GEOLOGIE DU BASSIN DE LA TAFNA

GEOLOGIE DU BASSIN DE LA TAFNA

ETUDE DES PRECIPITATIONS

Les prรฉcipitations dโ€™une rรฉgion sont intimement liรฉes au climat. Les prรฉcipitations varient dans le temps et dans lโ€™espace. Des rรฉgions sont plus arrosรฉes que dโ€™autres et des mois qui sont plus pluvieux que dโ€™autres.

FORMATION DES PRECIPITATIONS :

La pluie est un phรฉnomรจne associรฉ aux systรจmes nuageux, qui dรฉpend des micro-physiques des nuages et aussi des mouvements atmosphรฉriques ร  plus grandes รฉchelles.
Les petites gouttes dโ€™eau en suspension dans lโ€™atmosphรจre constituent les nuages et sont appelรฉes gouttelettes nuageuses. Les gouttes dโ€™eau suffisamment grosses chutent et forment les gouttes de pluie.
La formation des gouttes dโ€™eau dรฉpend des changements dโ€™รฉtat de lโ€™eau prรฉsente dans lโ€™atmosphรจre. La quantitรฉ dโ€™eau prรฉsente et ses changements dโ€™รฉtat sont liรฉs aux mouvements verticaux au sein de lโ€™atmosphรจre.
Lorsquโ€™une particule dโ€™air relativement chaude et humide monte en altitude, les transformations thermodynamiques (dรฉpression, refroidissement โ€ฆ.) quโ€™elle subie peuvent conduire a la saturation de lโ€™air et la condensation de la vapeur. Celle-ci se manifeste par lโ€™apparition de gouttelettes dโ€™eau engendrรฉe par la dรฉposition de vapeur dโ€™eau dans un premier temps autour des micros particules quโ€™on appelle noyau de condensation, puis sur les gouttelettes dรฉjร  formรฉes.
Le grossissement de ces gouttelettes se fait par deux mรฉcanismes ร  savoir:
1- A haute altitude les gouttelettes liquides cohabitent avec des cristaux, ceux-ci ont une vapeur saturante plus faible et un transfert dโ€™eau sโ€™opรจre entre les gouttelettes liquides et les cristaux de glace.
2- Le mรฉcanisme de coalescence : cโ€™est le grossissement des gouttelettes par collision c’est-ร -dire ; deux gouttelettes sโ€™entre choc et nโ€™enforment quโ€™une. Et collection c’est-ร -dire : les plus grosses gouttelettes absorbent les plus petites lโ€™ensemble ainsi formรฉ compose le nuage. Lorsque les gouttelettes ont atteint une taille critique, elles chutent, elles ne sont appelรฉes gouttes de pluie, elles peuvent encore grossir par collection de
petites en suspension dans le nuage, la figure II.1 Schรฉmatise ces diffรฉrents processus et la figure II. 2 donne la tailles caractรฉristiques de ces gouttelettes [13]

LES PRINCIPAUX SYSTEMES PRECIPITANTS :

Les systรจmes prรฉcipitants sont le rรฉsultat de lโ€™ascendance de masse dโ€™air chaud et humide. On distingue trois types de mรฉcanismes dรฉclenchant ces mouvements verticaux, qui sont illustrรฉs si aprรจs :

Systรจme prรฉcipitant convectifs :

Le systรจme convectif apparaรฎt lorsque deux masses dโ€™air de tempรฉratures diffรฉrentes entrent en contacte et plus particuliรจrement une masse dโ€™air froide recouvre un sol plus chaud ou lorsque les basses couches sont chauffรฉes par les radiations solaires, lโ€™air de ces basses couches se dilate alors, sโ€™allรจge et sโ€™รฉlรจve sous lโ€™effet de la poussรฉe dโ€™ARCHIMรˆDE elle sโ€™รฉlรจve en se refroidissant jusquโ€™au niveau de condensation, altitude a laquelle se forme la base du nuage. Lโ€™air continue de sโ€™รฉlever en se condensant ainsi jusquโ€™au niveau dโ€™รฉquilibre thermique, altitude du sommet du nuage. Celui-ci peut atteindre des altitudes de lโ€™ordre de 12 km pour les situations les plus convectives. Ce systรจme est dรฉcrit par 03 phases : dรฉveloppement, maturitรฉ et dissipation tel quโ€™il est reprรฉsentรฉ sur la figure II.3.

