Géomatique collaborative

Les objectifs des systèmes de suivi

   Pour une meilleure mise en contexte, il serait utile, avant de présenter les objectifs spécifiques assignés aux différents systèmes de suivis existants, de rappeler les objectifs globaux poursuivis par la stratégie du département des pêches, et auxquels concourent ces systèmes de suivi. En effet, les objectifs globaux de la stratégie des pêches sont :
• d’assurer la durabilité de la pêche ;
• de préserver les ressources ;
• de protéger l’environnement ;
• d’augmenter la rente économique tirée du secteur des pêches.
Pour l’atteinte de ces objectifs globaux, les différents systèmes de suivis existants poursuivent les objectifs spécifiques suivants :
• contribuer à la mise en œuvre d’une stratégie d’aménagement cohérente du secteur des pêches ;
• constituer un instrument de suivi de la politique sectorielle ;
• fournir une perception des directions des tendances du secteur ;
• effectuer le suivi-évaluation des projets de développement ou des mesures restrictives ;
• aider à la prise en compte des besoins de tous les acteurs impliqués ;
• face aux problèmes rencontrés, permettre d’être capable d’identifier les causes possibles ;
• permettre d’évaluer et de maîtriser les capacités de pêche ;
• aider à la prise de décision ;
• permettre de situer la pêcherie 1, objet de suivi, par rapport aux objectifs de sécurité alimentaire et de lutte contre la pauvreté.
Notre analyse portera ensuite sur la contribution des systèmes de suivi relativement aux différentes parties de l’écosociosystème (environnement, ressource, exploitation).

Environnement

   Les données portant sur l’observation de l’environnement sont recueillies dans la base de données environnement, qui sur la figure 2.2 apparaît sous le nom « BdD environnement », au sein de l’IMROP. Ces données correspondent aux valeurs observées des divers paramètres physiques afférents sources de données de la zone d’étude aux phénomènes océanographiques (courants marins et remontées d’eau, température, salinité, vents etc.). Elles proviennent de plusieurs sources. En ce qui concerne la vitesse et la direction du vent, deux sources différentes et complémentaires sont sollicitées :
• L’Agence de SECurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) qui, depuis 1980, fournit la vitesse et la direction du vent observées (toutes les 3 heures) à Nouadhibou, à Nouakchott (aéroport) et tout récemment au PNBA (Parc National du Banc d’Arguin).
• et, National Oceanic Atmospheric Administration (NOAA) dont les données satellitaires sont disponibles pour toute la Zone Économique Exclusive Mauritanienne (ZEEM) depuis 2003. Pour les autres paramètres : la température de surface (SST), la salinité de l’eau, la turbidité, la teneur en chlorophylle, l’oxygène dissous, phosphate et nitrates, etc., plusieurs sources sont sollicitées :
• les campagnes de recherches nationales réalisées par les navires de recherche de l’IMROP (AL-AWAM et AMRIGUE) de manière routinière (une par trimestre) ;
• les campagnes de recherches internationales réalisées par des organismes internationaux et couvrant la zone d’étude (bateaux pélagique russes, programme NANSEN de l’Institut de Bergen en Norvège (actuellement géré par la FAO) qui à opère dans la sous région depuis 1992, etc.) ;
• prélèvement in situ à la station d’observation journalière de CANSADO (siège de l’IMROP) des données de température et de salinité portant sur la Baie du Lévrier ;
• les données satellitales hebdomadaire et mensuelle de température de surface de la mer extraites à partir de National Oceanic Atmospheric Administration (NOAA) et portant sur toute la ZEEM depuis 1982. Les traitements Plusieurs traitements peuvent renseigner le suivi spatiotemporel des paramètres physiques cités ci-dessus. Par exemple, l’un des traitements essentiels est le calcul de l’indice d’upwelling effectué à partir de la direction et de la vitesse du vent et de son suivi. Cet indice est, en effet, un des déterminants importants [RCFB89] de l’abondance des ressources halieutiques mauritaniennes.

Les objectifs du Tableau de Bord pour la Pêche (TBP) [Cat10]

