Généalogie de la famille à partir du couple de départ BUARD/NALLET

Histoire de Bény, lieu de résidence du couple

D’après les écrits du chanoine Léon JOLY, aumônier de la paroisse de Bourg, natif de Bény au lieu dit le Poiziat, qui a écrit une courte monographie sur le village ainsi qu’un ouvrage plus détaillé sur la période révolutionnaire, sobrement intitulé La paroisse de Bény pendant la Révolution en 1924. Il est à noter qu’il a été membre de la société Gorini, revue d’histoire ecclésiastique et d’archéologie du diocèse du Belley.
Le village de Bény est une commune du département de l’Ain, en Bresse, situé au nord de Bourg-en-Bresse dont la première mention est faite au XIIIème siècle par l’archevêque de Lyon puis un premier acte est écrit le 17 mai 1438 par Jean Olivier, curé, qui passe une transaction avec les habitants. Son ancienne dénomination est Saint-Vincent des Bois, puis Bennes, Bennis ou encore Beiny, au grand désarroi du chanoine qui regrette dans son écrit que les habitants de la paroisse ne suivent pas l’exemple de la commune limitrophe de SaintEtienne du Bois qui a gardé le nom de son patron. Avant la Révolution, Bény est une communauté dépendante de la seigneurie de Montrevel (situé à l’ouest) et du baillage de Bresse. Les affaires de justice se traitaient à la baronnie de Marboz. Au XXème, il est décrit comme un modeste village rural, un peu à l’écart des grandes routes. Ses habitants sont les Bénéens et les Bénéennes.
Ce village n’a jamais formé une seigneurie à part entière. Son actuel territoire était divisé en six fiefs au XVIIème siècle :
• Pélagey au nord de la commune, aujourd’hui ferme importante sur la D28. Cette ancienne seigneurie était une maison forte sans justice des sires de Coligny puis du seigneur de Domsure en 1748.
• Dananche situé juste à côté de la première, était une seigneurie de moyenne et basse justice possédée au XIIIème siècle par une famille éponyme faisant suite aux sires de Coligny. Passée par plusieurs mains, elle est divisée en plusieurs domaines après la Révolution.
• Marmont (en Revermont) est un fief de même origine, situé au sud-ouest de la commune actuelle, vendu en 1289 à la famille d’Andelot par le duc Robert II de Bourgogne et divisé lui aussi en plusieurs domaines après la révolution. Aujourd’hui, le manoir subsiste et est inscrit à l’inventaire des monuments historiques en tant que bâtiment à pans de bois typique de l’architecture bressane.
• Dortans, au centre de la commune, La Vavre, situé à l’est et Véron situé au sud-est ne sont plus que des fermes à la Révolution.
Toutefois, jamais aucune des familles nobles ne séjournait à Bény et, hormis le manoir, il ne reste rien des demeures féodales, toutes transformées en fermes au fil du temps. Aucun blason du village n’a été trouvé.
En ce qui concerne la gestion de la paroisse, il semblerait que l’église et le presbytère aient toujours été bien tenus, comme le prouverait la visite en 1656 de Monseigneur Camille de Neuville qui recueille les propos des paroissiens « fort satisfaits du curé et du vicaire ».
Durant la période révolutionnaire, les offices étaient célébrés dans la chapelle de Pélagey qui fut finalement détruite en mars 1792. Les offices se tinrent dans quelques maisons particulières mais irrégulièrement pendant la Terreur.
Après le Concordat, un prêtre du nom de Jean-Louis Renoud-Camus s’installe à Bény et fonde une école presbytérale en 1820. L’église fut rebâtie en partie dans les années qui suivirent alors que celle-ci est réouverte au culte depuis 1803. En effet, le clocher avait été détruit en février 1794 et la population du moment, environ 1200 âmes, ne tenait pas à l’intérieur. Toutefois, la fin des travaux s’acheva en 1846 et coûta envi ron 10000 francs et la restauration complète de la nef se finit en 1881 pour la somme totale de 24125 francs. Un quart de la somme vint de bienfaiteurs, dont 1000 francs donnés par le curé en personne.
Quant aux cloches, bénies et installées le 26 septembre 1859, il arriva un petit incident lors de l’installation de Rosalie, la plus grosse des cloches, qui est relaté dans le compte-rendu du curé Million, cité dans l’ouvrage du chanoine Joly : « Comme les ouvriers se pressaient de les monter après la cérémonie de la bénédiction, et lorsqu’on était sur le point de mettre la grosse dans le beffroi, une barre en bois du treuil se casse et la cloche tombe avec un fracas épouvantable […] et s’effondre dans l’église. »
Durant le XIXème et une grande partie du XXème siècle, la population diminue jusqu’à atteindre 503 habitants en 1975. Aujourd’hui, la commune compte 731 habitants et selon les statistiques de l’INSEE, les retraités représentent presque 30% de la population totale de la commune alors que les agriculteurs seulement 2% de cette même population. Un dernier fait divers à propos de la commune : c’est au lieu-dit du Moulin-des-Ponts que Maryse Hilsz, pionnière de l’aviation française et résistante, s’écrasa avec trois autres sous-lieutenants le 30 janvier 1946

