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LES GLOMERULOPATHIES AIGUES
FORME TYPIQUE : GLOMERULONEPHRITE AIGUE POST STREPTOCOCCIQUE NON COMPLIQUEE DE LโENFANT DโAGE SCOLAIRE
CLINIQUE
๏ PHASE DE DEBUT
Le syndrome nรฉphritique aigu apparait habituellement une ร deux semaines aprรจs une infection rhinopharyngรฉe et trois ร six semaines aprรจs une infection cutanรฉe [74].
๏ PHASE DโETAT
Le tableau clinique est caractรฉrisรฉ par lโapparition brutale dโune hรฉmaturie et dโune protรฉinurie associรฉes ร un ลdรจme, une hypertension artรฉrielle et une altรฉration lรฉgรจre ร modรฉrรฉe de la fonction rรฉnale [82].
Lโhรฉmaturie macroscopique est prรฉsente chez 18 % ร 75,7 % des enfants prรฉsentant une glomรฉrulonรฉphrite aigue post streptococcique [2,78], les urines sont alors foncรฉes, urines ยซ Coca-Cola ยป ou ยซ bouillon sale ยป [82]. Lโhรฉmaturie microscopique est constante et peut persister des mois aprรจs la rรฉsolution des symptรดmes [82].
Les ลdรจmes sont trรจs frรฉquents, retrouvรฉs dans 51,4 % ร 90 % des cas. Ils siรจgent ร la face et aux membres inferieurs chez les adolescents et sont souvent gรฉnรฉralisรฉs chez les jeunes enfants [74].
Lโhypertension artรฉrielle est observรฉe dans 60 % ร 100 % des cas [2,74,78,82], elle est systolodiastolique et habituellement lรฉgรจre ร modรฉrรฉe. Cependant, le tableau dโhypervolรฉmie et de congestion circulatoire peut dominer le tableau clinique, et entrainer un ลdรจme pulmonaire ou une encรฉphalopathie hypertensive [35].
Une oligurie transitoire est observรฉe chez environ 50 % des enfants, lโanurie est plus rare [82]. Dโautres symptรดmes non spรฉcifiques peuvent รชtre observรฉs tels que des nausรฉes, des vomissements, une anorexie, des douleurs lombaires et abdominales [82]. La recherche dโun foyer infectieux est souvent nรฉgative ร ce stade.
PARACLINIQUE
BIOLOGIE
๏ SIGNES RENAUX ๏ผ Sรฉdiment urinaire
Lโhรฉmaturie est systรฉmatique. Elle est le plus souvent macroscopique mais une hรฉmaturie microscopique peut รชtre le seul signe de la maladie. Cette hรฉmaturie est constituรฉe dโacanthocytes et de cylindres hรฉmatiques ; cela est tรฉmoin de son origine glomรฉrulaire [82]. La protรฉinurie est frรฉquente. Elle est habituellement modรฉrรฉe, inferieure ร 500 mg/24 heures mais elle peut devenir nรฉphrotique dans 5 % ร 10 % des cas [82].
๏ผ Insuffisance rรฉnale
Lโinsuffisance rรฉnale est prรฉsente dans 25 % ร 83 % des cas [2,74,78,82]. Elle est plus frรฉquente chez lโadulte et sโobserve dans 83 % des cas environ [55]. Lโรฉlรฉvation transitoire de lโurรฉe et de la crรฉatinine plasmatique est due ร la baisse du dรฉbit de filtration glomรฉrulaire avec un flux sanguin rรฉnal normal ou bas et une fraction de filtration nettement diminuรฉe [74]. La durรฉe de lโinsuffisance rรฉnale est trรจs brรจve et nโexcรจde classiquement pas trois jours, et les formes oligoanuriques nรฉcessitant la mise en ลuvre dโune รฉpuration extrarรฉnale sont estimรฉes ร 8,3 % [16]. La fonction tubulaire est habituellement prรฉservรฉe ou lรฉgรจrement perturbรฉe [82]. Une acidose tubulaire hyperkaliemique avec hyperchlorรฉmie (acidose tubulaire type 4) est parfois observรฉe [82].
