Proventricule
Le proventricule ou ventricule succenturié est situé légèrement à gauche dans la cavité abdominale, ventralement à l’aorte, dorsalement au foie qui l’enveloppe partiellement. C’est un renflement fusiforme (de 3 cm de long en moyenne chez la poule) dont la muqueuse est très riche en glandes à mucus. La paroi interne très épaisse est formée de lobules dont chacun constitue une glande composée radialement à l’axe de l’organe.
Ces glandes en tube se jettent dans un canal commun à plusieurs glandes et se déversent dans la lumière du proventricule au sommet d’une proéminence bien marquée. Elle est alors trèsextensible. Le transit des aliments ne dure que quelques minutes dans le proventricule (ALAMARGOT, 1982).
Gésier
Le gésier est l’organe compact le plus volumineux de la poule (6 à 8 cm de long, avec un poids d’environ 50 g vide et 100 g plein). Il est situé légèrement à gauche dans la cavité abdominale, partiellement coiffé par le foie sur son bord crânial. Le gésier est toujours beaucoup plus caudal qu’on ne se l’imagine ; il est facilement palpable au travers de la paroi abdominale. De forme sphéroïde, il est en communication crânialement avec le proventricule et crânio- médialement avec le duodénum ; sa cavité est sacculaire. Il est très musculeux chez les granivores (la poule) et chez les herbivores (l’oie).
Ces deux muscles principaux s’unissent de chaque côté de l’organe par deux surfaces tendineuses nacrées : les centres tendineux. Les muscles sont peu développés chez les frugivores, les carnivores et les piscivores. L’estomac est alors extensible. Le gésier est rattaché au sternum et à la paroi abdominale par le ligament ventral ou mésentère ventral, au foie par le ligament gastro-hépatique et à la paroi dorsale de l’abdomen par le mésogaster. Il partage longitudinalement la cavité abdominale en deux compartiments ce qui lui a valu parfois le nom « diaphragme vertical » (ALAMARGOT, 1982).
Duodénum
Le duodénum est la portion de l’intestin qui fait suite à l’estomac. Il débute au pylore puis forme une grande anse qui enserre le pancréas. Cette anse est la partie la plus ventrale de l’intestin dans la cavité abdominale. Elle contourne caudalement le gésier et est dorsalement en rapport avec les caeca. Le duodénum reçoit deux ou trois canaux pancréatiques et deux canaux biliaires au niveau d’une même papille. L’emplacement de cette papille marque la fin du duodénum et le début de l’iléon(VILLATE, 2001; ALAMARGOT, 1982).
Jéjunum
Il est divisé en deux parties :
– La partie proximale qui est la plus importante : tractus du Meckel, petit nodule est parfois visible sur le bord concave.
– La partie distale qui s’appelle l’anse supraduodénale (VILLATE, 2001; ALAMARGOT, 1982).
Caecum
Un caecum se présente comme un sac qui débouche dans le tube intestinal à la jonction de l’iléon et du rectum au niveau d’une valvule iléocæcale. Lorsqu’ils existent, ils sont toujourspairs chez les oiseaux, et sont accolés à la partie terminale de l’iléon par un méso. Ils sont enrapport ventralement avec l’anse duodénale et dorsalement avec la portion moyenne de l’iléon. Bien développés chez la poule, ils so nt petits chez le canard, l’oie et absents chez les perroquets, les rapaces diurnes, et les pigeons (VILLATE, 2001; ALAMARGOT, 1982).
Rectum
Le rectum fait suite à l’iléon et débouche dans le cloaque. Le diamètre du rectum est à peine plus grand que celui de l’iléon. À l’inverse des mammifères, le rectum des oiseaux présente des villosités. Le rectum réabsorbe l’eau de son contenu (fèces et urines), ces fonctions lui ont valu parfois le nom de colorectum (ALAMARGOT, 1982).