Systรจme prรฉcipitant orographique:

La prรฉsence dโ€™un relief (une chaรฎne de montagne par exemple) sur la trajectoire dโ€™une masse dโ€™air provoque lโ€™รฉlรฉvation de celle-ci. Le refroidissement induit peut entraรฎner la formation dโ€™une couverture nuageuse et dรฉclancher des prรฉcipitations. figure II.4. Ce type de systรจme est reliรฉ aux perturbations cycloniques [14].Ces prรฉcipitations, dโ€™intensitรฉ et dโ€™extension variables, touchent principalement le versant situรฉ au vent. Le versant sous le vent est au contraire plus sec, car lโ€™humiditรฉ relative de la masse dโ€™air et donc la pluie est moindre voir nulle lorsquโ€™elle descend sur le versant sous le vent [16].

ย Systรจme prรฉcipitant cycloniques ou frontaux :

Ces systรจmes prรฉcipitants sont engendrรฉs au voisinage des surfaces de contact entre deux masses dโ€™air de tempรฉrature et dโ€™humiditรฉ diffรฉrentes, que lโ€™on appelle un front. La masse dโ€™air chaud est toujours soulevรฉe en altitude par la masse dโ€™air froid. Suivant que la masse dโ€™air chaud suive ou prรฉcรจde la masse dโ€™air froid, on trouve un front chaud ou froid. Figure II.5
Dans le cas dโ€™un front froid, les nuages ont un dรฉveloppement vertical important et les prรฉcipitations sont intenses. Dans le cas dโ€™un front chaud, les nuages ont une extension horizontale importante et les prรฉcipitations sont plus faibles que pour le front froid. La figure II.6 illustre ces deux cas [16].

PRESENTATION DU RESEAU METEOROLOGIQUEย 

Organisation des donnรฉesย 

Lโ€™observation est la base de la climatologie, cโ€™est sur sa qualitรฉ et quantitรฉ que reposent les rรฉsultats de chaque analyse statistique et les conclusions qui en dรฉcoulent. Le relevรฉ mรฉtรฉorologique au sol est le seul moyen dont dispose le mรฉtรฉorologue pour mesurer les paramรจtres climatiques. Les observations effectuรฉes en altitude ont apportรฉe de nouvelles donnรฉes, une nouvelle รฉtape a รฉtรฉ franchie avec lโ€™utilisation du ballon sonde, du radar et du satellite mรฉtรฉorologique [18]. Malgrรฉ les progrรจs, la mesure au sol est restรฉe le moyen fondamental pour la prรฉcision mรฉtรฉorologique. Dans les paragraphes qui suivent nous allons rappelรฉs les principes de lโ€™organisation des observations et les conditions requise pour obtenir de bonnes donnรฉes.
a) Choix des emplacements :
Lโ€™emplacement de la station dรฉpend de sa position en altitude, sa distance par rapport a la mer et de la topographie des lieux. A une รฉchelle plus fine les obstacles voisins ont รฉgalement une influence, lโ€™emplacement des stations doit รชtre ร  lโ€™abri de toutes influence extrรชme.
b) Frรฉquence dโ€™observation :
Dโ€™aprรจs lโ€™OMM les stations peuvent รชtres classรฉes comme suit :
*stations mรฉtรฉorologiques principales (SMP) : stations tenue par un personnel spรฉcialisรฉ qui effectue de nombreuses observations selon une pรฉriodicitรฉ horaire. Elle donne les mesures de la tempรฉrature, la prรฉcipitation, lโ€™insolation, le vent, la nรฉbulositรฉ, lโ€™humiditรฉ et la pression.
* stations mรฉtรฉorologiques auxiliaires (SMA) : ce sont des stations tenues par un personnel autre que professionnel, qui prรฉlรจve au moins trois observations par jour elle donne des donnรฉes de prรฉcipitation et de tempรฉrature
*poste pluviomรฉtrique (PP): qui donne uniquement des mesures de prรฉcipitations.
c) Choix des instruments de mesure et les conditions dโ€™installation :
Les conditions dโ€™installation des instruments et le type de matรฉriel dโ€™observation doivent รชtre aussi proche que possible de lโ€™installation standard de lโ€™OMM.
Les instruments de mesure doivent prรฉsentรฉs les caractรฉristiques suivantes :
โ€ข la fidรฉlitรฉ : la facultรฉ pour lโ€™appareil de mesure, dโ€™indiquer toujours les mรชmes valeurs ;
โ€ข la justesse : indication de valeurs justes et exactes ;
โ€ข la sensibilitรฉ : de faible variations de la grandeur ร  mesurer doivent apparaรฎtre nettement sur lโ€™instrument de mesure ;
โ€ข la robustesse, la simplicitรฉ et la fiabilitรฉ : il est indispensable dโ€™ajouter ses qualitรฉs vue les conditions particuliรจres de fonctionnement et de manipulation (fonctionnement en plein air, manipulation frรฉquentes, mesures rapides, etc.)
Dโ€™aprรจs le rรจglement de lโ€™OMM, les stations principales doivent รชtre contrรดlรฉes aux moins une fois tout les deux ans, les auxiliaires et pluviomรฉtriques une fois tout les quatre ans.
d) Degrรฉ de prรฉcision des mesures :
Les mesures mรฉtรฉorologiques peuvent รชtre affectรฉes dโ€™erreurs systรฉmatiques et accidentelles. Les premiรจres proviennent de lโ€™instrument lui-mรชme ou de la mรฉthode de mesure, par contre les accidentelles sont dโ€™origine multiple et souvent inconnue. [19].

