GESTION DES RESSOURCES ENERGETIQUES

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MULTIPLICATION DE LA PLANTE JATROPHA

– A partir des graines :
Selon les expériences du SNGF, les graines du Jatropha germent sans difficulté quand elles ont atteint leur maturation complète et que les conditions classiques du milieu de germination sont réunies (humidité, lumière et température). Les semis ont été arrosés 2 fois par semaine. Les graines n’ont subi aucun traitement particulier avant le semis. Le substrat utilisé a été du sable pur tamisé et stérilisé placé dans la chambre de germination illuminée artificiellement et à une température moyenne de 20°C. Pour des graines récoltées très tardivement (en Juillet-Août) par rapport à leur période optimale de maturité (Avril-Mai), les résultats de germination sont relativement bons.
Le nombre de graines par kg est en moyenne de 1.600 pour toutes les provenances. La différence de teneur en eau des échantillons graines au moment de la récolte constitue un facteur de la variation du nombre.
– Par bouturage :
Selon les nombreuses expériences des paysans visités au cours de l’investigation, Jatropha semble être beaucoup plus adapté au bouturage qu’au semis. Ils justifient ce propos par la croissance en hauteur très lente des semis et la tardivité de l’entrée en production.
Le bouturage, très couramment pratiqué par les paysans, n’utilise aucune technique particulière à part le conditionnement (prélèvement de boutures de taille variable et façonnage en biseau des deux extrémités) et la mise en terre à une profondeur moyenne de 20 cm. Les boutures se développent si rapidement que les paysans commencent à les tailler dès leur premier âge et en observer leur fructification dès la saison de pluies qui suit leur insertion.

RANDRIAHASIPARA M. L. en 1985 a fait des expériences de bouturage avec des matériels végétaux prélevés à Ambatondrazaka. Le substrat utilisé a été du sol argileux rouge. Les facteurs testés pour l’essai ont été: la taille des boutures et le niveau de prélèvement (3 niveaux de la base de la tige jusqu’au sommet). Mise en terre dans la pépinière du FOFIFA à Ambatobe, dans les 40 jours qui suivent, les premières racines sont longues de 10 cm (une racine principale et un système radiculaire asymétrique).
Les conclusions tirées par l’auteur sur les essais de bouturage concernent: la taille des boutures (40 au lieu de 20, 30 ou 50 cm); l’époque de prélèvement des boutures (au plus tôt une à deux semaines avant la mise en terre); le niveau de prélèvement des boutures (près du point de ramification de la tige); la période de bouturage (au début de la reprise de la végétation (en octobre).

Répartition géographique du jatropha curcas

– Région du Moyen-Ouest :
Pour la région du Moyen-Ouest allant d’Analavory menant vers Soavinandriana en passant par Ampefy dans la direction Sud et vers Tsiroanomandidy (avec une bifurgation menant à Sakay) dans la direction Ouest, l’on rencontre l’espèce Jatropha curcas connue localement sous différents noms vernaculaires: Tanatanana, Tanatanampotsy et Savoa.
L’espèce a été introduite dans la région par un concessionnaire étranger au même moment que le bakoly ou Aleurites spp, une autre espèce oléagineuse. Une huilerie utilisait les graines de Jatropha à cette époque. C’est ainsi qu’on estime que l’introduction de Jatropha a eu lieu vers le début du vingtième siècle dans la région et que les ramets, qui y sont propagés jusqu’à présent, proviennent de ces premières introductions. Néanmoins, les plus vieux pieds rencontrés sont à l’âge de 10 ans environ allant jusqu’à une hauteur de 6m et un diamètre de 22 cm.

