal jungle ».
Seul un cycle complet de négociations de l’OMC permettrait d’aborder les divers points à examiner pour parvenir à un développement durable. Ces points portent sur la clarification des règles de l’OMC, sur la nécessité d’aider les pays en développement à renforcer leurs capacités pour gérer les aspects du développement durable liés au commerce, sur les problèmes de développement et les préoccupations environnementales. C’est pourquoi le développement durable doit constituer un objectif central du nouveau cycle de négociations.
Il n’existe pas de principe unique du développement durable. Ceux qui constituent la référence la plus universelle en cette matière sont les 27 principes de la Déclaration de Rio.
Les grands principes du développement durable
La Déclaration de Rio a dicté les grands principesdu développement durable qui conviennent aussi à des directives pour la gestion rationnelle de l’environnement. Néanmoins, cinq d’entre eux sont à la fois les plus novateurs, les plus caractéristiques et les plus englobant du projet de développement durable.
Principe de responsabilités communes mais différenciées :
« Les Etats doivent coopérer dans un esprit de partenariat mondial en vue de conserver, de protéger et de rétablir la santé et l’intégrité de l’écosystèmerrestrete. Étant donné la diversité des rôles joués dans la dégradation de l’environnement mondial, les Etats ont des responsabilités communes mais différenciéesLes. pays développés admettent la responsabilité qui leur incombe dans l’effort international en faveur du développement durable, compte tenu des pressions que leurs sociétés exercent sur l’environnement mondial et des techniques et des ressources financières dont ils disposent ». Ce principe reconnaît donc la mondialisation des responsabilités, même si les pays industrialisédoivent montrer l’exemple et faire le premier pas dans le sens du développement durable. Ils devront également mettre à profit leurs moyens techniques et financ iers dans des mécanismes de coopération avec les plus pauvres.
2. Principe d’équité intra et intergénérationnelle dans la satisfaction du droit au développement :
«Le droit au développement doit être réalisé de on face à satisfaire équitablement les besoins relatifs au développement et à l’environnement des générations présentes et futures ». C’est ce critère qui est généralement pris comme définition du développement durable.
3. Principe d’intégration des composantes d’un dévelopement durable :
« La protection de l’environnement doit faire partie intégrante du processus de développement et ne peut être considérée isolément.Un» projet doit systématiquement relier les préoccupations sociales, économiques et environnementales.
4. Principe de précaution et reconnaissance des incertitudes :
« Pour protéger l’environnement, des mesures de précaution doivent être largement appliquées par les Etats selon leurs capacités. En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l’absence de certitude
scientifique absolue ne doit pas servir de prétextepour remettre à plus tard l’adoption de mesures ef fectives visant à prévenir la dégradation de l’environnement ». L’application de ce principe a comme point de départ l’évaluation initiale des effets dommageables potentiels sur base des données scientifiques disponible et implique que, outre les mesures préventives prises, l’on prenne également des mesures afin de réduire progressivement les incertitudes scientifiques.
5. Principe de participation et exigence de bonne gouvernance :
« La meilleure façon de traiter les questions d’env ironnement est d’assurer la participation de tous les citoyens concernés au niveau qui convient. Au niveau international, chaque individu doit avoir dûment accès
aux informations relatives à l’environnement que détiennent les autorités publiques, y compris aux informations relatives aux substances et activités dangereuses dans leurs collectivités, et avoir la possibilité de participer aux processus de prise de décision. Les Etats doivent faciliter et encourager la sensibilisation et la participation du public en mettant les informations à disposition de celui-ci. Un accès effectif à des actions judiciaires et administratives, notamment à des réparations et des recours, doit être assuré. »Ce principe vise à améliorer la communication entre les gouvernements et les gouvernés. Cette citoyenneté active est unedes clés du succès de toutes politiques pour le développement durable.
Une application systématique de ces cinq principes permettra d’accentuer la cohérence des actions déployées pour réaliser les objectifs globaux du développement durable. Ensemble, ils peuvent aussi être considérés comme une grille d’analyse de chacune deces actions, qu’il s’agisse d’un acte politique ou d’une initiative citoyenne.
Il est aussi conseillé d’appliquer une démarche humaniste écologique dans le processus de développement car, « Une économie au service de l’homme, c’est une économie qui respecte et préserve l’environnement par une exploitation raisonnable et une gestion responsable des ressources de la planète »22.
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Table des matières
Introduction
PARTIE I : ENVIRONNEMENT ET DEVELOPPEMENT DURABLE
Chapitre I : Les enjeux de la conservation de l’environnement en tant que ressources naturelles
I- La biodiversité
1. La biodiversité biologique agricole
2. Les ressources forestières et les arbres
3. Les ressources halieutiques
II- L’eau
III- L’agriculture et la sécurité alimentaire
Chapitre II : Le développement Durable
I- Le développement
1. Définitions
2. Les stratégies de développement
II- Le développement durable
Chapitre III : La gestion rationnelle de l’environnement pour un développement durable
I- La nécessité d’une gestion rationnelle de l’environnement
II- Les grands principes de développement durable
III- Réconciliation humaniste entre « biosphère » et « sociosphère »
IV- La privatisation de la gestion des ressources renouvelables
1. Les raisons de la privatisation
2. L’attribution des concessions
PARTIE II : ANALYSE ECONOMIQUE DE LA POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE MALGACHE
Chapitre I : Gestion des ressources naturelles à Madagascar et ses rôles dans le développement durable
I- Les enjeux économiques de la gestion rationnelle de ,l’environnement pour le développement de Madagascar
1. Madagascar et ses ressources naturelles
2. La situation sociale et économique de Madagascar
3. Les ressources naturelles et leurs enjeux directs pour la réduction de la pauvreté
II- Evolution de la politique environnementale malgache
1. La PNAE
2. La gestion rationnelle de l’environnement dans le DSRP
Chapitre II : Gestion des ressources naturelles renouvelables et politique environnementale
I- Le programme environnemental
1. Le PE 1 et le PE 2
2. Le PE 3
II- Le transfert de gestion
1. Fondements théoriques
2. La GELOSE et la GCF
Chapitre III : Portées et limites de la politique environnementale malgache sur le développement du pays
I- Portées
II- Limites
III- Recommandations
Conclusion
Résumé analytique
Annexes
Bibliographie
Glossaire
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