Glandes annexes du tube digestif
Pancréas
Le pancréas est une glande amphicrine (endocrine et exocrine), compacte, blanchâtre ou rougeâtre, enserrée dans l’anse duodénale. Le pancréas est issu de trois ébauches séparées qui se constituent en deux lobes (un lobe ventral et un lobe dorsal). Le suc pancréatique se déverse dans le duodénum par deux ou trois canaux qui s’abouchent au même niveau que les canaux hépatiques (ALAMARGOT, 1982).
Foie
Le foie est un organe volumineux rouge sombre. C’est la glande la plus massive de tous les viscères (33 g environ chez la poule). Le foie repose sur le sternum, il est séparé des parois thoraco-abdominales par les sacs aériens. Il est soutenu par quatre ligaments (falciforme, coronaire, gastrohépatique et hépatoduodénal). Sa face ventro- médiale porte les impressions splénique, stomacale et intestinale. Le foie est constitué de deux lobes réunis par un isthme transversal qui renferme partiellement la veine cave caudale. Le lobe gauche plus petit que le lobe droit est généralement marqué d’un sillon longitudinal qui délimite le lobe accessoire du lobe gauche. Dans leur portion crâniale, les deux lobes entourent complètement les ventricules du cœur. Les deux lobes déversent la bile, par deux conduits séparés. Le canal du lobe gauche (canal hépatique gauche) s’abouche directement dans l’intestin. Le canal du lobe droit (canal hépatique droit) se renfle d’abord en vésicule biliaire (sauf chez le pigeo n, certains perroquets et l’autriche) avant de se jeter dans le duodénum. Il porte le nom de canal cholédoque(ALAMARGOT, 1982).
DIGESTION CHEZ LA VOLAILLE
Dans la digestion, le bec des oiseaux ne joue qu’un rôle de préhension des aliments. Lesaliments sont déglutis avec le concours de la salive qui est très riche en mucus. Après un bref passage dans l’œsophage, les aliments ingérés arrivent dans le jabot. Celui-ci assure le rôle de stockage, de ramollissement des aliments sous l’action du liquide salivaire, des sécrétions œsophagiennes et ingluviales. Il assure aussi le rôle de régulation de remplissage de l’estomac (KOLB, 1975). La sécrétion du jabot est riche en mucus et contient très peu d’enzymes. Après un bref séjour dans le proventricule où ils subissent l’action des sécrétions salivaires, les aliments arrivent dans le gésier et sont broyés, concassés, subissant au même moment l’action des sucs gastriques avant de passer dans l’intestin grêle. L’action mécanique du gésier est une trituration qui permet de fragmenter les grains de céréales. Le gésier cumule donc le rôle de mastication absente chez les oiseaux et de mélange du suc gastrique avec les ingesta.
L’intestin grêle transforme les aliments en nutriments sous l’action du suc intestinal. La dégradation est achevée dans les cæca grâce à la microflore intestinale (KOLB, 1975).
Dans le processus de digestion, l’action des enzymes débute dans le jabot et s’achève dans l’int estin grêle (SCHWARZ et al., 1987) . Plusieurs enzymes interviennent et agissent sur divers substrats pour donner des produits intermédiaires ou finaux, simples et assimilables. Le tableau I résume la localisation et l’effet des différentes enzymes participant à la digestion des aliments chez les volailles.
Besoins en eau
C’est un des éléments nutritifs les plus importants des volailles. La consommation d’aliment est conditionnée par celle de l’eau: une sous – consommation en eau provoque une baisse de la consommation alimentaire et la réduction du gain de poids. Cela peut être dû à un problème d’appétence (solution médicamenteuse, eau trop chaude ou de mauvaise qualité) ou de stress (vaccination, transfert, maladie, densité élevée), ou à une insuffisance d’abreuvoirs.