   « L’objectif de la mise en œuvre d’un tableau de bord pour la gestion des pêches est d’aider à :
• Évaluer et suivre l’état d’un système (ressource, pêcherie, secteur, etc.) ;
• Identifier les mesures adéquates pour atteindre les objectifs visés ;
• Évaluer les résultats et l’impact des mesures, l’efficacité de l’intervention publique ;
• Servir de base de médiation et de communication (auprès des parties prenantes et/ou du grand public) particulièrement utile dans le cadre de politiques publiques établies de façon participative et afin d’améliorer la transparence et la lisibilité d’un système de gestion et de décisions collectives. »
Le tableau de bord doit présenter un ensemble d’indicateurs issus de divers traitements opérés sur les données recueillies. Pour ce qui est des indicateurs ciblés, le Comité Technique des Statistiques (CTS) les a inventoriés et classifiés selon les différents axes stratégiques du secteur des pêches et par thématique [Did09]. Ces indicateurs ont été validés par ce même comité (CTS) lors de sa réunion ordinaire en décembre 2009 [MBS09].  Notre choix porte sur le thème de l’exploitation et ce, pour les raisons suivantes :
• « l’exploitation » est le thème le plus transversal parce qu’il intéresse absolument tous les acteurs (gestionnaires et aménagistes de pêche et l’environnement, professionnels de pêche, recherche scientifiques, société civiles, ONG, élus). Ceci nous garantit une large utilisation de la plate-forme collaborative que nous proposons en impliquant le maximum d’acteurs intéressés par la pêche et l’environnement.
• il est également le thème qui fait objet direct des mesures de gestion (arrêts de pêche, fermetures de zones, interdiction d’utilisation des engins, restriction sur l’accès et le ciblage des espèces, etc.) prises dans le cadre des plans d’aménagement par pêcherie (PAP). Parfois, ces mesures ne font pas l’objet de consensus partagé entre l’ensemble des acteurs et du coup sont souvent contestées en particulier par les pêcheurs et professionnels de pêche qui n’y adhèrent pas. Par exemple, les pêcheurs artisanaux contestent la fermeture du Parc National du Banc d’Arguin (PNBA) à la pêche motorisée. Ce type de cas constitue l’occasion d’utiliser notre plate-forme à travers le cadre qu’elle propose de discussions et de débats permettant aux acteurs de se mettre « virtuellement » ensemble pour analyser les données, informations et connaissances disponibles et partager leurs propres expériences en vue de trouver des solutions consensuelles relatives aux points relevés dans les débats de discordes ou mésententes.
• sur ce thème nous disposons suffisamment de données à caractère spatial pour construire, présenter, superposer et confronter une large gamme de couches issues de Systèmes d’Information Géographiques (SIG) pertinentes pour la prise de décision. En effet, ces données sont de bonne qualité et couvrent toute la zone économique exclusive mauritanienne (notre cas d’étude) avec des séries temporelles importantes portant sur toutes les unités de gestion (bateaux, engins de pêche, espèces de poissons, zone de pêche, nationalités de pavillon, etc.). Ceci nous offre la possibilité de proposer des indicateurs spatialisés compréhensibles et facilement utilisables par l’ensemble des acteurs concernés. Ces indicateurs sont nécessaires pour rapprocher les perceptions des acteurs impliqués dans les débats et co-construire des connaissances communes, en vue d’aiguiller le processus de prise de décision.
• l’exploitation est encore le thème considéré généralement source de problèmes qui planent aujourd’hui sur les secteurs de pêche et de l’environnement et préoccupent les usagers au même titre que les décideurs. Parmi ces problèmes on peut citer notamment, la surexploitation des espèces à haute valeur commerciale, la pêche illicite non déclarée et non réglementée, mais aussi la pollution et le réchauffement climatique, qui sont associés généralement à l’activité de pêche. Pour trouver des voies de solution à tous ces problèmes, le système d’information que nous proposons permet aux acteurs concernés de communiquer à travers sa plate-forme et de collaborer autour de ces questions en vue de trouver des solutions concertées ou consensuelles.
• l’exploitation est aussi le thème sur lequel porte le programme de recherche « Exploitation et Aménagement des Pêcheries » de l’IMROP. Ce programme, que je coordonne personnellement depuis 2010 a pour objectif de fournir aux autorités et aux différents usagers une description dynamique des pêcheries mauritaniennes en rapport avec leur aménagement et informer le processus de décision pour une gestion durable des pêcheries et une meilleure mise en valeur de la production, en support aux orientations de la stratégie sectorielle (cf. section 1.3). Ce travail va certainement apporter une contribution importante pour l’atteinte de l’objectif de mon programme, à travers notamment la mise en place d’un système d’information collaboratif. Ceci est de nature à renforcer la capacité de l’ensemble des acteurs (décideur et usagers) en matière de gestion des pêches et de l’environnement, en leur permettant de prendre des décisions concertées décision. Pour ce qui est des indicateurs relevant de ce thème d’exploitation, nous allons nous appesantir sur ceux appelés, dans le parler propre (« jargon ») halieutique, indicateurs d’exploitation. Ces indicateurs nous semblent indiqués pour illustrer notre propos. Il s’agit de l’effort de pêche déployé et des captures réalisées par les différentes pêcheries actives dans la zone de l’étude et en particulier en Mauritanie, prise ici comme cas d’étude de la zone ouest-africaine (cf. Figure 2.6). Ces indicateurs seront ventilés par les différentes unités de gestion (zone de pêche ou d’abondance des espèces, engin utilisé, bateaux de pêche, licence de pêche, espèce, pavillon des bateaux, etc.) et selon les dimensions spatiales et temporelles (année, mois ou même jour de pêche) pour offrir aux décideurs et acteurs du domaine la possibilité de disposer des différentes tendances d’évolution de ces indicateurs.

