Géneralites sur les antalgiques et les anti-inflammatoires

CARACTERES BOTANIQUES

Aphania senegalensisest un arbuste de 5 à 10 m de haut, à fût court droit très branchu et à cime dense serrée et ovoïde (Cayor) ou ample et étalée (Casamance). L’écorce est grise et rugueuse.
Les feuilles alternes sont facilement identifiables à leurs deux paires de folioles opposées, la première étant insérée très près du rameau. Les folioles elliptiques font 8-15 cm de long sur 3-6 cm de large. Les jeunes rameaux ont une pubescence roussâtre.
Les inflorescences sont en panicules verdâtres terminales. Les boutons floraux sontglobuleux, vert glabres, très courtement pédicellés et articulésprès du rachis. Leurs fleurs sont petites, verdâtres et à sépales ciliés. Elles renferment 7 à 8 étamines à filets velus et un ovaire à deux carpelles coalescents.
Les fruits disposés en grappes sont ovoïdes de1 à 2 cm de long, rouges à maturité. Parfois elles sont accolées par deux, mais avec fréquemment un carpelle avortéà la base. La pulpe est fine (0,3 à 0,5 mm). Elle entoure un grosnoyau. L’endocarpe est cassant et renferme une amende blanchâtre entourée d’un épisperme marron. Les fruits mûrissent d’avril à juin. (fig. 1 et fig. 2)

REPARTITION GEOGRAPHIQUE

C’est un arbuste présent sur toute la façadeatlantique, de Saint-Louis à Ziguinchor. Cependant, il est très commun dans le Cayor, plus disséminédans le Sine, les îles du Saloum et la Casamance maritime. De même, il se trouve fréquemment dans les Niayes et affectionne les terrains humides, les bords des rivières et les galeries forestières de la Casamance. On le trouve aussi, mais plus rarement, dans les galeries soudaniennes, les ravins et éboulis du Sénégal oriental, les rebords de carapaces ferrugineuses.

TRAVAUX SUR LAPHARMACOLOGIE CHEVALIER [5], signale la présence dans la graine d’une saponine douée d’un pouvoir

hémolytique assez important. Chez l’animal delaboratoire, elle agit comme destructeur de la vitalité cellulaire des tissus avec lesquels elle se trouve en contact. Une solution desaponine à 1 % appliquée sur un muscle strié provoque rapidement une rougeur et des contractions persistantes puis une inexcitabilité aboutissant à la paralysie si la dose est élevée. Sur l’intestin, elle entraîne des lésions importantes avec unecongestion généralisée et un épaississement de la muqueuse.

TOXICITE

En 1895, le Père SEBIRE [20] écrivait : « Lecerisier du Cayor croît un peu partout. Le fruit a une saveur douce, vineuse,assez agréable, mais la graine et les feuilles tuent les moutons et les chevaux qui en mangent… Les hommes qui mangent beaucoup de noyaux sont comme enivrés et peuvent en mourir. Le lait en serait lecontrepoison ».
Selon KERHARO [14], la grandetoxicité des graines de Aphania senegalensis est unanimement signalée. On déplore les morts d’enfants et d’animaux après consommation et on les juge d’autant plus dangereuses que lefruit qui le contient (la cerise du Cayor) est comestible et à même une saveur très agréable, malgréune légère astringence.
En raison des intoxications dues à la plante, certains envisageaient la destruction pure et simple de l’espèce. Mais en 1909, un rapport rédigé par TEPPAZ, suite à des expériences faites sur les animaux, conclut que :
– les fruits sont toxiques à l’exclusion des autres parties comestibles de l’arbre (feuilles, jeunes branches).
– la partie toxique du fruit est l’amande. La pulpe, la coque et l’épiderme de l’amande ne jouent aucun rôle dans les intoxications.
– le principe toxique n’est pas l’acide cyanhydrique comme l’ont soupçonné les botanistes.
Ce serait très probablement un alcaloïde qui se combine à chaud seulement avec l’acide sulfurique pour former un sel soluble dansl’eau. Cet alcaloïde existe en quantité relativement considérable puisqu’il suffit de 100 g d’amandepour tuer un animal par voie digestive et de l’extrait 50 à 60 g par voie sous cutanée ou intra péritonéale [14].
La même année, CHEVALIER [5] montre que les graines renferment 1 % de saponine.
Cette saponine est très altérable et perd facilement une partie de ses propriétés toxiques lorsqu’elle est extraite à une température trop élevée.

