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Les diffรฉrentes variรฉtรฉs
Le thรฉ est toujours cultivรฉ comme un produit typique de grande plantation. Un mรชme arbuste de thรฉ peut donner, aprรจs transformation soit du thรฉ noir (fermentรฉ), soit du thรฉ vert (non fermentรฉ).
Le thรฉ est constituรฉ par les feuilles du thรฉier quโon soumet, aprรจs la rรฉcolte, ร une prรฉparation spรฉciale, trรจs variable suivant la rรฉgion de production. On utilise soit les feuilles encore jeunes et couvertes dโun duvet soyeux, soit des feuilles plus รขgรฉes et plus ou moins dรฉpourvues de poils.
Suivant le mode de prรฉparation, on distingue diverses catรฉgories de produits:
Les thรฉs verts
Ils sont constituรฉs de feuilles roulรฉes et souvent repliรฉes et tordues sur elles mรชmes, entiรจres ou coupรฉes en morceaux avant leur enroulement. Leur couleur, le plus souvent artificielle, est verdรขtre, plus ou moins teintรฉe du bleu au brun, souvent obtenue aprรจs addition dโindigo de curcuma et de sulfate de calcium.
Leur odeur est lรฉgรจrement aromatique, avec une saveur astringente, accompagnรฉe dโune armature agrรฉable. Ils donnent une infusion de couleur verdรขtre.
Les thรฉs verts sont des thรฉs non fermentรฉs.
Ainsi la diffรฉrence entre la fabrication du thรฉ vert et du thรฉ noir rรฉside dans le fait quโil nโy a pas de phase de fermentation dans la fabrication. Plus que le thรฉ noir, le thรฉ vert a gardรฉ une prรฉparation artisanale, sans doute du fait de la qualitรฉ exigรฉe par les consommateurs. La fabrication de ce thรฉ comporte trois รฉtapes : la torrรฉfaction, le roulage et la dessiccation [3,4].
La torrรฉfaction permet de tuer les enzymes responsables de la fermentation en quelques secondes. Pour cela, les feuilles sont chauffรฉes ร une tempรฉrature avoisinant les 100ยฐC. Ces derniรจres deviennent souples et pliables pour le roulage. Celui-ci se fait ร la main. Par la suite, les feuilles sont mises en petits tas pour รชtre sรฉchรฉes (la dessiccation). Cette opรฉration peut รชtre faite ร froid ou ร chaud, selon la finesse de la cueillette. Puis les feuilles sont triรฉes, tamisรฉes, afin de sรฉparer les diffรฉrents grades [3,5].
Les thรฉs noirs
Ils sont gรฉnรฉralement moins bien roulรฉs, plus lรฉgers que les prรฉcรฉdents et doivent leur couleur ร la fermentation se produisant au cours de leur prรฉparation.
Leur odeur est gรฉnรฉralement aromatique, mais diffรฉrente de celle des thรฉs verts ; leur saveur est astringente et leurs caractรจres organoleptiques variables selon les rรฉgions de production. Leur infusion prรฉsente une teinture rouge marron.
De nos jours, la fabrication du thรฉ noir peut se faire de maniรจre artisanale, notamment dans certaines rรฉgions de Chine, mais aussi de maniรจre semi industrielle, plus particuliรจrement par lโutilisation de nouvelles mรฉthodes industrielles. La mรฉthode artisanale de fabrication du thรฉ nous provient des rรฉcits de voyage en Inde, datant du dรฉbut du XIXiรจme siรจcle. Ces derniers nous renseignent sur les mรฉthodes employรฉes pour lโobtention du thรฉ noir. A lโรฉpoque, les diverses opรฉrations se dรฉroulaient sur le lieu mรชme de la cueillette et consistaient en un sรฉchage sommaire des feuilles fraรฎchement cueillies au soleil, suivi dโune opรฉration manuelle qui avait pour objectif dโagglutiner les feuilles en une sorte de boule. Cette derniรจre รฉtait ensuite mise ร cuir dans un four.