Le module « SIG »

   du projet (SIAP) Ce module a pu au travers de divers outils géomatiques [BDM+02], mettre en évidence, via une restitution cartographique, la distribution spatiale des ressources halieutiques, celle des zones de pêche des différentes pêcheries, ainsi que celle de diverses caractéristiques environnementales comme l’hydrologie, la bathymétrie, la sédimentologie. La superposition de ces cartes facilite l’étude des relations entre les ressources et leur habitat. Ces relations sont fondamentales car à la base des approches écosystémiques. Dans la mise en œuvre de ces outils, les auteurs insistent sur la nécessaire disponibilité de données géoréférencées et sur leur qualité. De même, ils soulignent la nécessité de conserver, un regard critique, face à ces représentations toujours attrayantes et relativement aisées à construire grâce au « SIG ». Les précautions concernent à la fois l’origine et la qualité des données initiales et la pertinence des méthodes de construction des synthèses cartographiques. Ce projet a permis de mettre en lumière plusieurs conclusions :
• Difficulté de maintenir des entrepôts, notamment dans perspective individualiste (mono-poste) ;
• Prise en compte de l’importance du spatial dans les analyses ;
• Sur les bases de données telles (TrawBase), disposer de formats commun pour i) développer une gestion collégiale de données ; ii) faciliter les échanges.

Faiblesses liées à l’absence de méta-données

   Les méta-données doivent permettre, à tout utilisateur, la découverte des données existantes et répondant à ses besoins précis. Nous avons constaté, sur la zone, que malgré la diversité et le volume des données disponibles dans la sous région, au niveau institutionnel, national et sous-régional, un utilisateur lambda est dépourvu de moyens lui permettant de savoir le simple fait que ces données existent quelques part. Et s’il arrive à le savoir, il ne peut en déterminer le fournisseur, ni les informations essentielles pour son besoin, comme la portée temporelle ou spatiale, la possibilité et la nature de leur accès, etc. Nous sommes donc dans une configuration, où la communication, l’échange de données, et a fortiori la collaboration, sont difficiles voire impossibles. Par conséquent, une fonctionnalité de recherche et de consultation des jeux de données existants, constitue un premier palier à franchir pour avancer vers la collaboration entre systèmes et acteurs.

Synthèse des verrous relatifs à la collaboration

   A la lumière des analyses précédentes, nous pouvons résumer les verrous principaux, auxquels nous devons tenter de répondre, comme suit :
• Ceux relatifs aux données et observations. En effet, les systèmes de suivi et d’observation, portant sur l’ensemble des composantes de l’écososiosystème (ressources, environnement et milieu aquatiques, exploitation, gestion et gouvernance), produisent des données issues de champs divers et collectées à l’aide de protocoles variés. Les problèmes soulevés portent sur plusieurs points :
— la dispersion spatiale : due à la répartition géographique des acteurs propriétaires des systèmes d’information eux-mêmes distribués ;
— l’hétérogénéité : la spécificité de chaque observation, tant au niveau technique qu’au niveau conceptuel ;
— l’autonomie : les systèmes d’information de chaque acteur sont autosuffisants, et chaque acteur préfère garder sa particularité au lieu de jouer un rôle restreint en tant que composant dans un système plus vaste ;
— la volatilité (qualité) et l’échelle de l’information conservée.
• Ceux relatifs aux traitements et à leur restitution. Les problèmes soulevés portent sur plusieurs points :
— l’hétérogénéité des langages de programmation qui entraîne des difficultés lors de la mise en œuvre de chaînes de traitements ;
— le choix des indicateurs pertinents ;
— la restitution graphique synthétique de l’information (schématique, statistique cartographique..) pour mieux fédèrer les acteurs.
• Ceux relatif à la mise en place de la collaboration. Les problèmes portent sur :
— quelle mise en œuvre et à quel niveau ;
— le choix du ou des langages d’échanges ;
— l’inertie technique pour faire évoluer les systèmes en place et la résistance humaine au changement.
• Ceux relatifs à l’accès et au partage par des services Web. Les écueils relevés sont relatifs :
— à la recherche des normes pertinentes en cours pour répondre aux besoins : recherche, l’extraction, la représentation, l’interprétation de l’information.
— au recours à des outils reconnus, si possible gratuits et maintenus par une communauté active.