EMPLOIS DE LA PLANTE FEUILLES

L’infusion des feuilles avec du beurre est donnée, à ceux qui sont tombés des arbres, pour faire circuler le sang [20].
La décoction de feuilles est utilisée en lotion pour les blessures [8]. Les Wolofs et les Lébous reconnaissent aux feuilles des propriétés vulnéraires (décocté de feuilles en bain et aussi en boisson après contusions, chutes, accidents divers). En Casamance, le macéré de feuilles pilées est donné aux enfants comme vermifuge [14].

ECORCES

Les Sérères Niominkas prescrivent le décocté d’écorces de tronc, de rameaux feuillés et de pulpe de baobab en boisson dans les cas de bronchites et de broncho-pneumonies [14].
En Casamance, le macéré d’écorces, administré en boisson et en bain, est considéré comme préventif et curatif des morsures de serpents et est également prescrit comme préventif antimigraineux [14].

BOIS

Le bois est brun gris avec des veines sombres. Il ressemble au noyer en apparence et en qualité. Léger et souple, il convient au tour. Il est aussi utilisé pour faire des pagaies [8].

GENERALITES SUR LES ANTALGIQUES ET LES ANTIINFLAMMATOIRES

DEFINITION DE LA DOULEUR

La douleur est une sensation d’inconfort et de malaise qui entraîne l’éveil et la focalisation de l’attention sur le point algogène. Elle peut apparaître à la suite d’une inflammation, d’une infection locale, d’une contracture musculaire, d’un spasme vasculaire ou d’une atteinte cancéreuse [7].
Selon la définition de l’International Association for the Study of Pain (IASP), la douleur est « une expérience sensorielleet émotionnelle désagréable liée à des lésions tissulaires réelles ou potentielles ou décrites en des termes évoquantde telles lésions ».
La douleur est un symptôme subjectif commun à de nombreuses pathologies et omniprésent lors de la fin de vie des patients. La subjectivité de ce symptôme le rend inaccessible à une évaluation directe par autrui et donc difficile à appréhender et à quantifier par le thérapeute [3].
On peut caractériser la douleur par son profil évolutif:
• la douleur aiguë: c’est un symptôme, une sensation déclenchée par le système nerveux pour alerter l’ensemble de l’organisme et évoluant depuis moins de troismois.
• la douleur chronique: au delà de trois à six mois, la douleur persistante et rebelle aux traitements usuels est dite chronique.
Pour conduire son traitement, la douleur doit être considérée comme un phénomène complexe revêtant un aspect multidimensionnel (sensoriel, affectif émotionnel, cognitif et comportemental). La douleur peut aussi secatégoriser en utilisant les informations apportées par la neurophysiologie :
• douleurs par excès de nociception : dues à des lésions des tissus périphériques provoquant un excès d’influx douloureux dans le système nerveux, il y a une stimulation excessive des nocicepteurs périphériques. Correspond aux douleurs habituelles des brûlures, des traumatismes, des suites d’une opération et d’un grand nombre de maladies, entraînant soit des douleurs aiguës (pathologies postopératoires, traumatiques, infectieuses, dégénératives), soit des douleurs chroniques (pathologies lésionnelles persistantes plus ou moins évolutives).
• douleurs neurogènes: dues à des lésions du système nerveux en amont des nocicepteurs périphériques, que ce soit au niveau périphérique (exemple : section d’un nerf, zona, neuropathiediabétique) ou central (exemple : traumatisme médullaire, infarctus cérébral). Ces douleurs peuvent se manifester en l’absence de tout stimulus, spontanément, elles sontalors permanentes, ou par un stimulus normalement non douloureux ou peu douloureux mais perçu de façon exagérée.
• douleurs psychogènes: regroupent toutes les douleurs que l’on ne sait pas classer dans une des deux catégories précédentes. Ce sont des douleurs sans lésions apparentes, malgré un bilan médical approfondi. Il semble probable que desphénomènes psychiques amplifient cette sensation douloureuse.