๏ SIGNES IMMUNOLOGIQUES
Les perturbations du systรจme du complรฉment sont les signes biologiques les plus รฉvocateurs de la glomรฉrulonรฉphrite aigue et sont prรฉsentes quel que soit le germe en cause [48]. Une baisse importante de la fraction C3 est observรฉe, avec un taux normal de C4 [82]. Un monitorage rรฉgulier des taux sรฉriques du complรฉment est indispensable au cours des glomรฉrulonรฉphrites aigues post streptococciques ; une hypocomplementemie persistante reprรฉsente une indication de la ponction-biopsie rรฉnale pour รฉliminer dโautres diagnostics diffรฉrentiels [62].
๏ผ SIGNES INFLAMMATOIRES
La vitesse de sรฉdimentation est gรฉnรฉralement รฉlevรฉe en rapport avec un discret syndrome inflammatoire ; la protรฉine C-rรฉactive et les facteurs rhumatoรฏdes sont dans les limites de la normale [47].
๏ผ SIGNES INFECTIEUX
Le prรฉlรจvement de gorge est souvent nรฉgatif, mรชme au dรฉbut de la nรฉphropathie [82]. La dรฉtection dโanticorps contre un antigรจne streptococcique apporte des arguments en faveur dโune infection streptococcique rรฉcente [88]. En pratique clinique, des dosages rรฉpรฉtรฉs du titre des anticorps antistreptolysine (ASLO), antidรฉsoxyribonuclรฉase B (ADNase B), antihyaluronidase, antistreptokinase et antinicotinamide adรฉnine dinuclรฉotidase sont rรฉalisรฉs pour confirmer la prรฉsence dโune infection [88].
Les taux des anticorps antistreptolysine et antinicotinamide adรฉnine nuclรฉotidase sont รฉlevรฉs dans 80 % des cas dโinfections rhinopharyngรฉes, alors que les titres des anticorps antihyaluronidase et ADNase B sont รฉlevรฉs dans 80 % ร 90 % des cas dโinfections cutanรฉes [88].
Le taux de ces anticorps augmente durant la premiรจre semaine aprรจs lโinfection streptococcique et jusquโร la cinquiรจme, puis revient ร la normale aprรจs plusieurs mois [88]. Les anticorps anti zymogรจne prรฉsentent une meilleure valeur prรฉdictive positive que les autres anticorps pour la dรฉtection des infections ร streptocoque associรฉes ร une glomรฉrulonรฉphrite [88].
ECHOGRAPHIE
Lโรฉchographie rรฉnale objective des reins de taille normale ou lรฉgรจrement augmentรฉe [47].
AUTRES EXAMENS COMPLEMENTAIRES
La radiographie thoracique peut montrer une surcharge pulmonaire, lโรฉlectrocardiogramme est le plus souvent normal [47].
HISTOLOGIE
Dans cette forme typique avec รฉvolution rapidement favorable, la biopsie rรฉnale nโest pas nรฉcessaire. En revanche, la ponction biopsie rรฉnale est rรฉalisรฉe au cours de la phase aiguรซ en cas de complรฉment sรฉrique normal ou de formes symptomatiques glomรฉrulaires anormalement graves : oligoanurie durant plus de trois jours, insuffisance rรฉnale supรฉrieure ร une semaine, syndrome nรฉphrotique รฉvoluant pendant plus de dix ร quinze jours [47]. Elle est par ailleurs nรฉcessaire en cas dโรฉvolution inhabituelle avec une consommation prolongรฉe du complรฉment pendant plus de deux mois, une protรฉinurie importante persistante pendant plus de trois mois et une hรฉmaturie durant plus de 18 mois [80,82].
