Généralités sur l’intervention des ONG à Madagascar

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PRESENTATION DU CADRE DE LA RECHERCHE

La présentation du cadre de recherche est destinée aux approches permettant de décortiquer tout ce qui englobe notre domaine de travail, à savoir : l’approche conceptuelle et le soubassement théorique et à la présentation de notre terrain d’investigation.

Cadre conceptuel et théorique

Le cadre conceptuel et théorique est destiné aux approches permettant de décortiquer tout ce qui englobe notre domaine de travail, à savoir : l’approche conceptuelle et le soubassement théorique.

Approche conceptuelle

D’après Quivy et Campenhoudt « la conceptualisation n’est plus qu’une simple définition ou convention terminologique. Elle constitue une construction abstraite qui vise à rendre compte du réel. A cet effet, elle ne retient pas tous les aspects de la réalité concernée, mais seulement ce qui en exprime l’essentiel du point de vue du chercheur »31Aktouf affirme que « les concepts sont à la théorie ce que les faits sont à la réalité »32.
La première démarche du sociologue est selon Durkheim « de définir les choses dont il traite afin qu’il sache bien de quoi il est question »33.Conformément à cette précision méthodologique, cette section consiste à délimiter et expliquer les termes clés sur lesquelles s’appuie notre étude afin d’éviter l’ambigüité de certains termes. Pour la bonne compréhension de notre travail, nous allons donc procéder à la définition de certains concepts clés de notre thème à savoir : l’organisation, le développement socio-économique et l’organisation non gouvernementale.

Organisation

Quelques définitions sur l’organisation

La définition de l’organisation a toujours été une affaire pour les auteurs du fait qu’elle est un élément important et universel, elle s’applique à toute action individuelle ou collective. Etymologiquement, le mot organisation vient du grec « orgamen » qui veut dire harmonie Peter DRUKER disait que « l’organisation n’est pas une fin en soi, mais un moyen de réaliser le bon fonctionnement de l’Entreprise et d’obtenir le résultat qu’elle se propose ». Cette organisation sera d’autant plus efficace, stable et plus directe que lorsqu’elle aura moins à peser sur les activités individuelles des collaborateurs en modifiant le rythme de travail. Ainsi, elle se propose la mise en œuvre, le fonctionnement harmonieux des moyens humains et matériels en vue d’un objectif déterminé.
Pour E.L. Trist « l’organisation est l’inverse du hasard, elle a une dimension bien temporelle que spatiale. L’objet organisé résiste à la désorganisation »34 d’autres auteurs ont favorisé et opté pour l’utilisation du mot « action organisée » : les individus engagés dans une action organisée ont à assurer leur coopération à partir de leur diversité35.
Toute activité humaine organisée doit répondre à deux exigences fondamentales et contradictoires :la division du travail entre les différentes tâches à accomplir et la coordination de ces tâches par l’accomplissement de travail. Ainsi, H. Mintzberg montre que « la coopération entre les individus et par conséquent l’organisation ne peut être efficace sans la coordination »36. Concrètement, selon Nikiema le terme organisation peut avoir trois sens distincts37:
D’abord l’organisation est un regroupement d’humains qui coordonnent leurs activités pour atteindre des objectifs communs ; l’organisation est ici envisagée comme une réponse aux problèmes de l’action collective, de sa coordination, sa stabilisation et de son développement
Après ce sont les diverses façons par lesquelles les groupements structurent leurs moyens dont ils disposent pour parvenir à leurs fins.
Et enfin, il s’agit d’une action organisée ou le processus qui engendre les groupements ou les structures organisationnelles.
Pour conclure cet essai de définition de l’organisation, on rejoint les propos de J.Y. March et H. Simon : « il est plus facile et probablement utile de donner des exemples d’organisations formelles que de définir ce terme » et d’une façon générale, analyser une organisation, c’est être capable d’en voir et d’en décrire les composantes et de comprendre comment çà s’articule dans un ensemble.

Caractéristiques de l’organisation

Caractéristiques selon P. Bernoux la sociologie des organisations38
– La division des tâches : elle régit l’organisation et constitue le point de différence entre un groupe structuré et celui qui ne l’est pas. Dans une organisation, la division des tâches suppose précision et durée ; le travail à exécuter peut-être formaliser par écrit ou non. Chaque membre se voit attribué une tâche. L’analyse stratégique qui nomme acteurs les membres de l’organisation met l’accent davantage sur leur autonomie que sur les contraintes objectives qui définissent leurs rôles
– La hiérarchie : elle permet d’introduire une relation d’ordre entre les participants selon leur rang dans la structure de l’organisation et de veiller à l’adéquation du comportement de l’individu aux buts que les organisateurs ont fixé à l’organisation
– L’existence des règles officielles et de procédures : elles peuvent être plus ou moins développées et formalisées, mais il faut quand même un minimum de règles d’entrée et d’accès aux fonctions
– Une certaine stabilité : on ne peut pas dire que l’organisation est efficace sans le maintien d’une stabilité dans le temps. La division du travail, la hiérarchie et les règles ne sont vraiment nécessaires que si l’ensemble est considéré à une permanence H. Mintzberg a donné plus d’importance à l’étude des composantes de l’organisation en distinguant cinq éléments principaux :
– le centre opérationnel : il est composé des membres de l’organisation, des opérateurs dont le travail est lié directement à la production des biens et des services. C’est le cœur de chaque organisation, la partie qui permet à l’ensemble de survivre
– Le sommet stratégique : à ce niveau, on trouve ceux qui sont chargés des responsabilités les plus larges, le directeur général et les autres : cadres, dirigeants dont les fonctions sont globales c’est-à-dire de faire en sorte que l’organisation accomplit sa mission de façon efficace
– La ligne hiérarchique : elle est composée de l’ensemble des responsables assurant le relais entre sommet stratégique et centre opérationnel
– la technostructure : à ce niveau, on trouve les analystes et experts qui contribuent à l’organisation en agissant sur le travail des autres. Elle planifie, contrôle les opérations et détermine les qualifications nécessaires
– les fonctionnels du support logistique : ce sont les personnels qui fournissent des services indirects, depuis le service de courrier jusqu’aux relations publiques et aux services juridiques.

Développement socio-économique

La notion du développement économique et social est un phénomène très complexe. Le développement possède plusieurs définitions parmi lesquelles on peut en retenir quelques pour simplifier sa lourdeur.
Selon le dictionnaire, le petit LAROUSSE, le concept du développement vient de l’ancien français « voler » et du latin « falupa » et signifie « balle de blé ». C’est l’action de développer, de se développer. Il peut aussi se définir comme une progression, une croissance, un accroissement, une évolution, un épanouissement etc.
Selon François Perroux, le développement est « la combinaison des changements mentaux et sociaux d’une population qui la rendent apte à faire accroître cumulativement et durablement son produit réel global » le développement implique l’amélioration du bien être de toute la population et se traduit par une hausse de revenu par tête, un accroissement de la ration alimentaire et des meilleurs accès aux services de santé et de l’éducation.
D’après l’Anthropologue Olivier de SARDAN : le développement se définit comme l’ensemble des processus sociaux induits par des opérations volontaristes de transformation d’un milieu social, par le biais d’institutions ou d’acteurs extérieurs à ce milieu mais cherchant à mobiliser ce milieu, et proposant sur une tentative de greffe de ressources ou techniques ou savoirs40.
Dans le domaine économique, le développement est l’amélioration quantitative et qualitative d’une unité économique. Et dans le domaine social, il désigne les évolutions positives dans les changements structurels d’une zone géographique ou d’une population : sanitaire, démographique, technique, et culturels. Il apparait ainsi comme la combinaison des changements mentaux et sociaux d’une population afin de la rendre apte à faire croître cumulativement et durablement son produit réel.
Au final, le développement est un processus global d’amélioration des conditions de vie d’une communauté sur le plan économique, social, culturel et politique.
Le concept socio-économique est un adjectif qui intéresse la société définie en terme économique. En effet, socio-économique est une branche des sciences économiques et de la sociologie qui examine l’influence des rapports humains sur l’évolution économique. Parler de statut socio-économique d’une famille signifie faire un lien avec la fonction du revenu familial, le niveau de scolarité des parents, leur profession et le statut social dans la communauté. A contrario, la sociologie économique examine les influences des relations économiques sur les groupes sociaux. Dans le cadre de ce travail, le concept socio-économique permet d’évaluer le niveau social des groupes et ménages bénéficiaires des actions du centre ainsi que le niveau économique de ceux-ci

Organisation Non Gouvernementale (ONG)

Généralités sur l’intervention des ONG à Madagascar

Depuis les années 1990, on a assisté à une montée en puissance des ONG : médiatisation des besoins, recours à l’humanitaire après des opérations armées. Les ONG disposent de plus en plus de compétences techniques, qui les rendent crédibles et leur permettent d’être consultées et écoutées lors des grandes réunions internationales
Depuis les années 2000, de grandes entreprises privées signent des partenariats avec des ONG de façon à acquérir une vision plus globale de l’environnement mondialisé, et enfin de disposer de compétences les aidant à mieux percevoir les attentes des consommateurs et des marchés.
La particularité des ONG et association réside dans l’implantation directe et la proximité de leurs apports dans le processus de développement socio-économique d’un pays à travers leurs interventions directes sur leurs populations cibles ; c’est ce qu’on appelle communément « le développement au ras du sol »
Comme toute autre personnalité morale, les ONG ou associations choisissent une localité quelconque pour s’implanter ou comme localité de siège. Toutefois, leurs interventions peuvent s’étendre sur tout le territoire national.
Il est à remarquer que, dans la suite, la localité d’implantation fait référence à une province alors que la localité d’intervention peut être une province ou une région.
L’enquête de l’INSTAT a révélé que presque la moitié des ONG ou associations sont implantées à Antananarivo. La province d’Antananarivo reste celle qui reçoit plus en terme d’intervention des ONG ou association. Près des 46.8% des ONG entreprennent des activités dans la province d’Antananarivo41. Les interventions des ONG restent le secteur de la santé, celui de la formation et/ou conseil et celui de l’éducation. A ces trois secteurs s’ajoutent les secteurs de l’environnement, les œuvres socio-économiques, le développement rural et dans une moindre mesure le secteur de la protection sociale.

Essai de définition de l’ONG

Etymologiquement, l’ONG est un acronyme utilisé pour désigner une Organisation Non Gouvernementale.
C’est une organisation d’intérêt public qui ne relève ni de l’Etat ni d’une institution internationale42. Les ONG n’ont pas le statut de sujet de droit international.
Selon Marcel Merle, est considéré comme une ONG « tout groupement, association ou mouvement constitué de façon durable par des particuliers appartenant à différents pays en vue de la poursuite d’objectifs non lucratifs »43
Elle peut aussi se définir comme une collectivité humaine caritative, indépendante et donc autonome qui a pour but d’apporter du bien aux hommes par la solidarité sans héroïsme et sans but lucratif, d’intérêt public, qui ne relève ni de l’Etat, ni d’institutions internationales.
L’habitude est donc de réserver le terme aux personnes morales à but non lucratif financées par des montants importants par des fonds privés. Grâce à l’apport de la sociologie des organisations, les principaux critères définissant une ONG sont :
– L’origine privée de sa constitution
– Le but non lucratif de son action
– L’indépendance financière
– L’indépendance politique
– La notion d’intérêt public
Les ONG dans l’amélioration du bien être de la population touche le domaine social, économique et financière. Elles concernent les Droit de l’homme, la lutte contre la faim, la lutte contre les maladies, la protection des enfants, la scolarité.

Différents types d’ONG

Les ONG ont différents domaines d’intervention, ce qui conduit à les classer au moins en deux catégories :
– Les ONG de plaidoyer qui défendent une opinion, une cause ou un groupe de personnes.
– Les ONG humanitaires : mettent en place des programmes d’aides, éducatives ou caritatives. Les ONG humanitaires peuvent elles-mêmes se subdiviser en deux grands domaines d’intervention :
Les ONG caritatives spécialisées dans l’aide d’urgence, interviennent dans les situations de crise : famine, catastrophes naturelles etc.
Les ONG de développement qui sont engagées sur des problèmes à long terme et aident les populations des pays en développement à acquérir leur propre autonomie.

Organisation et fonctionnement de l’ONG

Art. 13 de la loi n° 96-030 du 14 Aout 1997 portant régime particulier des ONG à Madagascar
L’ONG est dotée :
– d’un organe de décision et de délibération: Assemblée générale
– d’un organe d’orientation et de suivi : Conseil d’administration
– d’un organe d’exécution: Comité directeur ou direction
– d’un organe de contrôle : Commissariat aux comptes
Les statuts et règlement intérieur déterminent le mode de fonctionnement de ces structures.
Nul ne peut cumuler les fonctions d’exécution et de contrôle prévues dans ces organes.
Les fonctions au sein de l’ONG sont gratuites.
Néanmoins, les membres peuvent être remboursés des frais qu’ils ont engagés à l’occasion des missions et services effectués pour le compte de l’ONG.
Après avoir parlé des concepts clés, présentons maintenant quelques courants théoriques sur lesquels nous nous appuyons.

Soubassement théorique

Le cadrage théorique est un outil indispensable dans la recherche en sciences sociales. Ils permettent au chercheur de déterminer les théories et les idées préexistantes c’est-à-dire se référer à des courants de pensée déjà établis. Pour Aktouf, « les cadres sont les arrière-fonds philosophiques ou doctrinaux ou même parfois idéologiques qui caractérisent certaines manières d’opérer. Ces cadres servent à opposer le système référentiel qui colorera la signification des phénomènes étudiés et leur interprétation »44. Et selon Jeffrey, « nous verrons qu’une théorie nous offre un point de vue pour examiner une partie du réel, mais en même temps le point de vue limite le réel dont il rend possible l’étude »45. Comme cadre théorique, nous allons parler d’abord de l’approche théorique « le structuro-fonctionnalisme » de Talcott Parsons. Après, l’approche sociologique de Durkheim sur la socialisation. Et enfin, la sociologie des organisations initiées par Michel Crozier et Freidberg.

Structuro-fonctionnalisme de Talcott Parsons

La notion de structuro-fonctionnalisme comprend le structuralisme destiné à analyser les structures de la société vue dans sa globalité, et le fonctionnalisme qui vise à appréhender les fonctions présentes dans cette même société. Cela veut dire que la société n’est qu’un ensemble de structure et de fonctions interalliés. Le structuro-fonctionnalisme est un mouvement rattaché à l’étude des organisations. Parsons souhaite mettre l’action sur la relation de l’individu à l’organisation, en termes de rôle et de fonction à ne pas simplement s’entretenir à l’individu entant qu’exécutant d’une tâche. Il arrive même à poser les questions suivantes : comment l’organisation qui à ses propres besoins, arrive-t-elle à imposer un modèle de relations à des gens pluriels, dans le but d’atteindre des objectifs et comment résiste- elle au changement ?
Talcott Parsons représente cette théorie en dégageant quatre besoins que toute société doit satisfaire pour se maintenir et subsister : L’adaptation, c’est-à-dire que la société doit équilibrer ses ressources pour assurer survie ; entretenir des relations avec son environnement pour assurer la vie de la société ; elle doit ensuite viser la poursuite d’objectifs c’est-à-dire que les différentes parties et les différents intérêts qui composent la société doivent être coordonnés, intégrés; l’entretien des modèles et normes et la gestion des tensions c’est-à-dire que la société doit assurer la cohésion de son système de valeur et entretenir la motivation et les engagements des acteurs. Pour satisfaire ces besoins, la société dispose des sous-systèmes les unes aux autres. Il s’agit de sous système économique, sous système politique, sous système de justice, sous système de famille, sous système enseignement.
Parsons se focalise sur le système social, qu’il appréhende de manière systémique. La société serait composée d’éléments en interaction perpétuelle ; ainsi les individus, le milieu et l’environnement seraient toujours en relation. Au sein de ce système, il existe un contrôle social fondé sur l’information et les symboles. Une partie de la population est placée sur le sommet de la hiérarchie sociale et contrôle le reste de la population.
Nous avons donc choisi d’adapter cette théorie, parce que notre thématique vise à mettre en valeur la structure et les fonctions de l’organisation du Centre social Saint Vincent de Paul et d’analyser son degré d’impact sur les bénéficiaires. Le Centre social est ici considéré comme un système social, comprenant d’éléments en relation dynamique, animés par le biais d’actions visant à atteindre un optimum de satisfaction.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
1. Contexte de l’étude
2. Motif du choix du thème et du terrain
2.1. Choix du thème
2.2. Choix du terrain
3. De la question de départ à la problématique
4. Hypothèses
5. Objectifs
5.1. Objectif global
5.2 Objectifs spécifiques
6. Résultats attendus
7. Aperçu méthodologique
7.1 Méthode
7.2. Technique
7.2.1. La documentation
7.2.2. Techniques vivantes
7.2.2.1. Observation
7.2.2.2. Entretien
7.2.2.3 Questionnaires
7.2.2 Technique d’échantillonnage
8. Les limites de la recherche
9. Annonce du plan
PARTIE I : PRESENTATION DU CADRE DE LA RECHERCHE
Chapitre 1 : Cadre conceptuel et théorique
1.1. Approche conceptuelle
1.1.1 Organisation
1.1.1.1 Quelques définitions sur l’organisation
1.1.1.2 Caractéristiques de l’organisation
1.1.2 Développement socio-économique
1.1.3 Organisation Non Gouvernementale (ONG)
1.1.3.1 Généralités sur l’intervention des ONG à Madagascar
1.1.3.2 Différents types d’ONG
1.1.3.3 Organisation et fonctionnement de l’ONG
1.2 Soubassement théorique
1.2.1. Structuro-fonctionnalisme de Talcott Parsons
1.2.2. La théorie de Durkheim sur la socialisation
1. 2.2.1 Définition de la socialisation
1.2.2.2 Les activités du Centre comme préalable à la socialisation des bénéficiaires
1.2.3 Sociologie des organisations
1.2.3.1 Théorie des organisations
1.2.3.2 Michel Crozier et Freidberg sur l’analyse stratégique de l’organisation
Chapitre 2 : Présentation du terrain d’investigation
2.1. Définition du Centre social
2.2. Le Centre social Saint Vincent de Paul
2.2.1 Bref historique du Centre
2.2.2 Localisation
2.2.3 Principaux but et objectifs du Centre
2.2.4 Structure organisationnelle du Centre
2.2.4.1 Organigramme du Centre
2.2.4.2 Rôles des personnels
2.2.5 Les principales activités du Centre
2.2.5.1 Les activités d’aides ponctuelles
2.2.5.2 Les activités de formation
2.2.5.3 Les autres activités
2.2.6 Partenariats et financements
2.2.6.1 Partenariats
2.2.6.2 Bailleurs de fond
PARTIE II : RESULTATS D’ENQUETES ET ANALYSES
Chapitre 3 :Mode d’organisation et fonctionnement interne du Centre
3.1 Mode d’organisation du Centre
3.2 Réalité sur la norme internationale du travail
3.2.1 Discrimination
3.2. Négociation collective ou affiliation à un syndicat ou délégué du personnel
3.2.3 Affiliation à la CNaPS et à des organismes sanitaires
3.3 Motivations des travailleurs au travail
3.3.1 Caractéristiques de la motivation
3.3.2 Conditions de travail
3.3.3 Ancienneté dans le service
3.4 Ambiance au travail
3.4.1 Jugement sur l’ambiance au travail
3.4.2 Perception du travail
3.4.3 Motifs de leur adhésion dans le Centre
3.5 Relation sociale
3.5.1 Relation verticale
3.5.2 Relation horizontale
3.5.3 Communication entreprise
3.6 Prise de décision et règlement des conflits
3.6.1 Prise de décision
3.6.2. Règlement des conflits
Chapitre 4 : Les bénéficiaires et le Centre
4.1 Présentation des activités
4.2 Mode de sélection et choix des bénéficiaires
4.3 Résultats d’enquêtes par questionnaire des bénéficiaires
4.3.4.1. Différentes conditions du Centre
4.3.4.2 Non respect des bénéficiaires sur les conditions imposées par le Centre.
4.4 Impactes socio-économiques des activités du Centre sur les publics cibles.
PARTIE III : ANALYSE PROSPECTIVE
Chapitre 5 :Analyse et vérification des hypothèses
5.1 Forces – Faiblesses – Opportunités- Menaces
5.1.1. Forces
5.1.2 Faiblesses
5.1.3 Opportunités
5.1.4 Menaces
5.2 Vérification des hypothèses
Chapitre 6 : Suggestions
6.1 Difficultés rencontrées par le Centre dans l’exécution des activités
6.2 Suggestions
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES
ANNEXES

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