Généalogie de la famille à partir du couple de départ BUARD/NALLET

Jean Joseph BUARD

Le 24/06/1811, à huit heures du matin, Claude Jozephe MORAND, maire de la commune de Bény, reçoit François BUARD, 25 ans, père de l’enfant. La mère de l’enfant est Jozephte PERRIN. Le père présente cette naissance en présence de deux témoins habitants de Bény, Claude Jozephe FONTAINE, 31 ans, menuisier et Benoît BLANC, cultivateur. Ces deux témoins ainsi que le père signent avec le maire.
Concernant son parcours militaire, la liste du contingent de l’année 1831, correspondant à l’année de la classe de Jean Joseph, n’a pas été trouvée, les archives étant lacunaires à partir de cette année-là jusqu’en 1836.
Au cours de sa vie, il a fait quelques transactions, la plupart avec participation d’un ou de plusieurs de ses enfants. Le 15/11/1859, devant Me DUPRE, notaire à Marboz, il achète au couple Joseph ROZIER et Marie Julie PERDRIX ainsi qu’à Célestin JACQUET et François MOTHION, époux de Marie Clémence JACQUET, un pré dit des Ponts sur la commune de Villemotier d’une contenance de dix ares environ pour la somme de 260 francs, payée au vendeur immédiatement, dont 200 francs par Jean Joseph. La moitié lui échoit en pleine propriété et l’autre moitié en jouissance pendant sa vie. Ses deux enfants, Hippolyte et François Constantin, obtiennent la nue-propriété de cette moitié.

