Faiblesses de la performance technique et zootechnique des fermes 

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Les annnexes du tube digestif

Le foie recouvre la face abdominale du diaphragme du lapinn. Il comprend 4 lobes (le médial, les latéraaux et le caudal). La vésicule biliaire s’insère entre le lobe latéral droit et le lobe méddial 15). La réunion du conduit cystique ett du conduit hépatique forme le canal cholé doque. Ce dernier s’ouvre dans la partie crâniale du duodénum à 1 cm du pylore. Le panncréas forme des petites masses irrégulièreesle long du duodénum (indifférenciable du mésentère) et les canaux pancréatiques débouchent dans le duodénum à 40 cm dees canaux biliaires (14).

Physiologie digestive des lapins

Les lapins sont des herbivores cæcotrophes. Comme t ous les autres mammifères, de la naissance à l’âge de sevrage, environ au 28 ème jour de vie, les lapereaux se nourrissent du lait de leur mère. Puis, l’allaitement diminue progressivement pour laisser place à la prise d’alimentation solide. Les fourrages subissent une double digestion. Les aliments transitent pour la première fois dans le tube digestif, ensuite ils sont excrétés tôt le matin, et subissent une réingestion, c’est la pratique de la cæcotrophie.
La digestion mécanique par la mastication permet l’imprégnation salivaire. Une fois la déglutition faite, les aliments subissent une dégradation enzymatique au niveau de l’estomac (au niveau de l’intestin) puis au niveau de l’intestin, le sel biliaire facilite l’intervention des enzymes intestinaux et pancréatiques dans la digestion. Les protéines sont dégradées par la trypsine et la chymotrypsine,l’amidon par l’amylase, et les lipides par les lipases. Tandis que la digestion se poursuit, l’absorption intestinale s’effectue.
Au niveau du cæcum, les bols alimentaires sont méla ngés avec les contenus cæcaux. Les aliments y sont fermentés par les microbes, les celluloses sont dégradées et les résidus de protéines transformés en AGV (Acide GrasVolatil) qui traversent la paroi intestinale.
Au niveau du côlon, les résidus fibreux (taille > 0.3) sont excrétés directement dans l’anus. Ils formeront les « crottes dures ». Celles -ci sont éliminées généralement dans la soirée et pendant la nuit. Le contenu plus ou moinsliquide (taille < 0.1 mm) par contre est refoulé vers le cæcum et est excrété vers l’anus tôt le matin pour être ingéré, il s’agit des cæcotrophes ou « crottes moles », sous formes d e boules moelleux enveloppées de mucus (au niveau du côlon).

Bâtiment d’élevage et les matériels d’élevages

Le bâtiment d’élevage doit permettre le confort des animaux et leur protection contre la pluie, le vent, les rongeurs, les voleurs, … Il est préférable qu’il soit séparé de l’habitation humaine et situé dans un terrain sec et perméable à l’eau. Les bois, la terre battue ou les briques,… peuvent être utilisés comme matériaux de construction. La séparation des mâles, des femelles reproductrices et des jeunes à l’engraissement est sollicitée. La dimension dépend de l’objectif de l’élevage, cependant les animaux ont besoins de 1m3 par cage mère et 10 m3 pour 32 à 36 lapins en âge d’engraissement. Le bâtiment peut être fermé, semi-plein air ou plein ira dans les zones très chaudes. Le renouvellement d’air doit être bien assuré (existence de fenêtres, de lanterneaux symétriques, …).
A l’intérieur, les déjections et les urines doiventêtre éliminées soit dans une fosse soit évacuées par un canal ou par d’autres systèmes.La disposition du bâtiment doit faciliter le nettoyage et la désinfection.
Le matériel d’élevage comporte des cages-mères munies de boîte à nid (BN) (en bois ou en poterie) pour élever les lapines et leur progéniture. Les jeunes à l’engraissement sont groupés par lots dans des cages mais peuvent être élevés au sol. Les mâles disposent des cages individuelles (Cf. An nexe II). La présence d’un abreuvoir, d’une mangeoire et d’un râtelier de distribution de fourrage est requise pour chaque cage et ils doivent être facilement accessibles (Cf. Annexe III). Leur disposition évitera les souillures des déjections.