A cet âge, et laissé sans taille, le Jatropha curcas développe une importante ramification (2 à 20 branches) portant chaque année une grande fructification permettant d’avoir environ 10 kg de graines par an et par pied (3 graines par fruit pour un rendement en poids de 50%, c’est-à-dire que la moitié du volume de fruits correspond à celui des graines). Les plus jeunes pieds de Jatropha, c’est-à-dire des boutures de 1 à 5 ans produisent chacun entre 2 et 6 kg de graines par an. Avec une estimation approximative des sites visités de 10 km de haies de Jatropha dans la région du moyen-ouest, l’on pourrait dénombrer au moins 50000 pieds productifs. A raison d’une productivité de 2 kg par pied, la région du moyen-ouest fournirait au minimum dans les 100 tonnes de graines par an.
L’âge de 10 ans est cependant signalé par certains paysans comme étant le début de dépérissement de la plupart des pieds du Jatropha sans exclure l’observation des signes de stress de vieillesse dès l’âge de 4 ans pour certains pieds. La fructification commence à rétrécir dès l’âge de 8 ans selon certains paysans.

Arrivées à maturité entre le mois de février et le mois de mai, les graines, tombées par terre, germent naturellement dans un rayon de 1 m autour de chaque arbre-mère pour donner 1 à 10 semis viables (germination pendant la saison des pluies) qui semblent se développer assez lentement par rapport aux boutures. Un recru (plantule issue de semis naturel) de 6 mois présente en moyenne 10 cm de hauteur et 2 cm de diamètre, il commence à fructifier au plus tôt à l’âge de 2 ans. La multiplication à partir des graines (semis direct ou production de plants du Jatropha en pépinière) n’est pas du tout pratiquée par les paysans. C’est ainsi que les paysans propagent essentiellement l’espèce par utilisation de boutures adultes. Avec cette technique, Jatropha curcas dénote une bonne adaptation dans la région du moyen-ouest sans apport de soins particuliers à part la taille annuelle.
La taille est faite à 2 cm au dessus de chaque branche en saison sèche (Juillet- Septembre), période à la quelle les feuilles tombent (celles plus basses en premier et les plus hautes plus tard). La taille permet d’une part, de développer les branches et élargir le houppier et d’autre part, d’obtenir des boutures. Les paysans ont une pratique variable quant à la hauteur des tailles. Cependant, il semble qu’une taille à 20 cm du sol serait idéale car elle présente deux intérêts dont: la préservation de la tige principale et le développement de branches plus robustes et nombreuses.
La région du moyen-ouest est dotée en partie d’un sol volcanique très fertile et de vastes plaines de cultures, ce qui pourrait offrir de bonnes conditions écologiques aux plantations de Jatropha. Par contre, en certains endroits, Jatropha pousse sur des sols rocheux sans problèmes. Vers Tsiroanomandidy, le sol devient ferrallitique et Jatropha développe moins de branches et donc la fructification devrait être plus réduite. Les troncs sont tortueux et beaucoup de plantations sont abandonnées à elles-mêmes. Du point de vue écosystème de plantation de Jatropha dans le moyen-ouest, il s’agit alors essentiellement de champs agricoles (avec des papayers, des manguiers, des maïs, du manioc,…) ou d’espace herbacé faiblement boisé (avec des Eucalyptus).
C’est également en période sèche de l’année que les paysans pratiquent le bouturage pour avoir une reprise rapide vers le début de la saison pluviale. La multiplication par bouturage ne fait pas référence à une technique particulière à part la nécessité d’enfouir un certain nombre de points de bourgeons (sur environ 10 à 20 cm du bout inférieur), points de départ du futur enracinement. Ainsi, aucune norme de croissance des boutures ne peut être avancée car la hauteur à l’insertion est très variable car elle peut aller de 20 à 150 cm avec un diamètre d’environ 5 à 7 cm et même plus. Néanmoins, l’entretien avec les paysans a permis de savoir que dès la saison des pluies suivant l’insertion des boutures, Jatropha curcas commence à fructifier. L’espèce garde ainsi, par le bais de bouturage, l’âge physiologique du pied-mère et permet une fructification rapide.

Le Jatropha curcas est essentiellement utilisée pour le clôturage des champs (surtout en bord de routes) et des habitations pour éviter la divagation bovine. L’espèce est alors plantée très serrée (10 cm seulement entre les pieds). En certains endroits, dans les zones allant vers Tsiroanomandidy, Jatropha curcas est associé avec du Sisal pour renforcer la protection des champs contre la divagation du bétail. Par ailleurs, certains paysans l’utilisent pour délimiter leurs parcelles ou les parcs à bœufs (cas très fréquent dans certains villages éleveurs de bœufs). Les racines de Jatropha curcas étant du type pivotant tout en développant une masse importante de racines secondaires vers la surface du sol, les paysans utilisent aussi l’espèce dans certains cas pour limiter l’érosion du sol, protéger les talus ou les berges. Certains paysans comparent l’utilisation du Jatropha avec celle du Tephrosia, ce dernier semble les intéresser plus car les tiges peuvent servir de bois de chauffe en plus des rôles de protection ou d’enrichissement de sol que l’espèce joue. L’écartement entre les plants ne suit aucune norme particulière, il peut aller de 20 à 250 cm selon les cas.
Les graines de Jatropha curcas sont rarement utilisées par les paysans: cicatrisation de plaies, fabrication artisanale de savon et de bougies…L’ingestion humaine des graines provoque des effets graves pouvant aller jusqu’à la mort. A part l’utilisation pour la fabrication artisanale de savon (lors des grandes pénuries dans les années 1980) ou de bougie, les graines constituent des sources sporadiques de revenus pour la population de certains Fokontany dans la Commune d’Analavory car achetées par le Faritany (la destination des graines reste méconnue par les paysans).

En 2003, les feuilles des plants de Jatropha ont été attaquées par une sorte de chenille. Les feuilles sont totalement nécrosées après un jaunissement puis un brunissement rapide dès que la chenille s’y dépose. La durée de vie de l’espèce semble être limitée si aucune taille ne lui est pratiquée et que si les plants sont assez serrés: risque de mortalité après 6 ou 7 ans. Par contre, l’espèce résiste au passage de feux de brousse grâce à son caractère oléagineux.
De par les sites de plantation visités par les agents du BAMEX, une estimation de l’importance de Jatropha curcas dans la région du moyen-ouest pourrait être obtenue.
le Jatropha curcas est une espèce très populaire connue sous le nom vernaculaire de « Valavelo » qui signifie littéralement « clôture vivante ». L’utilisation principale de l’espèce est pour le tuteurage des vanilliers, même si quelques cas d’usage pour clôture existent. Par ailleurs, les graines sont utilisées par certaines catégories de femmes pour extraire un baume à usage capillaire. D’autres les emploient pour l’éclairage domestique.
L’âge des plantes est très variable étant donné que la plantation de Valavelo n’a pas vraiment un objectif en soi car elle est seulement utilisée pour le tuteurage des vanilliers. Cet âge varie entre 1 et 30 ans pour l’ensemble des plantations et même à l’intérieur d’un champ de vanillier, différents âges de Valavelo peuvent être rencontrées selon les cas.

Le Jatropha curcas semble être plus adapté sur sol limono-sableux et pousse mal sur sol hydromorphe. C’est pour cette raison que les paysans plantent Jatropha sur billons (sols surélevés en lignes) sur les terrains des berges saisonièrement inondées et humides en permanence. On le rencontre dans les parcelles de vanilliers installées aussi bien sur terrain plat que sur les versants. Cependant, l’espèce présente une certaine vulnérabilité par rapport au cyclone si elle est plantée comme tuteur de vanille sur les terrains en pente. C’est pourquoi, bon nombre de pieds de Jatropha ont péri avec les deux derniers cyclones ayant fortement frappé la zone d’Antalaha en 2004. Une espèce de ver de terre semble aussi attaquer les souches de Jatropha et peut même entraîner sa mort sur pied. Par ailleurs, une attaque fongique semble apparaître à l’intérieur de la tige de Jatropha quand l’espèce n’est pas taillée. Les cultures associées au valavelo (à part les vanilliers) sont en général les bananiers et les caféiers. Il y a en outre des pieds résidus de défrichement comme Dombeya, Acrocarpus, Albizzia et des herbacées.
Le Jatropha curcas, dans la région de SAVA, a un port arbustif d’une hauteur de 1,5 m (bouture d’un an) à 5,5 m (individu de 30 ans) et un diamètre de 3 à 8 cm. Cependant, très peu de pieds de Jatropha de grandes dimensions ont été rencontrées lors de nos visites, car la recherche de compatibilité d’utilisation de l’espèce avec les vanilliers fait que son développement doit être limité. Jatropha perd ses feuilles en période sèche. Cependant, du à la pluviosité étalée de la région, beaucoup de pieds, notamment dans la région d’Antalaha, gardent encore leurs feuilles en juillet. Ces feuilles sont encore très vertes et abondantes vers le sommet des pieds de Jatropha. La chute tardive de feuilles semble limiter la floraison et donc la fructification selon les observations des paysans.