LES ANTALGIQUES

LES PALIERS DE L’ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE (O.M.S.)

L’O.M.S. a proposé de classer les antalgiques en trois paliers ou niveaux. Cette échelle permet une hiérarchie des analgésiques en fonction de leur niveau de puissance et de leurs rapports avantages inconvénients.
• Niveau 1 : Analgésiques non morphiniques, appelés aussi, à tort, analgésiques périphériques ou mineurs. Ils sont représentés par le paracétamol, l’aspirine et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
• Niveau 2 :Agonistes morphiniques faibles. Leniveau 2 est constitué par des associations entre analgésiques de niveau 1 et analgésiques morphiniques faibles: dextropropoxyphène et codéine.
• Niveau 3 :Regroupement des agonistes morphiniques forts (morphine, péthidine, dextromoramide) et des agonistes antagonistes (pentazocine et nalbuphine). On distingue le niveau 3a quand les agonistes morphiniques fortssont administrés par voie orale et le niveau 3b quand ils le sont par voie parentérale ou centrale [21].

Mécanisme d’action

Ces médicaments ont la particularité d’agir au niveau du siége de la douleur. Ils réduisent la synthèse des prostaglandines par inhibition des cyclo-oxygénases (COX1et COX2). Les prostaglandines sensibilisent les nocicepteurs aux médiateurs algogènes (histamine, sérotonine, bradykinine) qui sont libérés lors d’une lésion tissulaire.
Le blocage de la biosynthèse prostaglandines explique l’activité anti-inflammatoire et antipyrétique de certaines analgésiques périphériques : c’est le cas de l’acide acétylsalicylique et les dérivés du para-amiphénol.

L’aspirine

L’aspirine inhibe de façon irréversible les cyclo-oxygénases périphériques et centrales. A visée antalgique elle est utilisée à la dose de 2 à 3 g par 24 heures chez l’adulte, dose au delà de laquelle l’action anti-inflammatoire de l’aspirine s’exprime. A des doses très faibles(160 à 300 mg par jour), l’aspirine a un effet anti-agrégant plaquettaire utilisé dans lespathologies cardio-vasculaires [21].

LES ANTALGIQUES DE NIVEAU 3

Ce sont les antalgiques les plus puissants. On les utilise dans les douleurs sévères et dans les douleurs d’origine cancéreuse. Les antalgiques morphiniques doivent leurs propriétés àla mise en jeu de cinq types de récepteurs morphiniques : mu, delta, êta, sigma et kappa. Lapluralité fonctionnelle de ces récepteurs et la disparité des interactions ligands récepteursfont qu’on distingue 3 catégories de produit : les agonistes purs (complets ou partiels), les agonistes mixtes ou agonistes antagonistes et les antagonistes purs.

Agoniste pur et complet

la morphine

Alcaloïde de l’opium, utilisée depuis très longtemps, la morphine est la substance de référence du groupe des antalgiques morphiniques. Elle possède une structure penta cyclique dont la substitution de certains radicaux conduit à des dérivés naturels (codéine) ou à des dérivés synthétiques comme la péthidine, le Dextromoramide et le Fentanyl. Son risque toxicomanogène ne doit en rien retarderla mise en oeuvre dutraitement chez le patient qui souffre [22].
La prescription de la morphine est justifiée encas de douleurs intenses aiguës (infarctus du myocarde…) et en cas de douleurs chroniques non soulagées par les antalgiques de niveau Iet II de L’O.M.S. Si l’indication préférentielle de la morphine est la douleur cancéreuse, elle ne doit pas être réservée aux cancéreux en fin devie. La morphine existe sous deux formes: le chlorhydrate de morphine etle sulfate de morphine [21].Ces effets indésirables se manifestent essentiellement par les signes suivants : la constipation, les nausées et vomissements, ladépression respiratoire, la sédation et la psychodyslepsie.