Histoire de Bény, lieu de résidence du couple

D’après les écrits du chanoine Léon JOLY, aumônier de la paroisse de Bourg, natif de Bény au lieu-dit le Poiziat, qui a écrit une courte monographie sur le village ainsi qu’un ouvrage plus détaillé sur la période révolutionnaire, sobrement intitulé La paroisse de Bény pendant la Révolution en 1924. Il est à noter qu’il a été membre de la société Gorini, revue d’histoire ecclésiastique et d’archéologie du diocèse du Belley.
Le village de Bény est une commune du département de l’Ain, en Bresse, situé au nord de Bourg-en-Bresse dont la première mention est faite au XIIIème siècle par l’archevêque de Lyon puis un premier acte est écrit le 17 mai 1438 par Jean Olivier, curé, qui passe une transaction avec les habitants. Son ancienne dénomination est Saint-Vincent des Bois, puis Bennes, Bennis ou encore Beiny, au grand désarroi du chanoine qui regrette dans son écrit que les habitants de la paroisse ne suivent pas l’exemple de la commune limitrophe de SaintEtienne du Bois qui a gardé le nom de son patron. Avant la Révolution, Bény est une communauté dépendante de la seigneurie de Montrevel (situé à l’ouest) et du baillage de Bresse. Les affaires de justice se traitaient à la baronnie de Marboz. Au XXème, il est décrit comme un modeste village rural, un peu à l’écart des grandes routes. Ses habitants sont les Bénéens et les Bénéennes.
Ce village n’a jamais formé une seigneurie à part entière. Son actuel territoire était divisé en six fiefs au XVIIème siècle :
• Pélagey au nord de la commune, aujourd’hui ferme importante sur la D28. Cette ancienne seigneurie était une maison forte sans justice des sires de Coligny puis du seigneur de Domsure en 1748.
• Dananche situé juste à côté de la première, était une seigneurie de moyenne et basse justice possédée au XIIIème siècle par une famille éponyme faisant suite aux sires de Coligny. Passée par plusieurs mains, elle est divisée en plusieurs domaines après la Révolution.
• Marmont (en Revermont) est un fief de même origine, situé au sud-ouest de la commune actuelle, vendu en 1289 à la famille d’Andelot par le duc Robert II de Bourgogne et divisé lui aussi en plusieurs domaines après la révolution. Aujourd’hui, le manoir subsiste et est inscrit à l’inventaire des monuments historiques en tant que bâtiment à pans de bois typique de l’architecture bressane.
• Dortans, au centre de la commune, La Vavre, situé à l’est et Véron situé au sud-est ne sont plus que des fermes à la Révolution.
Toutefois, jamais aucune des familles nobles ne séjournait à Bény et, hormis le manoir, il ne reste rien des demeures féodales, toutes transformées en fermes au fil du temps. Aucun blason du village n’a été trouvé.
En ce qui concerne la gestion de la paroisse, il semblerait que l’église et le presbytère aient toujours été bien tenus, comme le prouverait la visite en 1656 de Monseigneur Camille de Neuville qui recueille les propos des paroissiens « fort satisfaits du curé et du vicaire ».
Durant la période révolutionnaire, les offices étaient célébrés dans la chapelle de Pélagey qui fut finalement détruite en mars 1792. Les offices se tinrent dans quelques maisons particulières mais irrégulièrement pendant la Terreur.
Après le Concordat, un prêtre du nom de Jean-Louis Renoud-Camus s’installe à Bény et fonde une école presbytérale en 1820. L’église fut rebâtie en partie dans les années qui suivirent alors que celle-ci est réouverte au culte depuis 1803. En effet, le clocher avait été détruit en février 1794 et la population du moment, environ 1200 âmes, ne tenait pas à l’intérieur. Toutefois, la fin des travaux s’acheva en 1846 et coûta environ 10000 francs et la restauration complète de la nef se finit en 1881 pour la somme totale de 24125 francs. Un quart de la somme vint de bienfaiteurs, dont 1000 francs donnés par le curé en personne.
Quant aux cloches, bénies et installées le 26 septembre 1859, il arriva un petit incident lors de l’installation de Rosalie, la plus grosse des cloches, qui est relaté dans le compte-rendu du curé Million, cité dans l’ouvrage du chanoine Joly : « Comme les ouvriers se pressaient de les monter après la cérémonie de la bénédiction, et lorsqu’on était sur le point de mettre la grosse dans le beffroi, une barre en bois du treuil se casse et la cloche tombe avec un fracas épouvantable […] et s’effondre dans l’église. »
Durant le XIXème et une grande partie du XXème siècle, la population diminue jusqu’à atteindre 503 habitants en 1975. Aujourd’hui, la commune compte 731 habitants et selon les statistiques de l’INSEE, les retraités représentent presque 30% de la population totale de la commune alors que les agriculteurs seulement 2% de cette même population.
Un dernier fait divers à propos de la commune : c’est au lieu-dit du Moulin-des-Ponts que Maryse Hilsz, pionnière de l’aviation française et résistante, s’écrasa avec trois autres sous-lieutenants le 30 janvier 1946.

