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ETUDE DESCRIPTIVE DE LA PLANTE
Acacia nilotica est originaire d’Afrique orientale (Soudan, Nubie…). C’est un arbre de 10 à 12 m de haut pouvant atteindre 20 m en zone humide avec un fût droit cylindrique. La cime possède un aspect arrondi. L’écorce de couleur
brune foncée est profondément fissurée de manière striée. Les rameaux sont verts olives ou brunâtres. Les épines, disposées par deux à la base des feuilles, sont droites lorsqu’elles sont longues et, parfois en crochet lorsqu’elles sont courtes (figure 1).
Les feuilles
Elles sont de couleur vert grise, alternes et composées bipennées avec 2 à 14 paires de pennes. Le pétiole mesure 0,5 à 2,5 cm de long. Le rachis porte 2 à 8 paires de pinnules longues de 10 à 15 mm. Les folioles sont composées de foliolules très fines avec 2 à 8 paires de pinnules longues de 9 à 26 mm (figure 2a).
Les fleurs
Les fleurs sont de couleur jaune or, parfois en boules au sommet du rameau. Elles sont bisexuées ou mâles. Les lobes du calice mesurent 1 à 2 mm de long, les lobes de la corolle sont glabres ou pubescents. Les étamines sont nombreuses, libres atteignant 6 mm de long. L’ovaire est supère. Le style est long et mince (figure 2b).
Les fruits
Ce sont des gousses pubescentes de couleur grisâtre. Elles sont oblongues à linéaires, aplaties, droites ou courbes, aux bords entiers ou profondément comprimés entre les graines. Elles contiennent 4 à 10 graines. L’emplacement des graines est clairement marqué par de nettes protubérances sur les valves des gousses (figure 2c).
REPARTITION GEOGRAPHIQUE ET HABITAT (1)
Acacia nilotica est indigène dans les zones sèches d’Afrique tropicale et d’Asie occidentale, et plus à l’Est jusqu’à l’Inde. Il a été diffusé dans tous les tropiques, et s’est naturalisé dans de nombreuses régions comme au Cap vert, en Jamaïque, en Indonésie, au Viêtnam et en Australie. Il est largement cultivé dans le sous-continent indien. En Afrique, on le retrouve au Sénégal, à l’Egypte, vers le Sud de l’Afrique du Sud (au Natal) et sur les îles de l’océan Indien.
Acacia nilotica peuple les sols profonds sablonneux, par exemple dans les dunes fossiles ou dans les champs de mil abandonnés. C’est une espèce qui supporte aussi les lieux légèrement argileux, latéritiques ou calcaires.
CULTURE ET MULTIPLICATION
La récolte et la conservation prolongée des graines n’offrent en général pas de difficulté, à condition de les préserver des insectes. Les graines de Acacia nilotica doivent être traitées avant le semis qui a lieu en mi-avril dans des pots
ou des sachets. Il est nécessaire d’enlever soigneusement les mauvaises herbes et la plante doit être protégée des inondations et de l’eau stagnante dans les premières années. Grâce à sa croissance rapide, après une germination en général sans problèmes, Acacia nilotica est une essence autochtone convenant très bien aux afforestations et aux plantations de complément.
COMPOSITION CHIMIQUE DE ACACIA NILOTICA
Dans cette plante, on retrouve une importante teneur en tanins dont la meilleure qualité s’extrait des gousses vertes qui en contiennent 15% à 30% lors qu’elles sont matures. L’écorce en contient environ 36%.
On peut retrouver également dans les gousses d’autres substances comme le potassium, le calcium, le magnésium, le phosphore etc.…
Les graines sont riches en protéines et en lipides. Parmi ces derniers, on a plusieurs acides gras tels que les acides palmitiques, oléiques et arachidoniques.
La gomme est aussi un constituant essentiel de cette plante. La première gomme arabique mise en vente proviendrait de Acacia nilotica (35).
EMPLOI
La connaissance des propriétés thérapeutiques de Acacia nilotica date de plusieurs générations. La poudre de gousses de Acacia nilotica était déjà en usage dans la pharmacopée de l’Egypte pharaonique. En Afrique, cette plante est utilisée dans la médecine traditionnelle pour le traitement d’un certain nombre de pathologies (3).