Toutefois, ces rรฉcits ont permis dโobserver que les mรฉthodes de prรฉparation du thรฉ noir diffรฉraient ร la mรชme รฉpoque entre lโInde et la Chine. Dans ce dernier pays, la mรฉthode de fabrication semblait รชtre mieux รฉlaborรฉe ร lโaide dโun rituel plus sophistiquรฉ. Les feuilles, aprรจs avoir รฉtรฉ cueillies, รฉtaient mises ร sรฉcher au soleil pendant environ deux heures, puis laissรฉes ร lโombre pour รชtre refroidies. Ensuite, les feuilles รฉtaient roulรฉes entre les paumes des mains, pour les malaxer et briser leurs cellules. Ces opรฉrations รฉtaient rรฉpรฉtรฉes plusieurs fois. Ainsi pendant cette รฉlaboration, lโaspect des feuilles se modifiait. Elles prenaient peu ร peu, une couleur sombre et devenaient du thรฉ noir.
A cette รฉpoque, la collaboration entre chinois et indiens, a permis une amรฉlioration progressive des mรฉthodes de fabrication du thรฉ, ce qui nous amรจne aujourdโhui ร celle que nous connaissons et qui est appelรฉe la mรฉthode orthodoxe. A lโheure actuelle, cette technique de fabrication est plus ou moins industrialisรฉe, mais a dans de nombreux cas gardรฉ son cรดtรฉ artisanal [3].
La mรฉthode de fabrication orthodoxe comporte cinq phases successives : le flรฉtrissage, le roulage, le criblage, la fermentation et la dessiccation. Afin de mieux comprendre le processus actuel de prรฉparation du thรฉ noir, faisons donc une description de ces diverses รฉtapes.
Le flรฉtrissage dรฉbute dรจs la cueillette et a pour but de rendre la feuille plus souple, afin de pouvoir la rouler sans la briser. Elle consiste en une dรฉshydratation de la feuille et pour cela les feuilles sont rรฉpandues en couches minces sur de grandes claies constituรฉes de toiles de jute ou de treillis mรฉtalliques. Il se dรฉroule gรฉnรฉralement dans des greniers spรฉcialement amรฉnagรฉs ร cet effet avec circulation dโun courant dโair. La durรฉe de cette opรฉration varie entre 18 et 20 heures. Afin dโaccรฉlรฉrer ce procรฉdรฉ, qui a de nombreux inconvรฉnients, dont celui dโoccuper beaucoup dโespace, de nombreuses manufactures sont actuellement รฉquipรฉes de procรฉdรฉs de flรฉtrissage plus modernes. Il sโagit du flรฉtrissage en tunnels et du flรฉtrissage en cuves.
Le roulage consiste, dรจs que le flรฉtrissage a รฉtรฉ jugรฉ suffisant, ร rouler les feuilles sur elles-mรชmes, dans le sens de la longueur et leur donner ainsi lโaspect recherchรฉ, mais aussi ร briser les cellules des feuilles et de cette maniรจre permettre de libรฉrer les huiles essentielles qui y sont contenues. Donc le roulage permet diffรฉrentes rรฉactions chimiques nรฉcessaires pour la suite de la fabrication. Quant au criblage, il permet de trier les feuilles, selon leur taille, leur รฉpaisseur, mais aussi de sรฉparer celles qui sont entiรจres de celles qui sont cassรฉes.
La fermentation, quant ร elle, conduit ร la transformation de la feuille de thรฉ en thรฉ noir. Diffรฉrente du processus de flรฉtrissage, elle consiste en une humidification de la feuille. Pour cela, les feuilles sont ร nouveau placรฉes en couches minces sur des plateaux en ciment, en verre ou en aluminium, afin dโรฉviter une รฉventuelle contamination de la feuille par des impuretรฉs. La fermentation est une opรฉration fondamentale, car cโest ร partir dโelle que dรฉpendra la qualitรฉ du thรฉ.
Enfin, la dessiccation dont le rรดle est de stopper la fermentation au moment adรฉquat et qui doit se dรฉrouler dans une atmosphรจre sรจche. Deux paramรจtres interviennent lors de cette phase : la tempรฉrature et la durรฉe. Ces derniรจres vont varier selon la rรฉgion et la teneur en eau des feuilles. Une dessiccation trop faible risque dโentraรฎner des moisissures dans le thรฉ, tandis quโune dessiccation trop forte enlรจve tout son arรดme au thรฉ [3].
Le thรฉ noir fumรฉ
Les feuilles utilisรฉes pour les thรฉs noirs fumรฉs sont รขgรฉes. Aprรจs le roulage, les feuilles sont lรฉgรจrement grillรฉes sur une plaque de fer chaude, puis disposรฉes sur des claies de bambou au-dessus d’un feu de racines d’รฉpicรฉa afin d’en prendre l’odeur et le goรปt. La durรฉe de cette opรฉration varie en fonction du degrรฉ de fumage que l’on souhaite obtenir [3,5].
Le thรฉ semi fermentรฉ (Oolong)
A mi-chemin entre les thรฉs verts et les thรฉs noirs, il existe les thรฉs semi fermentรฉs, et qui comme leur nom lโindique, ont subi une fermentation incomplรจte. Dโune maniรจre gรฉnรฉrale, chaque plantation a ses propres recettes et produit des thรฉs dont le degrรฉ de fermentation varie. Ainsi, les thรฉs semi fermentรฉs subissent quoi quโil en soit toutes les autres opรฉrations dรฉcrites pour les thรฉs noirs, comme le flรฉtrissage, le roulage, le criblage et la dessiccation. La teneur en thรฉine de ces thรฉs est donc plus faible que les autres thรฉs. Ils sont alors plus particuliรจrement indiquรฉs pour รชtre consommรฉs le soir ou en fin dโaprรจs-midi.
Les grades
Les grades nous informent sur le type de cueillette et sur la taille de la feuille, elle peut รชtre entiรจre, brisรฉe ou broyรฉe. Pour les thรฉs verts et semi fermentรฉs le grade ne se prรฉcise pas car la feuille est en principe entiรจre.
En fait, le goรปt et lโarรดme du thรฉ vont dรฉpendre non seulement de sa fabrication (fermentation ou non) mais รฉgalement du type de feuilles, de sa maturation (bourgeon ou feuille) et de sa taille. Une infusion de feuilles entiรจres nโoffrira donc pas le mรชme arรดme quโune infusion avec des feuilles brisรฉes ou broyรฉes. En effet, plus la feuille est broyรฉe plus le goรปt est corsรฉ et il possรฉdera moins dโarรดme. De mรชme, plus la feuille est grande, moins il y aura de goรปt, mais lโinfusion prรฉsentera plus dโarรดme. De plus, lorsque le thรฉ est infusรฉ un court instant, il est excitant alors que sโil est infusรฉ pendant un long moment, il devient relaxant. Voici les diffรฉrents grades qui existent selon les feuilles et les cueillettes :
โข F.O.P (Flowery Orange Pekoe) : Il s’agit de la cueillette la plus fine. Elle est composรฉe du dernier bourgeon et des deux feuilles suivantes. Les bourgeons, deviennent dorรฉs avec la fermentation, et sont appelรฉs ยซย goldentipsย ยป ;
โข O.P (Orange Pekoe) : Il s’agit de feuilles jeunes et bien enroulรฉes ;
โข P (Pekoe) : La feuille est cette fois moins fine et aprรจs traitement, elle est plus courte que dans lโOrange Pekoe. Elle ne contient pas de bourgeons ;
โข S (Souchong) : La feuille est cueillie dans le bas du thรฉier. Plus รขgรฉe et trรจs faible en thรฉine, la feuille est souvent roulรฉe dans le sens de la longueur et surtout utilisรฉe pour les thรฉs de Chine fumรฉs [2, 3, 5].
Les pays producteurs
Les pays producteurs de thรฉ sont nombreux. En effet, aujourdโhui, on cultive du thรฉ dans les 4 coins du monde [3, 4].
Voici, par ordre d’importance, la production mondiale :
โข Inde (34%) ;
โข Chine (19%) ;
โข Sri Lanka (11%) ;
โข Kenya (10%) ;
โข Japon (6%) ;
โข Bangladesh & Indonรฉsie (5%) ;
โข Turquie (2%) ;
โข Iran, Argentine, Malawi, Taiwan, Gรฉorgie et Mozambique (1%).
Quelques mรฉthodes de prรฉparation du thรฉ
Thรฉ ร la marocaine
โข Mettre dans la thรฉiรจre le thรฉ vert ;
โข Verser une petite quantitรฉ dโeau frรฉmissante et jeter aussitรดt cette premiรจre eau ;
โข Remplir la thรฉiรจre dโeau frรฉmissante, laisser infuser quelques minutes;
โข Verser dans des verres oรน lโon aura placรฉ quelques feuilles de menthe fraรฎche ;
โข Sucrer abondamment [5].
Punch au thรฉ
โข Faire un thรฉ trรจs fort ;
โข Prendre le bol dans lequel on prรฉparera le punch ;
โข Commencer par mettre dans le fond un demi citron coupรฉ en fines rondelles et 100g de sucre ;
โข Verser dans le bol le thรฉ brรปlant ;
โข Aussitรดt aprรจs ajouter 1/2 litre de rhum, non pas en le versant directement dans le thรฉ, mais plutรดt ร lโaide dโune cuillรจre sur laquelle seront posรฉes une ou deux tranches de citron, afin que le rhum ne se mรฉlange pas avec le thรฉ, mais sโรฉtale ร la surface en nappe ;
โข Au contact du thรฉ brรปlant, le rhum sโรฉchauffe. Quand il est assez chaud, approcher une allumette pour lโenflammer ;
โข Laisser brรปler tranquillement sans agiter jusquโร ce quโil sโรฉteigne de lui-mรชme ;
โข Remuer doucement pour rรฉpartir le sucre et le jus de citron ;
โข Servir aussitรดt [2,5].
Les Principaux composants du thรฉ
Les constituants chimiques du thรฉ peuvent รชtre classรฉs en deux groupes :
โข Les substances banales ;
โข Les alcaloรฏdes.
Les substances banales
Eau environ 10%.
Des polyphรฉnols : ils reprรฉsentent 30% de la matiรจre sรจche des feuilles rรฉcemment cueillies et plus de la moitiรฉ des substances banales qui dรฉterminent la qualitรฉ du thรฉ. Parmi les polyphรฉnols, les groupes les plus importants sont :
a) – le groupe des flavonoรฏdes tels que le quercรฉtol et le kamphรฉrol ;
b) – le groupe des tanins ou catรฉchines (5 ร 25%) sous forme de catรฉchols libres ou condensรฉs.
On distingue trois principaux catรฉchines :
โข le galate dโรฉpi-gallocatรฉchine ;
โข lโรฉpi-gallocatรฉchine ;
โข le galate dโรฉpi-catรฉchine.
3 – Des colorants dont la chlorophylle
4 – Des sels minรฉraux extraits du sol dont des รฉlรฉments nutritifs majeurs (calcium, potassium et magnรฉsium) et des รฉlรฉments nutritifs mineurs (cuivre et soufre).
5 – Des acides organiques comme lโacide oxalique.
6 – Des acides aminรฉs dont le plus important est la ยซ thรฉanine ยป.
7 – Des vitamines : vitamine A, vitamines du groupe B, vitamine C, vitamine K, vitamine P et vitamine PP [4].
Signalons que la teneur en vitamine C du thรฉ vert varie de 1,5 ร 3 mg pour 1g [5]
Les alcaloรฏdes
On trouve environ 8% dโalcaloรฏdes dans la feuille de thรฉ. Les alcaloรฏdes sont des bases puriques qui sont pour la plus grande part de la cafรฉine (ou thรฉine) environ 3,5 ร 3,8% ; ensuite de petites quantitรฉs de thรฉophylline, de thรฉobromine avec de lโadรฉnine et de la xanthine. Ces alcaloรฏdes sont soit libres, soit condensรฉs aux tanins.
Outre ces substances banales et ces alcaloรฏdes, on trouve รฉgalement dans les feuilles de thรฉ un glucoside mal identifiรฉ et un ferment oxydant appelรฉ thรฉase qui perd son activitรฉ sโil est chauffรฉ ร plus de 62ยบC. Une huile essentielle parfumรฉe se forme au cours de la fermentation.
Elle contient de lโalcool mรฉthylique, de lโacide salicylique, du salicylate de mรฉthyle, de lโacรฉtone et un alcool mal identifiรฉ de formule gรฉnรฉrale C6H12O. Cette essence se prรฉsente sous la forme dโun liquide jaune pรขle se rรฉsinifiant rapidement ร lโair [4,6].
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Table des matiรจres
INTRODUCTION :
PREMIERE PARTIE : GENERALITES
CHAPITRE I: GENERALITES SUR LE THE
I – Historique
II – Caractรฉristiques botaniques du thรฉier
III – Effets et usages mรฉdicaux
IV – Les diffรฉrentes variรฉtรฉs
IV.1 – Les thรฉs verts
IV.2 – Les thรฉs noirs
IV.3 – Le thรฉ noir fumรฉ
IV.4 – Le thรฉ semi fermentรฉ (Oolong)
V – Les grades
VI – Les pays producteurs
VI.1 – Quelques mรฉthodes de prรฉparation du thรฉ
VII – Les Principaux composants du thรฉ
VII.1 – Les substances banales
VII.2 – Les alcaloรฏdes
CHAPITRE II : GENERALITES SUR LA VITAMINE C
I – Historique
II – Structure
II.1 – Description
II.2 – Relations structure activitรฉ
II.3 – Synthรจse de la vitamine C
II.3.1 – Synthรจse chimique
II.3.2 – Synthรจse par biotransformation
III – Propriรฉtรฉs physico-chimiques
III.1 – Propriรฉtรฉs physiques
III.2 – Propriรฉtรฉs chimiques
IV – Sources alimentaires
V – Les besoins
VI – Carences en vitamine C
VI.1 – Carences chez lโenfant
VI.2 – Carences chez lโadulte
VII – Rรดles physiologiques
CHAPITRE III : QUELQUES NOTIONS DโELECTROCHIMIE
I – Notions gรฉnรฉrales sur lโoxydorรฉduction
I. 1 – Dรฉfinition
I. 2 – Couple redox
I.3 – Rรฉaction Redox
II – Notion dโactivitรฉ
II.1 – Activitรฉ et concentration
II.2 – Concentration et facteur dโactivitรฉ
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL EXPERIMENTAL
I.1 – Matรฉriel
I.1.1 – Echantillons
I.1.2 – Appareillage et verrerie
I.1.3 – Rรฉactifs
I.2 – Mรฉthode
I.2.1 – Prรฉparation des rรฉactifs pour lโextraction de la vitamine C
I.2.1.1- Solution dโacide mรฉtaphosphorique (HPO3) ร 4%
I.2.1.2 – Solution dโacide trichloracรฉtique (TCA) ร 4%
I.2.2 โ Extraction de la vitamine C
I.2.3 – Mรฉthode dโoxydorรฉduction
I.2.3.1 – Principe du dosage
I.2.3.2 – Prรฉparation des rรฉactifs pour le dosage
I.2.3.2.1 – Prรฉparation de la solution dโiode de concentration inconnue
I.2.3.2.2- Prรฉparation de la solution de thiosulfate de sodium ร 0,02mol/l
I.2.3.2.3 – Prรฉparation de la solution dโacide sulfurique ร 0,5mol/l
I.2.3.2.4 – Titrage de la solution dโiode de concentration inconnue par la solution de thiosulfate de sodium (Na2S2O3) ร 0,02mol/l
I.2.3.3 – Prรฉparation des solutions ร titrer ร partir des extraits
I.2.3.4 – Titrage avec la solution dโiode de concentration connue
II – Rรฉsultats
III- Discussion
CONCLUSION :
BIBLIOGRAPHIE
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