La ramification est limitée par la pratique de taille régulière des branches pour éviter l’excès d’ombrage nuisible aux vanilliers et limiter la concurrence vitale entre les deux espèces. La taille et la chute des feuilles du tuteur sont aussi considérées par les paysans comme des moyens de lutte contre la divagation d’insectes chez les vanilliers. Jatropha curcas subit ainsi une taille de formation annuelle, en août – septembre, pour ne laisser que deux principales branches suffisantes pour permettre de soutenir les lianes de vanilles. Chaque branche est coupée à 20 cm au-dessus de leur point d’insertion à la tige.
Les plantations visitées suivant la route reliant Sambava vers Vohémar, sont faites en sous-bois avec toujours comme tuteur Jatropha. Ce dernier est alors fortement concurrencé par les herbacées et se développe moins bien que dans les autres endroits de la SAVA.
Les boutures prélevées des produits de taille sont insérées en terre à une profondeur de 20 cm. Elles sont en moyenne longues de 120cm et grosses de 9-10 cm. Six mois après leur insertion, elles commencent à fructifier pour donner 1 à 2 kg de graines par pied. La production maximale de graines se situe à l’âge de 3 ans. Si planté par semis, aucune information sur l’année d’entrée en production n’est disponible car l’espèce est toujours multipliée par voie de bouturage.
En effet, les semis sont d’une croissance lente et ne conviennent pas aux paysans. Néanmoins, ils ont pu constater que les graines de Jatropha curcas germent très facilement, ce qui fait que l’arrachage même des régénérations naturelles leur constitue une activité supplémentaire dans certains cas pour limiter les concurrences avec les vanilliers. Par contre, les semis présentent une croissance rapide en diamètre par rapport aux boutures et présentent rarement des ramifications.
Dans certains cas, les paysans ont constaté un certain affaiblissement de Jatropha lorsque les lianes de vanilliers sont très développées et pèsent sur leur tuteur.
Le Jatropha curcas fructifie annuellement entre le mois de février et le mois de mai. Les pieds de Jatropha curcas en sous-bois sont moins productifs, ceux installés en champs de culture peuvent maintenir une production grainière conséquente jusqu’à l’âge de 10 ans. Néanmoins, l’âge maximal pouvant être atteint par un pied de Jatropha peut aller jusqu’à 30 ans. Un des signes de vieillissement se manifeste par le rougissement de la tige.

Les pieds de vanillier étant plantés à des écarts variables suivant les pratiques paysannes, les individus Jatropha utilisés comme tuteur sont espacés de 1 à 2,5m. L’écartement idéal pour les paysans serait de 2m x 2m ou même 3m x 3m pour assurer un développement optimal des vanilliers. Ce qui fait une densité allant de 1100 à 2500 plants à l’ha. En terme de productivité grainière, l’on pourrait alors atteindre une quantité moyenne jusqu’à une ou deux tonnes de graines à l’ha. Pour environ 17000 ha de plantation de vanilliers supportés par le Jatropha, il y aurait moyen d’escompter une production totale minimale de 1.700.000 kg de graines dans la région de SAVA.

