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Action sur la fertilitรฉ
Prakash et Coll. (39) ont montrรฉ que lโadministration par voie orale de doses croissantes (10 ร 600 mg/kg) dโextraits aqueux des racines de M. oleifera ร des rats bilatรฉralement ovarectomisรฉs augmente progressivement le poids de lโutรฉrus et entrainerait une stimulation de lโarchitecture histologique de leur utรฉrus : ceci en comparaison avec le lot tรฉmoin qui montre ร lโexamen histologique un utรฉrus infantile.
Toxicitรฉย
Diverses รฉtudes ont montrรฉ quโil sโagit dโune plante qui ne possรจde aucune substance toxique.
USAGES TRADITIONNELSย
Mรฉdecine traditionnelle
Le nebeday est lโune des plantes les plus connues, les meilleures et les plus employรฉes dans la mรฉdecine populaire sรฉnรฉgalaise, ร cause de son implantation ร portรฉe de main, dans la plupart des carrรฉs dโhabitation, en vue de lโutilisation journaliรจre des feuilles comme condiments dans les couscous et les sauces. Si en Afrique noire lโexpression ยซ remรจde de sorciers ยป est frรฉquemment, et ร notre avis inconsidรฉrรฉment employรฉe, lโexpression ยซ remรจde de bonne femme ยป courante en France est par contre inusitรฉe ici. Or, nulle plante que le nรฉbรฉday ne mรฉriterait dโรชtre ainsi qualifiรฉe, ร condition de ne pas donner un sens pรฉjoratif ร ce terme.
Les emplois les plus courants concernent les enfants rachitiques, bronchitiques, fiรฉvreux, souffrant de cรฉphalรฉes et de nรฉvralgies. Les diffรฉrents traitements vont de lโinstallation du suc frais de la feuille ou des inflorescences dans les yeux et de lโadministration de la racine en poudre nasale, aux boissons et lavages corporels avec des macรฉrรฉs de feuilles, รฉcorces et racines. Lโhuile, extraite des graines, est riche en vitamine C et en fer. Les racines contiennent des antibiotiques ร spectre large et un cardiotonique. Les feuilles vertes ont une teneur en vitamine C de 220mg /100g et contiennent des protรฉines des minรฉraux et des vitamines. Lโรฉcorce sรฉcrรจte une rรฉsine qui peut รชtre utilisรฉe comme diurรฉtique, antidiphtรฉrique et fรฉbrifuge. Ces emplois concernent aussi les adultes avec des indications supplรฉmentaires pour les ลdรจmes, les rhumatismes, les douleurs articulaires, les abcรจs, les entorses, etc. La gomme exhibรฉe du tronc aprรจs incision, qui se concrรจte rapidement en une gelรฉe ferme de couleur rosรฉe, est astringente et antidysentrique. La pรขte prรฉparรฉe ร partir des graines de Moringa ou le rรฉsidu de pressage ร bras sont utilisรฉs dans le traitement des eaux grรขce ร un poly รฉlectrolyte cationique qui a un pouvoir floculant semblable ร celui du sulfate dโalumine. Les feuilles sont aussi utilisรฉes comme fourrage. Le tableau II rรฉcapitule les diffรฉrentes utilisations de diverses parties de la plante.
VALEUR NUTRITIONNELLE
Sur le plan de la valeur nutritionnelle de ses produits, le Moringa peut รชtre considรฉrรฉ comme une plante miracle. Ce sont les jeunes feuilles, les jeunes gousses et les graines grillรฉes qui sont principalement consommรฉes par lโhomme. La poudre de feuilles sรฉchรฉes est utilisรฉe comme supplรฉment alimentaire pour lutter contre la malnutrition ; celles-ci sont riches en protรฉines, en vitamines et en minรฉraux. Elles contiennent tous les acides aminรฉs essentiels y compris lโarginine et lโhistidine qui ont une grande importance dans le rรฉgime des enfants. Pour les enfants รขgรฉs de 1 ร 3 ans, 100g de feuilles fraiches pourraient satisfaire tous leurs besoins en calcium, environ 75 % de leurs besoins en fer et la moitiรฉ de leurs besoins en protรฉine. Une cuillรฉrรฉe ร soupe de poudre de feuilles pourrait satisfaire 14% des besoins en protรฉine, 40% des besoins en calcium et 23% des besoins en fer et presque tous les besoins en vitamine A de ces enfants. Six cuillรฉrรฉes ร soupe de poudre de feuille pourront satisfaire presque tous les besoins quotidiens de la mรจre en fer et calcium, durant la grossesse et lโallaitement
Une expรฉrience (21) a รฉtรฉ rรฉalisรฉe en 1997-98 dans le sud-ouest du Sรฉnรฉgal par lโAction Alternative pour le Dรฉveloppement de lโAfrique et le Service Mondial des Eglises pour tester la capacitรฉ de la poudre des feuilles sรฉchรฉes de Moringa ร prรฉvenir et traiter la malnutrition chez les femmes enceintes, les femmes allaitantes et leurs enfants (PRICE, 2000). Le test a permis de faire les observations suivantes chez les sujets consommant la poudre de Moringa :
– les enfants ont maintenu ou augmentรฉ leurs poids et leur รฉtat de santรฉ sโest amรฉliorรฉ,
– lโanรฉmie des femmes enceintes a pu รชtre contrรดlรฉe et les bรฉbรฉs sont nรฉs avec des poids suffisants,
– la quantitรฉ de lait des femmes allaitantes a pu augmenter.
GENERALITES SUR LA REACTION INFLAMMATOIRE
DEFINITIONย
La rรฉaction inflammatoire est lโensemble des rรฉactions de lโorganisme dรฉclenchรฉes par une agression physique (thermique, รฉlectrique, traumatisme, rayonnement), chimique (y compris corps รฉtrangers ou microcristaux), par un micro-organisme pathogรจne, ou du fait dโune occlusion vasculaire, ou dโune dysrรฉgulation du systรจme de dรฉfense.
Son bon dรฉroulement nรฉcessite lโintรฉgritรฉ des substances vasculaires sanguines et lymphatiques, ainsi que lโabsence dโanomalies quantitatives des cellules qui constituent le granulome inflammatoire (polynuclรฉaires, lymphocytes, monocytes).
Lโinflammation est le plus souvent bรฉnรฉfique : elle permet dโรฉliminer lโagent pathogรจne et de rรฉparer les tissus lรฉsรฉs. Mais, il arrive que lโรฉvolution soit dรฉfavorable, avec des risques de complications sans รฉlimination des causes nรฉfastes sous-jacentes. Elle est composรฉe de quatre phases :
– les rรฉactions vasculo-sanguines,
– la phase cellulaire,
– la dรฉtersion,
– la rรฉparation et la cicatrisation.
Ces phases mettent en action diffรฉrents systรจmes dโadaptation et impliquent de nombreux mรฉdiateurs.
La rรฉaction inflammatoire peut se traduire par des signes locaux (douleur, chaleur, ลdรจme, rougeur) ou gรฉnรฉraux (fiรจvre, asthรฉnie, amaigrissement etc.).
LES FACTEURS ETIOLOGIQUES
Les causes de lโinflammation sont nombreuses, aussi lโinflammation est un signe dโaccompagnement commun ร bon nombre dโaffections. Il existe des agents pathogรจnes endogรจnes et exogรจnes.
Les agents pathogรจnes endogรจnes
– les causes trophiques : les troubles de revascularisation, les troubles de lโinnervation,
– les perturbations mรฉtaboliques (urรฉe, goutte),
– les conflits immunitaires,
– toutes lรฉsions non inflammatoires y compris les tumeurs.
Les agents pathogรจnes exogรจnes
– les causes physiques : traumatisme, chaleur froid, radiations ionisantes,
– les causes chimiques : caustiques, toxines, histamines,
– les causes biochimiques : allergรจnes ou toutes substances antigรฉniques notamment alimentaires,
– les agents infectieux agissant localement ou ร distance par lโintermรฉdiaire de toxine : microbes, virus, parasites champignons.
Il faut noter que plusieurs causes peuvent รชtre associรฉes dans le dรฉclenchement de la rรฉaction inflammatoire. Les microorganismes ne constituent quโune partie des causes inflammatoires et une rรฉaction inflammatoire nโest pas synonyme dโinfection.
NOTION DโINFLAMMATION AIGUE ET DโINFLAMMATION CHRONIQUE
Lโinflammation aiguรซ
Elle est aussi appelรฉe inflammation localisรฉe ou primaire. Il sโagit de la rรฉponse immรฉdiate ร un agresseur. Elle est de courte durรฉe (quelques jours ร quelques semaines) et dโinstallation souvent brutale et caractรฉrisรฉe par des phรฉnomรจnes vasculo-exsudatifs intenses. Ces inflammations guรฉrissent spontanรฉment ou avec un traitement.
Les inflammations chroniquesย
Cโest lโexemple de lโinflammation rhumatismale. Ce sont des inflammations persistantes ou qui รฉvoluent en sโaggravant pendant plusieurs mois ou plusieurs annรฉes. La phase cellulaire de lโinflammation caractรฉrise ces inflammations.
Les inflammations chroniques sont caractรฉrisรฉes par une rรฉaction inflammatoire faite de phagocytes mononuclรฉs et de lymphocytes, dโune nรฉoangiogรฉnรจse et dโune fibrose.
Elles sont observรฉes dans diverses circonstances comme par exemple les infections par le biais de rรฉaction dโhypersensibilisation, les maladies auto-immunes.
LES DIFFERENTES PHASES DE LA REACTION INFLAMMATOIRE
La rรฉaction inflammatoire peut รชtre aiguรซ ou chronique, mais pour mieux saisir les mรฉcanismes nous envisagerons uniquement lโaspect aigu. Classiquement on divise le processus inflammatoire en quatre phases :
Les rรฉactions vasculo-sanguines
Cette phase associe une congestion active, un ลdรจme inflammatoire et une diapรฉdรจse leucocytaire.
La congestion active
Cโest une vasodilatation rapide des capillaires provoquรฉe par des mรฉdiateurs chimiques et par des stimuli nerveux. Il en rรฉsulte un accroissement du dรฉbit sanguin et un ralentissement du courant circulatoire.
Lโลdรจme inflammatoire
Lโaugmentation de la permรฉabilitรฉ vasculaire entraine une รฉlรฉvation de la pression capillaire. Ceci entraine une augmentation de la quantitรฉ dโeau prรฉsente dans le milieu intracellulaire : cโest lโลdรจme inflammatoire. Ce liquide ou exsudat est fait dโeau et de protรฉines.
La diapรฉdรจse leucocytaire
Cโest la migration des leucocytes en dehors de la microcirculation et de leur accumulation dans le foyer lรฉsionnel. Elle intรฉresse dโabord les polynuclรฉaires et un peu plus tard les monocytes et les lymphocytes.
La rรฉaction cellulaire
La rรฉaction inflammatoire se dรฉveloppe avec la mobilisation de diffรฉrents types de cellules au sein du foyer inflammatoire. Ce phรฉnomรจne est liรฉ ร lโaction de facteurs chimiotactiques et de molรฉcules dโadhรฉrence exprimรฉes ร la surface des cellules sanguines circulantes.
Les facteurs chimiotactiques recrutent et activent les cellules pour les rendre plus sensibles ร lโaction dโautres mรฉdiateurs grรขce ร lโexpression des molรฉcules de surfaces.
Les cellules impliquรฉes dans la rรฉponse inflammatoire sont les cellules du sang, les cellules endothรฉliales et les cellules provenant du tissu lui-mรชme.
Les cellules du sang
Ces cellules quittent le territoire pรฉri-vasculaire et migrent vers le foyer lรฉsionnel par chimiotactisme. Les polynuclรฉaires neutrophiles sont prรฉsents dรจs les premiรจres heures et disparaissent deux jours aprรจs.
Les monocytes-macrophages quant ร eux, sont abondants deux jours aprรจs la lรฉsion.
Les lymphocytes sont observรฉs dans les stades subaigus et chroniques de la rรฉaction cellulaire.
Les cellules provenant du tissus
Ce sont les fibroblastes, les cellules endothรฉliales, les mastocytes et les macrophages rรฉsidents. Localement, ces cellules (les fibroblastes, les cellules endothรฉliales et ร moindre degrรฉ les macrophages) vont se multiplier. Certaines dโentre-elles vont se diffรฉrencier ou se transformer et secrรฉter de multiples mรฉdiateurs intervenant dans le recrutement cellulaire, la phagocytose, la dรฉfense immunitaire et la modification de la matrice conjonctive.
La dรฉtersion
La dรฉtersion est indispensable ร la phase de rรฉparation tissulaire et constitue le stade ultime de lโinflammation. Il sโagit de lโรฉlimination des tissus nรฉcrosรฉs du liquide de lโexsudat et des agents pathogรจnes prรฉsents dans le foyer inflammatoire. La dรฉtersion sโeffectue selon deux mรฉcanismes : la dรฉtersion interne et la dรฉtersion externe.
Elle est interne lorsquโelle est entiรจrement prise en charge par les macrophages.
Elle est externe lorsque les produits รฉliminรฉs sont rejetรฉs ร la peau ou dans un conduit naturelles (bronchique, urinaire, intestinale).
Si la dรฉtersion est incomplรจte lโinflammation va รฉvoluer vers la chronicitรฉ.
La rรฉparation
Lorsque lโagent pathogรจne est dรฉtruit, la phase de rรฉparation permet dans le meilleurs cas la restitution ยซ ad integrum ยป du tissu lรฉsรฉ. Les fibroblastes prolifรจrent et synthรฉtisent des fibres de collagรจne et des mucopolysaccharides qui constituent la trame du tissu conjonctif. Il se met en place une nรฉovascularisation apportant les รฉlรฉments indispensables au dรฉveloppement du nouveau tissu conjonctif.
LES CELLULES DE LโINFLAMMATION
Les cellules de lโinflammation comprennent :
– les lymphocytes qui sont de type T, B ou ni T ni B (cellules naturellement tueuse), sont le support de lโimmunitรฉ cellulaire et humorale. Les lymphocytes T sont de deux types : les lymphocytes T dits auxiliaires ou helper (CD4) et les lymphocytes effecteurs cytotoxiques (CD8). Les lymphocytes secrรจtent les cytokines. Les cellules naturellement tueuses peuvent avoir une action cytotoxique Les lymphocytes B vont se diffรฉrencier en plasmocytes qui secrรจtent les anticorps,
– les cellules phagocytaires ou phagocytes comprennent les polynuclรฉaires neutrophiles et les cellules du systรจme monocyte-macrophage. Ils jouent un rรดle dans lโรฉpuration grรขce ร leur propriรฉtรฉ de phagocytose et dans le dรฉclenchement de la rรฉponse immunitaire,
– les mastocytes et les polynuclรฉaires basophiles : ils comprennent les granulations contenant les mรฉdiateurs de lโinflammation tels que les amines vasoactives,
– les fibroblastes : ce sont les cellules produisant le collagรจne qui est important dans le processus de cicatrisation.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE
I / RAPPELS BOTANIQUES SUR MORINGA OLEIFERA LAM
1/ DENOMINATION
1. 1/ NOMS SCIENTIFIQUES
1. 2/ NOMS VULGAIRES
1. 3/ NOMS VERNACULAIRES
2/ HABITATS ET REPARTITION GEOGRAPHIQUE
3/ ETUDE BOTANIQUE
3. 1/ CLASSIFICATION
3. 2/ DESCRIPTION DE LA PLANTE
3. 2. 1/ LE PORT
3. 2. 2/ LES FEUILLES
3. 2. 3/ LES FLEURS
3. 2. 4/ LE FRUIT
4/ CHIMIE
4. 1/ COMPOSITION CHIMIQUE DES FEUILLES
4. 2/ COMPOSITION CHIMIQUE DE LโECORSE
4. 3/ COMPOSITION CHIMIQUE DES GRAINES
5/ PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5. 1/ ACTIVITE ANTISPASMODIQUE
5. 2/ ACTIVITE DIURETIQUE
5. 3/ ACTIVITE ANTIINFLAMMATOIRE
5. 4/ ACTIVITE ANTIBIOTIQUE
5.5/ ACTION SUR LA FERTILITE
5.6/TOXICITE
6/USAGES TRADITIONNELS
6.1/ MEDECINE TRADITIONNELLE
6.2/VALEUR NUTRITIONNELLE
II/ GENERALITES SUR LA REACTION INFLAMMATOIRE
1/DEFINITION
2/LES FACTEURS ETIOLOGIQUES
2. 1/LES AGENTS PATHOGENES ENDOGENES
2. 2/LES AGENTS PATHOGENES EXOGENES
3/NOTION DโINFLAMMATION AIGUE ET DโINFLAMMATION CHRONIQUE
3. 1/LโINFLAMMATION AIGUE
3. 2/LES INFLAMMATIONS CHRONIQUES
4/LES DIFFERENTES PHASES DE LA REACTION INFLAMMATOIRE
4.1/LES REACTIONS VASCULO-SANGUINES
4. 2. 1/LA CONGESTION ACTIVE
4.1.2/LโลDEME INFLAMMATOIRE
4.1.3/LA DIAPEDESE LEUCOCYTAIRE
4. 2/LA REACTION CELLULAIRE
4.2.1/LES CELLULES DU SANG
4.2.2/LES CELLULES PROVENANT DU TISSUโฆ.
4. 3/LA DETERSION
4. 4/LA REPARATION
5/LES CELLULES DE LโINFLAMMATION
6/LES MEDIATEURS DE LโINFLAMMATION
6. 1/LES AMINES VASOACTIVES
6.2/LES PROTEASES PLASMATIQUES
6.3/LES MEDIATEURS LIPIDIQUES
6.3.1/LES EICOSANOIDES
6.3.1.1/LA VOIE DE CYCLOOXYGENASES
6.3.1.2/LA VOIE DES LIPOOXYGENASES
6.3.2/LE FACTEUR DโACTIVATION PLAQUETTAIRE
6.4/LES RADICAUX LIBRES OXYGENES ET NITRES
6.5/LES CYTOKINES ET LES CHIMIOKINES
6.5.1/LES CYTOKINES
6.5.2/LES CHIMIOKINES
7/LE TRAITEMENT DE LโINFLAMMATION
7. 1/LES ANTI-INFLAMMATOIRES STEROรDIENS
7.1. 1/RELATION STRUCTURE-ACTIVITE
7.1.2/MECANISME DโACTION
7.1. 3/CLASSIFICATION
7.1.3.1/LES GLUCOCORTICOรDES NATURELS
7.1.3.2/LES GLUCOCORTICOรDES DE SYNTHESE
7.1.4/PRINCIPALES INDICATIONS.
7.1.5/EFFETS INDESIRABLES
7.1.6/INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
7.2/LES MEDICAMENTS ANTI-INFLAMMATOIRES NON STEROรDIENS
7.2.1/DEFINITION
7.2.2/MECANISME DโACTION
7.2.3/CLASSIFICATION
7.2.4/EFFETS INDESIRABLES COMMUNS
7.2.5/INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
7.2.6/LES INDICATIONS
7.3/LES AINS DโACTION LENTE
7.4/LES NOUVELLES STRATEGIES THERAPEUTIQUES
7.4.1/MODIFICATIONS DE LโINFLAMMATION PAR LE REGIME ALIMENTAIRE
7.4.2/LES THERAPIES BIOLOGIQUES (BIOLOGICAL RESPONSE MODIFIER)
7.4.3/LES ANTI-TNF
7.4.4/DIMINUTION DE LA SECRETION DE TNF
7.4.5/NEUTRALISATION DU TNFฮฑ PAR DES ANTICORPS
7.4.6/NEUTRALISATION DU TNF PAR DES RECEPTEURS SOLUBLES
7.4.7/LES ANTAGONISTES DE LโINTERLEUKINE 1
8/TOXICITE DIGESTIVE DES ANTI-INFLAMMATOIRES
8.1/LES AINS
8.1.1/DIFFERENTES FORMES DE TOXICITE
8.1.2/FACTEURS FAVORISANTS LES ATTEINTES DIGESTIVES.
8.1.3/MECANISME DโACTION
8.1.4/RECHERCHE DโUNE AMELIORATION DE LA TOXICITE DIGESTIVE
8.2/TOXICITE DES AIS
9/LES METHODES DโETUDES DES ANTI-INFLAMMATOIRES
9.1/ERYTHEME AUX ULTRAVIOLETS CHEZ LE COBAYE
9.2/PERMEABILITE CAPILLAIRE CHEZ LE LAPIN
9.3/ลDEME DE LA PATTE DE RAT A LA CARRAGENINE
9.4/ลDEME DE LโOREILLE A LโHUILE DE CROTON
9.5/TEST DU GRANULOME A LA CARRAGENINE
9.6/ARTHRITE A LโADJUVANT DE FREUND
DEUXIEME PARTIE.
I/MATERIEL ET METHODE
1/MATERIEL
1.1/MATERIEL VEGETAL
1.2/ANIMAUX UTILISES
1.3/MATERIEL DE LABORATOIRE
2/METHODES
2.1/EXTRACTION ET FRACTIONNEMENT
2.1.1/EXTRACTION
2.1.2/CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE (CCM).
2.1.3/FRACTIONNEMENT SUR COLONE CHROMATOGRAPHIQUE
2.2/ETUDE DE LโACTIVITE ANTI-INFLAMMATOIRE
2.2.1/DESCRIPTION DU PLETHYSMOMETRE APELEX 05.7150
2.2.2/PRINCIPE DE LA METHODE
2.2.3/METHODOLOGIE
2.2.4 EXPRESSION DES RESULTATS DE LโACTIVITE ANTI-INFLAMMATOIRE
2.3/ETUDE DE LโACTIVITE ULCERIGENE
2.3.1/PRINCIPE DE LA METHODE
2.3.2/ PROTOCOLE EXPERIMENTAL
2.3.3/EXPRESSION DES RESULTATS
II/ RESULTATS
1/RENDEMENT DE LโEXTRACTION
2/CCM
3/FRACTIONNEMENT
4/ETUDE DE LโACTIVITE ANTI-INFLAMMATOIRE
4.1/EVALUATION DE LโOEDEME
4.2/EVALUATION DE LโACTIVITE ANTI-INFLAMMATOIRE
5/ETUDE DE LโEFFET DE LโEXTRAIT TOTAL DE LA PLANTE SUR LA MUQUEUSE GASTRIQUE
III/ DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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