Generalites sur vih/sida et les medicaments antiretroviraux

Le Syndrome de lโ€™Immunodรฉficience Acquise plus connu sous son acronyme SIDA, est le nom dโ€™un ensemble de syndromes consรฉcutifs ร  la destruction de plusieurs cellules du systรจme immunitaire (lymphocytes TCD4 principalement) par un rรฉtrovirus. Le rรฉtrovirus, agent du Sida, est le VIH (Virus de lโ€™Immunodรฉficience Humaine) affectant lโ€™homme sous deux types : VIH1 et VIH2. Depuis sa dรฉcouverte aux USA, au dรฉbut des annรฉes 80, le sida sโ€™est rรฉvรฉlรฉ รชtre la pandรฉmie la plus meurtriรจre de lโ€™histoire de lโ€™humanitรฉ avec un dรฉveloppement spectaculaire et prรฉoccupant. En 2011, le monde comptait trente-quatre 34 millions de personnes vivant avec le VIH, dont 23,5 millions en Afrique subsaharienne [29]. On a enregistrรฉ quelques 2,2 millions de personnes nouvellement infectรฉes par le VIH et 1,7 millions de personnes en sont mortes [29]. Lโ€™utilisation des ARV permet toutefois de freiner la rรฉplication du virus au sein de lโ€™organisme infectรฉ tout en abaissant la charge virale. Elle permet รฉgalement la prรฉvention de la survenue des infections opportunistes. En effet, la prise des ARV chez les Pv VIH contribue ร  lโ€™amรฉlioration de leur รฉtat de santรฉ et au prolongement de leur espรฉrance de vie. Le Sรฉnรฉgal, pays ร  basse prรฉvalence du sida (0,7% dans la population gรฉnรฉrale) [2] est passรฉ par plusieurs รฉtapes dans lโ€™histoire de sa lutte contre le VIH/SIDA. Ainsi pour garantir une meilleure prise en charge des Pv VIH, aprรจs la dรฉcentralisation des services en 2001 (prise en charge au niveau des rรฉgions), la gratuitรฉ des mรฉdicaments antirรฉtroviraux en 2003, on est prรฉsentement et ce depuis 2006, ร  la dรฉcentralisation des ARV. Il sโ€™agit en effet, de lโ€™intรฉgration des mรฉdicaments antirรฉtroviraux dans le circuit du mรฉdicament essentiel via les pharmacies rรฉgionales dโ€™approvisionnement ; ceci dans le souci constant dโ€™amรฉliorer lโ€™accessibilitรฉ, le suivi et lโ€™observance des Pv VIH sur toute lโ€™รฉtendue du territoire national. Cependant, la qualitรฉ et lโ€™influence des conditions de conservation des mรฉdicaments surtout en milieu tropical chaud et humide sont des soucis permanents pour tous les responsables chargรฉs de la gestion de ces produits. A ces problรจmes soulevรฉs, sโ€™ajoute la contrefaรงon qui peut concerner aussi bien des produits de marque que des produits gรฉnรฉriques. Les mรฉdicaments contrefaits peuvent รชtre des produits qui contiennent les principes actifs authentiques mais avec un emballage imitรฉ, dโ€™autres principes actifs, aucun principe actif ou des principes actifs en quantitรฉ insuffisante [52]. Au vu de toutes ces considรฉrations, il est donc plus quโ€™indispensable de veiller ร  la surveillance stricte et au contrรดle rรฉgulier de la qualitรฉ de ces mรฉdicaments. Le LNCM en partenariat avec la DLSI, dans un commun programme de lutte contre le sida, pรฉrennise la surveillance de la constance de la qualitรฉ des ARV dans plusieurs rรฉgions du pays.