Autres agonistes purs complets

La Péthidine, DOLOSAL a un effet antalgique un peu moins puissant que celui de la morphine et sa durée d’action est plus courte. C’est le seul morphinique qui possède des propriétés spasmolytiques.

Agonistes partiels et agonistes antagonistes

A l’inverse de la morphine, ils exposent à l’effet plafond (à partir d’un seuil, l’analgésie n’augmente plus avec l’augmentation des doses) et l’administration d’agonistes antagonistes encore appelés agonistes mixtes peut provoquer un syndrome de sevrage chez des patients préalablement traités à la morphine.

Agoniste partiel : la buprénorphine

La buprénorphine, Temgésic est plus puissante que la morphine mais son efficacité thérapeutique est moindre en raison du caractère partiel de l’agonisme.Cependant la liaison de la buprénorphine aux récepteurs m est si forte que la Naloxone, en cas de surdosage, est peu efficace.

Les agonistes antagonistes

La pentazocine (FORTAL ® ) et la nalbuphine (NUBAIN ® )sont des agonistesantagonistes. Ils sont agonistes des récepteurskappa et antagonistes des récepteurs mu.

Antagonistes purs

La Naloxone (NARCAN®)est le type même de l’antagoniste pur spécifique et compétitif des opiacés. Elle ne possède aucune propriété agoniste et son indication préférentielle est le traitement des intoxications aiguës par des opiacés (sauf encas d’intoxication par la buprénorphine où on lui préfère le doxapram) : 0,4 mg par voie intraveineuse puis 0,1 mg par voie intraveineuse jusqu’à la reprise d’une ventilation efficace. Elle est utilisée également dans le diagnostic différentiel de certains comas toxiques.

INFLAMMATION ET MEDICAMENTS ANTI-INFLAMMATOIRES

DEFINITION ET MECANISME DE L’INFLAMMATION

Une inflammation est une réaction de défense immunitaire stéréotypée du corps à une agression : infection, brûlure, allergie… Elle peut se manifester par :
• une rougeur (érythème) : il y a une vasodilatation locale ;
• un gonflement (œdème) ;
• une démangeaison (prurit), une sensation de chaleur ou une douleur qui semble pulser ;
• une altération du fonctionnement de l’organe touché (impotence fonctionnelle), par exemple une difficulté à bouger dansle cas d’une articulation.
Le mécanisme de l’inflammation fait intervenir l’histamine. La vasodilatation locale a pour but d’augmenter la circulation du sang afin d’évacuer les cellules mortes et les toxines (détersion), et d’apporter les éléments nécessaires à la guérison, notamment des globules blancs (lymphocytes) pour combattre les corps étrangers. Ce gonflement local des vaisseaux sanguins provoque la rougeur et la sensation de chaleur, ainsi qu’un épanchement de l’eau du plasma sanguin par osmose vers les tissus, ce qui provoque l’œdème. L’œdème comprime les nerfs alentours et provoque la sensation douloureuse et les démangeaisons.

Effets secondaires

Les effets secondaires d’un traitement par glucocorticoïdes se rencontrent surtout en cas de traitement prolongé (plusieurs semaines, voir plusieurs années). Ils peuvent être empêchés parcertaines précautions (voir paragraphe suivant).
Les effets secondairesprincipaux sont :
• Troubles métaboliques : rétention hydro sodée, hypokaliémie, alcalose, ostéoporose (par augmentation du métabolisme protéiquedans les os), fractures, retard de croissance (enfant), retard de cicatrisation.
• Troubles endocriniens : dérégulation de la synthèse naturelle de glucocorticoïdes à la fin du traitement, troubles du cycle menstruel (règles irrégulières), apparition (ou aggravation) d’une acné, hypertrichose,fragilisation cutanée, ecchymoses.
• Troubles digestifs : aggravation d’un ulcèregastro-duodénal (les glucocorticoïdes augmentent la sécrétion d’acide par l’estomac), hémorragie digestive en cas d’ulcèretrès profond, pancréatite aiguë.
• Troubles psychiques : euphorie, excitation, confusion.
• Aggravation d’états infectieux : réveil du virus de la varicelle (d’où un zona), réveil de tuberculose, réveil de toxoplasmose, mauvaise lutte contre les états viraux engénéral (herpès, hépatite, etc.)

