FARINE DE GRAINES DE MUCUNA PRURIENS ET ALIMENTATION DE POULES PONDEUSES

Les races pures de ponte

 La Leghorn blanche : C’est la meilleure pondeuse à œufs blancs, la plus utilisée en Afrique tropicale, la chair est peu abondante et de qualité médiocre avec un poids de 2 kg pour la poule et entre 2,5 à 2,8.kg pour le coq. Elle supporte bien la grande chaleur et l’humidité du climat tropical bien qu’elle est sensible aux stress. Elle consomme 110 g par jour d’aliments. C’est une race d’origine italienne sélectionnée en Amérique. Elle ne couve pas et pond jusqu’à 250 œufs par an.
 La Rhod Island Red (R.I.R) : Son plumage brillant est rouge foncé avec des reflets bruns acajou sur le camail, les plumes des ailes, de la queue et des faucilles sont très foncées. Elle est de caractère calme et peut être utilisée en élevage industriel et aux conditions tropicales. Par contre, son fort indice de consommation lui fait défaut. La poule pèse de 2,5 à 3kg tandis que le coq peut atteindre jusqu’à 4 kg. Leurs œufs sont colorés et elle peut pondre de 180 jusqu’à 200 œufs par an. Cette race d’origine américaine ne couve qu’en hiver.

Cycle de ponte et rôle de la lumière

             La poule pondeuse a un cycle de ponte qui s’étend sur 50 à 60 semaines. Parmi tous les facteurs de l’environnement, c’est la lumière qui joue le rôle le plus important. Elle stimule l’activité sexuelle et permet de synchroniser les heures de ponte du troupeau. En fait, la poule est très sensible à la durée de la période d’éclairement et surtout à sa variation. Pendant la saison de ponte, les animaux sont généralement élevés dans des conditions telles que la période d’éclairement demeure constante et d’une durée de 14 à 16 heures par nycthémère de 24 heures. Les œufs sont pondus dans la matinée, en tout cas, jamais la nuit. L’heure d’oviposition dépend alors du rang de l’œuf dans la série. Cette dernière est constituée d’un ensemble de deux à cinq œufs, ou plus encore, pondus à raison d’un par jour, l’interruption ou pause étant souvent d’une journée.

Utilisations médicinales du Mucuna

                L’utilisation de Mucuna comme plante médicinale est le plus souvent rapportée dans la littérature pour de nombreuses régions du monde. Toutes les parties de cette plante renferment des composés à activités pharmacologiques [40]. Plusieurs applications thérapeutiques de Mucuna ont été décrites, mais la plus répandue est son utilisation contre la maladie de Parkinson [34,41]. La graine était déjà utilisée à cet effet dans l’ancien système médical Indien (Ayurveda) [34,41]. Plus tard, cette pratique a été transposée dans la médecine moderne en raison de la présence en quantité appréciable de la L-DOPA. Enfin, on découvrît que la L-DOPA permettrait un soulagement symptomatique de la maladie de Parkinson par augmentation de la dopamine au niveau du système nerveux central [35]. Des propriétés aphrodisiaques sont reconnues au Mucuna et, il est également utilisé pour la stimulation des contractions utérines et pour améliorer l’ovulation chez la femme [42]. L’administration orale de 5 g par jour de la poudre de Mucuna pruriens chez les sujets souffrant d’oligospermie a amélioré leur stress psychologique, le nombre des spermatozoïdes ainsi que leur mobilité [43]. Il possède aussi des propriétés anthelmintiques et helminthiques [34,42,44]. L’utilisation des extraits brut de Mucuna pruriens sur le protozoaire des poissons ( Ichthyophthirius multifiliis) a réduit drastiquement à 90% le nombre de parasites [45].