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Table des matières

CHAPITRE I : GENERALITES SUR LE JATROPHA CURCAS
I -1- Description générale du JATROPHA CURCAS
M ULTIPLICATION DE LA PLANTE JATROPHA
– A partir des graines
– Par bouturage
I – 2- Répartition géographique du jatropha curcas
– Région du Moyen-Ouest :
– Région de SAVA
– Région d’Alaotra
– Région de Fianarantsoa
-Région de Toliary
C OMPARAISONS DES RESULTATS PAR REGION
I -3- Rendements
I -3-1- rendement en graines des fruits
I -3-2- Rendements en huile suivant les modes d’extraction
I -4- Les caractéristiques spécifiques ou la qualite de l’huile de jatropha curcas
· Composition chimique de l’huile de jatropha curcas (en % du total des acides gras)
· Indices physico-chimiques des huiles de Jatropha curcas
· Autres caractéristiques physico-chimiques de l’huile
a- Pouvoir calorifique inférieur (PCI)
b- point de solidification
c- point d’éclair
d- Indice de Cétane
e- Poids spécifique
f- Teneur en soufre
C HAPITRE II : GESTION DES RESSOURCES ENERGETIQUES
I I-1- La politique d’économie d’énergie au niveau national
I I-1-1- L’approche par le marché
I I-1-2- L’approche par les coûts
I I-1-3- L’approche par l’entreprise
I I-2- Consommation de carburant à Madagascar
I I-2-1- Habitude de consommation des communautés rurales
I I-2-2- Habitudes de commercialisation des revendeurs
I I-2-3- Habitudes d’utilisation de groupes électrogènes
I I-2-4-Les utilisateurs des véhicules de transport public
I I-2-5- Habitudes d’utilisation de locomotives
A/ Evoluton des ventes des GE diesel par rapport à 2001
B/ Consommation en carburant de la JIRAMA (2005)
C/ Consommation des entreprises de travaux publics
E/ Les entreprises ferroviaires (Madarail et FCE)
I I-3- Les mesures et les directives à suivre pour une meilleure gestion de l’énergie
I I-3-1- Objectifs de l’étude
I I-3-2- Méthodologie
I I-3-3- Détails des activités
I I-3-4- Résultats attendus
II-4- Les techniques d’exploitation des moteurs à huile de jatropha afin d’obtenir un bon rendement économique
E SSAIS SUR MOTEUR
II- 4-1- Essais sur moteur chinois type SHUHE L180
II- 4-2- Essai sur moteur Peugeot 504D
II- 4-3- Essai sur voiture Mercedes 307D
II- 4-4- Essai sur groupe JIRAMA
II- 4-5- Essais sur un autre moteur chinois SHUHE L180 mais de puissance 5.88kW accouplé
avec un alternateur de 5kW
II- 4-6- Conclusion sur les essais de moteurs
CHAPITRE III : ETUDES ECONOMIQUES DES RESSOURCES ENERGETIQUES DANS L’UTILISATION DE L’HUILE DE JATROPHA COMME CARBURANT
Introduction
LES COUTS D’EXPLOITATION DE CETTE MATIERE PREMIERE ET LES DEPENSES D’INVESTISSEMENT
A- LES DEPENSES D’INVESTISSEMENTS
A-1- Investissements unités (I)
A-2- Capital fixe (CF)
A-3- Capital amortissable
A-4- Fond de roulement
B- LES ELEMENTS DU COUT OPERATOIRE
B-1- Frais opératoire (FO)
B-2- Charges fixes (Cf)
C- ETUDE DE LA RENTABILITE DU PROJET
C-1- Temps de retour (POT)
C-2- Bénéfice actualisé ou VAN
C-3- Taux de rentabilité interne ou TRI
CHAPITRE IV : ETUDE D’IMPACTS EVIRONNEMENTAUX
Introduction
IV- 1- Impacts lors de la mise en place des plantations de jatropha et la production de l’huile
I V-1-1- Impacts économiques
I V-1-2- Impacts environnementaux
I V-1-3- Impacts sociaux
IV-2- Impacts particuliers causés par l’utilisation de l’huile comme combustible dans le moteur
diesel
I V-2-1- Les fumées et les gaz polluants
I V-2-2- Les odeurs
I V-2-3- Les bruits
I V-2-4- Les vibrations
I V-2-5- Autres effets
I V-3- Mesures d’atténuations de ces effets négatifs
I V-3-1- Fumées et les gaz toxiques
I V-3-2- Bruits
I V-3-3- Vibration
Conclusion
CONCLUSION GENERALE

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