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Pouvoir allergène
L’infection péripneumonique tout comme l’immunisation contre la maladie se double d’un état d’hypersensibilité spécial à MmmSC et à ses produits métaboliques. Cet état d’hypersensibilité est un phénomène d’Arthus, mais les auteurs soupçonnent également l’intervention d’une hypersensibilité retardée (HUDSON, 1972). L’intervention de cette allergie serait à l’origine de toute la pathogénie de la maladie (PROVOST, 1969).
Résistance
In vivo, les travaux de DAVIES et ceux de MORNET et al. cités par SANT’ANNA, 1977, signalent la persistance du germe péripneumonique dans les ganglions lymphatiques, les séquestres et même sous la peau des bovins.
Résistance aux agents physiques
MmmSC est faiblement résistant dans le milieu extérieur, 2 à 3 jours dans les régions tropicales 1 à 2 semaines dans les pays tempérés. MmmSC est vite détruit par la chaleur, la lumière, les ultraviolets et les ultrasons. Cependant, MmmSC est conservé par le froid et la lyophilisation et possède une relative résistance au choc osmotique attribué à la richesse en cholestérol de la membrane cytoplasmique.
Résistance aux agents chimiques
Le germe péripneumonique est détruit par :
Les agents mouillants : la saponine, la digitonine, la bile, les sels biliaires dont le désoxycholate de sodium à une concentration de 3×10-5 moles ; tous les antiseptiques usuels sont actifs : phénol à 1 % en 3 minutes, le formol à 0,5 % en 30 secondes, le sublimé à 0,01 % en 1 minute, le lait de chaux en moins de 5 minutes, l’éther en moins de 5 minutes, le mercurochrome à 0,004% en 1 heure. Divers antibiotiques comme : les tétracyclines, les macrolides, le chloramphénicol (CAMARA, 1971 ; PROVOST, 1974a).
D’autres médicaments sont actifs contre le germe : Le Novarsénobenzol, quelques agents redox, certains composée mercuriels et arsenicaux, le nitrofurane et la mépacrine (ORUE et MEMERY, 1961).
Cependant MmmSC est résistant à l’alcool, à l’acide borique, aux pénicillines, aux sulfamides et aux polypeptides, à l’acétate de thallium, au cristal violet (HUDSON, 1972).
EPIDEMIOLOGIE EN AFRIQUE
La PPCB, « maladie du passé » pour MARTEL et al, 1991, semble avoir trouvé en Afrique les conditions nécessaires à sa persistance.
Epidémiologie descriptive
¾ Evolution dans le temps
La maladie sévit en toute saison, plus particulièrement en saison sèche.
¾ Evolution dans l’espace
Dans les régions anciennement infectées, l’évolution est enzootique et se traduit par l’apparition des cas sporadiques en général subaigus. Dans les zones indemnes ou assainies, la PPCB se développe très rapidement sous forme épizootique avec la prédominance des cas aigus.
¾ Evolution dans un effectif
Elle se fait sous forme de cas se succédant sur plusieurs semaines à plusieurs mois, avec l’apparition de cas aigus d’abord, subaigus ensuite, et enfin chroniques. En cas de résurgence, ce sont les nouveaux venus qui sont atteints.
Epidémiologie analytique
Les sources de contagion :
Nous avons les porteurs (sains, précoces et chroniques), les malades éliminant le germe dans l’environnement. Un grand nombre de germes est éliminé à travers l’air expiré, le jetage nasal, le liquide pleural, l’urine (lors de l’atteinte rénale), et le sang.
Réceptivité et sensibilité :
• Les facteurs intrinsèques : le premier facteur est l’espèce : seuls les bovinés sont affectés. Les races telles que les zébus Massaï et Borona, et les Taurins Somba et Baoulé sont résistantes. Par contre, le Taurin Ndama et les races exotiques sont très sensibles. Enfin dans un troupeau, certains individus peuvent être résistants (MASIGA et al, 1996 ; PROVOST et al, 1987).
• Les facteurs extrinsèques :
Nous avons les facteurs prédisposants, qui entraînent la diminution de la résistance des animaux tels que la fatigue physique, la dénutrition, le parasitisme, les infections intercurrentes, et les diverses agressions pouvant entraîner le réveil d’un séquestre.