Utilisation en médecine traditionnelle
Dans la thérapie africaine, Acacia nilotica var.adstringens est souvent utilisé pour ses propriétés anti-diarrhéiques, anti-dysentériques, anti-
odontalgiques, antifongiques et cicatrisantes. Parmi les parties de la plante, les gousses sont les plus utilisées pour démontrer ses propriétés thérapeutiques. Parfois l’écorce, les racines, les graines, ou les feuilles (souvent associées à d’autres plantes) peuvent rentrer dans certaines préparations thérapeutiques.
Usages externes
Acacia nilotica peut être utilisé :
– dans le traitement de la conjonctivite chez l’enfant : les feuilles fraîches ou séchées sont utilisées en décoction et appliquées sous forme de collyre ou de bains oculaires,
– contre les ulcères et les plaies : les gousses pulvérisées sont utilisées contre les ulcères syphilitiques,
– comme antimycosique : la poudre de péricarpe est utilisée pour traiter les lésions labiales (commissures labiales et perlèches) ; on enduit les lèvres et la langue de la poudre de péricarpe,
– en gynécologie : les gousses sont utilisées sous forme de macéré aqueux très concentré pour la toilette intime des femmes afin de rétrécir le vagin,
– en cas d’inflammation de la dent, le fruit est découpé en petits morceaux qui sont à placer sur la dent après chaque repas,
– comme antihémorragique et cicatrisant : la poudre d’écorce est utilisée pour le traitement des plaies des circoncis,
– contre les plaies de la bouche : on coupe de jeunes rameaux feuillés le matin ; une partie est pilée pour obtenir une poudre sèche, l’autre partie est bouillie. La bouche est rincée par la décoction obtenue, ensuite on applique la poudre sur les plaies.
Usages internes
La plante peut être utilisée :
– dans le traitement de la dysenterie amibienne : on donne au malade une infusion réalisée avec les écorces seules ou en association avec les fruits,
– comme anti-diarrhéique : on met dans un peu d’eau sucrée 5 grammes de poudre de fruits égrainés. Le mélange est à boire 3 fois dans la journée jusqu’à guérison,
– comme diurétique : au Sénégal, les racines de Acacia nilotica sont associées à celles de Leptadenia hastata, de Securinega verosa et aux feuilles de Arachis hypogea pour obtenir cet effet thérapeutique,
– contre la toux : les gousses sont mâchées ou utilisées sous forme de décoction à cet effet.
Autres utilisations de Acacia nilotica
Dans l’élevage
C’est une plante fourragère, les feuilles et les gousses peuvent être utilisées comme aliments de bétail.
Dans l’industrie
Le bois obtenu avec Acacia nilotica est de très bonne qualité à cause de la présence de résine. Il est lourd, très dur, résiste à l’eau aux termites et peut être utilisé dans la menuiserie.
La richesse de cette plante en tanins permet son utilisation pour le tannage des peaux dans l’industrie artisanale. Le temps nécessaire pour cela peut aller jusqu’à un mois. Sa forte teneur en gomme permet la fabrication de la gomme arabique.
Dans le milieu domestique
Le bois de Acacia nilotica peut servir à obtenir du charbon de bois. Il sert aussi à la confection d’ustensiles de cuisine comme les mortiers, ou à la fabrication de matériels agricoles.
TOXICITE
Les travaux d’Al Moustafa et Daffalah (2) portant sur la recherche de la toxicité aigüe ont montré, sur des rats recevant pendant 2 à 4 semaines l’extrait de Acacia nilotica à 2 et 8% que, celui-ci avait une faible toxicité. Récemment, une étude d’évaluation de la toxicité aigüe et chronique de l’extrait hydro-alcoolique des gousses de Acacia nilotica (24) a démontré que cette plante était dépourvue de toxicité.
PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
Des études menées sur cette plante ont démontré un certain nombre de propriétés pharmacologiques.
Propriété antiagrégante plaquettaire
Des extraits de Acacia nilotica var.adstringens peuvent bloquer les canaux calciques et la kinase, d’où sa propriété d’antiagrégante plaquettaire.
Propriété antifongique (29)
Acacia nilotica var.adstringens possède des propriétés antimycotiques, qui ont été démontrées après comparaison à l’activité du Fluconazole sur les candidoses bucco-œsophagiennes présentées par des personnes vivant avec le VIH (29).
