Généralités sur les ixodidae et bio-écologie

Concernant l’historique des tiques des bovins et leur distribution géographique, les premières investigations ont été menées durant la période allant de 1922 à 1945 par une équipe de chercheurs de l’Institut Pasteur d’Alger (Senevet, 1922a, 1922b ; Senevet et Rossi, 1924 ; Sergent et al, 1936 ; Sergent et al, 1945). Les travaux de Senevet (1922a, 1922b) et Senevet et Rossi (1924) nous renseignent sur les espèces présentes ainsi que leurs distributions.

Ces publications indiquent la présence de 9 espèces et 5 sous espèces collectées dans des zones d’élevage bovin du Nord de l’Algérie. Il s’agit de Haemapysalis punctata, Hyalomma syriacum, Hyalomma lusitanicum, Hyalomma lusitanicum algericum, Hyalomma lusitanicum berberum, Hyalomma mauritanicum, Hyalomma mauritanicum anatolicum, Hyalomma aegyptium, Hyalomma aegyptium impressum, Hyalomma aegyptium dromedarii, Ixodes ricinus, Margaropus calcaratus, Rhipicephalus bursa, et Rhipicephalus sanguineus. Toutefois, les taxons désignés ont été révisés et la dénomination actuelle admise pour les tiques Ixodidae Koch, 1844 ne concerne que les espèces suivantes avec leur synonymie indiquée entre parenthèses :

– Haemaphysalis punctata, (Canestrini et Fanzago, 1877)
– Hyalomma aegyptitum (Linné, 1758)
(= Hyalomma syriacum) (Koch, 1844)
– Hyalomma anatolicum (Koch, 1844) ; ( Guglielmone et al. 2009 ; 2010)
(= Hyalomma anatolicum excavatum) (Koch, 1844)
(= Hyalomma lusitanicum) (Koch, 1844)
(= Hyalomma lusitanicum algericum), (Senevet, 1922)
– Hyalomma excavatum (Koch, 1844) ; ( Gugliemone et al.,2009 ; 2010)
(= Hyalomma anatolicum excavatum) (Hoogstraal et Kaiser, 1959)
(= H lusitanicum) (Senevet, 1928)
(=H lusitanicum algericum), (Senevet, 1922)
– Hyalomma lusitanicum (Koch, 1844)
(= Hyalomma lusitanicum berberum),
– Hyalomma scupense (Schulze, 1919)
(=Hyalomma detritum detritum) (Schulze, 1919)
(= Hyalomma mauritanicum), (Senevet, 1922; Sergent, et al., 1945)
– Hyalomma impeltatum (Schulze et Schlottke, 1930)
(= Hyalomma mauritanicum annulatum),
– Hyalomma marginatum marginatum (Koch,1844) =H.marginatum
(Pomerantzev, 1946)
(= Hyalomma aegyptium aegyptium)
(= Hyalomma aegyptium impressum) (Panzer, 1795; Koch, 1844; Pomerantzev,
1946)
(=H. plumbeum), (Panzer, 1795)
– Hyalomma dromedarii (Koch, 1844)
(= Hyalomma aegyptium dromedarii) (Neumann, 1901)
– Ixodes ricinus (Linné, 1758)
(= Acarus ricinus Linné, 1758),
– Rhipicephalus annulatus (Say, 1821) (= Boophilus annulatus)
(= Margaropus calcaratus), (Neumann, 1911)
– Rhipicephalus sanguineus (Latreille, 1806)
(= Rhipicephalus turanicus) ( Pomerantzev et al,, 1940) .

Depuis l’indépendance de l’Algérie, la communauté scientifique n’accorda aucun intérêt à l’étude des tiques. Ce n’est que dans les années 80 que les premiers travaux apparurent au niveau de l’Institut des sciences vétérinaires de l’université de Constantine (Boutaleb, 1982 ; Touati, 1982 ; Haddad, 1985). D’autre part, les travaux de Yousfi-Monod et Aeschlimann (1986) sur la dynamique saisonnière des tiques du bétail étaient limités à une collecte de tiques au niveau du marché à bestiaux de la ville d’Oran. Sur une échelle plus grande, nos récentes investigations portant sur la biodiversité de la faune ixodienne dans 13 zones bio-géographiquement différentes (Nord-Est et Sud Algérie), nous ont permis de recenser 15 espèces et 6 genres (Meddour-Bouderda, Morel et Meddour, 1999b ; Meddour-Bouderda , 2000 ; Meddour-Bouderda et Meddour, 2006). D’autres travaux sur les tiques ont été effectués dans la région de Tiaret (Boulkaboul, 2003) et dans la zone de Jijel (Benchikh-Elfegoun et al. (2007) portant sur la cinétique saisonnière. Toutefois, l’identification des tiques établie par ces auteurs s’est faite sur la base d’anciennes clés de diagnose (Senevet, 1922a ; Sergent et al., 1945). Dans le Sud algérien, les travaux de Bouhous et al. (2008), se référant au manuel d’identification de Walker et al.(2003), ont concerné les Ixodidae parasites du dromadaire Camelus dromedarius. Au niveau de l’institut vétérinaire d’El-Tarf, plusieurs travaux ont concerné la bio écologie des tiques des bovins (Ghedjatti, 2006 ; Dahmani, 2006 ; AnbiAhmed, 2007; Mamine et Gharbi, 2007 ; Boughambouz, 2007). Ces auteurs ont établi leur diagnose sur la base des clés dichotomiques de Morel (1969, 1976), Bouattour (2002) et/ou Estrada-Penã et al. (2004).

Au niveau de l’Université Badji Mokhtar Annaba, plusieurs travaux ont concerné la biodiversité de la faune Ixodienne dans les régions de Oued Zenati, Tebessa, Annaba, et El-Tarf (Benmamar, Goutal et Boutarfa, 2003 ; Bouaziz et Chader, 2005), l’inventaire des tiques dans le massif montagneux de Séraidi (Madaoui, 2009), le parasitisme des formes immatures d’Ixodes ricinus sur lézards (Bouslama et al., 2009 ; Soualah-Alila et al., 2015) ou d’Ixodes vespertilionis sur la chauve-souris Myotis punicus (Bendjeddou et al., 2016). Actuellement l’institut Pasteur d’Alger concentre particulièrement des recherches sur Ixodes ricinus vecteur de germes pathogènes.

A l’exception des travaux anciens de Senevet (1922b) sur les caractères morphologiques du genre Hyalomma, aucune étude n’a été élaborée en Algérie sur la systématique des Ixodidae. Devant cette lacune concernant l’identification des tiques parasites du bétail, et vu l’ampleur du champ d’investigation, nos investigations dans la réalisation de cette thèse ont favorisé l’opportunité d’y remédier par l’établissement d’une clé d’identification des Ixodidae d’Algérie déjà publiée (Meddour-Bouderda et Meddour, 2006) .

Systématique

Nous avons adopté la plus récente revue des noms valides d’espèces de tiques disponibles dans la littérature (Kolonin, 2009 ; Guglielmone et al., 2009, 2010 ; Madder et al., 2010) :

Phylum Arthropoda Latreille, 1829
Sous-Phylum Chelicerata Heymons, 1901
Classe Arachnida Cuvier, 1812
Sous-Classe Acari Leach, 1817
Ordre Parasitiformes Reuter, 1909
Sous-Ordre Ixodida Leach, 1815
(Synonyme = Metastigmata Canestrini, 1891)
Famille Ixodidae Leach, 1815

Pour Hoogstraal et Aeschlimann (1982), les Ixodidés sont divisés en Prostriata lorsque le sillon anal contourne l’anus vers l’avant (ex : genre Ixodes) et en Métastriata lorsqu’il est en arrière de l’anus ou quand ce sillon est absent. La phylogénie proposée par ces derniers auteurs (Fig.1) présente une vieille systématique et un dénombrement qui ont été révisés.

La famille Ixodidae concerne les tiques dures. Plus de 800 espèces ont été décrites (Madder et al., 2010). Selon Guglielmone et al., (2010), 12 genres sont actuellement admis:
– Amblyomma (Koch, 1844)
– Anomalohimalaya Hoogstraal, Kaiser et Mitchell, 1970
– Bothriocroton Keirans, King et Sharrad, 1994
– Cosmiomma (Schulze, 1919)
– Dermacentor (Koch, 1844)
– Haemaphysalis( Koch, 1844)
– Hyalomma (Koch, 1844)
– Ixodes (Latreille, 1795)
– Margaropus (Karsch, 1879)
– Nosomma (Schulze, 1919)
– Rhipicentor (Nuttall et Warburton, 1908)
– Rhipicephalus (Koch, 1844).

En Algérie, nos travaux sur les tiques (Meddour-Bouderda, 2000 ; MeddourBouderda et Meddour, (2006) répertorient la présence de 6 genres : Ixodes, Boophilus, Haemaphysalis, Hyalomma, Rhipicephalus, et Dermacentor. Bien que certaines autorités scientifiques considèrent toujours Boophilus comme étant un genre valide, les récentes révisions taxonomiques (Guglielmone et al., 2009 ; Labruna et al., 2009; Guglielmone et al., 2010) l’ont relégué au statut de sousgenre de Rhipicephalus. Ainsi, Boophilus annulatus, originellement décrite comme Margaropus calcaratus, est désormais considérée comme étant Rhipicephalus annulatus (Say, 1821). Dans le genre Hyalomma, nos inventaires (Meddour-Bouderda, 2000 ; Meddour-Bouderda et Meddour, 2006) indiquent la présence de Hyalomma anatolicum excavatum alors qu’il s’agit en fait de deux espèces reconnues actuellement distinctes H.anatolicum (Koch, 1844) et H.excavatum (Koch, 1844), par Guglielmone et al. (2009 ; 2010). De plus, le statut de Hyalomma detritum (Schulze, 1919) a été révisé sous une nouvelle appellation Hyalomma scupense (Schulze, 1919) par Guglielmone et al. (2009 ; 2010).

Morphologie des Ixodidae 

Les tiques acariens ou Ixodidae présentent des caractéristiques communes qui les opposent aux autres Arachnides :
● Le corps est globuleux, sans limites nettes entre parties antérieure et postérieure mais avec une différenciation d’un capitulum (Gnathosoma) du reste du corps (Idiosoma),
● Ils ne possèdent pas de poumons,
● Ils sont pourvus de six paires d’appendices (les chélicères, les pédipalpes et quatre paires d’appendices locomoteurs).

Les tiques ont également quelques différences d’ordres morphologique et biologique par rapport aux autres acariens:
● La grande taille, 3 à 6 mm chez les adultes (Bourdeau, 1993a)
● L’existence d’une cuticule souple extensible, susceptible de croissance lors de la réplétion,
● La présence d’un rostre ou hypostome en relation avec la longue fixation sur leurs hôtes,
● La présence de terminaisons sensorielles chémoréceptrices encloses dans une capsule du tarse de la 1ère paire de pattes (Organe de Haller).

Morphologie des stases adultes mâles 

Face dorsale 

La partie antérieure du corps communément appelée “fausse tête » ou Capitulum comprend:
● L’hypostome : organe central, piqueur, muni de denticules dont le nombre sert à la diagnose (3/3, 4/4) est plus visible ventralement.
● Les chélicères : formées de lames dentées, servent à la perforation de la peau de l’hôte.
● Les pédipalpes : organes tactiles, pairs, latéraux, constitués de 4 articles.

L’ensemble inséré sur la base du capitulum (basi capituli) forme l’organe de fixation de la tique sur l’hôte. La forme, la couleur, la longueur relative des pièces constituant le capitulum, sont utilisées du point de vue systématique pour la détermination des genres. La partie postérieure ou corps proprement dite (idiosoma) peut être de forme variée (ronde, ovale, sub-ovale). Il est plat chez le mâle non repu et comprend le conscutum ou écusson dorsal ou scutum. Il est fortement sclérifié et s’étend entièrement sur la surface dorsale. La coloration du scutum varie selon les espèces. Elle peut être jaune, marron, brune ou noire. (Meddour-Bouderda, 2000)

Antérieurement le scutum porte les sillons scapulaires et cervicaux, un champ cervical, marqué ou pas de ponctuations et ornementations (soies, poils, stries) qui représentent les caractères servant à distinguer les espèces de tiques les unes des autres. (Meddour-Bouderda, 2000) Latéralement sur les bords antérieurs de l’écusson, se situent les yeux plats ou hémisphériques logés dans des orbites qui par leur présences dans certains cas (Hyalomma, Rhipicephalus, Dermacentor) ou leur absences dans d’autres (Ixodes, Haemaphysalis) permet de distinguer les divers genres. (Meddour-Bouderda, 2000) Parallèlement à la limite latérale du scutum, on remarque la présence de sillons marginaux, plus ou moins profonds, marqués ou non par une série de ponctuations, dont la longueur et la profondeur respectives présentent un critère systématique qui oriente dans la diagnose des espèces (ex : genre Hyalomma). La partie dorsale et postérieure du corps présente les sillons paramédians et postéro-médian qui sont garnis ou dépourvus de ponctuations ;bien délimités ou fusionnés avec une zone claire centrale ou d’une couleur uniforme marron ou jaune paraissant courts ou plutôt longs. (Meddour-Bouderda, 2000) Ces observations sont aussi importantes dans la diagnose des espèces du genre Hyalomma. A l’extrémité postérieure du corps, on note la présence des festons chez plusieurs genres. Le feston médian peut être orné de ponctuations ou pas, bien délimité ou pas, bien net ou pas, décoloré comme pour Hyalomma scupense (=Hyalomma detritum detritum). Cette zone festonnée, quand elle existe, nous renseigne sur la différenciation des espèces surtout du genre Hyalomma. (Meddour-Bouderda, 2000) .

Face ventrale

Au niveau de la partie antérieure, le capitulum présente les mêmes caractéristiques qu’en vue dorsale. L’hypostome et le 4ème article des palpes sont bien apparents. De chaque côté du corps se trouvent les coxae qui portent les articles des pattes. Elles sont numérotées de 1 à 4 d’avant en arrière. (MeddourBouderda, 2000) L’intérêt taxonomique des coxae repose sur la taille et la longueur des épines selon les espèces. Les coxae 1 portent ou non des épines de tailles différentes et de longueurs proportionnelles suivant les espèces avec parfois un prolongement antérieur plus au moins développé comme dans le genre Ixodes. Chez les mâles de Dermacentor marginatus, la 4ème coxa est bien plus grande que les autres. (Meddour-Bouderda, 2000) Un autre critère à considérer impérativement concerne la coloration des pattes qui peut être uniforme claire jaune, marron ou marbrée, déterminant la reconnaissance des genres et des espèces. Les pattes sont constituées de plusieurs articles ; coxa, trochanter, fémur, tibia, protarse et tarse qui se continuent par l’ambulacre munit de deux griffes et d’une ventouse ou pulville. (MeddourBouderda, 2000) Sur le tarse de la 1ère paire de pattes, se localise l’organe sensoriel ou organe de Haller. En arrière de la coxa 4, et en position ventro latérale et de chaque côté du corps se trouvent les stigmates ou péritrèmes qui correspondent aux ouvertures extérieures du système respiratoire. Selon les espèces, la forme des stigmates peut être ovale, ronde, ovoïde ou en virgule. (Meddour-Bouderda, 2000) Entre les coxae de la 1ère et la 2ème paire de pattes, se présente le gonopore qui est entouré par le sillon génital. L’anus se situe sur la ligne médiane en dessous de la 4ème paire de coxae. Il est accompagné d’un sillon soit antérieur (sillon périanal), soit postérieur (sillon post anal), soit absent (Rhipicephalus annulatus). Dans la région postérieure, on note chez les mâles 1’existence de plaques sclérifiées paires ou écussons qui par leur absences chez certains genres (Dermacentor, Ixodes, Haemaphysalis), leur dispositions chez d’autres (Hyalomma, Rhipicephalus, Rhipicephalus annulatus), permettent de différencier les genres et les espèces (Meddour-Bouderda, 2000).

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Chapitre 1 GÉNÉRALITÉS SUR LES IXODIDAE ET BIO-ÉCOLOGIE
1. Introduction
2. Systématique
3. Morphologie des Ixodidae
3.1. Morphologie des stases adultes mâles
3. 2. Morphologie des stases adultes femelles
3. 3. Morphologie des stases immatures
4. Anatomie interne des Ixodidae
4.1. Musculature
4.2. Tube digestif
4.3. Glandes salivaires
5. Biologie des Ixodidae
5.1. Cycle évolutif
5.1.1. Types de cycles
5.1.2. Nature et choix des hôtes
5.2. Durée des cycles
5.3. Localisation sur l’hôte
5.4. Accouplement
5.5 Ponte
5.5.1. Production des œufs
5.5.2. Cours de ponte
5.5.3. Facteurs de variations de la ponte
5.5.4. Incubation et résistance des œufs
5.5.5. Mues larvaires et nymphales
6. Ecologie générale des Ixodidae
6.1. Nature des hôtes
6.2. Habitat
6.3. Facteurs écologiques intervenant au cours du cycle
6.3.1. Température
6.3.2. Humidité
6.3.3. Végétation
CHAPITRE 2 BIOLOGIE ET ÉCOLOGIE DES IXODIDAE D’ALGERIE
1. Introduction
2. Les ixodidae dans le Nord-Est de l’Algérie
2.1. Genre Dermacentor (Koch, 1844) Dermacentor marginatus (Sulzer, 1776)
2.2. Genre Hyalomma (Koch, 1844)
2.2.1. Hyalomma aegyptium (Linné, 1758) (=Hyalomma syriacum Koch, 1844)
2.2.2. Hyalomma anatolicum (Koch, 1844) (= H. anatolicum excavatum ; = H. lusitanicum ; = H. lusitanicum algericum)
2.2.3. Hyalomma excavatum (Koch, 1844) (= H. anatolicum excavatum; = H. lusitanicum; = H. lusitanicum algericum)
2.2.4. Hyalomma impeltatum (Schulze et Schlottke, 1930) (= Hyalomma mauritanicum annulatum)
2.2.5. Hyalomma lusitanicum (Koch, 1844) (=Hyalomma lusitanicum berberum)
2.2.6. Hyalomma marginatum marginatum (Koch,1844) (= H. aegyptium aegyptium ; = H. aegyptium impressum, = H. plumbeum)
2.2.7. Hyalomma scupense (Schulze, 1919) (=H. detritum detritum ; = Hyalomma mauritanicum)
2.3. Genre Haemaphysalis (Koch, 1844) Haemaphysalis punctata (Canestrini et Fanzago, 1877)
2.4. Genre Ixodes (Latreille, 1795) Ixodes ricinus (Linné, 1758)
2.5. Genre Rhipicephalus (Koch,1844)
2.5.1. Rhipicephalus annulatus (Say, 1821) (= Boophilus annulatus ; = Margaropus calcaratus)
2.5.2. Rhipicephalus bursa (Canestrini et Fanzago, 1877)
2.5.3. Rhipicephalus sanguineus (Latreille, 1806) (= Rhipicephalus turanicus)
2.5.4. Rhipicephalus turanicus (Pomerantzev & Matikashvili, 1940)
Conclusion
CHAPITRE 3 MATÉRIEL ET MÉTHODES
1. Le choix des zones d’études
1.1. Zone Berrahal
1.1.1. Relief et végétation
1.1.2. Données climatiques
1.1.3. L’élevage bovin
1.2. Zone El Tarf
1.2.1. Relief et végétation
1.2.2. Données climatiques
2. Période d’étude et technique de récolte des tiques
2.1. Période d’étude
2.2. Technique de récolte
2.3. Conservation des tiques
2.4. Identification des tiques
2.5. Eléments de Diagnose
2.6. Découpage du gonopore pour l’identification des femelles Rhipicephalus
2.7. Indices parasitaires
CHAPITRE 4 RÉSULTATS ET DISCUSSIONS
1. Clé d’identification des Ixodidae parasites des bovins
1.1. Détermination des stases d’Ixodidae
1.2. Clé de détermination des genres des Ixodidae adultes
1.3. Clé de détermination des espèces du genre Hyalomma
1.3.1. Hyalomma mâle
1.3.2. Hyalomma femelles
1.4. Clé de détermination des espèces du genre Haemaphysalis
1.4.1. Haemaphysalis mâles
1.4.2. Haemaphysalis femelles
1.5. Clé de détermination des espèces du genre Rhipicephalus
1.5.1. Rhipicephalus mâles
1.5.2. Rhipicephalus femelles
2. Clé d’identification spécifique illustrée des Ixodidae d’Algérie
3. Notions simplifiées pour la détermination des Hyalomma Rhipicephalus mâles et femelles
3.1. Protocoles simplifiés d’identification des Hyalomma mâles
3.2. Détermination spécifique des Hyalomma mâles
3.3. Détermination des Hyalomma femelles
3.4. Détermination des Rhipicephalus mâles
3.5. Détermination des Rhipicephalus femelles
4. Conclusion sur la diagnose spécifique des Ixodidae
5. Espèces identifiées sur bovins dans les zones de Berrahal et El Tarf
5.1. Dénombrement et répartition des tiques dans les deux zones
5.2. Répartition des différentes stases de tiques récoltées
5.3. Localisation des tiques sur l’hôte
5.3.1 Localisations préférentielles sur l’hôte – Zone Berrahal
5.3.2 Localisations préférentielles des espèces sur l’hôte – Zone El Tarf
6. Les indices parasitaires spécifiques
6.1. Indices parasitaires spécifiques – Zone Berrahal (Tab.26)
6.2 Indices parasitaires spécifiques – Zone El Tarf (Tab.27)
7. Distributions des Ixodidae
7.1. Distribution mensuelle de Dermacentor marginatus et Hyalomma dromedarii – Zone Berrahal
7.2. Distribution mensuelle d’Haemaphysalis punctata et Ixodes ricinus
7.3. Distribution mensuelle d’Hyalomma lusitanicum
7.4. Distribution mensuelle d’Hyalomma anatolicum
7.5. Distribution mensuelle d’Hyalomma excavatum
7.6. Distribution de Hyalomma impeltatum
7.7. Distribution de Hyalomma marginatum marginatum
7.8. Distribution de Hyalomma scupense
7.9. Distribution de Rhipicephalus annulatus
7.10. Distribution de Rhipicephalus bursa
7.11. Distribution de Rhipicephalus sanguineus
7.12. Distribution de Rhipicephalus turanicus
8. DISCUSSION
8.1. Dénombrement et répartition des espèces au niveau des deux sites
8.2. Répartition des différentes stases de tiques récoltées
8.3. Localisation des tiques sur les bovins au niveau des deux zones
8.4. Indices parasitaires
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
Références

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