Aperçu sur l’évolution de la participation sociétale

   Selon Fiorino (1966) cité par [All01], la participation fait référence à toute forme d’implication, dans le processus de gestion d’un système donné, d’acteurs n’appartenant pas au dispositif formel en charge du pouvoir de décision sur ce système. En 1983 Goudbout [God83] désigne par participation des citoyens « les différents rôles que sont amenés à remplir, au sein d’une organisation, ceux qui sont reliés à elle par leur statut d’usager, de « client », de bénéficiaire ou, de façon plus générale, par le fait d’être touchés par les décisions prises par cette organisation ». Il ([God83]) la définit plus nettement comme étant « le processus d’échange volontaire entre une organisation qui accorde un certain degré de pouvoir aux personnes touchées par elle et ces personnes, qui acceptent en retour un certain degré de mobilisation en faveur de l’organisation ». Certaine définitions vont dans le sens de la participation publique qui implique les citoyens sans aucune exigence sur la qualité de leur participation. Les auteurs de ces définitions désignent la participation comme le processus décisionnel intégrant des participants d’origines différentes et de statuts variés. Par exemple [VdH00] la désigne comme un « arrangement par lequel différents acteurs sont réunis pour participer plus ou moins directement, et plus ou moins formellement, au processus de prise de décision ». Dans le cadre de ce travail, nous adoptons la définition qui qualifie le processus de participation en lui conférant une dimension collaborative de manière à ce que le processus de prise de décision intègre à côté ou parmi les participants officiellement en charge de la décision (par hiérarchie, par délégation ou par représentation) d’autre participants qui ne sont en charge d’aucun pouvoir formel dans le processus de prise de décision. Sur le plan sociétal, les thématiques « SIG et Société » ont intéressé la recherche et suscité des débats interdisciplinaires houleux (notamment entre chercheurs en sciences sociales et praticiens des SIG) sur les volets historiques, épistémologiques, sociétaux, et ontologiques de la technologie [Gre11]. Les questions de pertinence théorique, du statut épistémologique de l’acteur en géographie, des cadres déterminants et/ou contraignants de son action, et du caractère opératoire de « l’acteur territorialisé » sont abordées dans [GGLR03]. Ces derniers [GGLR03] trouvent que le rôle du citoyen dans la gestion du territoriale dépasse largement le cadre du simple usager. Il est désormais un vrai acteur, du moment qu’il vote, paye les impôts ou encore participe aux débats publics. Cependant, la controverse qui régnait en fin des années 1960, sur la « participation des citoyens », le « contrôle citoyen », et « l’implication maximale possible des pauvres », a été menée essentiellement en termes de rhétorique exacerbée et euphémismes trompeurs [Arn69]. Afin de booster le dialogue, [Arn69] propose une typologie de la participation citoyenne en utilisant des exemples de trois programmes fédéraux sociaux : la rénovation urbaine, la lutte contre la pauvreté, et la conception de villes modèles. Cette typologie consiste en un modèle d’échelle relative au degré de participation dans lequel chaque échelon correspond à l’étendue du pouvoir des citoyens dans la détermination du plan et / ou programme (cf. figure ??).

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Table des matières

1 Introduction 
1.1 Contexte général 
1.2 Zone de l’étude 
1.3 Institut Mauritanien de Recherche Océanographiques et des Pêches (IMROP)
1.4 Objectif
2 Etat des lieux sur les systèmes d’information et les sources de données de la zone d’étude 
2.1 Introduction
2.2 Les systèmes d’observation et de suivi et existants 
2.3 Analyse des besoins – vision globale 
2.4 Analyse des besoins de gestion de la pêche et de son environnement en Mauritanie
2.5 La gestion de l’information dans la zone de l’étude – un aperçu historique
2.6 Synthèse des apports des différentes contributions réalisées durant les 30 dernières années, dans la zones de l’étude
3 Problématique 
3.1 Introduction 
3.2 Notion de gestion des pêches et de l’environnement 
3.3 Les formes actuelles de collaboration et leurs limites 
3.4 Les faiblesses majeures des systèmes existants sur la zone
3.5 Vision collaboration
3.6 Synthèse des verrous relatifs à la collaboration
3.7 Vision virtualisation 
3.8 Synthèse des verrous relatifs à la virtualisation 
4 Etat de l’art 
4.1 Interopérabilité entre systèmes partenaires
4.2 Géomatique collaborative 
4.3 Proposition existantes répondant aux défis fixés
4.4 Synthèse des approches existantes
5 Proposition 
5.1 Introduction 
5.2 Vision du système d’information visé 
5.3 Modèles 
5.4 Architecture
6 Prototype d’outil opérationnel 
6.1 Introduction 
6.2 Présentation de l’outil opérationnel 
6.3 Améliorations apportées 
6.4 Limitations des améliorations apportées en matière de normalisation et de collaboration
6.5 Manuel d’utilisation du prototype 
7 Conclusion et perspectives 
7.1 Conclusions 
7.2 Perspectives

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