FONCTIONNEMENT ET ZONES D’INTERVENTION DU CDA

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Techniques vivantes

Commençant par l’observation de ces jeunes et leur intégration dans le milieu professionnelle, nous avons continué nos observations dans les programmes même des formations. Ensuite par des entretiens libres pour mieux situer nos hypothèses et enfin à l’aide d’entretiens dirigés avec un questionnaire préparé au préalable.

Questionnaire

Un questionnaire d’enquête est un instrument d’observation et de collecte de données.3 Nous avons procédé tout d’abord à une pré-enquête par un questionnaire avec des interviews, c’est-à-dire par des questions posées oralement. C’est un questionnaire d’essai qui a été posé à un petit nombre d’individus. A l’aide de questions d’opinions nous avons enquêtés quelques élèves et quelques personnelles dans le but d’avoir un point de vue globale du sujet.
Suite à cette pré-enquête, et tout en respectant la première condition de la fidélité d’un questionnaire comme instrument d’observation, nous avons élaboré des questionnaires identiques par rapport à la classification des individus. Nous avons élaboré différents types de questions :
– Des questions fermées n’offrant à l’enquêté qu’une possibilité de réponses alternatives sous réserve du refus de répondre mais aussi consistant à présenter à l’enquêté un éventail de réponses possibles, rédigées à l’avance parmi lesquelles il choisira la sienne.
– Des questions ouvertes laissant à l’enquêté le libre choix de sa réponse.
Dans le contenu des questions il nous a été préférable de garder les questions les plus sensibles ou les plus indiscrètes, pour la fin. Car les jeunes interrogés sont souvent moins réticentes à y répondre lorsqu’ils ont déjà répondu à plusieurs questions.

Echantillonnage

Comme nous l’avons cité dans notre introduction, nous avons utilisé la méthode probabiliste car cette méthode permet de garantir notre choix quant à l’échantillonnage de nos enquêtes effectuées.
L’échantillonnage probabiliste entraîne la sélection d’un échantillon à partir d’une population, sélection qui repose sur le principe de la randomisation (la sélection au hasard ou aléatoire) ou la chance. Il est plus complexe, mais toutefois, comme les unités de la population sont sélectionnées au hasard et qu’il est possible de vérifier la probabilité d’inclusion de chaque unité dans l’échantillon, on peut, grâce à l’échantillonnage probabiliste, produire des estimations fiables, de même que des estimations de l’erreur d’échantillonnage.
Il existe plusieurs méthodes différentes permettant de sélectionner un échantillon probabiliste. La méthode qu’on a choisi dépend d’un certain nombre de facteurs.
Dans un échantillonnage aléatoire simple, chaque membre d’une population a une chance égale d’être inclus à l’intérieur de l’échantillon. Chaque combinaison de membres de la population a aussi une chance égale de composer l’échantillon. Ces deux propriétés sont ceux qui ont définit un échantillonnage aléatoire simple.
Nous avons donc enquêté 30personnes pour représenter la population globale. Les jeunes bénéficiaires étaient reparties selon les différentes formations : que ce soit en ouvrage de bois, en mécanique auto, en cuisine ou autres