Les facteurs favorisants sont ceux qui favorisent la contamination tels que les échanges des bovins entre familles alliées ou amies (YABOURI, 1974), le nomadisme, la transhumance, les rassemblements autour des points d’eau et des marchés à bétail, le vol de bétails, les guerres avec les déplacements de populations qu’elles occasionnent (MASIGA et al, 1996).
¾ Mode de transmission :
• Mode de contagion : la contagion se fait sur un mode direct, à l’occasion de contacts étroits prolongés et répétés entre animaux malades et animaux sains. Elle requiert l’inhalation de gouttelettes émises par les malades. Mais la contagion sur le mode indirect est possible mais rare, à partir des mares, des aliments souillés, et des locaux infectés.
• Voies de pénétration : C’est principalement la voie respiratoire par inhalation de particules virulentes, et de gouttelettes d’urines. Le voies sous-cutanée et intradermique sont beaucoup plus utilisées expérimentalement (SANT’ANNA, 1977).
Epidémiologie synthétique :
Le recul de la maladie tient aux mesures de prophylaxie sanitaire et médicale mise en œuvre : les mesures de prophylaxie sanitaire (abattage) effectuées par la Zambie en 1976 a permis de se débarrasser de la maladie (DOUTRE, 1975 ; AKAFEKWA, 1975).
La PPCB est la maladie des troupeaux en déplacement. En Afrique, la transhumance, le nomadisme, le commerce de bovins des pays sahéliens vers les pays côtiers (AKAKPO et al, 1999), la sécheresse (qui favorise la concentration des animaux dans les zones favorables), constituent les facteurs d’entretien de la maladie. En Afrique centrale et en Afrique de l’Est, en plus des éléments cités plus haut, les déplacements transfrontaliers d’animaux suite aux guerres, qui contribuent à entretenir la maladie (MASIGA et al, 1996) ont été signalés, et de ce fait des pays assainis restent en permanence menacés.
Epidémiologie prédictive
La PPCB a encore de beaux jours devant elle en Afrique à cause du caractère généralement chronique et insidieux de la maladie, la rétention d’information sur la présence de la maladie par les éleveurs, la couverture vaccinale incomplète, les conflits armés (MASIGA et al, 1996), l’importation de bovins sur pied en provenance de zones endémiques, les concentrations d’animaux autour des points d’eaux (PROVOST et al, 1987).
DIAGNOSTIC
Le diagnostic est facile en milieu d’enzootie, difficile en milieu indemne.
Nous allons aborder d’abord le diagnostic sur le terrain, et ensuite le diagnostic expérimental.
Sur le terrain
Les éléments tels que : la situation en zone infectée, la présence d’animaux venant de zones infectées, les cas se succédant pendant plusieurs mois suivant le déplacement des sujets, enfin le caractère respiratoire de la maladie présentant une contagiosité lente, irrégulière, insidieuse, feront penser à la PPCB ; on suspectera la PPCB lors du développement de troubles généraux fébriles, accompagnés par l’apparition de signes fonctionnels de pleuropneumonie à évolution rapide vers une dépression respiratoire fatale, ou vers un portage chronique avec amaigrissement ; à l’autopsie, on cherchera les lésions, de pleurésie, d’hépatisation des poumons (figure 3), de séquestres (figure 4), la présence de fibrines sous formes « d’omelettes » sur le poumon et aussi du liquide pleural (figure 5, page 24) caractéristiques de la PPCB.
SITUATION ET LUTTE CONTRE LA PPCB AU CAMEROUN
SITUATION DE LA PPCB AU CAMEROUN
La situation de la péripneumonie contagieuse bovine au Cameroun n’est pas bien connue, aucune enquête n’ayant été menée à l’échelle nationale. Les informations disponibles découlent des déclarations effectuées par les agents du programme PACE (Programme Panafricain de Contrôle des Epizooties) durant la période d’exécution de ce projet qui a démarré au Cameroun en 2004. De 2005 à 2007, des suspicions de foyers PPCB ont été faites dans les régions du Nord, de l’Adamaoua, de l’Extrême-nord, du Nord-ouest, de l’Ouest et du Sud-ouest (Tableau IV page 34 et Figure 6 page 36).
Les suspicions de foyers répertoriées dans le tableau IV ont été effectuées dans le cadre du réseau d’épidémio-surveillance du PACE dont l’objectif premier était l’obtention du statut de pays indemne de peste bovine. Ces suspicions, basées sur des symptômes et quelquefois des lésions, ont été effectuées dans la province du Nord et ensuite dans la province de l’Extrême-Nord. Malheureusement, elles n’ont pas tous fait l’objet de prélèvements. Il faut noter que certaines suspicions ont été déclarées dans l’Adamaoua, bien que cette zone soit supposée indemne de PPCB.
Méthodes de prélèvements sur le terrain
Visite des foyers sur le terrain
Le 25 septembre 2008, nous avons visités un foyer suspect de PPCB dans l’arrondissement de Gazawa qui a été déclaré par les services vétérinaires compétents. Située à une trentaine de kilomètres de Maroua, l’arrondissement de Gazawa connait depuis plusieurs d’années des foyers de PPCB ; c’est une localité qui possède un grand nombre de troupeaux de bovins, mais nous avons visité un troupeau suspect composé de soixante-quatorze bovins, âgés tous de plus de trois ans, nous avons noté treize malades qui présentaient des signes cliniques pouvant faire penser à la PPCB. L’éleveur nous a fait savoir que deux animaux sont morts il y’a une semaine. Nous avons fait courir les treize animaux sur une distance d’environ 300m et nous les avons examinés a nouveau afin de déceler ceux qui présentent des manifestations suspectes. Suite à cela, deux animaux ont été conduit à l’abattoir.
Prélèvements des lésions pulmonaires aux abattoirs
Les prélèvements ont été effectués du 01 Août 2008 au 05 Janvier 2009. Ils ont été faits dans les deux abattoirs de la ville de Maroua.
Avant le prélèvement, le poumon suspect est examiné puis palpé afin de déceler les lésions d’hépatisation et de séquestres sur l’organe.
Le prélèvement est souvent constitué d’un fragment de poumon lésé et un fragment de poumon sain sans oublier les ganglions trachéobronchiques et médiastinaux ; chaque prélèvement est mis dans un pot qui est identifié (numéro d’identification, sexe de l’animal, date de prélèvement, nature du prélèvement) ; une fiche de renseignement accompagne chaque pot. (Voir fiche de prélèvement en annexe).
Conservation et transport
La conservation de ces pots a été faite dans une caisse isotherme (contenant des icepacks) de l’abattoir jusqu’à la Délégation Régionale de l’Elevage de Maroua où ils sont conservés dans un congélateur à -20°C.
Le transport des prélèvements de la Délégation Régionale de Maroua au LANAVET de Garoua a été effectué dans une caisse isotherme, toujours sous le bénéfice du froid.
Méthodes d’analyse au laboratoire
Isolement et identification du germe
Isolement
Au laboratoire, les prélèvements sont enregistrés. Les milieux : «bouillon infusion cœur » (HIB) et gélose (HIA) ont été utilisé pour l’isolement. Après homogénéisation des prélèvements solides (poumon, ganglion), Quatre tubes de bouillon (HIB) sont ensemencés pour avoir des dilutions allant de 10 à 10-3. Après une incubation des bouillons à 37°C jusqu’à dix jours, les tubes à croissance positive et non contaminés sont repiqués sur le milieu solide (HIA) en boite de pétri en vue de l’isolement.
Le clonage
Trois clonages successifs sont effectués afin d’obtenir une culture pure.
Après avoir isolé une colonie suspecte de MmmSC sur gélose, le repiquage est fait sur HIB ; après incubation à 37°C jusqu’au développement qui peut aller à 10 jours, nous repiquons sur gélose, puis l’incubation est faite de nouveau. La colonie suspecte qui présente l’aspect d’un « œuf sur le plat » est ensemencé dans du HIB et ceci jusqu’a 3 fois pour l’obtention d’une culture pure.
Identification biochimique
Des réactions biochimiques orientent l’identification de Mycoplasma mycoides subsp. mycoides SC : ce sont la fermentation du glucose, l’hydrolyse de l’arginine, la réduction des sels de tétrazolium et la recherche de la phosphatase. Le test de la sensibilité à la digitonine permet la distinction entre les mycoplasmes (sensibles) et les Acholeplasmes, non sensibles à la digitonine.
Fermentation du glucose
Après avoir ajusté le pH entre 7,6-7,8, assuré la stérilisation par filtration, la répartition du milieu HIB au rouge de phénol est faite dans les 7 tubes à vis à raison de 5 ml par tube.
Ensemencement et incubation :
6 milieux de cultures sont ensemencés avec 1ml de culture à identifier. Le tube témoin ne comporte que le milieu H.I.B au rouge de phénol; les tubes sont incubés à 37°C pendant 72h à 2 semaines.
Lecture et interprétation :
L’examen des tubes se fait quotidiennement. Le témoin non inoculé doit rester inchangé et ne pas montrer de changement de pH au terme des 2 semaines d’observation.
Une réaction est considérée comme positive si les 6 tubes inoculés avec la culture à identifier montrent un changement de pH (coloration jaune) par rapport au pH du témoin.
Hydrolyse de l’Arginine
Après avoir ajusté le pH à 7,5, la stérilisation par filtration, la répartition du milieu HIB au rouge de phénol est faite dans les 7 tubes à vis à raison de 5 ml par tube.
Ensemencement et incubation
6 milieux de cultures sont ensemencés avec 1ml de culture à identifier. Le tube témoin ne comporte que le milieu H.I.B au rouge de phénol; les tubes sont incubés à 37°C pendant quatre jours.
Lecture et interprétation
L’hydrolyse de l’arginine se traduit par l’alcalinisation du milieu qui vire au rouge. La couleur du tube témoin négatif reste inchangée.
Réduction des sels de Triphényltétrazolium
Après avoir ajusté le pH à 7,5, la stérilisation par filtration, la répartition du milieu HIB est faite dans les 6 tubes à vis à raison de 5 ml par tube.
Ensemencement et incubation
Nous disposons d’un portoir muni des tubes à étranglement qui comprend deux parties : le fond du tube (anaérobie) et à la partie supérieure du tube (aérobie) séparés par une bille. Avec une pipette Pasteur, nous ensemençons d’abord la partie anaérobie du tube et ensuite la partie aérobie. Les tubes sont incubés à 37°C pendant quatre jours.
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Table des matières
INTRODUCTION
Chapitre 1 : Élevage Bovin au Cameroun
1. Présentation du Cameroun
1.1 Milieu Physique
1.1.1 Situation géographique, relief et hydrographie du Cameroun
1.1.2 Végétation
1.2 Milieu Humain
2. Importance de l’élevage au Cameroun
3. Cheptel bovin
4. Typologie des systèmes d’élevage au Cameroun
4.1 Système Pastoral
4.2 Système semi-intensif
4.3 Système intensif
5. Contraintes de l’élevage
5.1 Contraintes zootechniques
5.2 Contraintes nutritionnelles
5.3 Contraintes pathologiques
CHAPITRE 2 : GENERALITES SUR LA PERIPNEUMONIE CONTAGIEUSE BOVINE (PPCB)
1. Introduction
1.1 Définition-Synonymie
1.2 Historique
1.3 Répartition géographique
1.4 Importance
1.5 Espèces affectées
2. Etiologie
2.1 Taxonomie :
2.2 Propriétés physico-chimiques et culturaux :
2.2.1 Morphologie:
2.2.1.1 En milieu liquide
2.2.1.2 En milieu solide après coloration
2.2.1.3 Au Microscope électronique