La réduction de la prise alimentaire et de la croissance ainsi engendrée est proportionnelle au degré de la réduction hydrique ; cela a été démontré par FERRANDO (1969) qui trouve qu’une restriction d’eau de 50% de la consommation ad libitum , fait baisser la prise alimentaire de 75 g/jour à 11 g/jour chez le poulet de chair. La surconsommation d’eau pe ut être causée par une augmentation de température, une teneur en sel de l’eau ou de l’aliment trop élevée (ISA, 1985) ou être consécutive à un début de diarrhée. De même, la teneur en protéines de l’aliment modifie l’ingestion d’eau (LARBIER et LECLERCQ, 1991).
En 1976, SCOTT rapportait que les aliments riches en protéines conduisent à une légère surconsommation d’eau qui s’expliquerait par les mécanismes de digestion protéique et d’excrétion rénale d’acide urique. En effet, les oiseaux ont la particularité physiologique de résorber l’eau des urines lorsqu’ils n’en disposent pas en abondance pour leur abreuvement.
Cette eau remonte le long du côlon, provoquant la précipitation de l’acide urique sous forme d’urates (LARBIER et LECLERCQ, 1991).
En général, les volailles consommeraient environ deux fois plus d’eau que d’aliments, comme mentionnés dans le tableau II.
Besoins en énergie
L’énergie sert à couvrir d’une part, les besoins énergétiques d’entretien que sont le métabolisme de base, la thermogenèse adaptative, l’extra chaleur et l’activité physique, et d’autre part les besoins énergétiques de croissance d’autre part (figure 4).
Le développement corporel du poulet est d’autant plus rapide que la consommation quotidienne d’énergie métabolisable est élevée. Selon l’INRA (1989), le premier besoin de l’animal concerne ses dépenses énergétiques, car après l’eau, les constituants énergétiques sont ceux dont la privation affecte le plus rapidement la santé de l’animal et sa survie. Le besoin énergétique est aussi le plus sensible aux conditions du milieu et c’est lui qui influence le plus la consommation alimentaire.
Les oiseaux règlent leur conso mmation alimentaire en fonction de la quantité d’énergie ingérée. Ainsi, toute élévation de la teneur énergétique d’un aliment se traduit par uneréduction de la consommation alimentaire. Dans ce cas, il faut « concentrer » l’aliment, c’està-dire augmenter sa teneur en chacun de ces nutriments (protéines et acides aminés, minéraux, oligo-éléments, vitamines) si l’on veut que la volaille ingère la même quantité. Les éléments énergétiques sont principalement apportés par les glucides (sucres, amidon) et les lipides (matières grasses d’origine animale ou végétale). L’énergie contenue dans l’aliment (énergie brute) n’est pas utilisable en totalité par l’animal ( figure 3) : une partie est en effet, perdue dans les fèces et l’urine. L’énergie disponible pour les besoins métaboliques de l’animal (entretien et production) est appelée énergie métabolisable (énergie brute ingérée moins énergie perdue dans les fèces, l’urine et les gaz) ; en d’autres termes, c’est la portion de l’aliment dont dispose le poulet pour pro duire de la chair, conserver ses fonctions vitales et sa température (SMITH, 1992).
Une bonne ration doit permettre à l’animal de couvrir toutes ses dépenses: entretien, production, élimination de chaleur. S i l’énergie métabolisable (EM) de la ration est insuffisante, l’animal doit puiser dans ses réserves. Cela se traduit par une baisse voire un arrêt de la production.
Selon ANSELME (1987), les besoins énergétiques des poulets sont compris entre 3000 kcal/kg et 3200 kcal/kg avec un minimum de 3100 kcal au démarrage et 3000 kcal en finition.
Toutefois, les besoins énergétiques peuvent être influencés par des facteurs tels que la souche, le régime alimentaire et la température ambiante.