Conduite des reproducteurs mâles et femelles

Le mode d’acquisition des reproducteurs est soit par autoproduction, soit par achat dans d’autre ferme ou dans des centres d’amélioration génétique. Les critères sont : un bon état de santé et une bonne conformation. Les femelles devront avoir un bon taux de prolificité et un bon taux de sevrage ; et les mâles, issus d’un père de bonne ardeur sexuelle avec un bon taux de mise-bas et avoir une bonne vitesse de croissance (23). La consanguinité peut être évitée en achetant de mâlesdans d’autres fermes.
La mise en reproduction des mâles se fait à 6 mois d’âge et celle des femelles au moins à 5 mois d’âge. Pour les femelles, la reprodu ction est fonction aussi de son poids. Il est recommandé d’effectuer leur mise en reproduction pas avant leur 2.4kg du poids vif (PV) (23).
L’insémination artificielle, très pratiquée dans les pays développés, s’effectue dans les conduites d’élevage en bande. L’ovulation est déclenchée par l’insémination. Elle est précédée souvent d’un traitement hormonal, par l’injection de PMSG (35 UI), 48h avant (24). En France, en 2006, plus de 90% des reproductions en élevage cunicole rationnel se font par insémination artificielle (25). La reproduction naturelle s’effectue dans les cages à mâle. Les mâles sont ainsi en pleine maitrise de leur territoire, et confiants. En intensifiant l’élevage, les éleveurs peut augmenter la probabilité d’ovulation par l’injection de GnRH (Gonadotropin Releasing Hormone) (26). Le sexe ratio est de un mâle pour 8 femelles en élevage intensif, et de 1 pour 15 femelles en extensif (23). Le mâle est util isé au plus, 4j par semaine et 3 coïts par jour. Le coït peut être réalisé en tenant la mellefe et en soulevant sa queue pour la présenter au mâle.
Le diagnostic de gestation se fait par palpation de l’abdomen entre le 12 ème et 14ème jour de la gestation. Les embryons sont sous forme de boules flasques et mobiles contrairement aux crottes dures et immobiles. La gestation dure en moyenne 31j. 4j avant la mise-bas, la boite à nid est placée afin que la femelle puisse s’y habituer. Elle enlève ses poils pour en construire un nid pour ses petits. La durée de vie reproductive d’une femelle est de 1 à 2 ans selon le rythme de production(23). Les conditions de réforme sont : l’âge, les maladies, la baisse de la prolificité et de la fertilité.

Conduite des lapereaux

Avant la mise-bas, la boite à nid est placée, au moins 4 jours avant, dans la cage mère. Elle doit être préalablement nettoyée et désinfectée pour éviter la transmission de maladie. A l’intérieur de la boite, on a mis de la litière sèche, soit de copeaux, soit de pailles ou de foin pour protéger les lapereaux du froid. La lapine prépare son nid en mélangeant avec la litière ses poils. A la naissance, la viabilité des lapereaux est vérifiée, le reste de placenta est retiré. Les lapereaux en surnombre peuvent être adoptés par les autres lapines, en formant des lots homogènes de 7-8 lapereaux par portée. L’adoption ne peut se faire qu’entre deux mise-bas espacées de 24h. Le nombre de nés vivants et morts est enregistré pour faire partir des donnéesindiquant la performance de l’élevage. Pendant la période sous mère, les animaux chétifs,trop petits et diarrhéiques sont éliminés car ils risquent de servir de porte d’entrée à des maladies infectieuses. L’enregistrement du taux de mortalité et des gains moyens quotidiens en grammes de poids vif est aussi d’une grande importance. La surveillance des lapereaux est au ème ème minimum deux fois par jour. Le sevrage s’effectue généralement entre la 4 et la 6 semaine de vie (28ème à 42 ème j) (27)

Conduite en engraissement

L’idéal est de réaliser l’engraissement en bande comme l’élevage de porcelets et de poulets de chair. Des animaux de même génération ntso élevés ensemble, c’est le système« tout plein, tout vide ».Les animaux sont groupés par lot de même portée afin d’éviter la bagarre entre mâles. Ce système permet de faire un vide sanitaire entre les bandes de lapins. Il augmente la rentabilité de l’élevage, car l’adaptation de la stratégie de traitement, de l’alimentation est facilement opérable dans l’élevage. Ce système, en termes de performance est technico-économiquement rentable (28).
Les jeunes sont transférés dans les cages (ou parc)d’engraissement après le sevrage. La densité à l’engraissement est de 12 à 14 lapins par m2. L’engraissement dure deux à trois mois. La vente intervient en général à l’âge de 3 à 4 mois, où les lapins ont atteint un poids de 2 à 2.5kg. Le nombre annuel de lapins p ar femelle pouvant être vendus peut aller de 25 à 35.

SUR LES HELMINTHES ET LES COCCIDIOSES DES LAPINS

Les helminthes et les coccidies font partie des parasites du lapin. Sont qualifiés de parasites, les organismes animaux qui, durant une partie ou en totalité de leur existence, se nourrissent en permanence ou temporairement de substance produite par un autre être-vivant sans nuire ce dernier. Toutefois, dans les cas où ils sont excessivement nombreux, ils occasionnent une pathologie. En principe, les parasites sont toujours nuisibles pour leurs hôtes et exercent un pouvoir p athogène. Le degré de pathogénicité varie selon le type de parasites (29).

Actions mécaniques des parasites selon leur localisation

Du fait de leur localisation, de leur taille, de leur importance en nombre, les parasites peuvent obstruer la lumière naturelle de certains organes, tels le foie, l’intestin grêle… Ils peuvent aussi compresser d’autre organe par le développement de leurs kystes, dans le cas d’infestation par les larves de certains cestodes. L’action de certains parasites peut occasionner aussi la perforation du tissu intestinal et l’inflammation des parenchymes. L’infestation par les Eimeria par contre, du fait de leur développement intracellulaire, endommage les cellules des épithéliums intestinaux. Certains parasites entrainent des irritations locales, comme l’action de Passalurus ambigus au niveau de l’anus.

Actions favorisantes d’infection et vectrices d’age nts infectieux

Par l’action traumatique occasionnée par les parasites, la présence de lésion favorise la multiplication des agents infectieux opportunistes vivant dans l’intestin, entrainant l’apparition de foyer de nécrose, permettant aux spores anaérobies de se développer et de contourner le système de défensemmunitaire. L’irritation de la marge anale dans le cas de l’oxyurose, pousse l’animal à se gratter jusqu’au saignement favorisant ainsi une infection (automutilation). Les parasites transportent parfois des agents infectieux et les inoculent à son hôte.

Action immunogène et toxique des parasites

Les antigènes des cellules somatiques et des produits d’origine métabolique ont une activité immunologique. Ils sont libérés à la mortdes parasites. Cependant leur pouvoir immunogène est faible par rapport aux produits d’origine métabolique. Les produits secrétés par les parasites sont quelques fois toxiques pour l’hôte.

Facteur de troubles physiologiques

La présence de parasites dans le système digestif ntraine une perturbation de la digestion alimentaire. Dans le cas d’infection aux coccidies, celles-ci entrainent la diminution de l’absorption et de la digestion intestinale rendant la diminution du gain moyen quotidien (GMQ). Par l’occasion, ces troubles provoquent la diarrhée. Quant à l’oxyure, elle entraine la perturbation de la reproduction, la diminution du taux de fécondité et un trouble de l’allaitement. La présence massive de parasites notamment les coccidies peut entrainer une parésie cæcale chez le s lapins surtout en croissance. Il s’agit d’une stagnation alimentaire au niveau de l’ estomac et du cæcum, alors que l’intestin et vide.
La localisation des parasites durant leur migration entraine des troubles au niveau des organes dans lesquels ils transitent. Ces troubles peuvent être nerveux, lorsque les parasites atteignent le système nerveux central, respiratoires quand les larves migrent vers les poumons, métaboliques lorsque le foie estinfesté.

Localisation de la zone d’étude

Sur le plan administratif, la Commune Rurale de Soavina se situe dans le district d’Atsimondrano, de la Région Analamanga. Elle est constituée par cinq Fokotany : Soavina, Ambanivohitra, Ambihivy, Analapanga, et Vahilava. Ses Communes limitrophes sont : Tanjombato, Ampanefy, Ampitatafika, Anosizato Andrefana, et le 5ème Arrondissement de la Commune Urbaine d’Antananarivo (Cf. Annexe V).
Sur le plan géographique, elle se trouve au Sud Ouest de la ville d’Antananarivo en périphérique urbaine, à 15 km du chef lieu de District, et à 5 km de l’axe routier RN7 en prenant une direction vers l’Est. Elle recouvre une superficie de 9 km2dont le fleuve de l’Ikopa limite la partie Nord et celui de Sisaony la partie Sud.

Prépondérance des activités agricoles

L’Agriculture constitue la principale activité économique dans la Commune. Les techniques culturales sont primitives et la production est destinée en grande partie pour l’autoconsommation. Les principaux produits cultivés sont : le riz, occupant 150 ha, les légumes (50 ha), le manioc (15 ha), la patate douce(12 ha) et le maïs (10 ha).
Pour l’élevage, l’aviculture est une activité dominante avec un cheptel de 8 241 têtes. Elle est suivie par la boviculture (599 têtes), la porciculture (525 têtes), l’oviculture (203 têtes) et l’élevage de chevaux est moindre (29 têtes) (41). Le mode d’élevage s’oriente de plus en plus vers le système semi-intensif avec l’élevage de vaches laitières, de poules pondeuses et de poulets de chair. L’alimentation animale pose un grand problème surtout par le manque de zone de pâturage.

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Table des matières

I. GENERALITES
I.1. SUR LES LAPINS
I.1.1. Différentes races de lapins à Madagascar
I.1.2. Particularité anatomique de l’appareil digestif des lapins
I.1.3. Les annexes du tube digestif
I.1.4. Physiologie digestive des lapins
I.1.5. Alimentation des lapins
I.1.5.1. Importance des cæcotrophes
I.1.5.2. Ration alimentaire
I.1.6. Rythme de reproduction
I.1.7. Comportement psychologique
I.1.8. Bâtiment d’élevage et les matériels d’élevages
I.1.9. Conduite des lapins en élevage rationnel
I.1.9.1. Conduite des reproducteurs mâles et femelles
I.1.9.2. Conduite des lapereaux
I.1.9.3. Conduite en engraissement
I.2. SUR LES HELMINTHES ET LES COCCIDIOSES DES LAPINS
I.2.1. Classification des helminthes et des coccidies
I.2.1.1. Classification des Helminthes
I.2.1.2. Classification des Coccidies
I.2.2. Gravité des helminthes et des coccidies
I.2.2.1. Gravité des Helminthes
I.2.2.2. Gravité des Coccidies
I.2.3. Pouvoirs pathogènes et immunogènes des parasites
I.2.3.1. Spoliation de l’hôte
I.2.3.2. Actions mécaniques des parasites selon leur localisation
I.2.3.3. Actions favorisantes d’infection et vectrices d’agents infectieux
I.2.3.4. Action immunogène et toxique des parasites
I.2.3.5. Facteur de troubles physiologiques
I.2.3.6. Fonction du type de parasites
I.2.4. Cycle des parasites
I.2.4.1. Monoxène
I.2.4.2. Hétéroxène
I.2.5. Mode et voie de transmission
I.2.5.1. Transmission verticale
I.2.5.2. Transmission horizontale
I.2.6. Symptômes et diagnostics
I.2.6.1. Diagnostic clinique
I.2.6.2. Diagnostic biologique
I.2.7. Prophylaxie
I.2.7.1. Tarissement des sources de parasites
I.2.7.2. Neutralisation des parasites dans l’environnement
I.2.7.3. Mesures défensives pour la prévention des animaux sains
I.2.8. Traitement envisageable
I.2.8.1. Traitement des parasites en cause
I.2.8.2. Traitement symptomatique
II. METHODOLOGIE ET RESULTATS
II.1. MATERIELS
II.1.1. Matériel animal
II.1.2. Matériel utilisé sur le terrain
II.1.3. Matériels de laboratoire
II.1.4. Logiciel de traitement de données et documentation
II.2. METHODE
II.2.1. Phase terrain
II.2.1.1. Choix de la zone d’étude
II.2.1.2. Période de réalisation de l’étude
II.2.1.3. Type d’enquête
II.2.1.4. Critères d’inclusion des fermes étudiées et taille des échantillons
II.2.1.5. Préparation et réalisation de l’enquête
II.2.1.6. Collecte et conservation de prélèvements
II.2.2. Réalisation de l’analyse de laboratoire
II.2.2.1. Appréciation macroscopique des selles
II.2.2.2. Analyse qualitative
II.2.2.3. Analyse quantitative
II.2.2.4. Tests et calculs statistiques
II.3. RESULTATS
II.3.1. Caractéristiques de l’élevage de lapins
II.3.1.1. Taille, Objectifs et ancienneté de l’exploitation
II.3.1.2. Age, sexe, niveau d’instruction et activité principale des éleveurs
II.3.2. Connaissances des éleveurs et pratique en cuniculture
II.3.2.1. Hygiène du Bâtiment et de matériel d’élevage
II.3.2.2. Conduite des reproducteurs
II.3.2.3. Conduite des lapereaux et des jeunes
II.3.2.4. Conduite de l’alimentation
II.3.3. Performance technique et zootechnique des fermes étudiées
II.3.3.1. Intervalle entre les mises-bas
II.3.3.2. Prolificité
II.3.3.3. Taux de mortalité
II.3.4. Résultat des analyses qualitatives des crottes
II.3.4.1. Prévalence globale de parasites
II.3.4.2. Eléments parasitaires trouvés
II.3.4.3. Prévalence des espèces d’helminthes et de leur association
II.3.4.4. Relation entre helminthisme et présence d’autres espèces animales
II.3.4.5. Relation entre parasitisme et sexe de l’animal
II.3.4.6. Relation entre parasitisme et âge des animaux
II.3.4.7. Relation entre parasitisme et race de l’animal
II.3.5. Résultats du comptage de parasites
II.3.5.1. Comptage d’Eimeria et l’influence de l’âge et du sexe
II.3.5.2. Degré d’infestation en helminthes
III. DISCUSSION ET RECOMMANDATIONS
III.1. COMMENTAIRES ET DISCUSSION
III.1.1. Cuniculture : petite exploitation non professionnelle
III.1.2. Critiques de la pratique des paysans
III.1.2.1. Cages à lapins inadaptées
III.1.2.2. Promiscuité des animaux
III.1.2.3. Absence de boite à nid
III.1.2.4. Alimentation incomplète et malpropre
III.1.3. Faiblesses de la performance technique et zootechnique des fermes
III.1.3.1. Taux de mortinatalité faible
III.1.3.2. Taux de mortalité élevé
III.1.3.3. Productivité moindre de la ferme
III.1.4. Atouts des petites exploitations
III.1.5. Prévalence parasitaire comparée
III.1.6. Pression parasitaire
III.1.7. Limites de l’étude
III.1.7.1. Coproscopie limitée
III.1.7.2. Interprétation conditionnelle des résultats
III.2. RECOMMANDATIONS ET PERSPECTIVES DE RECHERCHE
III.2.1. A l’encontre des éleveurs et techniciens
III.2.1.1. Aménagement du bâtiment et matériel d’élevage
III.2.1.2. Suivi de la reproduction
III.2.1.3. Cueillette des fourrages avec précaution et autres suggestions de fourrages
III.2.1.4. Amélioration de l’alimentation
III.2.1.5. Prophylaxie
III.2.1.6. Traitement des parasitoses gastro-intestinales
III.2.2. A l’encontre des organismes
III.2.3. A l’encontre de l’Etat
III.2.4. Perspectives de recherche
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE

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