Généralité sur la situation du marché de l’emploi à Madagascar

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Théorie Keynésienne de la crise

Keynes dans ses théories suppose de nombreux facteurs qui favoriseraient la naissance d’une crise. Face au ralentissement de l’activité, les acteurs économiques développent des « anticipations » pessimistes. Keynes estimait que ces anticipations jouaient un rôle extrêmement important du fait que lorsque tous anticipent un ralentissement de l’activité, la demande effective qui désignait la demande attendue aboutit à geler le nombre de projets d’investissements, ce qui engendre une contraction généralisée de l’activité qu’ici se nominera sous le terme de « crise » .Keynes retrouve alors une actualité brûlante.

Les fondamentaux de la théorie keynésienne

Keynes a introduit pour la première fois le processus du circuit économique pour décrire l’activité économique. Subséquemment, la base de la pensée keynésienne réside dans le fait de considérer que la demande effective, c’est-à-dire le niveau de consommation et le niveau d’investissement, détermine le niveau de production et donc le niveau de l’emploi. Il poursuit également sa théorie sur l’importance du rôle de l’Etat dans l’économie et dans le fondement des stratégies politique de relance, ainsi qu’en tant qu’agent régulateur. « Le capitalisme étant livré à lui-même ne peut que conduire à des crises chroniques, l’Etat doit intervenir en tant qu’agent régulateur3 ».

Concepts keynésiens

Alain Barrère, un adepte du keynésianisme, qualifie la crise contemporaine de crise de nouveau type « crise organique4 » du fait qu’elle résulte d’un dérèglement du système de production et de répartition découlant de la baisse relative du revenu net disponible pour l’épargne et l’investissement conduisant jusqu’au freinage de la croissance aboutissant à la crise.
Ainsi, Keynes revient dans une même idée que Marx dans le concept de la théorie de la valeur travail et rejette totalement la théorie de Say sur la loi des débouchés pour expliquer la crise. Comme Marx, Keynes partage, dans la limite, le dessin qu’à moyen et long terme le capitalisme s’effondrera et dont les causes sont intrinsèques au fonctionnement du système. La crise selon Keynes a comme principale cause « l’insuffisance de l’investissement », ce qui conduit fortement à « la dépression ». Cette dernière est due antérieurement à la diminution du rendement du capital ou l’efficacité marginale du capital qui est liée à la péremption consécutive du capital et la concurrence accrue. Il explique alors la crise comme une variation cyclique de l’efficacité marginale du capital qui apparait souvent par des mouvements brutaux et répétées et exposant à une crise5.
Pour Keynes les salaires nominaux ne peuvent pas baisser pour les raisons que les salaires nominaux sont liés à la négociation des contrats. Une baisse des salaires nominaux risquerait une baisse de la demande qui entrainerait à son tour la baisse de la production. Keynes réfute alors l’idée que la diminution des salaires nominaux soit une solution au problème du chômage. Selon lui, les salariés sont très attentifs aux salaires relatifs et aussi que c’est l’épargne qui s’adapte à l’investissement et non l’inverse.
En outre, selon la théorie néoclassique, un nouvel équilibre sur le marché du travail devrait se réaliser par une baisse du taux de salaire. Pour Keynes, une telle baisse est impossible dans la mesure où les taux de salaire sont rigides. De plus, pour les keynésiens, le salaire est une ressource qui rend possible la consommation. La baisse du salaire nominal n’est donc pas souhaitable car elle est susceptible d’affecter l’activité et le dynamisme de la demande, de la production et donc l’emploi. Keynes est plus favorable à une baisse du salaire réel obtenue par une hausse des salaires nominaux inférieure à l’inflation.

Les Impacts de la crise selon les théoriciens

La crise est plus souvent caractérisée par une diminution brutale de la production, une chute des prix, faillites de nombreuses entreprises, montée du chômage et recul du salaire. Généralement, une crise est indissociable à la perte d’emploi. C’est à priori sur cette idée que se concentrera ce chapitre. Ainsi, la théorie keynésienne sera la plus consultée à cet effet. Ensuite, quelques remarques et des critiques de certain courant comme les néo-classiques et les marxistes sera proposées dans une autre section.

impacts de la crise sur l’emploi selon Keynes

Pour Keynes, une entreprise n’est surement pas assurée de pouvoir vendre tout ce qu’elle produit. Et l’emploi dépend des perspectives de vente, ce qui fait que l’entreprise ne peut embaucher de salarié supplémentaire que si elle est certaine de vendre la production supplémentaire permise par cette embauche.
Chômage chez Keynes
Généralité sur le chômage
Il n’y a pas qu’une explication possible du chômage mais on peut toutefois penser à trois principales causes :
le chômage serait dû à un coût excessif du travail. Cette interprétation a été relancée par la mondialisation et la concurrence des pays à bas salaires comme les pays du tiers-monde.
le chômage serait dû à un niveau d’activité économique insuffisant, à cause d’une faiblesse des débouchés
le chômage résulterait d’une inadéquation entre la structure des qualifications et des emplois
Depuis de nombreuses années, nous constatons un accroissement de la quantité (plus de 3 millions) et de la durée moyenne (plus de 18 mois) du chômage6. Etant donné les faits observés, ces paramètres sont beaucoup trop lourds pour que nous puissions considérer le chômage comme un phénomène conjoncturel à côté du chômage frictionnel. En se référant au modèle économique classique, le marché du travail connaît des fluctuations comme les marchés des biens et des services. Il y a, alternativement, sous-emploi et suremploi, du fait d’un délai d’adaptation entre l’offre et la demande d’emploi. C’est en effet la définition du chômage de friction ou d’ajustement. Ce chômage est provisoire, il croît et décroît dans un délai de moyen et court terme.
Par la suite, les classiques ont donné dans ses théories leur appréhension du chômage involontaire ainsi que la définition du chômage volontaire : « Un individu est involontairement au chômage si l’Etat ou les syndicats, dans la mesure où ils recourent à la force pour ce faire lui interdisent de conclure le contrat de travail qu’un employeur potentiel lui proposait de signer ». Une définition plus simplifiée si l’on considère la définition « classique » du chômage volontaire qui est plus floue et plus complexe : « Un individu est chômeur « volontaire » s’il considère que les bénéfices qu’il retirerait de l’exercice d’une activité professionnelle (rémunération, considération sociale…) sont insuffisants pour compenser les avantages qu’il dérive du fait de ne pas travailler (loisirs, pensions octroyées par la famille ou par l’Etat, possibilité de rechercher activement un emploi plus intéressant que ceux qu’il pourrait obtenir dans l’immédiat, spéculation sur une hausse prochaine des salaires …), autrement dit, pour contrebalancer la « désutilité » du travail7 ».
Point de vue de Keynes
Bien que simple, et fortement critiquable dans ses hypothèses, cette théorie classique de l’équilibre correspond à des mécanismes réels bien que ce chômage d’adaptation existe. Mais Keynes réfute l’idée de ce concept. Ainsi, il a montré que le plein emploi n’était pas aussi automatique que le croyaient les classiques, d’où l’importance du chômage involontaire.
Selon Keynes, l’emploi dépend de la production, qui dépend de la demande effective, qui dépend de l’emploi. L’emploi dépend donc de lui-même, ce qui signifie qu’aucun mécanisme n’assure le retour au plein emploi8.Keynes ne croît pas que le système économique contemporain puisse assurer automatiquement le plein emploi. En effet, la théorie keynésienne se caractérise par l’importance qu’elle accorde à l’explication du chômage involontaire comme étant le seul chômage véritable. Le chômage involontaire étant qualifié telle que Keynes le défini : « Il existe des chômeurs involontaires si, en cas d’une légère hausse du prix des biens de consommation ouvrière par rapport aux salaires nominaux, l’offre globale de main-d’œuvre disposée à travailler (willing to work) aux conditions courantes de salaire et la demande globale de main-d’œuvre aux mêmes conditions s’établissent toutes deux au-dessus du niveau antérieur de l’emploi»9.
C’est cette conception qui fait la distinction entre chômage classique et chômage keynésien et renvoie à des diagnostics différents sur les causes du chômage. Deux types de chômage qui appellent donc des politiques publiques très différentes. Mais ces politiques sont difficiles à doser quand les deux sortes de chômage existent en même temps, ce qui est généralement le cas.
Le chômage keynésien puise sa source dans l’insuffisance des débouchés et pour y résoudre de façon progressive, il convient de relancer la demande et de soutenir l’activité. Les économistes estiment par contre être en présence d’un chômage classique quand les entreprises, malgré la demande potentiellement soutenue qui leur est adressée, préfèrent limiter leurs embauches au motif qu’elles jugent le coût du travail trop élevé ou les rigidités sur le marché du travail trop importantes. Par contre, il existe un marché du travail interne aux entreprises, sur lequel le déroulement de la carrière ne suit pas les mêmes lois que celles du recrutement initial. Toute fluctuation de la demande des ménages provoque des fluctuations de la demande de biens d’équipement. L’entreprise a dans cette option besoin de flexibilité dans son recrutement quand le salarié voudrait savourer la satisfaction du travail bien fait. Ils doivent donc comprendre, prévoir et anticiper les évolutions.
Enfin, Keynes considère que le chômage actuel est la conjonction d’une forte productivité des activités secondaires et d’une faible productivité des activités tertiaires10. Et nous entrons dans un cercle vicieux d’appauvrissement.

critique marxiste de la théorie keynésienne

Les néoclassiques, selon ce que dit J.B.Say suppose l’idée que la crise ne peut exister qu’à un très long période du fait que l’offre crée sa propre demande, ainsi le plein emploi ne devrai pas être remise en cause parce qu’il existera toujours.
Selon les marxistes, par contre, les crises existent mais ils l’appellent la crise du capitalisme. Marx parle de la crise comme étant une contradiction interne du capitalisme et qui devrait conduire à son effondrement. Une thèse inachevée mais que l’analyse est nécessaire à la compréhension des crises successives que le monde a connu depuis quelques siècles. Selon lui les crises sont endogènes et inhérentes au fonctionnement du capitalisme, nullement des chocs exogènes dus à des phénomènes contingents.

Théorie marxiste de la crise

Marx déduit l’existence des crises par des théories qui négligent ou contestent les premières conditions de la production capitalistique. Parmi ces conditions, il cite l’existence du produit comme marchandise, la transformation de la marchandise en marchandise et en monnaie, les éléments contradictoires qui en résultent dans l’échange des marchandises et enfin le rapport de la monnaie et de la marchandise au travail salarié.
Depuis des années, l’histoire de l’industrie et du commerce n’est autre chose qu’un soulèvement entre les forces productives modernes et les rapports modernes de production, contre le régime de propriété qui détermine l’existence de la bourgeoisie et sa domination. Il satisfait à cela de mentionner les crises économiques qui, par leur retour périodique se qualifiant à des cycles dans le système économique, menacent de plus en plus l’existence de la société bourgeoise. C’est alors que chaque crise détruit continuellement non seulement une masse de produits déjà créés, mais encore une grande partie des forces productives déjà existantes elles-mêmes. En conséquent, la société se trouve subitement ramenée à un état d’hostilité passagère comme la famine ou une guerre qui conduira à la priver de tous ses moyens de subsistance d’où l’industrie et le commerce semblent anéantis.
Marx parle à priori de la destruction du capital par les crises dans ses courants. Explicitement, le mécanisme de l’accumulation capitaliste, selon lui, permet d’accéder à une production supplémentaire qui, d’une part, correspond à l’accroissement naturel de la population et d’autre part, forme le fondement inhérent des différents phénomènes se manifestant par les crises. La mesure de cette surproduction est le capital lui-même. Dans cette thèse de destruction de capital par les crises, Marx distingue deux systèmes11 :
1. Dans la mesure où le processus de reproduction s’arrête, le processus de travail se ralentit ou est complètement paralysé. Dans ce cas, c’est du capital réel qui est détruit.
Il considère alors comme capital détruit les matières premières qui restent inemployées, les installations qu’on n’occupe pas, les nouvelles machines qui sont inutilisées, les marchandises qui pourrissent dans les entrepôts. Mais tous ces phénomènes se limitent à l’arrêt du processus de reproduction et au fait que les moyens de production existants, ne sont pas mis en œuvre.
2. La destruction de capital par les crises signifie aussi la dépréciation de masses de valeurs. C’est en effet la définition même de la déflation, la baisse important des prix des marchandises. Des capitalistes en place font faillite.
Enfin, Marx qualifie de tautologie la considération des crises comme résultant du manque de consommateurs solvables étant donné que dans le système capitaliste il n’existe d’autre procédé de consommation que la consommation payante, en excluant celle des assistés et des filous ou des personnes qui trompe la confiance de quelqu’un pour parvenir à ses fins12. Que les biens de productions soient destinés à la consommation productive ou à la consommation finale, dire que des marchandises sont invendues signifie qu’il ne s’est pas trouvé pour elles d’acheteurs solvables.

Limite de la théorie keynésienne

La limite de la théorie keynésienne est qu’elle raisonne en économie fermée. À l’heure actuelle, l’internationalisation croissante des économies constitue une sérieuse limite au modèle. Aussi la théorie keynésienne se refuse à toute vision à long terme de l’économie, contrairement aux théories classiques de David Ricardo, de Karl Marx, ou de Joseph Schumpeter, qui intériorise la dynamique des institutions et la dynamique des groupes sociaux.
Bref, avec une crise que le monde connait actuellement, nous avons besoin d’un modèle dynamique à moyen et long terme. Un modèle qui tient compte de l’interdépendance des économies, du nouveau défi écologique et d’une plus grande vertu. Et cela avec cette dominance de la sphère financière spéculative sur le domaine réelle et une concentration excessive du revenu mondial au profit d’une minorité rentière tant au niveau du Nord que du Sud.

Etude de cas de Madagascar

Les émeutes violentes qui ont secoué le pays en 2009, ont entrainé la déstabilisation de l’économie malagasy et détruit un bon nombre d’emploi à Madagascar surtout dans le secteur textile. Autrement dit, on a pu observer un grand pourcentage de licenciement d’employés dans les zones franches plus que dans d’autres secteurs d’activité.
En outre, la crise qui a atteint Madagascar depuis 2009 n’a pas seulement atteint le marché de l’emploi mais à la suite des nombreuses dissolutions, la production a fortement diminué et ainsi le revenu par tête et le revenu des ménages.
La partie en ce sens se subdivisera par conséquent en deux chapitres. Dans le chapitre premier, l’exposé globalisé de la situation de crise et du marché de travail dans la grande île. La réponse à notre problème sera élucidée dans le second chapitre ainsi que les solutions auxquelles on peut apporter pour y remédier.

Généralité sur la situation du marché de l’emploi à Madagascar

Dans ce chapitre, il sera mis en évidence les points essentiels caractérisant les crises, qui depuis l’indépendance étaient toujours présents dans le pays. Une crise politique qui a induit manifestement à une forte mobilisation populaire et ainsi replongé à chaque décennie la grande île dans une pauvreté généralisée.
La crise de 2009 a été effectivement qualifiée, à priori, par de nombreux observateurs comme ayant une origine politique. En même temps, ce sont les défaillances économiques dans le pays qui ont conduit les opposants politiques à bouleverser les dirigeants en ce temps. D’où, une dénomination de la crise à Madagascar de « double crise » : une crise politico- économique.

Crise à Madagascar : déclenchement

Dans cette section, le point sera mis sur la généralité du déclenchement de la crise. Une crise qui s’est débutée par des confrontations politiques entre deux opposants et de leur partisans respectifs. Des reproches au chef de l’Etat en activité, d’une inflation qui est devenue bien trop importante, ainsi que de sa mainmise sur l’économie malgache et sur l’argent public en partie.
Une institution qui depuis toujours a été au regard du peuple comme étant non crédible a poussé les Malagasy à un profond pessimisme et explique largement le recours épisodique aux mouvements de rue.
Bien avant la crise de 2009, dont ce mémoire en fera le centre et le point d’appui, successivement et cycliquement à presque chaque décennie, des manifestations populaires ont eu lieu dans la grande île.
D’abord, le mécontentement de la population contre les dirigeants de l’époque de 1991 s’est exprimé par des manifestations populaire qui ont obligé le président Didier Ratsiraka à mettre sur pied un processus de transition démocratique d’urgence pour stabiliser la situation économique du pays. Le président poursuit par la suite sa construction du socialisme révolutionnaire, basée sur une centralisation poussée de l’État, la nationalisation des entreprises, la malgachisation de l’éducation et la répression de l’opposition. Toutefois, des soulèvements populaires débutent le 14 juin 1991. Rendu inquiet par le comportement des militaires, le président déclare l’état d’urgence. Ensuite, la crise de 2002 qui a commencé après les résultats des élections présidentielles. En2002, Didier Ratsiraka avait été devancé par Marc Ravalomanana par 51% contre 44%.Après une victoire contestée, le pays était plongé dans une crise politique sans précédent. La famine et la sous-alimentation dominait surtout dans les parties Sud de la grande île. Le sous-emploi et le chômage commençaient à prendre une place importante dans l’économie Malagasy. Ainsi, les phénomènes liés au secteur informel ne sont plus nouveaux et ils jouent un rôle d’amortisseur et de résistance face à la crise et à la distorsion de l’économie.
Si l’on revoit la situation économique de Madagascar avant cette crise de 2009, le pays n’a vraiment pas connu de forte croissance continue. Quand bien même, la proportion de la population classée comme étant pauvre a régressé de l’année 2005 à l’année 2008 passant de 68,7% en 2005, à 67,5% en 2006, à 66,3% en 2007, et à 65,4% en 200813. A la prise de pouvoir de Marc Ravalomanana en 2002 après une longue période de lutte de pouvoir, une croissance économique négative a été observée. Cette situation s’est vite transformée depuis 2003 avec la mise en application de la politique générale de l’Etat dont le MAP (Madagascar Action Plan). Une période de croissance s’est alors faite remarquée en 2003. Une croissance économique qui se ralentissait dans les années qui suivent. En outre, les aides extérieurs ont chuté et ont été même inexistant en 2002. Effectivement, la situation de trouble qui agitait le pays a fait reculer les bailleurs et les institutions financières comme la FMI et la Banque Mondiale. C’est seulement à partir de 2003 que le financement est revenu progressivement pour atteindre un taux plus significatif en 2004. Par ailleurs, les dépenses publics en terme d’investissement s’est également accru de 2003 à 2006.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : THEORIE SUR LA CRISE ET SUR LE MARCHE DE L’EMPLOI
Chapitre I : causes et déclenchement d’une crise
Section I : Théorie classique de la crise
Section II : Théorie Keynésienne de la crise
A. Les fondamentaux de la théorie keynésienne
B. Concepts keynésiens
Chapitre II : Impacts de la crise selon les théoriciens : conséquences
Section I : impacts de la crise sur l’emploi selon Keynes
Section II : critique marxiste de la théorie keynésienne
A. Théorie marxiste de la crise
B. Limite de la théorie keynésienne
PARTIE II : ETUDE DE CAS DE MADAGASCAR
Chapitre I : Généralité sur la situation du marché de l’emploi à Madagascar
Section I : Crise à Madagascar : déclenchement
Section II : Manifestations
Chapitre II : Impacts de la crise sur le marché de travail
Section I : Impacts directs
Section II : Impacts indirects
A. AGOA et Madagascar
B. Le FMI et la banque mondiale face à la crise de 2009
Section III : Recommandation
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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