๏ MICROSCOPIE OPTIQUE
La prรฉsentation histologique typique de la glomรฉrulonรฉphrite aigue post streptococcique est une glomรฉrulonรฉphrite prolifรฉrative endocapillaire pure [74]. Elle est caractรฉrisรฉe par une prolifรฉration cellulaire diffuse avec une augmentation du nombre de cellules endothรฉliales, et ร moindre degrรฉ des cellules mรฉsangiales et รฉpithรฉliales [80]. Tous les glomรฉrules sont le siรจge dโune infiltration des lumiรจres capillaires et du mรฉsangium par des cellules initialement polynuclรฉรฉes, puis ร des stades avancรฉs par des monocytes et des lymphocytes CD4+ [80] (Figure 3). La paroi des capillaires est รฉpaissie de faรงon segmentaire [80]. Dans les cas les plus sรฉvรจres, des cellules รฉpithรฉliales et des macrophages sโaccumulent dans lโespace de Bowman, rรฉalisant une prolifรฉration extracapillaire avec formation de croissants รฉpithรฉliaux [74] (Figures 4 et 5).
Les anomalies tubulaires sont habituellement peu marquรฉes, sauf en cas dโatteinte glomรฉrulaire floride [80].
La vacuolisation des cellules tubulaires proximales, des รฉrythrocytes intraluminaux, une tubulite focale, une dilatation et une atrophie tubulaires peuvent รชtre observรฉes [80].
La lรฉsion la plus รฉvocatrice de la glomรฉrulonรฉphrite aigue est la prรฉsence de dรฉpรดts anormaux de grande taille, coniques et รฉosinophiles, qui sont disposรฉs sur le versant externe de la membrane basale glomรฉrulaire, appelรฉs humps [80] (Figures 6โ8). Ces dรฉpรดts disparaissent le plus souvent avant huit semaines [80].
EVOLUTION
รlรฉments de surveillance
Cliniques : la courbe de poids, la pression artรฉrielle, la tempรฉrature, la diurรจse des 24 heures, lโexamen cardio pulmonaire.
Biologiques : la crรฉatininรฉmie, le complรฉment, la protรฉinurie des 24 heures, le sรฉdiment urinaire, lโionogramme sanguin.
Modalitรฉs รฉvolutives
Chez lโenfant, la glomรฉrulonรฉphrite aigue post streptococcique est bรฉnigne dans la grande majoritรฉ des cas, avec une mortalitรฉ prรฉcoce infรฉrieure ร 1 %. Lโhypertension artรฉrielle et lโhรฉmaturie macroscopique disparaissent au bout de quelques semaines. Lโhรฉmaturie microscopique peut persister pendant des annรฉes
; quant ร la protรฉinurie, elle disparait au bout de quelques mois [82]. Dans une sรฉrie de 138 enfants atteints de glomรฉrulonรฉphrite aigue post streptococcique, รขgรฉs de trois ร 14 ans, on a notรฉ la disparition de lโhรฉmaturie microscopique aprรจs six ร quarante-huit mois et de la faible protรฉinurie aprรจs trois ร vingt-quatre mois, avec normalisation du complรฉment aprรจs huit semaines dans 97 % des cas [46]. Cependant, la guรฉrison ne doit pas exclure le fait que le nombre rรฉduit des nรฉphrons intacts subit des changements hรฉmodynamiques avec le temps, et que lโhyperfiltration rรฉsultante peut causer dโautres lรฉsions rรฉnales avec rรฉapparition des anomalies urinaires et de lโhypertension artรฉrielle [17,34]. Ainsi, un antรฉcรฉdent de glomรฉrulonรฉphrite aigue post streptococcique dans lโenfance peut รชtre un facteur de risque puissant de la maladie rรฉnale chronique [16,87].