Besoins en minéraux
Ce sont des constituants essentiels du tissu osseux (calc ium, phosphore) ou de l’équilibre osmotique de l’animal (sodium, chlore, potassium). Selon FERRANDO (1969), les plus importants sont le phosphore et le calcium qui jouent un rôle essentiel aussi bien dans l’équilibre humoral que dans la formation du squele tte et de la coquille. Toute recommandation en minéraux doit tenir compte d’abord du niveau de production des animaux, puis de certains facteurs externes (dont certains altèrent l’ingéré alimentaire). On peut citer la présence éventuelle sous forme de comp lexe minéral dans la source utilisée, les interactions entre nutriments, le niveau énergétique des aliments, la température ambiante et les stress dus aux maladies ou à la surpopulation.
L’apport de phosphore pose toujours des problèmes, car on le retrouve sous forme phytique dans les graines des végétaux telles que le maïs qui n’a pas de phytases (et non dans les tiges et les feuilles). Ce phosphore n’est pas utilisé par les oiseaux, pour lesquels on ne considère comme « disponible » que le phosphore non-phytique, soit le tiers du phosphore total des graines (INRA, 1989). L’excès de chlore entraîne une grande consommation d’eau, la survenue des diarrhées et tend à réduire l’utilisation de calcium et du phosphore. Dans une moindre mesure, l’apport en manganèse peut également affecter l’assimilation du calcium et du phosphore (SMITH, 1992).
La fourniture du chlorure de sodium est indispensable puisque l’alimentation végétale est largement déficiente en sodium, mais riche en potassium.
Besoins en oligo-éléments
Ils sont présents dans l’organisme en faible quantité ou à l’état de traces et sont indispensables au déroulement de nombreuses réactions biochimiques du métabolisme.
Il s’agit du fer, du cuivre, du zinc, du manganèse, du sélénium, de l’iode, dufluor, du cobalt et du magnésium.
Selon FERRANDO (1969), avec un apport de 0,4 % de magnésium, on note une augmentation du gain de poids et une amélioration de l’ossification.
Besoins en vitamines
Ce sont des éléments organiques agissant également à des doses infimes et qui sont indispensables au métabolisme, à la protection de l’organisme et à une bonne production.
Certains facteurs entraînent une augmentation directe des besoins en vitamines. Il s’agit:
Des températures élevées qui causent une baisse nette de l’ingéré alimentaire, donc de l’apport en vitamines;
De la teneur énergétique de la ration dont l’augmentation entraîne la baisse de l’ingéré alimentaire. En outre, l’accroissement de la valeur énergétique de la ration provoque une augmentation spécifique des besoins en vitamines B1, B2, et acide pantothénique qui participent aux réactions du métabolisme énergétique ;
De l’addition de graisse à la ration qui accroît les besoins en vitamines E dont l’activité anti -oxydante permet de limiter la formation de peroxydes toxiques pour la cellule et qui dégradent les vitamines A, D et K ;
De la teneur en protéines de l’aliment dont la baisse augmente les besoins en vitamine A ; l’absorption de cette dernière étant liée à l’apport protéique ;
Des conditions d’élevage, en particulier le stress qui est un mécanisme consommateur d’énergie et de vitamines. Dans ce cas, les apports de vitamines peuvent devenir insuffisants par rapport aux besoins réels.
On peut noter une augmentation indirecte de ces besoins en cas de biodisponibilité réelle faible des vitamines de la ration ou lorsqu’elles sont détruites soit lors des opérations de fabrication et de stockage de l’aliment soit en cas d’infestation parasitaire.
C’est aussi le cas en présence des antagonistes et des antimétabolites qui inactivent les vitamines dans l’aliment et même en cas de formulation et de fabrication défectueuses.
Besoins en cellulose
Son importance est faible dans l’alimentation des volailles. Ainsi, chez le poulet de chair, i l est recommandé de ne pas dépasser des taux de 5 % de cellulose brute afin d’éviter une accélération du transit favorable à une mauvaise utilisation de la ration (ANSELME, 1987).
FACTEURS DE VARIATION DES BESOINS
Les besoins alimentaires du poulet de chair varient en fonction des facteurs tels que l’âge, la souche et les conditions d’ambiance.
Age
Les capacités d’absorption et de digestion, ainsi que les besoins intrinsèques évoluent tout au long de la vie de l’animal ; le tableau III présente les besoins du poulet de chair en protéines et lysine d’une part, et les recommandations en macroéléments selon l’âge, d’autre part. Lavariation des besoins au cours du temps explique et justifie la nécessité de disposer d’un aliment adapté à chaque période de production.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
CHAPITRE I : ALIMENTATION DU POULET DE CHAIR AU SENEGAL
I.1. ANATOMIE DE L’APPAREIL DIGESTIF DU POULET
I.1.1.Bec
I.1.2. Cavité buccale
I.1.3. Œsophage
I.1.4. Jabot
I.1.5. Proventricule
I.1.6. Gésier
I.1.7. Duodénum
I.1.8. Jéjunum
I.1.9. Caecum
I.1.10. Rectum
I.1.11. Glandes annexes du tube digestif
I.1.11.1. Pancréas
I.1.11.2. Foie
I.2. DIGESTION CHEZ LA VOLAILLE
I.3. GENERALITES SUR L’ALIMENTATION ET LES BESOINS ALIMENTAIRES DU POULET DE CHAIR
I.3.1. Généralités sur l’alime ntation
I.4.2. Besoins alimentaires du poulet de chair
I.3.2.1. Besoins en eau
I.3.2.2. Besoins en énergie
I.3.2.3. Besoins en protéines
I.3.2.4. Besoins en minéraux
I.3.2.5. Besoins en oligo-éléments
I.3.2.6. Besoins en vitamines
I.3.2.7. Besoins en cellulose
I.4.FACTEURS DE VARIATION DES BESOINS
I.4.1. Age
I.4.2. Souche
I.4.3. Conditions d’ambiance
CHAPITRE II : QUALITES BROMATOLOGIQUES DES PRINCIPALES CEREALES UTILISEES DANS L’ALIMENTATION DES VOLAILLES
II.1. MAÏS
II.1.1. Composition chimique
II.1.2. Digestibilité
II.1.3. Valeur énergétique
II.1.4. Valeur protéique
II.1.5. Facteurs antinutritionnels
II.2. SORGHO
II.2.1. Composition chimique
II.2.2. Digestibilité
II.2.3. Valeur énergétique
II.2.4. Valeur protéique
II.2.5. Facteurs antinutritionnels
II.3. MILS
II.3.1. Composition chimique
II.3.2. Digestibilité
II.3.3. Facteurs antinutritionnels
CHAPITRE III : GRANULOMETRIE DES ALIMENTS ET LES METHODES DE DISTRIBUTION DES CEREALES ENTIERES
III.1. COMPORTEMENT ALIMENTAIRE DES OISEAUX
III.2.GRANULOMETRIE
III.2.1. Effets de la granulométrie sur le processus digestif
III.2.2. Effets de la granulométrie sur les performances du poulet de chair
III.2.3. Effets de la granulométrie sur l’ingestion alime ntaire et l’indice de consommation
III.3. PRINCIPALES STRATEGIES NUTRITIONNELLES ET EFFETS DE LA TAILLE PARTICULAIRE SUR LES PERFORMANCES DES POULETS DE CHAIR
III.3.1. Alime ntation complète classique
III.3.1.1. Alimentation complète classique en farine distribuée ad libitum en élevage des poulets de chair en zone tropicale
III.3.1.2. Limites de l’alimentation complète classiqu
III.3.2. Alime ntation mélangée
III.3.2.2. Avantages
III.3.2.3. Inconvénients
III.3.3. Alime ntation séparée dans l’espace
III.3.3.2. Avantages
III.3.3.3. Inconvénients
III.3.4. Alime ntation séquentielle
III.3.4.2. Avantages
III.3.4.3. Inconvénients
III.4. DONNEES SUR LES PERFORMANCES ZOOTECHNIQUES OBTENUES AVEC L’UTILISATION DES CEREALES ENTIERES EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE CHEZ LE POULET DE CHAIR
III.4.1. Ingestion alimentaire
III.4.2. Pe rformances de croissance et d’engraissement
III.4.3. Indice de consommation
III.4.4. Caractéristiques de la carcasse
DEUXIEME PARTIE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I. MATERIEL
I.1. PERIODE ET LIEU D’ETUDE
I.2. CHEPTEL EXPERIMENTAL
I.3. MATERIEL D’ELEVAGE ET DE CONTROLE DES PERFORMANCES
II. METHODES
II.1. CONDUITE DE L’ELEVAGE
II.1.1. Préparation du bâtiment d’élevage
II.1.2. Arrivée des poussins
II.1.3. Transfert, identification et mise en lot des poussins
II.1.4. Eclairage du bâtiment
II.1.5. Aliments et alimentation des animaux
II.1.6. Paramètres étudiés
II.1.6.1. Paramètres d’ambiance
II.1.6.2. Paramètres sanitaires
II.1.6.3. Performances zootechniques
II.1.6.3.1. Consommation alimentaire
II.1.6.3.2. Poids vif
II.1.6.3.3. Gain moyen quotidien (GMQ)
II.1.6.3.4. Indice de consommation
II.1.6.3.5. Rendement carcasse (RC)
II.1.6.3.6. Evaluation économique
II.1.6.3.7. Analyse statistique des données
CHAPITRE II : RESULTATS
II.1. PARAMETRES D’AMBIANCE
II.2. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LES PERFORMANCES DE CROISSANCE DES POULETS DE CHAIR
II.2.1. Evolution du poids vif
II.2.2. Evolution du gain moyen quotidien
II.3. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LA CONSOMMATION ALIMENTAIRE ET L’INDICE DE CONSOMMATION DES POULETS DE CHAIR
II.3.1. Evolution de la consommation alimentaire
II.3.2. Evolution de l’indice de consommation
II.4. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LES CARACTERISTIQUES DE CARCASSES DES POULETS DE CHAIR
II.5. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LES MORTALITES CHEZ LES POULETS DE CHAIR
II.6. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LA RENTABILITE ECONOMIQUE
CHAPITRE III : DISCUSSION
III.1. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION
SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LES PERFORMANCES DE CROISSANCE DES POULETS DE CHAIR
III.1.1. Effets de la taille particulaire sur le poids vif et le gain moyen quotidien
III.1.2. Effets comparés de l’alimentation séquentielle ou mélangée sur le poids vif et le gain moyen quotidien
III.2. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LA CONSOMMATION DES POULETS DE CHAIR
III.2.1. Effets de la taille particulaire sur la consommation alimentaire
III.2.2. Effets comparés de l’alimentation séquentielle ou mélangée sur la consommation alimentaire
III.3. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR L’INDICE DE CONSOMMATION DES POULETS DE CHAIR
III.3.1. Effets de la taille particulaire sur l’indice de consommation
III.3.2. Effets comparés de l’alimentation séquentielle et mélangée sur l’indice de consommation
III.4. EFFETS DU MAÏS ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LES CARACTERISTIQUES DE CARCASSE DES POULETS DE CHAIR
III.4.1. Effets de la taille particulaire sur les caracté ristiques de carcasses des poulets de chair
III.4.2. Effets comparés de l’alime ntation séquentielle et mélangée sur les caractéristiques de carcasses des poulets de chair
III.5. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION
SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LA MORTALITE CHEZ LE POULET DE CHAIR
III.6. EFFETS DU MAÏS GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE SUR LA RENTABILITE ECONOMIQUE
III.7. RECOMMANDATIONS
III.7.1. Aux chercheurs
III.7.2. Aux aviculteurs et aux agriculteurs
III.7.3. Aux fabricants d’aliments
III.7.4. A l’Etat Sénégalais
CONCLUSION
BIBIOGRAPHIE