Les mesures de pluviomรฉtriquesย 

La mesure des prรฉcipitations est simple a rรฉaliser localement, mais une des plus complexe en mรฉtรฉorologie, vue la forte hรฉtรฉrogรฉnรฉitรฉ spatiale des prรฉcipitations, celles ci sont exprimรฉes en mm de hauteur dโ€™eau et en intensitรฉ, mm/h. La quantitรฉ totale de prรฉcipitations atteignant le sol est reprรฉsentรฉe par l’รฉpaisseur รฉquivalente qu’aurait une lame d’eau uniforme sur une surface horizontale. La hauteur des prรฉcipitations est exprimรฉe en mm et indique la quantitรฉ en litre sur une surface de un mรจtre carrรฉ.
Il faut implanter ces capteurs avec attention, car, sโ€™ils sont situรฉs prรจs dโ€™obstacles comme des arbres ou des bรขtiments, les perturbations occasionnรฉes par ces obstacles sont sources dโ€™erreurs. Une rรจgle commune est dโ€™implanter le capteur ร  une distance minimale รฉgale au double de la hauteur de lโ€™obstacle.
Les recherches effectuรฉes sur les perturbations occasionnรฉes par le capteur lui-mรชme montrent que celui-ci fait obstruction aux mouvements de lโ€™air et que le collecteur de pluie de par sa forme en entonnoir, engendre des turbulences parasites. Le rรฉsultat est que la mesure de la pluie faite ร  un mรจtre de hauteur est gรฉnรฉralement infรฉrieure ร  la hauteur rรฉelle prรฉcipitรฉe au sol. Dans beaucoup de cas, ce phรฉnomรจne nโ€™est pas pris en compte, mais il peut รชtre corrigรฉ par une formule mathรฉmatique en fonction du sens et de la force du vent. On peut aussi mesurer la pluie au sol avec un pluviomรจtre type SNOWDON dont la grille autours de la bague rรฉceptrice minore les effets du vent.
On obtient des rรฉsultats corrects avec cette mรฉthode mais elle nโ€™est guรจre appliquรฉe. La norme de lโ€™OMM (Office Mondial de Mรฉtรฉorologie) est de placer la bague collectrice ร  un mรจtre de la surface du sol.
Il est possible de mesurer les prรฉcipitations selon diffรฉrentes mรฉthodes :
Il existe deux classes dโ€™instrument permettant de mesurer la pluie :
o un pluviomรจtre, qui donne la pluie globale a une station pendant un temps donnรฉ .le modรจle le plus utilisรฉ est le pluviomรจtre association ; cet appareil es couramment utilisรฉ en Algรฉrie et en France ; il a รฉtรฉ trรจs rependu par les soins de lโ€™association scientifique de France dโ€™oรน le nom de pluviomรจtre association [16] Il est composรฉ de trois parties :
1- un seau en zinc ou en polyester oรน sโ€™accumule la pluie recueillie,
2- un entonnoir en mรฉtal formant la surface rรฉceptrice et comportant un trou assez petit pour diminuer les pertes par รฉvaporation protรฉgรฉ par une tรดle mรฉtallique fine.
3- une bague circulaire a bords presque tranchants de 226mm de diamรจtre limitant
la surface de rรฉception de 400cm2.
Ce pluviomรจtre est installรฉ sur un support de telle faรงon que le niveau de la bague soit ร  une hauteur de 1.5m au dessus dโ€™un sol. Pour mesurer la hauteur dโ€™eau tombรฉe, on verse le contenue du seau dans une รฉprouvette graduรฉe en millimรจtres et en dixiรจmes de millimรจtres.
[20].
o Un pluviographe, qui permet de faire lโ€™analyse et la rรฉpartition des pluies dans le temps. Le plus utilisรฉ dans le rรฉseau de lโ€™ONM est le pluviographe a auget basculeur. figure II.7 ; cet appareil comporte en dessous de son entonnoir de collecte dโ€™eau, une piรจce pivotante dont les deux compartiments peuvent recevoir lโ€™eau tour a tour.
Il existe dโ€™autres models de pluviographes :
ยƒ les pluviographe ร  siphon, l’eau collectรฉe est stockรฉe jusqu’ร  un seuil critique oรน un dispositif de siphonage s’amorce, รฉvacuant l’eau recueillie.
ยƒ les pluviographe ร  pesรฉe, le poids du rรฉcipient collecteur est enregistrรฉ en continu
Figure II.7 : Pluviographe enregistreurs ร  auget basculeur [20].
La mesure de prรฉcipitation entraรฎne de nombreuses erreurs et de caractรจres hรฉtรฉrogรจnes. Ces erreurs sont reprรฉsentรฉes essentiellement par deux types ; les erreurs instrumentales et les erreurs dues ร  lโ€™environnement ;
a- les erreurs instrumentales :
Lโ€™erreur instrumentale se diffรฉrent entre elle par deux points principaux ; lโ€™appareil de mesure lui-mรชme et la mรฉthode dโ€™exploitation. En consรฉquent, chaque type dโ€™appareil ou pour chaque mรฉthode de mesure est reliรฉ a des imperfections que lโ€™on essaye de contrรดler ou diminuer et de corriger. Ces imperfections sont de caractรจres divers :
ยƒ Profondeur de la bague du pluviomรจtre :
Plusieurs comparaisons ont รฉtรฉ effectuรฉes en utilisant de nombreux pluviomรจtres possรฉdant une hauteur de bague diffรฉrente.
Ces comparaisons furent effectuรฉes en mesurant parallรจlement le vent et les prรฉcipitations. Les rรฉsultats constatรฉs sont :
โ€ข par vent fort, la bague la plus profonde soit mieux adaptรฉe que la petite.
โ€ข Par vent modรฉrรฉ, la profondeur de la bague ne semble pas รฉtablie.
โ€ข Par vent faible, la bague la moins profonde indique les meilleurs rรฉsultats
ยƒ Influence de la forme du collecteur :
La forme du pluviomรจtre a une influence dรฉterminante sur la captation de lโ€™eau. Des essais en soufflerie sur des pluviomรจtres de forme cylindrique a รฉpaulement tronconique cylindrique pure et sur des pluviomรจtres association, ont dรฉmontrรฉs que le troisiรจme type de pluviomรจtre modifie le moins le champ aรฉrodynamique autour du capteur cette modification est illustrรฉe sur la figure II.8 [20].

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthรจse et d’รฉvaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport gratuit propose le tรฉlรฉchargement des modรจles gratuits de projet de fin d’รฉtude, rapport de stage, mรฉmoire, pfe, thรจse, pour connaรฎtre la mรฉthodologie ?avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’รฉtude.

Table des matiรจres

INTRODUCTIONย 
CHAPITRE I : PRESENTATION DU BASSIN VERSANT DE LA TAFNAย 
I.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE
I.1.1. Les zones montagneuses
I.1.2. Les zones des plaines et des plateaux
I.2. MORPHOLOGIE :
I.2.1. FORME DU BASSIN VERSANT
I.2.2. RECTANGLE EQUIVALENT
I.3. RESEAU HYDROGRAPHIQUE
I.3.1 Oued Isser
I.2.2 Oued Tafna
I.4. ETUDE DU RELIEF
I.4.1. Courbe hypsomรฉtrique
I.5. HYDROGRAPHIE
I.5.1. Haute Tafna
I.5.2. Moyenne Tafna :
I.5. 3. Basse Tafna
I.6. SOLS ET VEGETATION
I.7. GEOLOGIE DU BASSIN DE LA TAFNA
I.7. 2 Le secondaire :
I.7.3 le tertiaire
I.7.3.1.1 Lโ€™รฉocรจne
1.7.3.2 Le Miocรจne
I.7.4 Le plio quaternaire
I.6. CLIMAT DE BASSIN VERSANT
CHAPITRE II. ETUDE DES PRECIPITATIONSย 
II.1. FORMATION DES PRECIPITATIONS
II.2. LES PRINCIPAUX SYSTEMES PRECIPITANTS
II.2.1. Systรจme prรฉcipitant convectifs
II.2.2. Systรจme prรฉcipitant orographique
II.2.3. Systรจme prรฉcipitant cycloniques ou frontaux
II.3. PRESENTATION DU RESEAU METEOROLOGIQUE
II.3.1. Organisation des donnรฉes
II.3.2. les mesures de pluviomรฉtriques
CHAPITRE III ETUDE D E LA STATIONNARITEย 
III.1. GENERALITES
III.1.1 Dรฉfinition de la stationnaritรฉ
III.1.2. Classification des tests de stationnaritรฉ
III.2. PRESENTATIONS DES STATIONS UTILISEES
III.3. PRECIPITATIONS SAISONNIERES :
III.4. ETUDE DE LA STATIONNARITE DE LA PLUVIOMETRIE
CHAPITRE IV ETUDE PROBBILISTE DES VALEURES EXTREMES
IV.1. INTRODUCTION
IV.2. DEFINITIONS DE QUELQUES PARAMETRES
IV.2. PRESENTATION DES THEORIES UTILISEES
IV.3. RESULTATS ET DISCUSSIONS
IV.3.1. Application du test khi-deux
IV.4. COMPARAISON GRAPHIQUE ENTRE LES LOIS Dโ€™AJUSTEMENT
CHAPITRE V : ETUDE DES IDF
V.1. NOTION Dโ€™AVERSE ET Dโ€™INTENSITE
V.2. DEFINITION DES COURBES I.D.F
V.3. UTILISATION DES COURBES I.D.F
V.4. CONSTRUCTION DES COURBES I.D.F
V.5. COURBES IDF DE LA ZONE Dโ€™ETUDE
V.6. AJUSTEMENT A LA LOI DE MONTANA
V.5. DISCUSSION DES RESULTATS
CONCLUSION

Rapport PFE, mรฉmoire et thรจse PDFTรฉlรฉcharger le rapport complet

Tรฉlรฉcharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiรฉe. Les champs obligatoires sont indiquรฉs avec *