FORMES CLINIQUES
FORMES SYMPTOMATIQUES
FORMES ASYMPTOMATIQUES
Les formes infra cliniques sont caractรฉrisรฉes par une baisse transitoire du complรฉment sรฉrique, une hรฉmaturie microscopique et parfois une hypertension artรฉrielle [78]. Lโhรฉmaturie microscopique peut รชtre le seul signe de la maladie dans les formes รฉpidรฉmiques [82]. La dรฉtection de ces formes est uniquement possible chez des enfants ร risque placรฉs sous surveillance prospective et, en cas dโรฉpidรฉmie, la ponction-biopsie rรฉnale nโest pas indiquรฉe dans ce cas en raison dโun excellent pronostic immรฉdiat et ร long terme [78].
FORMES COMPLIQUEES
๏ GLOMERULONEPHRITE AIGUE MALIGNE
Certains agents infectieux bactรฉriens peuvent induire une glomรฉrulonรฉphrite extracapillaire associรฉe ร des dรฉpรดts de complexes immuns, provoquant lโactivation du complรฉment par la voie classique [74]. Les microorganismes le plus souvent en cause sont le streptocoque A b-hรฉmolytique, S. epidermidis et S. aureus, en particulier dans les nรฉphrites de shunt et les endocardites aigues [74].
Le tableau clinique est celui dโune glomรฉrulonรฉphrite rapidement progressive avec insuffisance rรฉnale progressive en quelques jours ou semaines, associรฉe ร une protรฉinurie et une hรฉmaturie [74]. Ces formes se caractรฉrisent par un pourcentage รฉlevรฉ de croissants รฉpithรฉliaux atteignant plus de 50% des glomรฉrules [74] (Figure 6).
FORMES CHEZ LES TRANSPLANTES RENAUX
La glomรฉrulonรฉphrite aigue postinfectieuse est rare chez le greffรฉ rรฉnal. Onze cas seulement ont รฉtรฉ rapportรฉs dans la littรฉrature [70]. Dans la sรฉrie de Moroni et al. trois cas de glomรฉrulonรฉphrite aigue postinfectieuse aprรจs transplantation rรฉnale ร partir dโun donneur cadavรฉrique ont รฉtรฉ diagnostiquรฉs [56]. Les infections en cause รฉtaient une bactรฉriรฉmie ร E. coli, un abcรจs cutanรฉ, une angiocholite. Tous ces patients ont prรฉsentรฉ une dรฉtรฉrioration rapide de la fonction rรฉnale avec ร la ponction biopsie rรฉnale un aspect compatible avec une glomรฉrulonรฉphrite aigue post-infectieuse [56]. Un cas sur trois a normalisรฉ sa fonction rรฉnale aprรจs traitement, les deux autres cas sont retournรฉs en hรฉmodialyse [56].
FORMES ETIOLOGIQUES
AUTRES GLOMERULOPATHIES AIGUES POSTINFECTIEUSES
Toutes les autres classes dโagents infectieux ont รฉtรฉ associรฉes ร quelques cas de glomรฉrulonรฉphrites aigues :
๏ Bactรฉries (staphylocoques, mรฉningocoques), germes figurรฉs (M. pneumoniae),
๏ Champignons microscopiques (C. albicans),
๏ Virus (varicelle, rougeole, cytomรฉgalovirus),
๏ Parasites (Plasmodium falciparum) et rickettsiose [82].
Ces formes non streptococciques sont sporadiques et la nรฉphropathie est parfois contemporaine de lโรฉpisode infectieux [82].
La prรฉsence dโune relation causale entre lโinfection et la nรฉphropathie a รฉtรฉ initialement รฉtablie par des รฉtudes รฉpidรฉmiologiques dโinfections รฉpidรฉmiques ou endรฉmiques associรฉes ร des anomalies glomรฉrulaires spรฉcifiques [74]. Ces glomรฉrulopathies survenant durant lโรฉpisode infectieux sans intervalle libre entre lโinfection et lโatteinte rรฉnale sont souvent nommรฉes glomรฉrulonรฉphrites infectieuses plutรดt que glomรฉrulonรฉphrites post infectieuses [49].