Description de la population d’étude et du site d’étude

                La population d’étude a été constituée de 30 têtes de poules pondeuses. Ces 30 têtes de poules pondeuses ont été divisées en trois lots et rationnées avec un taux différent de farine de graine de Mucuna :
Un lot M0 : composé de 10 poules sans farine de Mucuna dans la ration
Un lot M10 : composé de 10 poules qui reçoivent 10% de farine de Mucuna dans la ration
Un lot M20 : composé de 10 poules qui reçoivent 20% de farine de Mucuna dans la ration
L’expérimentation s’est déroulée dans la station de recherche de Kianjasoa, située à 63 km au Sud- Est de la ville de Tsiroanomandidy, à 190 km d’Antananarivo en prenant la route nationale nº1. Administrativement, c’est une cité ouvrière qui relève du Fokontany de Kianjasoa, de la Commune Rurale de Mahasolo. A l’Est se trouve la Commune Rurale d’ Ankadinondry et au Nord- Ouest celle de Tsinjoarivo Imanga. La superficie mesure 4.200 ha. Ce lieu était appelé Kianjasoa depuis le temps de la Reine RANAVALONA. La station a été choisie comme site d’étude pendant l’expérimentation car elle possède des matériels d’élevage et du personnel qui fait le suivi sanitaire pendant l’expérience. En plus, le climat est de type tropical comprenant une saison chaude et pluvieuse à environ 31°C qui s’étend du mois de Novembre jusqu’en Avril ; et une saison froide et sèche à température moyenne de 25°C débutant en Mai jusqu’en Octobre. La pluviométrie moyenne est de 1.300mm. Afin d’évaluer les qualités organoleptiques des œufs issus des deux lots (M0 et
M10) de poules pondeuses, une analyse sensorielle a été réalisée à Antananarivo dans le laboratoire d’Analyse Sensorielle d’Ambatobe (LAS). Les œufs issus du lot M20 ne fait pas partie de l’analyse parce que le frais d’analyse payé aux dégustateurs

Les matériels utilisés et observation pendant le traitement

               Des bassines, des seaux sont utilisés lors du trempage et du retrempage des graines. L’utilisation d’un passoir et d’un récipient est nécessaire pour filtrer l’eau au moment du lavage des graines de Mucuna. Vingt quatre heures après le premier trempage, il y a apparition d’écume c’est à dire une mousse blanchâtre qui se forme à la surface de l’eau et les graines augmentent de volume, suite à l’imbibition d’eau mais quand les graines sont hors de l’eau, elles diminuent de taille. Le dépelliculage se fait manuellement ou à l’aide d’un couteau en dégarnissant la pellicule à partir du hile de la graine. Une marmite est utilisée pour faire bouillir les graines dépelliculées avec du feu de bois. Il faut faire bouillir l’eau à 100 °C puis verser les graines de Mucuna pruriens dans la marmite et les retirer du feu 30 mn après ébullition du mélange. Ensuite, séparer les graines de l’eau et rincer avec une autre eau et faire refroidir. Le séchage se fait à l’air libre sur une bâche plastique : dont sa durée dépend de la chaleur du soleil car le taux d’humidité de la graine doit être faible pour faciliter le stockage et le broyage de la graine. Le broyage se fait à l’aide d’un broyeur pour obtenir une farine très fine de Mucuna.

DISCUSSION

              L’élevage de poules pondeuses assure en générale la production d’œufs de consommation des Malgaches mais leur exploitation est limitée dans les zones urbaines et la consommation d’œufs par habitant reste très faible par rapport aux habitants des pays développés. Cependant, la disponibilité et le coût élevé des matières premières utilisées dans la ration fait obstacle au développement de la filière. Ainsi, les chercheurs essayent de remplacer les matières premières conventionnelles sources de protéines par d’autres matières premières non conventionnelles disponibles localement. Parmi ces matières premières, les graines de Mucuna spp ont déjà fait l’objet de nombreuses études pour l’alimentation des monogastriques. Par ailleurs, la graine de Mucuna a été considérée comme sans intérêt pour la volaille en raison du retard de croissance et de la faible production d’œuf qu’elle provoque. Aucune étude sur cette graine n’a encore été réalisée dans l’alimentation de poules pondeuses à Madagascar. La formulation de provende utilisée pour les 3 lots était faite avec le logiciel « SOLVER ». Par conséquent, la valeur bromatologique des aliments n’était pas vraiment précise. Ces valeurs sont conformes aux recommandations pour la souche Hyline. L’effectif de 10 poules par lot est faible. Toutefois, il n’y a eu aucun sujet mort même si certains ont été atteints de la variole aviaire. Les données obtenues ont permis de réaliser les analyses statistiques. La balance utilisée n’est pas faite pour le pesage d’œufs et de provendes car sa précision est de ± 10 g. Les valeurs des quantités de provende ingérée ne sont pas précises et les provendes gaspillées ne sont comptées. Ainsi, les imprécisions des différents valeurs peuvent biaiser les résultats. Comme les poules pondeuses sont très sensibles au stress, la fréquence des mesures et d’intervention est fixée 2 par jour pour éviter la perturbation des pondeuses. Par conséquent, le suivi est restreint. La présente étude concerne le District d’Ambovombe du fait qu’il possède des matières premières spécifiques pouvant être exploitées pour établir une table d’alimentation chez les poules pondeuses. Le DRZV s’occupe de cette étude en collaboration avec le GRET et l’AVSF. Afin d’obtenir des données fiables, l’expérience a été effectuée durant une période de 11 semaines suivie d’une analyse sensorielle de l’œuf pour évaluer l’effet de l’incorporation de la farine de graines de Mucuna pruriens var utilisnoir dans la ration de poules pondeuses. Les données ont été collectées par observation directe avec différents instruments de mesure et par les observations des juges pour l’analyse sensorielle des œufs. Plusieurs facteurs peuvent influencer l’étude : premièrement le biais de confusion c’est-à-dire que la souche, la condition d’ambiance, l’état sanitaire, les habitudes antérieures et l’environnement peuvent compromettre les performances zootechniques des poules ; le biais d’information qui concerne surtout l’avis non réfléchi des juges lors de l’analyse sensorielle ; enfin le biais de sélection qui indique la faible taille de l’échantillon. Concernant le taux de ponte, l’incorporation de farine de graines de Mucuna pruriens var utilis noir dans la ration a entrainée une diminution significative du taux de ponte des poules pondeuses sauf de la 1ère jusqu’à la 5ème semaine c’est-à-dire pendant la période d’entrée en ponte. L’amélioration concerne les lots M10 et M20 par rapport à M0.Une étude a révélée que la graine de Mucuna est sans intérêt pour la volaille car le taux de ponte obtenu n’est que de 65,5% à un taux d’incorporation de 12,5% contre 78,5% sans graines de Mucuna pendant 25 j d’expérimentation [8]. Nos résultats aussi ont démontrés que les poules pondeuses rationnées avec la farine de graines de Mucuna ont un faible taux de production d’œufs même si le taux de ponte est élevé pendant les 5 premières semaines de ponte. Le Mucuna possède des propriétés aphrodisiaques qui stimulent les contractions utérines et améliore l’ovulation chez la femme [42], ce qui peut être concordant avec notre étude qui montre que l’incorporation de Mucuna traité (trempage, dépélicullage, ébullition, trempage) favorise la période d’entrée en ponte chez la poule pondeuse. Les taux de pontes obtenues lors des essais sont inférieurs aux normes de la souche Hy-line pour les différents lots. A part l’incorporation de Mucuna dans la ration, ceci peut être dû à la conduite d’élevage. Le pic de ponte des différents lots se situe à la 5 ème semaine de l’expérimentation, ce qui est conforme aux normes de la souche Hyline. La diminution du taux de ponte varie selon le taux d’incorporation de farine de graines de Mucuna dans la ration des poules pondeuses : le taux de ponte de M10 est supérieur par rapport à celui de M20 même si ces derniers ont reçu un peu plus de méthionine et de lysine. Cela est soutenu par une étude réalisée en Floride qui a montré qu’une réduction du taux de ponte a été observée durant l’expérimentation suivant le taux d’incorporation des graines de Mucuna dans la ration. Le niveau de diminution de la production était proportionnel à la quantité de graines de Mucuna contenues dans la ration [8]. Cette diminution peut être liée à l’existence de facteurs anti nutritionnelle résiduelle (L-DOPA) dans la ration même si les graines ont subies un traitement. L’incorporation de farine de graine de Mucuna dans la ration a augmenté le poids des œufs des poules pondeuses de M10. Selon une étude réalisée en Angleterre, le poids des œufs de poules pondeuses répond à un apport élevé dans l’alimentation d’acides gras absorbables [82], ce qui est concordant avec notre étude car l’huile de graine de Mucuna contient plusieurs acides gras absorbables tel que l’acide gras linoléique avec un taux élevé par rapport au graine de soja (53,5 contre 50,7) [32]. Par contre, le poids des œufs diminue si le taux d’incorporation est égale à 20% donc l’augmentation du taux d’incorporation de farine de graine de Mucuna dans la ration entraine une baisse du poids moyen de l’œuf. Cette diminution peut résulter des facteurs antinutritionnels contenus dans cette graine car une étude a démontrée que le poids de l’œuf est grandement influencé par la consommation de protéine brute [83] alors qu’il a été prouvé que des inhibiteurs de la trypsine sont présents dans le Mucuna [61] et ces composés empêchent l’activité protéolytique digestive en formant des complexes avec la trypsine [42]. Cette affirmation est aussi soutenue par des chercheurs qui ont révélés que la présence de facteurs antinutritionnels dans la ration peut réduire quelquefois très fortement le poids de l’œuf [84]. D’après ces résultats, l’augmentation du taux d’incorporation de graine de Mucuna entraine un taux plus élevé en facteurs antinutritionnels qui limitent la digestibilité des protéines. Par ailleurs, il n’y a pas de différence significative entre les poids moyens des œufs des trois lots pendant l’expérience même si celui de M10 (56,31g) est un peu plus élevé par rapport à ceux de M0 (54,91g) et M20 (52,30g). Toutefois, les poids moyens des œufs des différents lots sont toujours inférieurs à la norme de la souche Hy-line (annexe), cette différence peut être due à la mauvaise conduite d’élevage et aux conditions environnementales car la nature du programme lumineux, en particulier lorsque le nycthémère est différent de 24 heures, peut modifier le poids de l’œuf. De même, les températures élevées le réduisent [84]. Le diamètre et la longueur de la coquille augmentent avec l’âge des poules jusqu’à la 8ème semaine de l’expérimentation puis il y a une légère diminution vers la fin. L’augmentation de la température journalière lors de l’expérience peut avoir une conséquence néfaste sur ces deux paramètres [85]. La valeur des moyennes des indices de formes des différents lots ne sont pas similaires (M0= 0,7761 ; M10= 0,7767 ; M20= 0,7640) mais il n’existe pas de différence significative. Selon une étude, cet index varie entre 0,70 et 0,75 mais il peut atteindre 0,65 pour des œufs très allongés et 0,82pour des œufs très arrondis [83]. Les œufs des sujets lors de l’expérimentation ont donc tendance à avoir une forme arrondie. Cette forme peut être en liaison avec la condition d’ambiance non favorable pour les poules [85]. Les pondeuses recevant de la farine de graines de Mucuna pruriens var. utilis noir traitées ont consommé beaucoup plus de provende (M10= 125,9g/j et M20= 123,3g/j) que celle du lot témoin (M0= 117,7g/j). Malgré cela, la différence n’est pas statistiquement significative. Une étude sur l’utilisation de farine de graines de Mucuna pruriens IRZ dans l’alimentation des poulets de race locale « AKOHO GASY» à Madagascar a montré que les graines de Mucuna ayant subi un traitement hydrothermique augmente la consommation alimentaire des poulets [32]. Les rations contenant 13% et 18% ont été les plus consommées suivies de celle du lot de référence et l’aliment composé de 8% de Mucuna. Ces résultats sont conformes à nos résultats. La consommation élevée en provende pourrait être due aux besoins alimentaires surtout protéiniques non comblés suite à l’effet des différents facteurs antinutritionnel résiduels présents dans la ration rendant certains nutriments indigestibles. Une autre étude sur l’utilisation de la farine de Mucuna pruriens (L.) DC dans l’aliment de croissance des pintades (Numida meleagris) au Bénin [86] a trouvé que la consommation alimentaire individuelle de pintades rationnées avec de la farine de graines de Mucuna traitée par T2 (décortiqué à sec, trempé, bouilli, retrempé, séché) a augmenté significativement avec la proportion de Mucuna dans la ration (13.75 % vs.7.50 % : p < 0.05). De plus, la consommation hebdomadaire d’aliment des animaux recevant 13.75 % de Mucuna traitées s’est avérée significativement plus élevée que celle des animaux témoins donc ces résultats ne sont pas similaires aux nôtres. Généralement, la consommation alimentaire par poule est conforme à la norme de la souche Hy-line (125 à 155 g/j) quelque soit les lots [87]. L’incorporation de farine de graines de Mucuna pruriens var. utilis noir traitée dans la ration des poules pondeuses a entrainé une consommation plus élevée de provende par œuf et cela pourrait être du à une consommation de provende par poule élevée et un taux de ponte faible. La moyenne de quantité de provende consommée par œuf est évaluée à 375,4g pour les lots témoins (M0), 404,8g pour M10 et 428,1 g pour M20. Cette consommation de provende élevée par œuf pourrait avoir un impact sur le plan économique. En général, même s’il y a une différence entre les consommations de provende par œuf, elles restent anormalement élevées dans cette expérience.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: RAPPELS
I. ELEVAGE DE POULES PONDEUSES
I.1. Taxonomie des poules pondeuses
I.2. Historique de l’aviculture
I.3. Répartition géographique de l’élevage de poules pondeuses à Madagascar
I.4. Les races de poules pondeuses
I.5. Physiologie de la ponte
I.6. Alimentation de la poule pondeuse
II. Mucuna
II.1. Historique
II.2. Répartition géographique de l’espèce
II.3. Classification systématique du Mucuna
II.4. Caractéristiques botaniques et agronomiques
II.5. Utilisations médicinales du Mucuna
II.6. Valeurs nutritionnelles du Mucuna
II.7. Contraintes bromatologiques liées à l’utilisation de Mucuna dans l’alimentation de la volaille
II.8. Effet des traitements sur la composition en nutriments
II.9 Effet des traitements sur la composition en nutriments
DEUXIEME PARTIE: METHODES ET RESULTATS
I. Matériels et méthodes
I.1. Cadre de l’étude
I.2. Type d’étude
I.3. Période et durée de l’étude
I.4. Population d’étude
I.5. Modes d’échantillonnage et taille de l’échantillon
I.6. Paramètres étudiés
I.7. Méthode d’intervention expérimentale
I.8. Mode de collecte des données
I.9. Mode d’analyse des données
I.10. Analyses statistiques
I.11. Limites de l’étude
I.12. Considérations éthiques
II. RESULTATS
II.1. Description de l’échantillon
II.2. Effet de l’incorporation de la farine de graine de Mucuna pruriens var. utilis noir sur les paramètres zootechniques des poules pondeuses
II.3. Effet de l’incorporation de la farine de graine de Mucuna pruriens var. utilis noir dans la ration sur l’état sanitaire des poules pondeuses
II.4. Effet de l’incorporation de la farine de graine de Mucuna pruriens var.utilis noir dans la ration de poules pondeuses sur la qualité organoleptique de l’œuf
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *