GÉNÉRALITÉS SUR L’HOMÉOPATHIE

Travaux de Hahnemann 

Sycose

Elle représente un mode réactionnel global observé dans le temps. Le mode sycotique représente un ensemble de troubles insidieux, d’évolution lente et continue, sans périodicité et sans discontinuité.
En général, toutes les causes qui affaiblissent les systèmes de défenses, immunitaire, sont susceptibles de faire apparaître ou d’aggraver le développement du mode réactionnel sycotique, notamment les antécédents d’infections génitales chroniques chez les adultes, les infections à répétition, l’effet iatrogène des thérapeutiques, les agressions toxiques externes.

Luese

Elle se caractérise par une succession d’initiation, d’ulcération et de sclérose. Les pathologies se retrouvent principalement au niveau osseux, vasculaire, de la peau et des muqueuses. Au niveau du squelette, on trouve des asymétries, des dystrophies et une hyperlaxité ligamentaire.
Psychiquement, le sujet type a soit une intelligence vive, soit une arriération mentale. L’étiologie la plus courante est l’alcoolisme.

Psore

Vaste domaine dans lequel Hahnemann regroupait tout ce qui n’appartenait pas aux deux diathèses précédentes (sycose et luese). Dans la psore, le mode réactionnel est caractérisé par une insuffisance des éliminations des déchets par les organes dédiés (foie, rein). L’organe réagit par des troubles où prédominent les affections cutanées (eczémas, gale, psoriasis) et leurs alternances morbides ainsi que les affections respiratoires et digestives.
Chez les psoriques prédominent une tendance aux parasitoses intestinales et cutanées (mycoses superficielles) aux manifestations allergiques et de troubles de thermorégulations.
Les principaux remèdes sont : le thuya, le nitricum acidum, le natrum sulfuricum, le medorrhinusm, les silices et le sépia.

Approche de Léon Vannier

Tuberculisme

Il est caractérisé par une fragilité de l’appareil respiratoire et la sensibilité à l’action du bacille tuberculeux.
Le sujet présente un amaigrissement, une décalcification, de l’asthénie et une émotivité exacerbée. Hypersensible au froid, il a des affections ORL périodiques avec des manifestations subfébriles.
Les principaux remèdes sont : le pulsatill, les silices, le natrum mutriaticum et le calcarea phosphoricum.

Cancerinisme

Il désigne des sujets dont le terrain est favorable au développement d’un cancer, par leur hérédité ou même par les troubles dont ils sont victimes.
Les remèdes sont variés et le rôle de l’homéopathe consiste en une surveillance particulière, sans toutefois alarmer le patient et à drainer les organes déficients (foie, rein, peau, estomac) avec des remèdes adaptés.
Au plan physique, la peau est terne, sensible et sale. Les veines deviennent apparentes, les ongles sont durs et épais. Les fissures se forment à la commissure des lèvres. Les verrues, condylome se multiplient.

Constitutions

D’après Zissu [45] : « La constitution est représentée par un bâti morphologique stable, fait d’un ensemble de caractères morphophysiologiques élaborés au cours de la première partie de la vie et que présente l’individu à l’âge adulte».
La constitution représente donc le patrimoine du sujet ; elle est héréditaire mais remaniée en permanence par les expériences personnelles, pathologiques ou non.
Trois types de sels sont présents, en proportions variables, dans nos tissus : les carbonates, les phosphates et les sels fluorés et la prédominance de l’un ou de l’autre va déterminer un type de constitution.

Constitution carbonique

Morphologie

Le sujet est de type bréviligne, trapu, de large carrure, rigide. Les arcades dentaires supérieure et inférieure, en contact (dents carrées blanches).
Concernant les membres, l’extension forcée de l’avant-bras n’atteint pas une ligne horizontale. Il y a un rapport sensiblement égal des différents segments du corps (développement en largeur, hypolaxité ligamentaire).

Comportement

La démarche est régulière, lourde et lente, la gestuelle sobre, mesurée et lente, les actes réfléchis et précis.
Au niveau psychique, on note une passivité, un rationalisme doublé d’une persévérance à toutes épreuves. Il a le sens de l’ordre et la justice. Toujours en quête de tranquillité, sa trajectoire de vie sera plutôt répétitive.

Pathologie

Obésité, troubles métaboliques (HTA rhumatisme, diabète), pathologie de surcharge, athérosclérose, arthrose. Les principaux remèdes sont : calcarea phosphorica, natrum mutriaticum, sulfur iodatumet phosphorus.

Constitution phosphorique

Morphologie

Sujet grand, longiligne, frêle, souple élancé, aux membres longs et thorax étroit avec hypotonie musculaire, et hyperlaxité ligamentaire, dents jaunes, incisives centrales plus longues que larges, voûte dentaire ogival et ongle en amande cassant.

Comportement

Au plan psychique, il y a une dépendance très marquée vis à vis des sensations fortes, des sentiments, des résonances internes. Le sujet hypersensible, nerveux, émotif intuitif imaginatif, créatif, souvent fatigué, a un coté artistique dominant.

Pathologie

Le sujet est enclin à l’anxiété, à la nervosité, à l’asthénie, à des troubles divers (ORL, respiratoires, pulmonaires, allergiques), à de fréquentes pathologies osseuses, vertébrales en particulier.
Les principaux remèdes sont : le calcarea phosphorica, le natrum mutriaticum,lesulfur iodatum et lephosphorus.

Constitution fluorique

Encore appelée calcarea fluorica, elle est celle où prédomine le phosphate de calcium.

Comportement

Les gestes sont irréguliers, désordonnés, agités. Sujet instable et indécis dans ses actes et ses sentiments, paradoxal. Il a horreur des contraintes et de la discipline avec un sens moral parfois belliqueux. Son intellect est discutable, parfois très brillant ou à l’inverse un vide intellectuel.

Pathologie

Tableau présentant kystes, fibromes, chéloïde, fréquence de pathologies articulaires (entorse facile, arthrose, varices anévrysmes), tendance aux perversions sexuelles et mentales.
Les principaux remèdes sont : le calcarea fluorica, le mercurius, argentum, le nutricum et lebaryta carbonisa.

Constitution sulfurique

L’individu est plutôt normoligne, avec une symétrie morphologique lui conférant une allure harmonieuse. Le visage est rectangulaire, les mains sont équilibrées (hauteur des doigts sensiblement égale à celle des paumes), les dents sont carrées, solides, bien blanches et saines.
Le comportement est celui d’un individu raisonnable, marqué par la confiance en soi, le dynamisme et un optimisme contenu.
Au plan pathologique : manifestations congestives (allergie eczémas…), spasmodiques (HTA spasmodique…), suppuratives (furoncles …).
Le principal remède est le sulfure.

Constitutions mixtes

► Sulfo-carbonique : tendance aux remèdes comme hepar sulfur, calcarea sulfurica, natrum sulfuricum.
► Sulfo-phosphorique : tendance a sulfur iodatum, muriaticumetc.
Cette typologie constitutionnelle est une constitution statique, basée sur les éléments minéraux.
On distingue aussi une constitution biochimique dite variable désignée sous le nom de tempérament.

Tempérament

Grauvogl décrit le tempérament sous l’expression « constitution biochimique». Il écrit que L’hydrogène, le carbone, l’oxygène et l’azote, sont des éléments fondamentaux de la cellule organisée et que les autres facteurs entrant dans sa composition chimique ont un rôle secondaire.
Les processus généraux de l’organisme à savoir l’anabolisme, le catabolisme, l’assimilation et la désassimilation sont conditionnés par ces quatre métalloïdes. Par la suite Grauvogl les classifie en trois groupes que sont : les hydrogenoïdes, les oxygénoïdes et les carbonitrogenoïdes.

Tempérament hydrogenoïde

Caractérisé par une abondance d’hydrogène entrainant un trouble métabolique de l’eau, par excès d’eau.
L’hydrogenoïde est reconnaissable a ses infiltrations tissulaires, au prolongement du temps de résorption d’une injection sous cutanée d’eau distillée, au ralentissement général des circulations sanguines et lymphatiques avec tendance aux œdèmes.
Les hydrogenoïdes sont hypersensibles à l’humidité aboutissant à des inaptitudes pathologiques (rhumatisme, cellulites œdèmes).

Tempérament oxygénoïde

Conditionné par un excès de l’influence de l’oxygène dans l’organisme et un excès d’oxygénation du sang. Chez l’oxygénoïde, il existe une suractivité des échanges se traduisant par un ensemble de symptômes caractérisant l’augmentation du métabolisme basal, l’amaigrissement, la déminéralisation, l’hyperthermie. On note agitation, inquiétude et anxiété.

Le tempérament carbonitrogénoïde

Dans cette typologie, il y a excès de carbone et d’azote. Le déficit d’oxygénation entraîne une augmentation de la production ou de la rétention des carbonitrogéniques dans le sang et les humeurs.
L’individu apparait auto-intoxiqué, manifestant divers désordres fonctionnels (hépatiques, digestifs, rénaux, cutanés, circulatoires, nerveux). C’est une sorte d’état allergique ouvrant la voie à toutes les possibilités morbides.
Chaque maladie accomplissant mal son cycle, prend un aspect chronique, évoluant inéluctablement vers une issue fatale : sclérose, hypertension, cancer.
Le sujet est assez instable mentalement avec des périodes d’asthénie alternant avec celles d’hyperexcitabilité.

PATHOGÉNÈSE

La pathogénèse est définie comme : « lamaladie expérimentale provoquée chez un sujet sain et sensible par une substance à doses pondérales » ou « l’ensemble de symptômes engendré par une substance active après administration de celle-ci a un sujet sain, de manière accidentelle ou par expérimentation »
L’ensemble symptomatique spécifique d’une substance sera comparé à l’ensemble symptomatique du malade pour déterminer, en cas de similitude, le remède homéopathique.

Intoxications

Intoxications aigües

Elles ne donnent pas de signes spécifiques mais des signes communs : vomissements, diarrhées puis lésions pouvant être mortelles.

Intoxications chroniques

Lentes et progressives, elles provoquent des symptômes variés et spécifiques de la substance et sont donc plus instructive. La lenteur du processus d’intoxication permet d’observer le développement des signes fonctionnels qui seront soigneusement notés.

Expérimentation chez le sujet sain et sensible

Pour qu’une substance devienne un remède homéopathique, il faut et il suffit qu’elle entraîne un certain nombre de troubles psychosomatiques constants et reproductibles chez les mêmes sujets.
L’expérience se fait de la façon suivante :
► doses sub-toxiques administrées sur plusieurs jours en double insu ;
► observation de toutes les modifications de l’état psycho-somatique (pathogénèse, psycho-pharmacologie expérimentale.
L’observation sera décrite pour chaque substance dans les différentes matières médicales en mettant en exergue les signes subjectifs et psychiques ainsi que les modalités et circonstances d’apparition des symptômes.
Le simillimum sera la substance entraînant tous les mêmes symptômes chez le sujet sain et chez le sujet malade. Il faut donc appréhender la globalité du sujet, avec toutes ses « originalités » : psychisme, sommeil, signes généraux, modalités, désirs ou aversions, transpirations, signes génitaux, constitution, antécédents.

Consultation homéopathique

La consultation homéopathique ne diffère pas, de prime abord, d’une consultation ordinaire, avec examen du malade. Il convient de faire un diagnostic exact de la maladie à soigner avant toute prescription.
L’homéopathie restera fidèle à ses habitudes personnelles et classiques dans l’examen du malade : objet de la visite, étude des antécédents héréditaires et acquis, examen des appareils fonctionnels, enquête très précise sur les conditions de vie, les habitudes alimentaires, les thérapeutiques antérieures anciennes ou récentes, nature et dates des vaccinations ou des sérothérapies antérieures, bilan biologique.

Diagnostic homéopathique

La symptomatologie homéopathique s’évalue ; les praticiens homéopathes parlent de « valorisation » selon certains critères. Le signe se quantifie et cette notion quantitative correspond au nombre de fois où le signe se trouve identifié par les expérimentateurs établissant la pathogénésie.
La quantification s’avère très utile au praticien lors de sa consultation et lui permet ainsi d’avoir un critère déterminant pour l’établissement du diagnostic et le choix du remède, grâce à la recherche dans les répertoires.
Les différents signes sont : le signe étiologique, le psychique, le régional et les signes généraux.

Signe étiologique

Si l’étiologie est considérée par la médecine classique comme l’étude des causes ou conditions d’apparition d’une maladie, pour l’homéopathie elle englobe un domaine beaucoup plus vaste incluant, entre autres paramètres, des facteurs déclencheurs comme les phénomènes météorologiques, les émotions violentes etc.
Signe, le plus important qualitativement, il inclut toutes les causes acquises, physiques et psychiques, exogènes et endogènes, susceptibles d’engendrer et d’expliquer le trouble pathologique. Il s’agit de l’agression bactérienne, virale, parasitaire ou autre. Les causes héréditaires sont inscrites dans le cadre diathésique.
Les étiologies acquises répondront aux questions médicales : pourquoi ?, où ?, depuis quand ? Au total cinq groupes étiologiques se dégagent de la matière médicale homéopathique : les causes climatiques, l’origine traumatique, les intoxications, les perturbations psychologiques et les troubles physiologiques.
Parmi les causes climatiques, le froid sec évoque l’aconit, causticum, hepar sulfur. De nombreux médicaments correspondent à une étiologie où l’humidité est déterminante, plus particulièrement le dulcamaraet le natrum sulfuricumpeuvent être cités.
Avec les intoxications traumatiques, les médicaments tels que l’arnica, le china, l’hypéricum, le natrum sulfuricum, le rhus toxicodendron, et ruta seront utilisés.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : GÉNÉRALITÉS SUR L’HOMÉOPATHIE
CHAPITRE I : L’HOMÉOPATHIE
1- Généralités
1.1- Historique
1.2-.Définitions de l’homéopathie
1.3- Utilisation et situation légale dans le monde
2- Fondements de l’homéopathie
2.1- Loi de similitude
2.2- Loi d’infinitésimalité et dynamisation
2.3- Principes de globalité (ou de totalité) et individualisation
CHAPITRE II : NOTION DE TERRAIN
1- Diathèses
1.1- Travaux de Hahnemann
1.1.1- Sycose
1.1.2- Luese
1.1.3- Psore
1.2- Approche de Léon Vannier
1.2.1- Tuberculisme
1.2.2- Cancerinisme
2- Constitutions
2.1- Constitution carbonique
2.1.1- Morphologie
2.1.2- Comportement
2.1.3- Pathologie
2.2- Constitution phosphorique
2.2.1- Morphologie
2.2.2- Comportement
2.2.3- Pathologie
2.3- Constitution fluorique
2.3.1- Morphologie
2.3.2- Comportement
2.3.3- Pathologie
2.4- Constitution sulfurique
2.5- Constitutions mixtes
3- Tempérament
3.1- Tempérament hydrogénoïde
3.2- Tempérament oxygénoïde
3.3- Tempérament carbonitrogénoïde
CHAPITRE III : PATHOGÉNÈSE
1- Intoxications
1.1- Intoxications aigües
1.2- Intoxications chroniques
2- Expérimentation chez le sujet sain et sensible
CHAPITRE IV : SEMIOLOGIE
1- Consultation homéopathique
2- Diagnostic homéopathique
2.1- Signe étiologique
2.2- Signe psychique
2.3- Signes généraux
2.3.1- Modalité
2.3.1.1- Modalités ambiantes
2.3.1.2- Modalités physiologiques
2.3.1.3- Modalités psychiques
2.3.1.4- Modalités de dispositions
2.3.1.5- Modalités de dispositions
2.4- Signe régional
CHAPITRE V : MEDICAMENTS HOMEOPATHIQUES
1- Origines
1.1- Les souches d’origine végétale
1.2- Souches d’origine animale
1.3- Souches d’origine minérale
1.4- Souches d’origines biochimique et synthétique
2- Fabrication
2.1- Dilution
Dynamisation de Semen Korsakov
2.2- Trituration
3- Formes pharmaceutiques en homéopathie
3.1- Formes solides
3.2- Formes liquides
3.3- Formes semi-solides
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
EVALUATION DE LA DISPONIBILITE ET DE LA DISPENSATION DES MEDICAMENTS HOMEOPATHIQUES DANS LES OFFICINES PRIVEES DE PHARMACIE DE GUÉDIAWAYE, DE HANN, DES PARCELLES ASSAINIES ET DE PIKINE
CHAPITRE 1 : CONTEXTE, OBJECTIFS ET METHODOLOGIE
1- Contexte de l’étude
2- Objectifs
3- Cadre d’étude
4- Méthodologie
4.1- Critère de choix des établissements
4.2- Moyens d’étude
4.3- Collecte et analyse des données
CHAPITRE 2 : PRÉSENTATION DES RÉSULTATS
1- Résultats pour le secteur de Guédiawaye
1.1- Disponibilité de produits homéopathiques
1.2- Types et formes galéniques commercialisées
1.2.1- Types de produits
1.2.2- Formes commercialisées
1.3- Sources d’approvisionnement
1.4- Gestion des stocks
1.4.1- Type de commandes
1.4.2- Nombre et périodicité des commandes
1.4.3- Taux de rupture des stocks
1.5- Part des produits homéopathiques dans le chiffre d’affaire
2- Résultats pour le secteur de Hann – Bel Air
2.1- Disponibilité de produits homéopathiques
2.2- Types et formes galéniques commercialisées
2.2.1- Types de produits
2.2.2- Formes commercialisées
2.3- Sources d’approvisionnement
2.4- Gestion des stocks
2.4.1- Type de commandes
2.4.2- Nombre et périodicité des commandes
2.4.3- Taux de rupture des stocks
2.5- Part des produits homéopathiques dans le chiffre d’affaire
3- Résultats pour le secteur des Parcelles Assainies
3.1- Disponibilité de produits homéopathiques
3.2- Types et formes galéniques commercialisées
3.2.1- Types de produits
3.2.2- Formes commercialisées
3.3- Sources d’approvisionnement
3.4- Gestion des stocks
3.4.1- Type de commandes
3.4.2- Nombre et périodicité des commandes
3.4.3- Taux de rupture des stocks
3.5- Part des produits homéopathiques dans le chiffre d’affaire
4- Résultats pour le secteur de Pikine
4.1- Disponibilité de produits homéopathiques
4.2- Types et formes galéniques commercialisées
4.2.1- Types de produits
4.2.2- Formes commercialisées
4.3- Sources d’approvisionnement
4.4- Gestion des stocks
4.4.1- Type de commandes
4.4.2- Nombre et périodicité des commandes
4.4.3- Taux de rupture des stocks
4.5- Part des produits homéopathiques dans le chiffre d’affaire
CHAPITRE 3 : PRÉSENTATION DES RÉSULTATS
1- Collaboration des établissements enrôlés
2- Disponibilité de produits homéopathiques
3- Types et formes galéniques commercialisées
4- Sources d’approvisionnement
5- Flux des stocks
6- Part des produits homéopathiques dans le chiffre d’affaire
CONCLUSION 
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 
ANNEXES

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