Cette glomรฉrulonรฉphrite est dรฉfinie par la prรฉsence dโau moins trois des cinq critรจres suivants [49] :
– Une infection (bien documentรฉe cliniquement et/ou bactรฉriologiquement), prรฉcรฉdant lโapparition de la glomรฉrulonรฉphrite ;
– Une relation temporelle รฉtroite entre lโinfection et les premiers signes rรฉnaux ;
– Des lรฉsions glomรฉrulaires compatibles avec une origine infectieuse en microscopie optique et en immunofluorescence ;
– Lโabsence de signes cliniques, biologiques et/ou histologiques de maladies systรฉmiques ;
– La prรฉsence non exclusive de dรฉpรดts dโIgA en immunofluorescence. Montseny et al. ont rapportรฉ 76 cas de glomรฉrulonรฉphrites infectieuses avec plusieurs agents infectieux identifiรฉs [55] : Staphylococcus aureus (neuf cas), Staphylococcus epidermidis (quatre cas), le streptocoque (onze cas), Klebsiella (un cas) et les bacilles ร Gram nรฉgatif : Escherichia coli (quatre cas), Haemophilus (deux cas), Pseudomonas (trois cas), Acinetobacter (un cas). Le site de lโinfection รฉtait variable : infection cutanรฉe et pulmonaire, endocardite, septicรฉmie et abcรจs profond [55]. Les lรฉsions histologiques rรฉnales รฉtaient une glomรฉrulonรฉphrite endocapillaire (58 % des cas), une glomรฉrulonรฉphrite endo et extracapillaire (34 % des cas), et une glomรฉrulonรฉphrite membranoproliferative (8 % des cas) [49]. Plusieurs cas sporadiques de nรฉphropathies glomรฉrulaires ont รฉtรฉ rapportรฉs au cours de maladies virales et parasitaires ; ces glomรฉrulopathies rรฉpondent gรฉnรฉralement bien au traitement anti-infectieux [74]. Le Tableau 2 regroupe les agents infectieux impliquรฉs dans le dรฉveloppement dโune glomรฉrulonรฉphrite infectieuse.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE BIBLIOGRAPHIQUE
1. RAPPEL SUR LE GLOMERULE [68]
2. FORMES CLINIQUES
2.1. LES GLOMERULOPATHIES AIGUES
2.1.1. FORME TYPIQUE : GLOMERULONEPHRITE AIGUE POST STREPTOCOCCIQUE NON COMPLIQUEE DE LโENFANT DโAGE SCOLAIRE
2.1.1.1 CLINIQUE
2.1.1.2 PARACLINIQUE
2.1.1.2.1 BIOLOGIE
2.1.1.2.2 ECHOGRAPHIE
2.1.1.2.3 AUTRES EXAMENS COMPLEMENTAIRES
2.1.1.2.4 HISTOLOGIE
2.1.1.3 EVOLUTION
2.1.2 FORMES CLINIQUES
2.1.2.1 FORMES SYMPTOMATIQUES
2.1.2.1.1 FORMES ASYMPTOMATIQUES
2.1.2.1.2 FORMES COMPLIQUEES
2.1.2.1.3 FORMES CHEZ LES TRANSPLANTES RENAUX
2.1.2.2 FORMES ETIOLOGIQUES
2.1.2.2.1 AUTRES GLOMERULOPATHIES AIGUES POSTINFECTIEUSES
2.1.2.2.2 AUTRES FORMES DE GLOMERULOPATHIES AIGUES NON INFECTIEUSES [73]