GENERALTES SUR LE VIH/SIDA ET LES MEDICAMENTS ANTIRETROVIRAUXย 

DEFINTION DU SIDAย 

Le SIDA est une affection virale due au VIH qui sโ€™attaque aux lymphocytes TCD4 et aux macrophages entraรฎnant ainsi la baisse de lโ€™immunitรฉ favorable au dรฉveloppement des infections opportunistes caractรฉrisรฉes par des signes majeurs tels que : la perte de poids supรฉrieure ร  10%, une fiรจvre de plus dโ€™un mois (constante ou intermittente) une diarrhรฉe chronique. Egalement des signes mineurs tels que la toux persistante, la candidose oropharyngรฉe, la lymphadรฉnopathie gรฉnรฉralisรฉe, des dรฉmangeaisons gรฉnรฉralisรฉes, et lโ€™infection herpรฉtique chronique progressive dissรฉminรฉe ร  lโ€™exclusion de tout cancer et une malnutrition sรฉvรจre. Selon lโ€™OMS, le SIDA est dรฉfini par lโ€™existence dโ€™au moins deux signes majeurs et dโ€™un signe mineur en lโ€™absence de tout critรจre dโ€™exclusion ou en prรฉsence dโ€™un sarcome de Kaposi ou en prรฉsence dโ€™une mรฉningite ร  Cryptocoque [15].

HISTORIQUE

Lโ€™agent pathogรจne est รฉtroitement liรฉ aux virus entraรฎnant des maladies semblables au sida chez les primates, le virus dโ€™immunodรฉficience simienne (VIS), il existe plusieurs thรฉories sur lโ€™origine du sida, mais il est communรฉment admis que le VIH-1 est une mutation du virus. Les รฉtudes scientifiques ont suggรฉrรฉ que le virus serait apparu initialement en Afrique de lโ€™Ouest, mais il est possible quโ€™il y ait eu plusieurs sources initiales distinctes. Cโ€™est en 1980 que fut isolรฉ et caractรฉrisรฉ le premier rรฉtrovirus humain par lโ€™รฉquipe du chercheur Robert Gallo. On le nomma HTLV I pour Human T-cell Leukemia lymphomavirus ; en franรงais, il sโ€™agit du virus lymphotrope des lymphocytes T humains. II a dรฉcouvert en 1982 un deuxiรจme virus le HTLV II responsable dโ€™une maladie appelรฉe ยซ leucรฉmie ร  cellules chevelues ยป, de leucรฉmies ร  lymphocytes T et de lymphomes chroniques [18]. Les recherches poussรฉes du professeur Robert Gallo, le mรจnent ร  la dรฉcouverte dโ€™un autre virus quโ€™il nomme HTLV III. Lโ€™origine virale du SIDA devient donc une rรฉalitรฉ [18]. Cette nouvelle affection quโ€™on nommait GRID pour Gay Related Immunodeficiency Syndrom, car on la rencontrait le plus souvent chez des homosexuels, se voit rebaptisรฉe en 1982 en SIDA : Syndrome de lโ€™Immunodรฉficience Acquise. En octobre 1983, les premiers cas africains sont observรฉs chez des patients atteints de cryptococcose mรฉningรฉe au Mama Yamo Hospital de kinshasa au Zaรฏre. En 1985 en Afrique de lโ€™Ouest, le professeur Souleymane Mboup et son รฉquipe, en collaboration avec le professeur Luc Montagnier de lโ€™institut Pasteur, identifiรจrent au laboratoire de Bactรฉriologie virologie de lโ€™hรดpital Aristite Le Dantec de Dakar au Sรฉnรฉgal, dans des prรฉlรจvements de prostituรฉes de guinรฉebissau, du cap-vert et de gambie, un nouveau rรฉtrovirus responsable du SIDA quโ€™ils nomment HTLV IV [18]. En Mai 1986, le comitรฉ international de nomenclature dans le souci dโ€™รฉviter des confusions propose la dรฉnomination de HIV (Human Immunodeficiency Virus) qui a รฉtรฉ acceptรฉe par tous. Le premier virus de lโ€™immunodรฉficience acquise est le VIH-1 et le second est le VIH2.

EPIDEMIOLOEGIE DU VIHย 

La situation du SIDAย 

Situation de lโ€™รฉpidรฉmie du VIH/SIDA au niveau mondialย 

Avec plus de 25 millions de morts au cours des trois derniรจres dรฉcennies, le VIH continue dโ€™รชtre un problรจme majeur de santรฉ publique. En 2011, il y avait environ 34 [31.4-35.9] million de personnes vivant avec le VIH. Lโ€™Afrique subsaharienne est la rรฉgion la plus touchรฉe, elle concerne 69% des personnes vivant avec le VIH dans le monde.

Lโ€™infection ร  VIH est en gรฉnรฉral diagnostiquรฉe au moyen de tests sanguins dรฉtectant la prรฉsence ou lโ€™absence dโ€™anticorps. Il nโ€™existe pas de moyens de guรฉrir de cette infection. En revanche, les traitements efficaces avec des mรฉdicaments antirรฉtroviraux peuvent juguler le virus et permettent aux patients de continuer ร  mener une vie productive et en bonne santรฉ. En 2011, plus de 8 millions de personnes vivant avec le VIH รฉtaient sous thรฉrapie antirรฉtrovirale dans les pays ร  revenu faible ou intermรฉdiaire, mais plus de 7 millions doivent encore รชtre inscrits dans des programmes de traitement pour atteindre la cible des 15 millions de personnes sous traitement antirรฉtroviral en 2015 .

Situation de lโ€™รฉpidรฉmie du VIH/SIDA au Sรฉnรฉgalย 

Au Sรฉnรฉgal, le sida est considรฉrรฉ comme une prioritรฉ de santรฉ publique. Dโ€™aprรจs le Conseil National de Lutte contre le Sida (CNLS), les rรฉsultats de la cinquiรจme Enquรชte Dรฉmographique et de santรฉ de 2010-2011 (EDS 5) montrent que 0.7% des adultes รขgรฉs de 15 ร  49 ans sont sรฉropositifs (infectรฉs par VIH1 ou VIH2). La prรฉvalence du VIH nโ€™a donc pas รฉvoluรฉ par rapport ร  2005(EDS4) annรฉe ร  laquelle elle รฉtait de 0,7%. Le taux de sรฉroprรฉvalence est de 0,8% chez les femmes de 15 ร  49 ans et de 0,5% chez les hommes du mรชme groupe dโ€™รขges. Il en rรฉsulte un ratio dโ€™infection de 1.6 entre les femmes et les hommes ; autrement dit au Sรฉnรฉgal, il y a 160 femmes infectes pour 100 hommes. On note ainsi une baisse de ce ratio ; qui รฉtait de 2.25 en 2005. En fait la prรฉvalence a baissรฉ (0.9% en 2005) chez les femmes et a augmentรฉ chez les hommes (0.4% en 2005). Parmi les professionnels du sexe, la prรฉvalence est restรฉe sensiblement au mรชme niveau (21% ร  Dakar et ร  Ziguinchor) depuis prรจs dโ€™une dรฉcennie. La prรฉvalence nationale est estimรฉe ร  0,7%.

Les modes de transmission du VIHย 

Le virus du SIDA est un virus exclusivement humain. Le VIH-1 et le VIH2 suivent les mรชmes modes de transmissions. On le trouve en quantitรฉ significative dans les liquides biologiques tels que le sang, le sperme, les sรฉcrรฉtions vaginales. Sa prรฉsence dans les autres produits biologiques que sont la salive, les larmes, les selles, les urines, le liquide cรฉphalorachidien, le lait maternel, est de trรจs faible quantitรฉ, si bien que cela ne reprรฉsente pas un risque de transmission dans la vie quotidienne . Cependant, trois principaux modes de transmission sont retenus :
– La transmission sexuelle ou transmission horizontale ;
– La transmission sanguine ;
– La transmission maternofoetale ou transmission verticale.

Dรฉpistage du VIH au Sรฉnรฉgalย 

Au Sรฉnรฉgal, le dรฉpistage du VIH est gratuit et volontaire pour tous les sujets qui dรฉsirent connaitre leur statut sรฉrologique. Par contre ce dernier est rรฉvรฉlรฉ aprรจs un don de sang destinรฉ ร  sauver des vies humaines. Aujourdโ€™hui le dรฉpistage du VIH est de plus en plus recommandรฉ chez la femme enceinte pour รฉviter, en cas dโ€™infection une รฉventuelle contamination du bรฉbรฉ. Le dรฉpistage du VIH est effectuรฉ dans toutes les structures de santรฉ publique et il repose sur des tests de diagnostic sรฉrologiques. II faut noter quโ€™en dehors du test ELIZA qui est utilisรฉ, on fait appel aussi ร  deux tests rapides qui sont :
– La Dรฉtermine qui est un Immuno-essai rapide .
– Lโ€™ImmunoComb (HIV1&2Bi Spot)

LE VIRUS

Le virus de lโ€™Immunodรฉficience Humaine a รฉtรฉ identifiรฉ en 1983 ร  lโ€™institut louis pasteur de Paris par une รฉquipe franรงaise dirigรฉe par le professeur Luc Montagnier. II a รฉtรฉ isolรฉ de tissus de ganglions dโ€™un jeune homosexuel prรฉsentant un syndrome dโ€™adรฉnopathies persistantes gรฉnรฉralisรฉes [4].Trois ans plus tard, un autre rรฉtrovirus (VIH-2) a รฉtรฉ dรฉcouvert des patients en Afrique de lโ€™Ouest par une รฉquipe dirigรฉe par les Professeurs Barin et Mboup .