2.2.2 Propriétés physico-chimiques
2.2.2.1 Propriétés physiques
2.2.2.2 Propriétés chimiques
2.2.3 Culture
2.3 Propriétés biologiques
2.3.1 Pouvoir pathogène
2.3.1.1 Nature
2.3.1.2 Dans les conditions naturelles
2.3.1.3 Dans les conditions expérimentales
2.3.2 Pouvoir antigène
2.3.2.1 Composantes
2.3.2.2 Manifestations
2.3.2.3 Cinétique d’apparition des anticorps
2.3.3 Pouvoir immunogène
2.3.4 Pouvoir allergène
2.4 Résistance
2.4.1 Résistance aux agents physiques
2.4.2 Résistance aux agents chimiques
3. Epidémiologie en Afrique
3.1 Epidémiologie descriptive
3.2 Epidémiologie analytique
3.2.1 Les sources de contagion :
3.2.2 Réceptivité et sensibilité :
3.3 Epidémiologie synthétique :
3.4 Epidémiologie prédictive
4. Diagnostic
4.1 Sur le terrain
4.2 Diagnostic expérimental ou de laboratoire
4.2.1 Diagnostic histologique
4.2.2 Diagnostic microbiologique direct
4.2.2.1 Diagnostic bactérioscopique
4.2.2.2 Diagnostic bactériologique
4.2.2.3 Mise en évidence de l’antigène
4.2.3 Diagnostic microbiologique indirect
5. LUTTE
5.1 Traitement
5.2 Prophylaxie
5.2.1 Prophylaxie sanitaire
5.2.1.1 Prophylaxie sanitaire défensive
5.2.1.2 Prophylaxie sanitaire offensive
5.2.2 Prophylaxie médicale
CHAPITRE 3 : Situation et lutte contre la PPCB au Cameroun
1. Situation de la PPCB au Cameroun
2. Moyens de lutte mis en place au Cameroun et leurs limites.
DEUXIEME PARTIE: ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES DANS LES ABATTOIRS DE MAROUA
CHAPITRE 1 : Matériel et méthodes
1. ZONE ET PERIODE D’ETUDE
2. MATERIEL
2.1 Sur le terrain
2.2 Au laboratoire
2.2.1 Bactériologie
2.2.2 PCR
3. Méthodes
3.1 Méthodes de prélèvements sur le terrain
3.1.1 Visite des foyers sur le terrain
3.1.2 Prélèvements des lésions pulmonaires aux abattoirs
3.1.3 Conservation et transport
3.2 Méthodes d’analyse au laboratoire
3.2.1 Isolement et identification du germe
3.2.1.1 Isolement
3.2.1.2 Le clonage
3.2.1.3 Identification biochimique
3.2.1.3.1 Fermentation du glucose
3.2.1.3.2 Hydrolyse de l’Arginine
3.2.1.3.3 Réduction des sels de Triphényltétrazolium
2.2.1.3.4 Recherche de la phosphatase
3.2.1.3.5 Sensibilité à la Digitonine
3.2.1.4 Inhibition de croissance
3.2.2 La PCR
3.2.2.1 Préparation de l’échantillon
3.2.2.2 Préparation du Mix (Pool)
3.2.2.3 Amplification
3.2.2.4 Détection et identification du produit de PCR sur gel d’électrophorèse
3.2.2.4.1 Principe de détection et d’identification :
3.2.2.4.2 Electrophorèse
3.2.2.4.3 Révélation de l’ADN amplifié
3.2.2.4.4 Lecture des résultats
3.2.3 La sensibilité aux antibiotiques
3.2.3.1 La concentration minimale inhibitrice (CMI)
3.2.3.2 Titrage de l’inoculum
CHAPITRE 2 : Résultats
1. Récolte des prélèvements
1.1 Sur le terrain
1.2 Aux abattoirs
2. Analyse de laboratoire
3. Tests biochimiques
4. TEST D’INHIBITION DE CROISSANCE.
5. PCR
6. Résultats de la sensibilité aux antibiotiques
6.1 La CMI
7. Le Titrage de l’inoculum
CHAPITRE 4 : DISCUSSIONS – RECOMMANDATIONS
1. Matériel
1.1 Milieux d’étude
1.2 Matériel proprement dit
2. Méthodes utilisées
3. Résultats
3.1 Bactériologie
3.2 Sensibilité aux antibiotiques
3.3 Tests biochimiques
3.4 Titrage de l’inoculum
4. Recommandations
4.1. Aux éleveurs
4.2 A l’Etat
4.3 Aux techniciens de l’élevage
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
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