2.2 GLOMERULOPATHIES CHRONIQUES
2.2.1 FORME TYPIQUE : SYNDROME NEPHROTIQUE PUR REVELANT UNE NEPHROSE DANS SA FORME NON COMPLIQUEE
2.2.1.1. PHASE DE DEBUT
2.2.1.2 PHASE DโETAT
2.2.1.3 SIGNES PARACLINIQUES
2.2.1.3.1 BIOLOGIE [61,71]
2.2.1.3.2 IMAGERIE
2.2.1.3.3 HISTOLOGIE [51,63]
2.2.1.4 EVOLUTION
2.2.1.5 PRONOSTIC
2.2.2 FORMES CLINIQUES
2.2.2.1 FORMES SYMPTOMATIQUES
2.2.2.2 FORMES COMPLIQUEES
2.2.2.3 FORMES ANATOMOCLINIQUES
2.2.3 FORMES ETIOLOGIQUES
2.2.3.1 FORMES PRIMITIVES
2.2.3.2 FORMES SECONDAIRES
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
1. METHODOLOGIE
1.1. CADRE DโETUDE
1.1.1. LES LOCAUX
1.1.2. LES ACTIVITES MENEES PAR LE SERVICE DE PEDIATRIE
1.1.3. LE PERSONNEL
1.2. PATIENTS ET METHODES
1.2.1. PATIENTS
1.2.2. METHODES
1.2.3. ANALYSE DES DONNEES
1.2.4. LES ASPECTS ETHIQUES
2. RESULTATS
2.1. ETUDE DESCRIPTIVE
2.1.1. EPIDEMIOLOGIE
2.1.1.1. DISTRIBUTION DES PATIENTS EN FONCTION DE LโANNEE DU DIAGNOSTIC
2.1.1.2 DISTRIBUTION DES GLOMERULOPATHIES SELON LโAGE
2.1.1.3 DISTRIBUTION DES PATIENTS SELON LE SEXE ET LA GLOMERULOPATHIE
2.1.2. SIGNES CLINIQUES
2.1.2.1. FREQUENCE DES SIGNES GENERAUX SELON LE TYPE DE GLOMERULOPATHIE
2.1.2.2. FREQUENCE DES SIGNES NEPHROLOGIQUES SELON LE TYPE DE GLOMERULOPATHIE
2.1.2.3. FREQUENCE DES SIGNES EXTRA RENAUX SELON LE TYPE DE GLOMERULOPATHIE
2.1.3. VARIABLES BIOLOGIQUES SANGUINES ET URINAIRES
2.1.3.1. TAUX MOYEN DES VARIABLES BIOLOGIQUES EN FONCTION DU TYPE DE GLOMERULOPATHIE
2.1.3.1.1. NUMERATION FORMULE SANGUINE (NFS) / HEMOGLOBINE (HB)
2.1.3.1.2. CREATININEMIE
2.1.3.1.3. PROTEINURIE DES 24H
2.1.3.2. DISTRIBUTION DES PATIENTS ATTEINTS DE GLOMERULOPATHIES CHRONIQUES SELON LE STADE
2.1.3.3. ECBU
2.1.3. IMAGERIE
2.1.4. HISTOLOGIE : PONCTION BIOPSIE RENALE
2.1.3 ETIOLOGIES
2.1.5. TRAITEMENT
2.1.6. EVOLUTION EN HOSPITALISATION
3. LES DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES
3.1. ASPECT EPIDEMIOLOGIQUE :
3.1.1. LA PREVALENCE
3.1.2. AGE
3.1.3. SEXE
3.2. ASPECTS CLINIQUES
3.2.1. SIGNES CLINIQUES
3.2.1.1. PROTEINURIE
3.2.1.2. ลDEME DE TYPE RENAL
3.2.1.3. HEMATURIE MACROSCOPIQUE
3.2.1.4. HYPERTENSION ARTERIELLE (HTA)
3.2.1.5. OLIGURIE
3.2.1.6. ANEMIE
3.2.2. SIGNES PARACLINIQUES
3.2.2.1. PROTEINURIE QUANTITATIVE
3.2.2.2. PONCTION BIOPSIE RENALE (PBR)
3.3. ASPECTS ETIOLOGIQUES
3.4. ASPECTS THERAPEUTIQUES
3.5. ASPECTS EVOLUTIFS
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
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