Classification et morphologieย 

Le VIH appartient ร  la famille des Retrovirideae ร  la sous-famille des Lentitivirideae et au genre Lentivirus. Deux types de VIH ont รฉtรฉ mis en รฉvidence :
โžค Le VIH-1, est le premier virus dรฉcouvert et le plus rรฉpandu dans le monde.
โžค Le VIH-2 qui sรฉvit plus particuliรจrement en Afrique de lโ€™Ouest. II a 42% dโ€™homologie avec le premier virus .

La structure du VIH

La structure du VIH comporte :
– Une enveloppe virale constituรฉe dโ€™une bicouche lipidique et de deux sortes de glycoprotรฉines : gp120 et gp 41. La molรฉcule gp 41 traverse la bicouche lipidique tandis que la molรฉcule gp120 occupe une position plus pรฉriphรฉrique : elle joue le rรดle de rรฉcepteur viral de la molรฉcule membranaire CD4 des cellules hรดtes. Lโ€™enveloppe virale dรฉrive de la cellule hรดte : il en rรฉsulte quโ€™elle contient quelques protรฉines membranaires de cette derniรจre, y compris des molรฉcules du CMH.
– Un core viral ou nuclรฉocapside, qui inclut une couche de protรฉine p17 et une couche plus profonde de protรฉines p24.
– Un gรฉnome constituรฉ de deux copies dโ€™ARN simple brin associรฉes ร  deux molรฉcules de transcriptase inverse (p64) et ร  dโ€™autres protรฉines enzymatiques (protรฉase p10 et intรฉgrase p32) .

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR VIH/SIDA ET LES MEDICAMENTS ANTIRETROVIRAUX
CHAPITRE I : GENERALITES SUR VIH/SIDA ET LES MEDICAMENTS ANTIRETROVIRAUX
I.DEFINITION
II. HISTORIQUE
III. EPIDEMIOLOGIE DU VIH
III.1. Situation du SIDA
III.1.1. Situation de lโ€™รฉpidรฉmie du VIH/SIDA au niveau mondial
III.1.2. Situation de lโ€™รฉpidรฉmie du VIH/SIDA au Sรฉnรฉgal
III.2. Les modes de transmission du VIH
III.3. Dรฉpistage du VIH au Sรฉnรฉgal
IV. LE VIRUS
IV.1. Classification et morphologie
IV.2. La structure du VIH
IV.3. Cycle de rรฉplication virale
V. LES MEDICAMENTS ANTIRETROVIRAUX ET LE TRAITEMENT DU SIDA
V.1. Dรฉfinition
V.2. Classification pharmacologie et chimique
V.3. Les molรฉcules dรฉjร  utilisรฉes
V.3.1. Les inhibiteurs nuclรฉotidiques de la transcriptase inverse (INTI)
V.3.2. Les inhibiteurs non nuclรฉotidiques de la transcriptase inverse
V.3.3. Les inhibiteurs de la protรฉase (IP)
V.4. Les nouvelles molรฉcules
V.5. Principe de sรฉlection des rรฉgimes
V.6. Principe associations
VI. LE TRAITEMENT ANTIRETROVIRAL
VI.1. Objectifs du traitement
VI.2. La stratรฉgie du traitement antirรฉtroviral
VI.3. Le Protocole thรฉrapeutique
VI.4. RECOMMANDATIONS NATIONALES ACTUELLES (CAT) ou schรฉma thรฉrapeutique
VI.5. ARV DISPONIBLES DANS LE PROGRAMME SENEGALAIS
VI.6. LA RESISTANCE DU VIH AUX ANTIRETROVIRAUX
CHAPITRE II : POLITIQUE Dโ€™ASSURANCE QUALITE POUR LES PRODUITS PHARMACEUTIQUES DU FONDS MONDIAL
I.QUELQUES NOTIONS FONDAMENTALES SUR LE MEDICAMENT ET LE CONTROLE DE QUALITE
I.1. Dรฉfinition du mรฉdicament et critรจres de qualitรฉ
I.1.1. Dรฉfinition
I.1.2.Critรจres de qualitรฉ
I.2. Lโ€™assurance qualitรฉ
I.3. Evaluation de la qualitรฉ des mรฉdicaments
I.3.1. Evaluation de la qualitรฉ dโ€™un mรฉdicament
I.3.2. Standards de qualitรฉ
I.3.3. Intรฉrรชt
I.3.4. Limites
I.3.4.1. Limites pharmacopรฉes
I.3.4.2. Absence de rรฉfรฉrentiels produits finis pour les contrรดles externes
I.3.4.3. Non รฉvaluation de la qualitรฉ de la matiรจre premiรจre pour un contrรดle du produit fini
I.3.4.4. Stabilitรฉ
II. ASSURANCE QUALITE DES ARV SELON FONDS MONDIAL
II.1. Principe de base
II.2. Approvisionnement des ARV chez les fabricants prรฉ-qualifiรฉs par les experts de lโ€™OMS : respect des BPF
II.3. Contrรดle ร  lโ€™approvisionnement (par les laboratoires certifiรฉs par lโ€™OMS ou accrรฉditรฉs par ISO/CEI 17025)
II.4. Surveillance de leur qualitรฉ au niveau des zones de prestation
DEUXIEME PARTIE : EVALUATION DE LA QUALITE DES MEDICAMENTS ANTIRETROVIRAUX UTILISEES AU SENEGAL DE 2005 ร  2014
I.OBJECTIF DE Lโ€™ETUDE
I.1.Objectif gรฉnรฉral
I.2.Objectifs spรฉcifiques
II.CADRE DE Lโ€™ETUDE
III. MATERIEL
III.1.Verrerie et petit matรฉriel
III.2. Rรฉactifs et substances de rรฉfรฉrence
III.3. Matรฉriel de collectes
III.4. Matรฉriel de traitement et dโ€™analyse des donnรฉes
IV. METHODES Dโ€™EVALUATION DE LA QUALITE DES MEDICAMENTS ARV
IV.1. Echantillonnage
IV.2. Test de Screening
IV.2.1. Inspection physique et visuelle
IV.2.2. CCM
IV.2.2.1. Principe
IV.2.2.2. Appareillage
IV.2.2.3. Domaines dโ€™applications
IV.2.3. Test de friabilitรฉ
IV.3. Test de confirmation avec les mรฉthodes officielles
IV.3.1. Les mรฉthodes pharmaco techniques
IV.3.1.1. Test de dรฉlitement
IV.3.1.2. Essai de dissolution
IV.3.1.3. Test de friabilitรฉ
IV.3.1.4. Dรฉtermination du poids moyen et de lโ€™uniformitรฉ de masse
IV.3.1.5. Dรฉtermination de lโ€™humiditรฉ rรฉsiduelle des comprimรฉs
IV.3.2. Les mรฉthodes dโ€™identification et de dosage
IV.3.2.1. CLHP
IV.3.2.1.1. Principe
IV.3.2.1.2. Appareillage
IV.3.2.1.3. Domaines dโ€™applications
IV.4. Description des Tests Mise en ล’uvre
IV.4.1. Etape 1 et 2 : Tests de base
IV.4.1.1. Etape 1 : tests de base avec Minilabsยฎ, sur sites sentinelles
IV.4.1.2. Etape 2 : Vรฉrification des tests de base par le LNCM
IV.4.1.3. Etape 3 : Les tests de confirmation avec les mรฉthodes de rรฉfรฉrence des pharmacopรฉes amรฉricaines et europรฉenne au niveau du LNCM
V. RESULTATS
V.1. Rรฉsultats de lโ€™รฉvolution des sites de prรฉlรจvement
V.2. Rรฉsultats de lโ€™รฉchantillonnage
V.3. Nombre dโ€™รฉchantillons testรฉs par an
V.4. Rรฉpartition des รฉchantillons testรฉs par molรฉcule
V.5. Rรฉsultats des tests
V.5.1. Rรฉsultats de lโ€™analyse par CCM
V.5.2. Rรฉsultats de lโ€™analyse par CLHP
V.5.3. Rรฉsultats des autres tests
V.5.4. Pourcentage annuel des รฉchantillons testรฉs avec des mรฉthodes officielles
V.5.5. Taux de conformitรฉ des รฉchantillons testรฉs selon les mรฉthodes officielles
VI. DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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