Approche sociologique

Le paradigme holisme est une manière d’expliquer les faits sociaux à partir du tout. Ce paradigme met l’accent sur le poids de la société sur l’individu ou le poids du social par rapport à l’individu. Il met en exergue le rapport entre la conscience collective et la conscience individuelle (principale caractéristique de l’holisme).
Une formation socio professionnelle ne fait pas l’homme de rien. Elle s’applique à des dispositions qu’elle trouve toutes faites. D’un côté, on peut concéder d’une manière générale que ces tendances congénitales sont très fortes, très difficiles à détruire ou à transformer radicalement car elles dépendent de conditions organiques sur lesquelles le formateur a peu de prise. Par conséquent, dans la mesure où elles ont un objet défini, où elles inclinent l’esprit et le caractère à des manières d’agir et de penser étroitement déterminées, tout l’avenir de l’individu se trouve fixé par avance, et il ne reste pas beaucoup à faire à l’éducation.
En résumant l’étude de Durkheim à propos de ce paradigme, nous pouvons dire alors que c’est la conscience collective qui prédomine et la conscience individuelle dépend toujours de la première. C’est pareil pour ce qui est de la réalité observée dans notre terrain. Autrefois, tout le monde ou tous les membres de la société dépendent les uns des autres.
Actuellement, la société vit contrairement à la signification de ce paradigme. Tout est si différent. Notre société commence à se distinguer maintenant ou l’individualisme. Selon Max Weber et Raymond Boudon, ce n’est plus la société étant donné que ce sont les individus qui la constituent. Dans ce cas, l’individu va entrer en relation avec lui-même avec une relation intra personnelle. Parlant de sociétés modernes maintenant, chacun est spécialisé dans son domaine et c’est à partir de cela que la division de travail très différenciée engendre la distinction de tous les membres de la société. De plus, la division entraîne la dégradation de la conscience collective. Tout le monde est différent. Nous pouvons même dire que la société actuelle est très individualiste. L’individu se rattache directement à lui-même sans les autres. Et la classe sociale et l’hiérarchisation au sein de la société ont pris leur place leur convenant.
Les membres de la société se soucient uniquement de leur économie ou de leur intérêt (de ce qu’ils gagnent, de leurs argents). En effet, nous ne trouvons plus de la cohésion sociale dans la société d’aujourd’hui. Les individus ne s’intéressent qu’à eux-mêmes. A l’heure actuelle, le droit est restitutif et n’est même pas connu par tout le monde sauf pour ceux qui ressentent le besoin de le connaître.
La société actuelle se base sur l’individualisme. La conscience individuelle est supérieure à la conscience collective. Le droit ne s’accompagne pas de sentiment vif et ne fait pas partie de la conscience collective. Nous appelons ainsi la solidarité actuelle, la solidarité organique qui n’est pas suffisante pour maintenir la cohésion entre les individus. 1.3.Concept de l’insertion professionnelle L’insertion couvre l’ensemble des rapports de la personne avec son environnement social. Être inséré signifie avoir une place, être assuré de positions sociales différenciées et reconnues (statut, rôles, etc.). Le concept d’insertion est indissociable du concept de socialisation car pour être inséré, l’être humain doit intérioriser un ensemble de valeurs, de normes, de règles communes. Il existe la socialisation primaire (au sein du cercle familial) et la socialisation secondaire (au sein de l’espace scolaire, professionnel et au fil des divers échanges avec autrui). Ces processus de socialisation permettent à l’individu de trouver sa place dans la société, d’être inséré socialement. Selon l’IDRIS, l’insertion sociale est l’« action visant à faire évoluer un individu isolé ou marginal vers une situation caractérisée par des échanges satisfaisants avec son environnement. C’est aussi le résultat de cette action, qui s’évalue par la nature et la densité des échanges entre un individu et son environnement. »4 Jean-Yves Barreyre donne l’origine étymologique du mot « insérer » du latin in-sere, qui signifie « introduire dans ». Marc Loriol, pour sa part, cite Durkheim pour définir le concept d’insertion « un groupe ou une société sont intégrés quand leurs membres se sentent liés les uns aux autres par des croyances, des valeurs, des objectifs communs, le sentiment de participer à un même ensemble sans cesse renforcé par des interactions régulières ». L’insertion sociale revêt donc plusieurs dimensions, que ce soit au niveau professionnel, du logement, culturel ou encore de la santé. 1.4. L’insertion professionnelle selon Bertrand Schwartz5 Face à cette dégradation de la situation de l’emploi, notamment celle des jeunes, les pouvoirs publics lancent trois pactes annuels successifs pour l’emploi (à partir de juillet 1977), afin de compléter le niveau de formation des jeunes sortis du système scolaire sans formation ou qualification reconnues.
Mais c’est avec la parution du rapport sur « l’insertion professionnelle et sociale des jeunes » dirigé par Bertrand Schwartz qu’une politique d’insertion de plus grande envergure a été mise en place par le gouvernement de gauche en 1981. Suivant les préconisations du « rapport Schwartz », cette politique, centrée au début sur les jeunes en difficulté, intègre, d’une part, des mesures qui relèvent des Politiques de l’emploi (formation qualifiante, puis, ultérieurement, contrats d’insertion professionnelle en entreprise, etc.), et, d’autre part, des mesures d’action sociale au sens le plus large (allant du suivi social jusqu’aux domaines du logement ou de la culture). Par ailleurs, l’animation du dispositif d’insertion des jeunes se réalise à l’échelle décentralisée sous l’impulsion des missions locales « jeunes » – qui regroupent en leur sein les différents partenaires publics, privés ou associatifs et syndicaux concernés par ce problème – avec une coresponsabilité de l’État et des collectivités locales

Les trois pôles de mesures d’insertion professionnelle et sociale

Suivant les recommandations du rapport Schwartz, l’objectif d’intégration dans l’emploi sera au coeur des mesures et des dispositifs d’insertion qui vont se succéder à partir de 1982, pour les jeunes peu qualifiés d’abord, puis pour les chômeurs adultes, dans le cadre de la loi de 1988 sur le Revenu minimum d’insertion notamment. Mais l’ambitieux programme de stages pour l’insertion des jeunes, lancé en 1982, mettait également l’accent sur le développement de compétences sociales (savoir être), comme complément nécessaire à l’acquisition de compétences professionnelles. Aux côtés des stages de formation, deux autres types de mesures d’insertion à destination des jeunes vont apparaître au début des années 1980 : – Les contrats en alternance, contrats d’insertion en entreprise, à la suite de l’accord interprofessionnel du 22 octobre 1983. – Les contrats aidés du secteur non marchand, créés en 1984. Au total, pour l’année 1986 par exemple, plus d’un million de jeunes ont bénéficié d’une mesure d’insertion professionnelle alors que le flux de sortie scolaire est de 800.000 environ7. Les politiques d’insertion, à destination des jeunes puis des adultes non intégrés qui se sont succédé durant près de trente ans en développant une panoplie de dispositifs et de mesures d’appellations diverses, se sont toutefois articulées autour des orientations définies au début des années 1980. C’est pourquoi Simon Wuhl propose, afin de faciliter l’analyse et l’évaluation de ces politiques, de les regrouper en trois pôles de mesures d’insertion : Le pôle éducatif, le pôle parapublic et le pôle économique8 :
– Le pôle éducatif regroupe les mesures pour l’emploi et l’insertion (divers stages d’insertion ou de formation) qui dispensent des services socio-éducatifs essentiellement en dehors du système de production. – Le pôle parapublic regroupe les mesures d’insertion (Contrats emploi-solidarité, emploi-jeunes, etc.) sous forme d’une mise en activité au sein des associations, des collectivités locales ou des entreprises publiques.
– Le pôle économique comprend des mesures orientées vers la mise en situation ordinaire de travail au sein des entreprises privées, plus ou moins accompagnées d’action de formation et de suivi social (contrats de qualification et de professionnalisation, Contrats initiative-emploi, etc.). De nombreuses évaluations – celles de Didier Gélot et Bernard Simonne notamment -, concernant l’impact de ces types de mesures vis-à-vis de l’intégration professionnelle des jeunes les moins qualifiés, convergent pour souligner les meilleurs résultats produits par les mesures du pôle économique, les contrats d’insertion en entreprises complétés par des actions de formation et de suivi social.

L’insertion professionnelle à Madagascar

L’Etat Malgache a reconnu l’importance de la formation professionnelle et l’enseignement technique dans le domaine de l’éducation, d’où l’existence d’une branche ministérielle sur ce domaine. Selon le ministre de tutelle de ce département, plus de 80% de la productivité locale sont issus de secteur informel. Ce constat conduit vers la conscientisation des acteurs concernés sur l’importance de cette branche d’éducation dans le développement socio-économique de Madagascar. L’objectif consiste à former des jeunes dotés d’un esprit d’innovation en matière de technicités, de technologies appropriées et de professionnalisme.
Actuellement, la branche réinsertion et formation professionnelle trouve son intégralité au niveau des axes prioritaires du programme national en matière d’enseignement technique et de formation professionnelle. Cette filière est régie par l’article 10 et 11 portant sur la structure de l’enseignement technique et formation professionnelle et l’organisation des divers types de formation. Ces deux articles stipules l’importance de l’insertion et de la réinsertion professionnelle dans le domaine socio «économique à Madagascar. L’article 10 montre que ce programme de formation a pour objectif d’ « apporter aux demandeur d’emploi des formations complètes adéquates au besoin du marché du travail, ainsi que de soutenir des actions de formation professionnelle et de formation en gestion de bénéfice des candidats à un emploi salarié ou a l’auto emploi » selon l’article 11, « le programme de formation est élaboré par l’établissement de formation en étroite collaboration les demandeurs et les bénéficiaires de formation » .

Les démarches pour l’adhésion des usagers

La démarche est effectuée par étape :
– Les parents déposent d’abord leur dossier de demande (lettre manuscrite et certificat de résidence) auprès du CSS.
– Ensuite, les éducateurs font des visites à domicile pour valider les informations données et établir les fiches d’identifications pour chaque demandeur. Les documents ainsi générés constitueront des bases de données à consulter à l’avenir.
– Le comité de sélection, constitué par les représentants des autorités locales, des associations des quartiers et des responsables du CDA, procèdera enfin à la sélection finale des bénéficiaires suivant des critères préétablis :
 enfants issus de familles démunies .
 enfants âgés entre 11 à 17 ans, déscolarisés ou n’ayant jamais fréquenté l’école .
 enfants résidant dans la zone d’intervention du CDA.
Après le recrutement, des contrats sont établis avec les parents pour les impliquer davantage dans le suivi scolaire afin de diminuer le taux d’abandon.

Point de vue des formateurs sur l’échec scolaire des bénéficiaires

Formateur coupe et couture

L’échec scolaire de ces jeunes bénéficiaires prend souvent un aspect intergénérationnel. Les parents ont été confrontés eux aussi à de fortes difficultés scolaires si bien que c’est l’ensemble de la famille qui se trouve en profond décalage avec l’institution scolaire. N’ayant pas le niveau suffisant, les parents ne peuvent aider leurs enfants dans leur scolarité. L’implication dans le suivi des études est limitée. A peine plus d’un de ces élèves sur deux bénéficie d’une aide familiale dans son travail scolaire à la maison. La participation aux réunions parents-enseignants de début d’année scolaire est faible. Et malgré les difficultés scolaires éprouvées par ces élèves, les demandes d’entretien avec les enseignants restent très rares.

Formateur cuisine

D’après ce formateur, l’échec scolaire de ces bénéficiaires est très fortement influencé par les conditions socio-économiques des familles et le capital scolaire des parents. Les facteurs qui conduisent à ces jeunes sont nombreux et fortement imbriqués. Joue, d’un côté, le niveau de vie des familles avec ses conséquences sur les conditions matérielles dans lesquelles l’enfant poursuit sa scolarité (notamment la surpopulation des logements conduisant à ne pas pouvoir disposer d’une pièce au calme pour le travail scolaire) et sur l’accessibilité aux éléments extrascolaires (loisirs, activités para-scolaires, etc.). Conditionné également par le niveau de vie des familles, le « choix » du lieu de résidence obéit à une dynamique de ségrégation territoriale qui impose aux enfants des familles défavorisées un voisinage lui-même touché par la pauvreté, le chômage et l’échec scolaire. Or, la qualité du voisinage influe non seulement sur la réussite des jeunes aux épreuves scolaires, mais également sur leur décision de rester à l’école et même de resté des citoyens model. Ainsi, dès leurs jeunes âge, l’abandon scolaire apparait très corrélé au niveau de vie des familles.

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Table des matières

1. Contexte de la recherche
2. Motifs et choix du thème et du terrain
3. Hypothèses
4. Objectifs
5. Méthodologie appliquée
5.1. Démarches
5.2. Méthodes
5.2.1. Technique d’observation
5.2.2.Technique d’échantillonnage
5.2.3.Technique de documentation
5.2.4.Technique vivante
6. Problèmes rencontrés et limites d’études
CHAPITRE I : PRESENTATION DU FOKONTANY D’ANDOHATAPENAKA I ET II
SECTION 1 : HISTORIQUE DU CDA
1.1. Situation géographique d’Andohatapenaka I
1.2.Présentation du milieu géographique d’Andohatapenaka II
1.3.Délimitation géographique et superficie
1.4.Etat démographique d’Andohatapeneka I ET II
1.5.Répartition par sexe et par classe d’âge du Fokontany d’Andohatapenaka I
2. Caractéristique du quartier D’Andohatapenaka I,II
2.1.Sur le plan social
2.2.Education
2.3.Aspect socioculturel
2.4.Particularité du FokontanyAndohatapenaka II
2.5 Taille des ménages d’Andohatapenaka II
3.1.Les infrastructures sur le lieu
SECTION 2. FONCTIONNEMENT ET ZONES D’INTERVENTION DU CDA
1.Les organes du CDA
1.1.Zones d’intervention et Public Cibles
1.2. Principaux résultats atteints
1.3.Secteurs et projets
1.4.Secteur Social et Santé
1.5 Secteur Economique
2.Généralités sur la zone d’intervention
CHAPITRE 2 : CADRAGE THEORIQUE
Section 3 : Méthodologie
1. Méthodologie appliquée
1.1. Technique
a. Techniques vivantes
b. Questionnaire
c. Echantillonnage
1.2.Approche sociologique
1.3.Concept de l’insertion professionnelle
1.4. L’insertion professionnelle selon Bertrand Schwartz
1.5. L’insertion professionnelle à Madagascar
CHAPITRE 3 : ETUDE SUR LES BENEFICIAIRES DE LA RFP
Section 1 : CADRAGE THEORIQUE ET CONCEPTUEL
1.Bref historique du projet RFP
1.1. Les principales activités de la RFP
1.3.Quelque variable de la population étudiée
1.4.Types des formations et effectifs des bénéficiaires étudiés
2.Les démarches pour l’adhésion des usagers
Tableau 9 : 2.1 Revenue journaliers des parents des jeunes bénéficiaires de la formation ouvrage bois
Tableau 10: 2.2 Revenues journaliers des parents des jeunes de la formation coupe et couture
Tableau 11: 2.3 Revenus journaliers des parents des jeunes en formation mécanique auto
Tableau 12 2.4 Revenues journaliers des parents des jeunes de la formation cuisines
Tableau 13 2.5 : Les raisons de réinsertion des jeunes à la RFP
Tableau 14. 3. Perspectives d’avenir selon chaque module
Tableau 16:3.2 Niveau Scolaires des jeunes en ouvrage bois
Tableau 17. 3.3 Niveau scolaire des jeunes bénéficiaires de la formation Cuisine.
Tableau 18 : 3.4 Niveau scolaire des jeunes bénéficiaires de la formation Mécanique autos
4. Point de vue des formateurs sur l’échec scolaire des bénéficiaires
Chapitre : Essai d’analyse et vérification des hypothèses
Section 1 : L’amélioration des conditions de vie
1. Les apports et impact des actions du CDA.
SECTION 2 : Opérationnalisation des Hypothèses
1. concernant notre première hypothèse
1.1 L’intérêt d’investir dans la jeunesse
1.2 Concernant notre deuxième hypothèse
1.3 Education et Formation professionnel
CHAPITRE 5. DISCUSSION AUTOUR DES RESULTATS
Section 1 : Analyse des atouts et déficiences du CDA
1.1. Atouts du centre
1.2. Déficiences du centre
1.3. Les enjeux économiques de la Formation Professionnelle
1.4. Rôles et fonctions des formations professionnelles.
Section 2.Acquisitions professionnelles et suggestion pour le centre
CHAPITRE 6. Reflevions et prospectives
Section 1. Recommandations
1.1.Suggestion et recommandation pour le centre
1.2.Suggestion sur les services public de l’emploi et aux conseiller du centre
Section 2. SUGGESTION ET REFLEXION PERSONNELLES
1. Suggestions professionnelles en tant que travailleurs sociales
CONCLUSION GENERALE
Bibliographie

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