Précautions d’emploi

Les précautions d’emplois sont donc systématiques dans les traitements longs, à dose élevée. Dans ce cas, on prescrit les mesures suivantes :
Régime alimentaire et supplémentations
• régime pauvre en sel et en glucides, riche en protéines
• apports de potassium
• apports de calcium (prévention des fractures)
• apports de vitamine D (même remarque)

Bilan avant de débuter le traitement

Par ailleurs, il convient de toujours rechercher un ulcère (et de le traiter le cas échéant), des troubles psychiatriques, une ménopause, une hypertension (la rétention d’eau et de sodiumliée aux glucocorticoïdes augmente le volume sanguin, et doncla tension), une infection virale ou bactérienne.

Pendant le traitement

• Surveiller la kaliémie (potassium dans le sang), natrémie (sodium dans le sang), le poids, la pression artérielle, l’état cutané, la glycémie, la tolérance et la bonne prise du traitement.
• Les glucocorticoïdes, pour mimer la libération naturelle de leur équivalent non synthétique, doivent être pris en une seule prise, le matin.
• En cas de stress (infection, opération chirurgicale, traumatisme) : une augmentation des doses est indispensable (physiologiquement, ces états introduisent uneaugmentation des hormones surrénaliennes).

Fin du traitement

Afin d’éviter de perturber la synthèse naturelle de glucocorticoïdes par la glande surrénale, il faut toujours arrêter le traitement très progressivement si ce dernier a été prolongé : plusieurs paliers de 8 à 15 jours, en surveillant la fonction surrénaliennepar des testssanguins réguliers.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
I. DESCRIPTION BOTANIQUE ET REPARTITION GEOGRAPHIQUEDE LA PLANTE
I.1. SYNONYME
I.2. NOMS EN LANGUE NATIONALE
I.3. CARACTERESBOTANIQUES
I.4. REPARTITION GEOGRAPHIQUE
II. TRAVAUX REALISES SUR LA PLANTE
II.1. TRAVAUX SUR LA CHIMIE
II.2. TRAVAUX SUR LA PHARMACOLOGIE
II.3. LA TOXICITE
II.4. EMPLOIS DE LA PLANTE
III. GENERALITES SUR LES ANTALGIQUES ET LES ANTIINFLAMMATOIRES
III .1. DEFINITION DE LA DOULEUR
III.2. LES ANTALGIQUES
III.2.1. LES PALIERS DE L’OMS
III.2.2. LES ANTALGIQUES DE NIVEAU 1
III.2.2.1. Mécanisme d’action
III.2.2.2. L’aspirine
III.2.2.3. Les autres AINS employés comme analgésiques
III.2.2.4. Les effets indésirables des AINS et de l’aspirine
III.2.2.5. Le paracétamol
III.2.2.6. Effets indésirables du paracétamol
III.2.3. LES ANTALGIQUES DE NIVEAU 2
III.2.3.1. la codéine
III.2.3.2. le dextropropoxyphéne
III.2.4. LES ANTALGIQUES DE NIVEAU 3
III.2.4.1. agonistes purs et complets
III.2.4.1.1. la morphine
III.2.4.1.2. les autres agonistes purs et complets
III.2.4.2. agonistes partiels et agonistes antagonistes
III.2.4.2.1. agoniste partiel : buprénorphine