Marie Justine ROBIN

Le 26/01/1823, à quatre heures du soir, Joseph MORAND, maire de la commune de Bény, reçoit Joseph ROBIN, propriétaire cultivateur du village et père de l’enfant. La mère de l’enfant est Marie Anne BLANC, sa légitime épouse. Le père présente cette naissance en présence de Pierre Joseph LOBRICHON et Toussaint BLANC, tous les deux cultivateurs à Bény. Tous les protagonistes signent à la fin de l’acte.
Son décès est déclaré à dix heures du matin par Jean-Joseph BUARD, cultivateur, son mari et Denis TEPPE, cultivateur, son voisin, tous deux domiciliés à Bény, lieu-dit la Ville, devant Pierre Joseph Marie NOBEL, maire de la commune. Il est annoncé qu’elle est décédée le matin même au domicile de son mari, à cinq heures. Les déclarants et le maire signent l’acte.
L’acte est rédigé par Joseph MORAND, maire de la commune, à cinq heures du soir qui reçoit Jean Joseph BUARD, cultivateur à Bény, fils de François BUARD et de Marie Josephte PERRIN « quand vivait » et Marie Justine ROBIN, cultivatrice à Bény, fille de Joseph ROBIN et Marie Anne BLANC, cultivateurs à Bény.
Les témoins sont Joseph Marie PERRIN, instituteur primaire, âgé de 38 ans, parent de l’époux, Jean-Marie TIRAND, sabotier, âgé de 30 ans, ami des époux, Toussaint BLANC, cultivateur, âgé de 50 ans et Jules FONTAINE, maréchal, âgé de 23 ans. Tous signent à l’exception de la mère de la mariée.

Fratries des mariés

FRATRIE BUARD

La fratrie de Jean Joseph est simple ; elle se compose de deux enfants, décédés dans les premiers mois suivant leur naissance. Le patronyme BUARD (ou BUHARD) est peu fréquent et se retrouve aussi dans les communes alentours.
• BUARD Denis Joseph, né le 28/03/1809 à Bény et décédé 14 jours plus tard, le 11/04/1809 au même endroit.
• BUARD Marie Françoise, née le 24/04/1810 à Bény et décédée le 04/06/1810 au même endroit.
• BUARD Jean Joseph

FRATRIE NALLET

La fratrie de Marie Anne se compose de 8 personnes. Il est à noter que le patronyme NALLET est très répandu sur la commune de Saint-Etienne du Bois. Dans la première partie du XIX° siècle, par exemple, cette commune compte parmi ses habitants plusieurs personnes portant le prénom de Claude François : le père de Marie-Anne, son frère aîné, son oncle et deux de ses cousins qui meurent en bas âge. De plus, la toponymie a aussi été marquée par le grand nombre de NALLET qui ont vécu à cet endroit ; un lieu-dit, dans la partie sud-est de la commune porte encore aujourd’hui le nom de Domaine Nallet.
• NALLET Claude François, né le 5 frimaire an XII à Saint-Etienne du Bois. A compléter.
• NALLET Marie Claudine, née le 22/06/1806 à Saint-Etienne du Bois. A compléter.
• NALLET Joseph, né le 10/02/1810 à Saint-Etienne du Bois, décédé le 27/04/1812 au même endroit.
• NALLET Marie-Anne
• NALLET Joseph, né le 30/03/1814 à Saint-Etienne du Bois. A compléter.
• NALLET Jean Marie, né le 02/08/1816 à Saint-Etienne du Bois. A compléter.
• NALLET Marie Angélique, née le 13/02/1821 à Saint-Etienne du Bois. A compléter.
• NALLET Eugène Joseph, né le 12/08/1823 à Saint-Etienne du Bois. A compléter.
La fratrie de Marie Justine se compose elle aussi de 8 enfants. Le patronyme ROBIN est aussi assez répandu sur la commune de Bény, on trouve des naissances à ce nom quasiment chaque année sur les tables décennales.
• ROBIN Rosalie, née le 13/04/1807 à Bény. Elle se marie avec GIRARD Vincent, de dixsept ans son aîné, fils de GIRARD Clément et de JACQUET Jeanne Marie, le 23/11/1833 à Bény. A compléter
• ROBIN Marie Constance Mélanie, née le 16/06/1809 à Bény. A compléter
• ROBIN Joseph Marie, né le 25/09/1812 à Bény. A compléter
• ROBIN Claude Joseph, né le 29/01/1815 à Bény. A compléter
• ROBIN François Louis, né le 10/03/1817 à Bény. A compléter
• ROBIN Jean Louis, né le 04/08/1819 à Bény. A compléter
• ROBIN Marie Justine
• ROBIN Marie Eugène, né le 28/02/1825 à Bény. A compléter

Les enfants du couple (avec leur descendance)

BUARD François Joseph Constantin (1ermariage)

Il est né le 10/03/1836 à Bény, deux ans après le mariage de ses parents. En 1856, d’après la liste départementale du contingent, il est engagé volontaire et réside à SaintSulpice dans l’Ain. Dans les différents actes de transaction, il est mentionné d’abord instituteur provisoire puis est en garnison à Lons-le-Saunier en 1860. L’année suivante, il est caporal au 53ème de ligne et est en permission. Il se marie le 26/06/1872 à Saint-Lô avec LECHEVALLIER Elisa Joséphine, fille de LECHEVALLIER Auguste et LEBEURY Henriette Joséphine, veuve en premières noces de LUCAS Auguste Eugène avec lequel elle a eu un enfant, LUCAS Georges Auguste Paul. Elle décède au même endroit le 23/04/1902. Aucune mention d’un contrat de mariage n’a été trouvée.
Comme la ville a été bombardée durant la Seconde Guerre mondiale, dans la nuit du 6 au 7 juin, les archives, notamment d’Etat Civil, sont manquantes. Une partie a été reconstituée en 1950 et les paroisses de Notre-Dame et Sainte-Croix ont conservé les différents registres de catholicité. Néanmoins, cela n’a pas permis de retrouver la naissance de LECHEVALLIER Elisa Joséphine. Seul le fait qu’elle est née à Saint-Lô a pu être vérifié ainsi que l’année approximative de sa naissance, autour de 1846.
En ce qui concerne le décès de François Joseph Constantin, l’absence en ligne des tables des successions et absence ne permet pas de retrouver facilement cette information.
La dernière information trouvée est qu’il est toujours en vie en 1910 lors du deuxième mariage de sa fille.

De leur mariage

I – BUARD Henri Pierre Joseph, né le 12/06/1874 à Saint-Lô. Il se marie le 17/08/1899 au même endroit avec LEGRAND Alphonsine Léontine, née le 25/05/1877 à Marigny , fille de LEGRAND Gustave François et de LEMONNIER Léonie Alexandrine, et décédée le 19/12/1900 à Saint-Lô. Il décède quelques mois plus tôt, le 22/10/1900 au même endroit.
II – BUARD Fernande Louise Marie, née le 07/06/1880 à Saint-Lô. En premières noces, elle épouse le 28/07/1903 au même endroit LEGRAND Gaston George Joseph, né le 23/11/1881 à Marigny, peintre en bâtiment , fils des mêmes LEGRAND et LEMONNIER ci-dessus, et décédé le 30/07/1907 à Saint-Lô. En secondes noces, elle épouse le 26/09/1910 aussi à Saint-Lô GUILLEMIN Henri Marie, né le 17/11/1876 à Tressaint (Côtesdu- Nord), cimentier, fils de GUILLEMIN Pierre et de PINSARD Jeanne Marie. Sa date de décès est à rechercher. Elle décède le 18/08/1959 à Cherbourg.

BUARD Hippolyte (1er mariage)

Il est né le 21/09/1837 à Bény. Cultivateur, il se marie à 40 ans le 09/01/1878 à Bény avec MARTIN Marie Joséphine Constantine, née le 14/06/1856 aussi à Bény, fille de MARTIN Joseph Marie et de VARNIER Jeanne Marie, demeurant au lieu-dit les Blanchets, commune de Bény.
Ils passent un contrat de mariage le 20/12/1877 chez Me DUPRE, notaire à Marboz.
Dans ce contrat, les époux se marient sous le régime de la communauté réduite aux acquêts.
L’épouse se constitue un trousseau « provenant de ses épargnes », composé de linges et bijoux estimés « amiablement » à 600 francs. Hippolyte se constitue aussi en principal divers objets mobiliers issus des successions de ses parents, le tout pour une somme de 600 francs.
De plus, le père de la mariée fait don à titre de préciput et hors part d’un lit garni à livrer dans l’année estimé à 200 francs ainsi qu’une somme de 300 francs payable dans six ans.
Il décède le 21/05/1922 à Bény et elle décède le 03/02/1931 au même endroit.

De leur mariage

I – BUARD Marie Sylvie, née le 11/04/1879 à Bény. Elle se marie le 14/05/1902 au même endroit avec RODET Fulgence Samuel, menuisier, né le 24/12/1866 à Bény, fils de RODET Fulgence et PROMPT Adèle (Marie Rosalie). Ils passent un contrat de mariage le 12/05/1902 chez Me GIROD, notaire à Saint-Etienne du Bois . Il décède à Bény le 06/03/1935 et elle décède au même endroit le 28/03/1970
II – BUARD Marie Joseph Hippolyte, menuisier, né le 04/12/1881 à Bény. Il se marie le 19/05/1909 au même endroit avec MARTIN Maltide Marie Joséphine, cultivatrice, née le 06/12/1885 à Saint-Etienne du Bois, fille de MARTIN Joseph Marie et TRIPOZ dit MASSON Joséphine. Ils passent un contrat de mariage le 17/05/1909 chez Me BUGUET, notaire de Saint-Etienne du Bois . Elle décède le 09/04/1941 à Saint-Etienne du Bois et il décède au même endroit le 06/11/1961.

Les ascendants du marié (ascendance agnatique)

Les parents de Jean Joseph BUARD

Il est le fils de BUARD François, né le 12/01/1786 à Bény, fils de BUARD Pierre Joseph et de GRANDJEAN dit GAILLARD Jeanne Marie, et de PERRIN Marie Josephte, née le 23/01/1779, fille de PERRIN Jean et de POBEL Denise, mariés à Bény. Ils se marient le 04/11/1807 à Bény. Marie Josephte décède le 16/12/1844 à Bény et son époux décède le 04/11/1858 au même endroit. La fratrie de François se compose de :
• BUARD Thérèse, née le 13/04/1768 à Bény, épouse de PONCIN Christophe (Joseph), fils de PONCIN Claude Joseph et de BENOS Denise, paroissiens de Bény, dont le mariage est célébré le 07/03/1791 au même endroit. Elle a au moins un fils prénommé Jean Marie. Elle décède le 28/12/1827 toujours à Bény. Sur son acte de baptême, même le curé semble avoir du mal avec le patronyme de sa mère, puisqu’il la nomme « Jeanne Marie GAILLARD GRANDJEAN dit GAILLARD »

Les parents de François BUARD

Il est le fils de BUARD Pierre Joseph, né le 20/10/1741 à Bény, fils de BUARD Pierre et de PONCIN Marie, et de GRANDJEAN dit GAILLARD Jeanne Marie, fille de GRANDJEAN dit GAILLARD André et de MORAND Marie Anne, habitant à Domsure. Ils se marient le 03/06/1766 à Bény après avoir obtenu de l’archevêché de Lyon une dispense de parenté au quatrième degré le 29/05/1766.
Pierre Joseph décède le 14 fructidor an XIII. Les informations concernant sa femme sont à rechercher. La fratrie de Pierre Joseph se compose de :
• BUARD Joseph, né le 09/01/1739 à Bény. Il est témoin lors du mariage de son frère.
• BUARD Pierre Joseph.

Les parents de Pierre Joseph BUARD

Il est le fils de BUARD Pierre et de PONCIN Marie, mariés à Bény le 19/11/1735. Les autres informations sont à rechercher. Concernant la fratrie, il semblerait que Pierre ait un frère Denis et une sœur Anne Marie mais aucun lien formel n’a encore été établi.

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Table des matières

I – Introduction
II – Histoire de Bény, lieu de résidence du couple
III – Généalogie de la famille à partir du couple de départ BUARD/NALLET
IV – Arbre(s)
V – Annexes
VI – Conclusion – Méthode – Remerciements

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