Propriétés antiseptiques et antibactériennes
Les extraits aqueux des fruits de la plante possèdent des propriétés antibactériennes qui ont été mises en évidences sur Salmonella ordonez, Shigella flexneri, Escerichia coli, Pseudomonas aeroginosa et Staphylococcus aureus.
Acacia nilotica possède aussi une activité inhibitrice sur le VIH réplicase et le VIH protéase. Cette propriété a été mise en évidence à partir d’extraits méthanoliques de la poudre des gousses de la plante (29).
Propriété anti-diarrhéique
Les tanins présents dans la plante ont la propriété de diminuer la perméabilité intestinale en se fixant sur la muqueuse intestinale, d’où leur action anti-diarrhéique.
Propriété molluscide
C’est à partir de poudre de fruits séchés et concassés que cette propriété molluscide très nette de Acacia nilotica a été mise en évidence. Cette poudre peut être utilisée telle quelle ou extraite avec l’acétate d’éthyle. L’extrait ou la poudre est pulvérisé sur les lacs contenant les mollusques.
VIII-6 Propriété anti-inflammatoire (36)
Les oligoméres flavonoïques et les tanins condensés présents dans la plante auraient une activité anti-élastase. Ceci serait à l’origine d’une diminution de la libération des peptides vaso-actifs et par conséquent, d’une baisse de la libération des prostaglandines inductrices de l’élastase et d’autres protéases.
GENERALITES SUR LA DOULEUR ET LES MEDICAMENTS ANALGESIQUES
DEFINITION DE LA DOULEUR
Selon l’IASP (International Association for the Study of Pain), « la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable liée à des lésions tissulaires réelles ou potentielles, ou décrite en des termes évoquant de telles lésions ».
La douleur est une sensation d’inconfort et de malaise qui entraîne l’éveil et la focalisation de l’attention sur le point algogène. Elle nous apprend à éviter les situations dangereuses. C’est avant tout un signal d’alarme qui met en jeu des réflexes de protection nous permettant de nous soustraire aux stimulus nocifs et de soulager les parties de notre corps soumises à trop fortes tensions.
Il convient de ne pas confondre douleur et nociception qui est le processus sensoriel à l’origine du message nerveux qui provoque la douleur.
LES DIFFERENTS TYPES DE DOULEURS
Classification de la douleur selon la durée
La douleur aiguë : elle est récente, transitoire, intense et évolue sur une durée inférieure à trois mois.
La douleur chronique : elle persiste après une période de trois à six mois de traitement usuels. Elle est une douleur-maladie, un symptôme, survenant dans des conditions pathologiques, et elle peut s’associer à des manifestations dépressives.
Classification de la douleur selon la neurophysiologie
Douleurs nociceptives (10, 37)
Elle a pour origine la stimulation excessive d’un récepteur qui transmet au cerveau un message interprété comme étant une sensation douloureuse. La stimulation peut être mécanique, inflammatoire, thermique et chimique (exemple : brûlure, lésion cutanée,…).
En effet, ce sont les douleurs les plus fréquemment ressenties dans la vie quotidienne et dans la plupart des pathologies d’origine somatique. Elles constituent un signal d’alarme qui amène le patient à adopter une attitude de protection de son corps vis-à-vis d’une stimulation externe ou à consulter un médecin pour objectiver la cause de cette douleur et pouvoir ainsi la traiter.
Douleurs neurogènes (21, 37)
Elles sont secondaires à une lésion du système nerveux central et ou périphérique. Elles surviennent en l’absence de stimulation nociceptive périphérique (amputation, envahissement tumoral,…). La douleur est présente dés le réveil, persiste toute la journée avec un renforcement éventuel le soir. Paradoxalement, le patient dort bien la nuit et n’est jamais réveillé par une douleur. Contrairement aux douleurs nociceptives, elles surviennent à l’absence d’une stimulation nociceptive et elles sont peu sensibles, voire insensibles, aux analgésiques périphériques et centraux et aux blocs anesthésiques.
Douleurs psychogènes (37)
Ce sont des douleurs qui n’ont aucune cause somatique. Dans la majeure partie, ces douleurs sont dues à des drames affectifs (divorce, deuil) ou socio-professionnels (chômage, reclassement non accepté). Le patient est souvent
anxieux, irritable voire agressif. Ce qui rend difficile l’évaluation de ces douleurs, c’est leur description souvent luxuriante, imprécise, variable et de sémiologie atypique.
TRANSMISSION ET VOIES DE LA DOULEUR
Transmission de la douleur
La transmission de la douleur correspond à la propagation de l’information nerveuse nociceptive de la périphérie vers la moelle épinière et le cerveau. Le stimulus agit sur les récepteurs où il est transformé en influx sensitif. Cet influx se transmet ensuite le long des voies afférentes et pénètre au niveau de la racine postérieure de la moelle épinière. Il se dirige ensuite vers les faisceaux ascendants grâce auxquels il atteindra le cortex sensoriel responsable de la perception somatosensorielle.
Les voies de la douleur
Elles assurent la transmission de l’influx nociceptif à partir des nocicepteurs, jusqu’à l’intégration du message au niveau cérébral. On distingue trois types de voies :
Voie lemniscale
La voie lemniscale est aussi appelée voie cordonale postérieure en raison du trajet qu’elle emprunte dans la moelle épinière. Elle est la voie de la sensibilité discriminatoire de la douleur épicritique, elle met en jeu les fibres myéliniques A de gros calibre.
Voie extralemniscale
C’est une voie multisynaptique, lente. Elle supporte la sensibilité non discriminative chez la plupart des mammifères. Les fibres A et C assurent la transmission des influx (tactiles grossiers, thermiques et douloureux).
Ces fibres transmettent les afférences nociceptives thermiques issues des terminaisons nerveuses libres et des thermorécepteurs jusqu’au niveau des noyaux de la corne dorsale de la moelle épinière où ils font relais avec d’autres neurones qui se projettent dans les centres supra médullaires. Cette voie est le prolongement des terminaisons nerveuses libres et des thermorécepteurs, elle conduit une sensibilité grossière tactile ou thermique.
Voies ascendantes
Voie spinothalamique
Elle fait intervenir le complexe ventro-basal postérieur et les noyaux intra-laminaires médians du thalamus avant de se projeter au niveau de l’aire corticale.
Voie spinoréticulaire
Cette voie comprend la formation réticulaire, bulbaire, et mésencéphalique. Elle est relayée dans ces structures par la voie spinoréticulothalamique, qui projette vers le thalamus, l’hypothalamus et le système limbique.
Voie spinocervicothalamique
Elle passe par les neurones ascendants, abouti sur le noyau cervical latéral, les structures thalamiques et se projette dans les aires corticales S1 et S2. Cette voie est le prolongement de la voie lemniscale.
MODULATION DE LA DOULEUR
La modulation fait référence au contrôle inhibiteur exercé sur les neurones responsables de la transmission de l’influx de la périphérie vers le cortex. Tout au long de son trajet nerveux, le message nociceptif fait l’objet de modulation soit facilitatrice, soit inhibitrice. Ce contrôle s’exerce à trois niveaux du trajet de l’influx :
Contrôle périphérique
A ce niveau, les endomorphines inhibent la sécrétion de substance P en agissant sur les récepteurs opiacés. La substance P est un neuromédiateur libéré au niveau des terminaisons de fibres fines ; elle a pour rôle de transmettre l’influx nerveux aux neurones post synaptiques qui le conduisent vers les centres supérieurs. En périphérie, la substance P provoque une vasodilatation, une extravasation, une dégranulation mastocytaire et une libération des substances algogènes (figure 3).
Contrôle médullaire
Les principes de ce contrôle sont expliqués par la théorie du portillon ou « gate contrôle » de Wall et Melzack. Selon cette théorie, la stimulation sélective des grosses fibres afférentes A et B bloque les petites fibres nociceptives A et C au niveau de la substance gélatinase des cornes postérieures de la moelle.
Ce contrôle passe par l’intermédiaire d’un interneurone, situé dans la corne dorsale de la moelle épinière, qui inhibe les voies centrales de la douleur. Cet interneurone est inhibé par le premier neurone de la douleur et activé par les fibres du tact.
Contrôle supra médullaire
Il s’exerce au niveau du tronc cérébral et plusieurs régions du cerveau interviennent dans ce contrôle de la douleur. Il s’agit de la substance grise périaqueducale, l’hypothalamus, le thalamus et certains noyaux bulbaires, en particulier le noyau du raphé. La stimulation de ce dernier et de la substance grise périaqueducale provoque une analgésie.
LES MEDICAMENTS ANALGESIQUES
Définition
Ce sont des médicaments capables de diminuer ou de supprimer la perception des sensations douloureuses sans entraîner la perte de conscience.
Classification des analgésiques
Selon l’échelle OMS, les médicaments analgésiques sont classés en trois paliers ou niveaux. Chaque palier ne sera atteint que lorsque les médicaments du palier précédent, utilisés à dose optimale, se révèlent insuffisants ou inefficaces. Cette classification permet une hiérarchie des analgésiques en fonction de leur niveau de puissance et de leurs rapports bénéfices/risques (tableau I).
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE:ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
A- GENERALITES SUR ACACIA NILOTICA VAR ADSTRINGENS
I- ETUDE BOTANIQUE
I-1 Les noms scientifiques
I-2 Les noms communs
I-3 Systématique
II- ETUDE DESCRIPTIVE DE LA PLANTE
II-1 Les feuilles
II-2 Les fleurs
II-3 Les fruits
III- REPARTITION GEOGRAPHIQUE ET HABITAT
IV- CULTURE ET MULTIPLICATION
V- COMPOSITION CHIMIQUE D’ACACIA NILOTICA
VI- EMPLOI
VI-1 Utilisation en médecine traditionnelle
VI-1-1 Usages externes
VI-1-2 Usages internes
VI-2 Autres utilisations d’Acacia nilotica
VI-2-1 Dans l’élevage
VI-2-2 Dans l’industrie
VI-2-3 Dans le milieu domestique
VII- TOXICITE
VIII- PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
VIII-1 Propriété antiagrégante plaquettaire
VIII-2 Propriété antifongique
VIII-3 Propriété antiseptique et antibactérienne
VIII-4 Propriété anti-diarrhéique
VIII-5 Propriété molluscide
VIII-6 Propriété anti-inflammatoire
B- GENERALITES SUR LA DOULEUR ET LES MEDICAMENTS ANALGESIQUES
I- DEFINITION DE LA DOULEUR
II- DIFFERENTS TYPES DE DOULEURS
II-1 Classification de la douleur selon la durée
II-2 Classification de la douleur selon la neurophysiologie
III- TRANSMISSION ET VOIES DE LA DOULEUR
III-1 Transmission de la douleur
III-2 Les voies de la douleur
III-2-1 Voie lemniscale
III-2-2 Voie extralemniscale
III-2-3 Voies ascendantes
IV- MODULATION DE LA DOULEUR
IV-1 Contrôle périphérique
IV-2 Contrôle médullaire
IV-3 Contrôle supra-médullaire
V- LES MEDICAMENTS ANALGESIQUES
V-1 Définition
V-2 Classification des analgésiques
V-2-1 Les analgésiques de niveau I
V-2-2 Les analgésiques de niveau II
V-2-3 Les analgésiques de niveau III
V-3 Les médicaments adjuvants ou co-analgésiques
VI- PRISE EN CHARGE DES DIFFERENTS TYPES DE DOULEURS
VI-1 Douleurs nociceptives
VI-2 Douleurs neurogénes
VI-3 Douleurs psychologiques
VII- METHODES D’ETUDE DE L’ACTIVITE ANALGESIQUE
VII-1 Test à l’acide acétique
VII-2 Méthode de la plaque chauffante
VII-3 Méthode de la pression de la queue
VII-4 Méthode d’antagonisme par la naloxone
DEUXIEME PARTIE : ETUDES EXPERIMENTALES
I- MATERIEL ET METHODES
I-1 Matériel
I-1-1 Matériel animal
I-1-2 Matériel végétal
I-1-3 Matériels de laboratoire utilisés
I-1-4 Produits utilisés pour l’extraction, le fractionnement et l’étude pharmacologique
I-2 Méthodes
I-2-1 Obtention de la poudre des gousses d’Acacia nilotica
I-2-2 Extraction et fractionnement
I-2-3 Méthode d’étude de l’activité analgésique
II- RESULTATS
II-1 Rendement de l’extraction
II-2 Résultats des essais pharmacologiques
II-2-1 Effets des produits testés sur le nombre de contorsions des souris
II-2-2 Evaluation de l’effet analgésique
DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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