III.2.4.2.2. les agonistes antagonistes
III.2.4.2.3. les effets indésirables
III.2.4.3. antagonistes purs
III.2.5. LES MEDICAMENTS ADJUVANTS OU CO-ANALGESIQUES
III.3. INFLAMMATION ET MEDICAMENTS ANTI-INFLAMMATOIRES
III.3.1. DEFINITION ET MECANISME DE L’INFLAMMATION
III.3.2. LES MEDICAMENTS ANTI-INFLAMMATOIRES
III.3.2.1. les glucocorticoïdes
III.3.2.2. les Anti-Inflammatoires Non Stéroïdiens (AINS)
IV. TECHNIQUES D’EXPLORATION DES ACTIVITES ANTALGIQUES ET ANTI INFLAMMATOIRES
IV.1. MODELES D’ETUDE DE L’ACTIVITE ANALGESIQUE
IV.1.1. TEST À L’ACIDE ACÉTIQUE
IV.1.2. RANDALL-SELLITO TEST
IV.1.3. PLAQUE CHAUFFANTE
IV.1.4. PRESSION DE LA QUEUE
IV.1.5. IMMERSION DE QUEUE
IV.1.6. ANTAGONISME PAR LA NALOXONE
IV.1.7. TECHNIQUE D’AMOUR ET SMITH
IV.2. MODELES D’ETUDE DE L’ACTIVITE ANTI-INFLAMMATOIRE
IV.2.1. TEST DE L’ERYTHEME CUTANE AUX UV CHEZ LE COBAYE
IV.2.2. TEST DE PERMEABILITE CHEZ LE LAPIN
IV.2.3. TEST DE GRANULOME A LA CARRAGENINE CHEZ LE RAT
IV.2.4. ŒDEME DE L’OREILLE DE SOURIS A L’HUILE DE CROTON
IV.2.5. ARTHRITE A L’ADJUVANT DE FREUD
IV.2.6. ŒDEME A LA CARRAGENINE SELON WINTER
DEUXIEME PARTIE: ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I: MATERIELS ET METHODES
I.1. MATERIELS
I.1.1.MATÉRIEL VÉGÉTAL
I.1.2. ANIMAUX
I.1.3. MATÉRIELS DE LABORATOIRE
I.1.3.1. matériels utilisés pour le screening chimique et l’extraction
I.1.3.2. matériels et réactifs pour l’étude de l’activité analgésique
I.1.3.3. matériels et réactifspour l’étude de l’activité anti-inflammatoire
I.2. METHODES
I.2.1. EXTRACTION POUR TESTS PHARMACOLOGIQUES
I.2.2. CRIBLAGE CHIMIQUE
I.2.2.1. recherche des hétérosides anthracéniques
I.2.2.2. recherche des hétérosides flavoniques
I.2.2.3. recherche des saponosides
I.2.2.4. recherche des tanins
I.2.2.5. recherche des hétérosides cardiotoniques
I.2.2.6. recherche des alcaloïdes
I.2.3. ESSAIS PHARMACOLOGIQUES
I.2.3.1. étude de l’activité analgésique
I.2.3.2. étude de l’activitéanti-inflammatoire
I.2.4. ANALYSE STATISTIQUE
CHAPITRE II: RESULTATS ET DISCUSSION
II.1. RESULTATS
II.1.1.RENDEMENT DE L’EXTRACTION
II.1.2. RESULTATS DU CRIBLAGE CHIMIQUE
II.1.2.1. résultat de la caractérisation des anthracénes
II.1.2.2. résultat de la caractérisation des flavonoïdes
II.1.2.3. résultat de la caractérisation des tanins
II.1.2.4. résultat de la caractérisation des saponosides
II.1.2.5. résultat de la caractérisation des alcaloïdes
II.1.2.6. résultat de la caractérisation des cardiotoniques
II.1.3. RESULTATS DES ESSAIS PHARMACOLOGIQUES
II.1.3.1. résultat de l’étude del’activité analgésique
II.1.3.2. résultat de l’étude de l’activité anti-inflammatoire
II.2. DISCUSSION
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

Lire le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *