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Sélection génétique :
La race Holstein est la race laitière la plus répandue au monde. Chaque pays réalise sa propre évaluation génétique qui devrait être enregistrée dans le Herd-book pour la confronter avec les résultats des autres pays. Les caractères les plus utilisés pour l’évaluation sont les caractères laitiers, morphologiques et fonctionnels (Colleau, J.J., 2004).
Le caractère laitier :
Pour juger un animal, on se base non seulement sur ses lactations mais aussi et surtout sur celles de ses parents et de ses collatéraux. On mesure la quantité ainsi que les taux protéique et butyreux qui constituent le principal indicateur de qualité du lait. On retient seulement les vaches qui ont les meilleures ascendances et descendances (Colleau, J.J., 2004).
Le caractère morphologique :
La morphologie de la vache est un critère exigé carrelle correspond à une réelle fonctionnalité d’élevage. La taille est utile car lle mesure la distance entre le pis et le sol qui a une corrélation positive aux risques de blessure et de l’infection des mamelles et des trayons. Une poitrine large reflète une bonne capacité d’ingestion. Le bassin doit être plus large que possible pour faciliter le passage du veau lors du vêlage. La vie productive d’une vache dépend étroitement de ses pattes car elles portent tout le poids du corps. Un bon sabot doit avoir une épaisseur de 4 à 5 cm au talon. Le pis doit être fonctionnel et proche du corps sans y être trop collé. Le volume doit être suffisant avec des trayons en position centrale et d’une longueur idéale de 5cm (Colleau,J.J. , 2004).
Le caractère fonctionnel :
Il s’agit de l’ensemble des critères permettant le bon déroulement de la production. Ce sont, surtout, la santé des pisqui est mesurée par le taux de cellules dans le lait, la durée de vie productive de la vache, la fertilité, le déroulement du vêlage et sa précocité (Colleau, J.J., 2004).
Généralités sur l’importation des Holstein à Madagascar :
L’arrivée des Holstein à Madagascar :
L’Etat a importé en deux vagues des génisses Holstein de la Nouvelle Zélande. La Nouvelle Zélande ainsi que la région de Vakinankaratra présentent des climats d’altitude montagneux. Le climat de la Nouvelle Zélande est très changeant mais il n’y a jamais de grande amplitude thermique (ni trop haute ni trop basse). Il ne gèle jamais et la température ne descend jamais en dessous de 5°C en hiver (Frogs, 2004). Ce qui lui diffère de la région de Vakinankaratra où la température peut chuter jusqu’à +1°C. En général, les températures moyennes des deux régions sont à peu près les mêmes (figure 1). La pluviométrie néo-zélandaise est assez élevée. Elle est une des régions les plus arrosées de la planète, ce qui lui confère un paysage encore vert en période hivernale (Frogs, 2004).
La région de Vakinankaratra, d’autre part, présente trois saisons bien distinctes à savoir (Monographie de la région de Vakinankaratra,2003).
– Une saison pluvieuse moyennement chaude du Novembre au Mars .
– Une saison fraîche relativement sèche du mois d’avril à Mai .
– Une saison fraîche relativement froide du Juin à Septembre.
En 2005, 914 génisses suivies de 1200 têtes en 2006ont été importées. Elles sont classées en trois groupes selon leur âge: Le premier groupe est constitué de génisses âgées de 8 à 10 mois, le deuxième celles de 12 à 15 mois et le troisième de celles qui sont déjà gestantes à l’arrivée.
Ces animaux ont été déjà isolés 15 jours avant deuitterq leur pays d’origine pour une surveillance sanitaire. Elles sont ensuite arrivées au port de Toamasina après un long voyage par voie maritime de un mois environ. A l’arrivée, les génisses ont été mises en quarantaine selon la loi impliquée sur l’importation des animaux à Madagascar. Pendant cette quarantaine, leur santé a été suivie strictement par des Médecins Vétérinaires afin d’assurer qu’on n’a pas introduit des maladies dangereuses sur notre territoire. Cet isolement a duré 45 jours suivant les dépositions du code zoo sanitaire international.
Les engagements de l’Etat et des bénéficiaires:
L’Etat qui est l’importateur de ces génisses a une grande responsabilité sur le bon déroulement de l’élevage. L’Etat a dispensé une formation sur l’élevage laitier moderne afin de mettre les éleveurs à la hauteur des compétences nécessaires pour l’élevage des vaches laitières performantes. La formation a été assurée par des techniciens de la DIREL (Direction Régionale de l’Elevage). Le contenu consistait en l’alimentation, la santé animale, les techniques de détection de chaleur et de l’insémination artificielle et de la transformation du lait. L’Etat garantit aussi le suivi sanitaire de ces animaux en collaborant avec les vétérinaires mandataires dans les zones où se trouve la ferme. En revanche, les éleveurs doivent respecter un cahier de charge qui inclut la réhabilitation ou la construction de l’étable suivant le plan émanant du Ministère, un système d’alimentation animale et de la culture fourragère. En général, le calendrier de la rotation des cultures fourragères suit les recommandations de la FIFAMANOR dans la région de Vakinankaratra. Les éleveurs sont incités à collaborer avec le vétérinaire mandataire de leur zone pour tout problème sanitaire des animaux.
Les conditions de la réussite à l’élevage laitier :
L’objectif de tout éleveur laitier est d’avoir le maximum de production au moindre coût. Pour donner une meilleure production à chaque vache, il lui faut maîtriser l’alimentation, la reproduction et la santé animale.
Alimentation animale
L’alimentation tient une grande place pour l’élevage laitier. Elle se donne en fonction de l’âge, de l’état et du poids de l’anima l. Il existe deux périodes critiques pour l’alimentation de la vache laitière : le débutde lactation et le tarissement.
Alimentation au début de la lactation
Après avoir mis bas, le besoin énergétique de la vache augmente en flèche suite à l’augmentation rapide de sa production laitière q ui atteint son maximum vers la 3ème ou 4ème semaine. En ce moment, un apport de supplément alimentaire suffisant est indispensable. Pendant cette période, la vache puise ses réserves corporelles pour assurer le démarrage de la production laitière. L’alimentation doit donc répondre à la fois au besoin d’entretien de l’animal et au besoin de production (Wolter,R., 1992; Wheeler,B., 1996).
Le besoin d’entretien assure toutes les dépenses vitales de l’organisme, comme la régulation thermique, le travail musculaire improductif, la respiration, etc. Il dépend surtout du poids vif de l’animal.
Détection de chaleur
La chaleur ou encore appelée l’oestrus, chez la vache revient tous les 21jours. Elle dure en moyenne 14 heures. Sa détection est très importante car la réussite de l’insémination en dépend entièrement. On reconnaîthabituellement une vache en chaleur par son acceptation de chevauchement, par son attitude inhabituelle et par la présence des écoulements clairs transparents au niveau de la vulve (Luening, R.A., 1997).
Cependant, il est parfois difficile d’observer la chaleur des vaches. C’est la nécessité d’avoir une fiche de contrôle individuelle des vaches. La nature de l’étable a aussi une influence sur le chevauchement des vaches. Il faut des aires d’exercice suffisamment large avec un sol offrant un bon appui pour le sabot pour mettre les vaches à l’aise à la montée. Il est essentiel aussi d’avoir un bon état des pieds (Blair,M., 1996).
L’avortement
C’est l’expulsion prématurée d’un fœtus mort. Elle peut être due à un traumatisme abdominal ou à un accident lors d’une m auvaise manipulation humaine, par exemple pendant une palpation rectale ou par utilisation des médicaments anti-inflammatoires. L’infection de l’utérus en est aussi une des causes. Il y a des infections spécifiques qui peuvent entraîner l’avortement comme la brucellose, la leptospirose, la toxoplasmose, l’aspergillose. L’avortement, quelqu’ en soit la cause, diminue la production laitière et est fréquemment compliqué par la non délivrance (Aacila,N., 2001).
La rétention placentaire
La rétention placentaire ou encore appelée « la no délivrance » est la persistance partielle ou totale des enveloppes fœta les dans l’utérus au-delà de 24 heures après la mise bas. Il se passe normalement 6 à 8 heures après le vêlage. Elle est liée à de nombreux facteurs tels que : la race, les fortes productrices de lait courent un plus grand risque par rapport à celles qui en produisent peu ; le rang du vêlage, il apparait surtout à partir du 3ème vêlage.
La cause la plus fréquente en est l’erreur alimentaire à la conception et au tarissement. Elle peut survenir aussi à la suite d’ une dystocie (Wolter,R.,1992).
La métrite
C’est l’infection de l’utérus qui se manifeste par un écoulement de liquide purulent nauséabond au niveau de la vulve. Elle estdue au développement des bactéries anaérobiques dans l’utérus, comme l’Escherchia coli, les Clostridium …. Son traitement coûte très cher et la reforme précoce dela vache à cause de la diminution de la performance de la reproduction aboutit à un déséquilibre de l’économie de l’élevage. La production laitière diminue de 100 à 400 kg pendant une lactation (Aacila,N,2001).
On peut réduire cette infection en respectant l’hygiène du bâtiment. Les vaches affectées doivent être traitées immédiatement pouréviter la propagation des agents d’infection et surtout pour réduire son impact sur la fertilité de la vache (Aacilla., 2001; Anderson, N., 2002).
Affection de l’appareil locomoteur :
Les pattes des vaches jouent un rôle important sur sa vie entière car elles supportent tout le poids de son corps. La race laitière est plus sensible à l’affection des pieds que les autres races à cause des besoins exce ssifs en calcium des productrices de lait. L’usure de sabot a pour cause la décalcification. Elle se manifeste généralement par la boiterie et parfois entraîne une trouble de l’état général de l’animal et surtout une diminution brusque de la production laitière (Anderson,N., 2002)..
L’affection se localise soit au niveau de tissu cutané ou sous-cutané de l’onglon, soit au niveau des articulations inter digitées. Le diagnostic se fait en observant la boiterie :
Affection de l’extrémité des membres : boiterie d’appui.
Lésion au niveau de talon : appui en pince.
Affection de la région proximale : boiterie d’élévation.
La nature du sol, l’humidité et l’hygiène de la litière jouent une grande place dans la prévention de l’affection des pieds. Les pieds des bovins sont très adaptés à un sol meublé comme celui de la prairie mais assez mal au sol dur comme les aires bétonnées, cimentées ou pavées. L’humidité et lauillureso des sols dues à la présence des déjections favorisent les affections des pieds les plus observées chez la vache laitière (Flaba, J., 1998).
La boiterie peut être réduite en nettoyant fréquemment le bâtiment des vaches et en le gardant sec, grâce à une bonne ventilation. L a meilleure façon est de placer un revêtement synthétique souple et non glissant surel sol pour avoir une condition de circulation proche de celle que les animaux rencontrent en prairie (Flaba, J., 1998).
Maladies nutritionnelles :
Les vaches laitières sont très sensibles aux erreurs alimentaires. Un déséquilibre nutritionnel durant ces périodes entraîne des troubles sur la santé animale et surtout sur la production laitière (Walter,S.,2001).
Fièvre du lait
C’est un syndrome d’hypocalcémie qui survient dans les 48 heures après le vêlage. Elle affecte surtout les fortes productrices dès leur 2ème vêlage. Elle est due à un excès ou carence en calcium de la ration pendant la période de tarissement et qui empêche la mobilisation du calcium après le vêlagealors que le besoin en calcium de la vache augmente. La vache est alors paralysée et peut mourir si l’intervention a lieu trop tard. Il faut intervenir le plus tôt possible en pe rfusant l’animal avec du calcium. Le mieux est de prévenir le cas en respectant la conduite alimentaire durant le tiers fin de la gestation (Rérat,M., 2005)
Déplacement de la caillette
Il est dû à un apport excessif du concentré et un manque de fibres dans la ration alimentaire de la vache. Il a une fréquence accrue chez les races laitières. C’est la torsion de la caillette à gauche ou à droite de sa position normale et qui peut finir par son obstruction. Sa prévention consiste à équilibre la ration alimentaire.
L’acétonémie
L’acétonémie survient surtout chez les vaches à forte production laitière à partir de la 5ème semaine de la lactation. Si la vache a un excès de réserve graisseuse au moment du vêlage, ces graisses sont utilisées par’animal pour combler son besoin de lactation. Ceci génère une production excessive du corps cétoniques qui n’est utilisée que par quelques organes du corps comme le cœur. Il entraîne alors une accumulation de déchets dans le sang, dans le lait et dans les urines. Cela accompagne chez la vache une diminution de l’appétit et de la production laitière. Bref, l’alimentation joue un rôle très important su r la production laitière. Seule une ration équilibrée permet à une vache laitière ’atteindre son potentiel génétique de production.
L’ambiance des animaux
Sur les 10 fermes enquêtées, 70% sont de nouvelles exploitations créées depuis l’arrivée des Holstein dont 40% sont individuelles, c’est-à-dire appartenant à un foyer, tandis que les 30% sont gérées par des groupes d’individus, familles ou établissements dont l’activité principale n’est pas l’élevage. Le lot restant (30%) est déjà des fermes laitières qui élèvent une autre race. Tous les éleveurs sont apparemment séduits par la réputation de la Holstein et c’est cette réputation qui les a convaincus de l’acheter.
Dans la plupart des fermes, l’eau est assurée par des puits qui tarissent durant la saison sèche mais les propriétaires ont déjà pensé à améliorer la situation en créant des châteaux d’eau ou en s’adressant au JIRAMA.
Les étables sont murées en bois ou en brique selonl’investissement car la construction en brique est beaucoup plus chère. Le sol est cimenté et le toit est en tôles ou en tuiles selon le pouvoir d’achat de chacun. Ces étables sont en stabulation libre, parfois avec logettes qui séparent les animaux au niveau de la mangeoire. Lesaires d’exercice sont étroites et limitent la circulation des vaches en rendant difficile le chevauchement entre les vaches. Les éleveurs pratiquent l’élevage semi intensif pour faire marcher les vaches et pour profiter des herbes naturelles dans les collines. Les animaux sont sortis après la traite du matin entre 5 et 7 heures et rentrent à midi.
Gestion de la ferme :
Les 70% des fermes enquêtées sont gérées par des ployésem : les uns sont des ouvriers ayant ou non des expériences sur l’élevage laitieret les autres sont des techniciens d’élevage ou techniciens d’agriculture. Pour les 30% , ce sont les propriétaires qui s’occupent de l’élevage.
Pour les 4 fermes d’Andravola Vohipeno, 1 ferme d’A ndohafarihy, 1 ferme d’Ambatotsipihina, 1 ferme d’Ambohipihaonana, le la it est ramassé sur place par les collecteurs d’Ihazolava. Les derniers vendent le lait aux grossistes d’Antananarivo. Le prix du lait de ferme est de 600 Ariary. Pour la ferme d’Antsirabe, le lait est collecté par la société TIKO au prix de 600 Ariary. La traite se fait, pour 90% des fermes, à la main et deux fois par jour de 5 à 7 heures du matin et de 15 à 18 heures le soir.
Consultation vétérinaire et inséminateur :
Pour l’insémination, l’Etat a ordonné de ne pas inséminer les génisses qu’avec des semences Holstein. La semence Holstein était disponible auprès de la DIREL au départ, au prix de 15000 Ariary la dose mais il y avait un moment où ces semences étaient épuisées.. Les éleveurs font appel au service d’insémination d’Antananarivo au moment de chaleur d’une ou de quelques vaches. Actuellement les semences Holstein sont disponibles chez Fertiles, une société de distribution de matériaux agricoles ethezc TIKO au prix 30000 Ariary la dose.
Chaque année, il y a une campagne de vaccination anti-charbonneuse (contre les charbons symptomatique et bactéridien). La dose coûte 400 Ariary. Ils utilisent le BICHARCOLI® pour lutter à la fois contre les deux charbons et la colibacillose hivernale. La campagne a lieu en général avant l’arrivée de l’ hiver.
Le déparasitage se fait tous les trois mois. Le principal parasite est la douve du foie. Une injection d’une dose d’anti-douve coûte aux ale ntours de 2000 Ariary selon la distance entre la ferme et le cabinet vétérinaire. Les éleveurs font venir le Vétérinaire en cas de maladies inquiétantes comme les maladies nutritionnelles. Pour les infections familières, ils injectent eux-mêmes les antibiotiques et les vitamines.
Cultures fourragères :
Pour la culture fourragère, L’Etat a donné des terrains à certains éleveurs qui pouvaient s’installer dans les zones où il y avait de larges terrains non exploités. Les problèmes des zones que nous avons visitées concernent les points suivants :
· L’eau, elle dépend entièrement de la précipitation.
· le sol, il a une faible rétention d’eau .
· et par conséquent, la production fourragère n’est pas totalement maîtrisée.
La rotation de culture dans la région se fait sous l’encadrement de la FIFAMANOR.
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Table des matières
Partie1 Généralités
I Généralités sur la race Holstein
1. Historique
2. Morphologie
3. Potentialité de la race
4. Sélection génétique
4.1. Le caractère laitier
4.2. Le caractère morphologique
4.3. Le caractère fonctionnel
II. Généralités sur l’importation des Holstein à Madagascar
1. L’arrivée des Holstein à Madagascar
2. Distribution des génisses
3. Les engagements de l’Etat et des bénéficiaires
III. Les conditions de la réussite à l’élevage laitier
1. Alimentation animale
1-1. Alimentation au début de la lactation
1-2. Alimentation en période de tarissement
2. Maîtrise de la reproduction
2-1. Détection de chaleur
2-2. Moment idéal de l’insémination artificielle
2-3. Santé de l’appareil reproducteur
3. La santé animale
3.1. Les mammites
3-2- Affection de l’appareil locomoteur
3-4. Maladies nutritionnelles
Partie 2 Matériels et méthodes
I. Choix de la région et des fermes enquêtées
II. Enquête
1. Collecte d’information
2. Hypothèse de travail
3. Attendus de l’enquête
3.1. Objectif global
3.2. Objectifs spécifiques
4. Technique d’approche
III. Paramètres mesurés
1. Paramètres zootechniques
2. Paramètres économiques
2.1. Recettes
2.2. Dépenses
IV. Méthodes d’analyse
1. Calcul de la moyenne
2. Calcul économique
3. Mesures analytiques
4. Exploitation des données
Partie 3 Résultats
I. Résultats généraux
1. L’environnement des fermes
1.1. Composition du cheptel
1.2. L’ambiance des animaux
1.3. Gestion de la ferme
1.4. Consultation vétérinaire et inséminateur
1.5. Cultures fourragères
1.6. Complément alimentaire
2. Les productions obtenues
2.1. Production laitière
2.2. Résultat de la reproduction
2.3. Production pondérale
2.4. Santé animale
3. Calculs économiques
3.1. Etude du cas de référence optimale théorique
3.1.1. Hypothèse de travail
3.1.2. Rendement des élevages du cas de référence
3.1.3. Dépenses de l’élevage du cas de référence
3.1.4. Compte d’exploitation du cas de référence
3.2. Etude économique du cas réel
3.2.1. Hypothèse de travail du cas réel
.3.2.2. Rendement des animaux
3.2.3. Dépenses de l’élevage du cas réel
3.2.4. Compte d’exploitation du cas réel
Partie 4 Suggestions
I. Discussion
1. Sur le plan technique
1.1. L’alimentation
1.2. La reproduction
2. Sur le plan administratif
2.1. Origine des animaux
2.2. Problème commercial
2.3. Problème financier
II. Propositions
1. Résolution des problèmes existants
1-1. Amélioration de la conduite d’élevage
1-2. Surveillance de l’élevage
1-3. Amélioration du commerce du lait
2. Applications des nouvelles techniques
2-1. Amélioration de l’alimentation
2-2. Amélioration de la reproduction
Conclusion
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