Facteurs qui influencent les espaces d’entre-deux

Définition de l’espace d’entre-deux

Espace d’entre-deux

«En géographie, on parle d’entre-deux pour décrire des espaces de marge, des zones tampon, en bordure immédiate de deux autres espaces desquels on les différencie par leur taille ou leur fonction jugées subalternes ou soumises à l’influence des voisins.»[1] C’est la définition de l’entre deux dans le dictionnaire de Wikipédia. Sur le niveau sociologique, il est défini comme « un espace contradictoire ou s’entremêlent désintégration de l’ancien espace(social) et émergence du nouvel espace(social)»
Il y a encore une grande incertitude sur la définition de l’espace d’entredeux.
L’entre-deux ne se laisse pas facilement nommer, définir, ni délimiter, ni dans l’espace, ni dans le temps. À mon sens, sa définition ne peut pas être isolé avec sa temporalité et ses potentiels, autrement dit, ses effets sur l’autre et sur lui-même. Mme Violette Rey – une géographe française spécialiste de l’Europe centrale et orientale, a défini l’espace d’entre-deux comme «un espace où les effets des espaces externes l’emportent sur les effets internes pour sa structuration.» Ses effets sont sans doute liés avec son échelle, sa forme et son usage. De plus, les interactions sociales sont différentes vis-à-vis de la dimension d’espace d’entre-deux.
Pour être plus concret, nous allons citer ci-dessous quelques exemples qui à notre sens présentent au mieyx les espaces d’entre-deux de l’échelle plus grande à l’échelle plus petite.

Echelle régionale

H.a Périurbain

«D’un point de vue morphologique, le périurbain désigne une forme urbaine caractérisée par l’éloignement et la discontinuité du bâti vis-à-vis de l’agglomération : il correspond à la partie non-agglomérée des aires urbaines. L’étalement urbain s’y effectue non pas en nappe mais en nébuleuse avec des pleins et des vides.» [1] Entre la ville et la campagne, le périurbain a un attribut de l’espace d’entre-deux. C’est aussi une situation dans le processus entre l’urbanisation et la périurbanisation. «Entre les deux moment qu’on l’habitude de nommer le rural et l’urbain, ce qui ne préjuge pas de leur devenir.»
En fait, pour beaucoup de chercheurs et plus précisément des géographes, la notion de périurbain a été mal nommé et a du mal à s’imposer.
Ils supposent que le périurbain est en réalité un espace «entredeux », un espace susceptible d’accueillir une construction sociale, un «tiers espace» (Vanier,2000,2002,2003) entre la ville et la campagne.

Echelle de la ville

H.b Les friches

Les friches de toutes sortes: les friches d’agricole, les friches industrielles, les friches militaires, les friches commerciales, les friches d’habitat, etc.
«La friche est une phase normale de la ville qui résulte de l’inadéquation à un moment donné entre la structure urbaine et la fonction qu’elle est censée contenir.»[1] Comment les périurbains, les friches créent un vide dans le tissus urbain et entre deux états – l’état initial de l’ancien usage et l’état à devenir.
Ces lieux proposent un grand laboratoire pour les recherches socioculturelles et des potentiels pour être réinvesti. Par exemple, RAW-Tempel, au coeur de Berlin dans l’ancienne partie Est de la ville, est une grande friche industrielle dont la taille est équivalente à celle de 14 terrains de football et qui maintenant est devenu un paradis de street-art et de la pop-musique. Pareille pour l’île de machine à Nantes, Phun Phactory à New York, LX Factory à Lisbon, etc. «Ces espaces ont profité d’un entredeux à la fois spatial (détourement de friches, entre deux usage) et temporel (changement de régime politique, entre deux système sociaux). »

Espace Public

H.c Place, Square

La place joue toujours un rôle très important dans la fabrication de la ville en Europe. Sur la cartographie en noli, la place prend une forme de vide qui présente une caractéristique physique d’espace d’entre-deux. À l’époque romaine, la place a commencé comme un marché et un lieu de rencontre public. Elle a ensuite servi à des événements tels que des annonces, des procès, des festivals, etc., et a souvent été entourée un grand nombre de bâtiments religieux et monumentaux. Pendant la Renaissance de l’Europe, en raison de l’augmentation des activités publiques dans la ville et la prospérité de divers domaines de pensée et de culture, un certain nombre de places célèbres sont apparus, comme la place Saint-Pierre et Piazza Camido à Rome.
Mais parfois, la caractéristique de réunir les gens sur une place est si importante qu’on oublie souvent les espaces semi-publiques entre la place et les zones commerciales. Ces espaces d’entre-deux sont les sujets auxquels nous nous intéressons dans ce mémoire par rapport à la place et le square. Par exemple, le Taksim Square de Istanbul. «.. […] … marchez à travers la ville, entrez dans les espaces semi-publics des bâtiments commerciaux, et voyez plus loin les différentes parties du monde […]. Bien qu’il soit difficile d’établir des relations définitives entre la représentation De l’espace public et privé dans les cartes et de la façon dont ces espaces sont organisés et expérimentés, l’exploration de liens potentiels peut suggérer des approches alternatives pour comprendre l’espace public spécifique à Istanbul. »[1] Ces espaces d’entre-deux proposent un lieu de pratique pour les chercheurs et les artistes dans le monde.

H.d Passage, Rue

«La rue fait la ville et elle est le premier support du mouvement des personnes, des biens, voire des information. Mais la rue est l’objet d’usages variés qui entrent souvent en conflit car son espace est nécessairement
limité».La rue, un espace vide entre les frontières formées par les bâtiments, est un espace d’entre-deux qui participe à la vie quotidienne de tout le monde. «La notion de passage, d’entre-deux, voir de passe, se trouve ainsi faire coeur aux échanges, comme d’articulation entre temps et espace.»Elle sert à la fois à se déplacer et traverser la ville, à accéder à des lieux de destination. Autrement dit, la rue est un espace où l’on est obligé de passer entre la vie publique et la vie privée. Elle sert aussi à accueillir toute sorte d’activité, et propose un lieu de rencontre et d’échange, même d’habitat ( Sous la grande catégorie d’espace d’entre-deux de la rue, il y a aussi une petite branche que sont les espaces creusés à cause du non alignement des façades. Si on regarde la situation de ces espaces à Paris dans le centre-ville, ils sont souvent squattés par les sans-abris). Avec cette temporalité, la rue change son attribut entre publique, semi-publique et privé. L’ambiance de la rue dans une ville représente dans certaine mesure les coutumes, le développement et l’économie de la ville, même le niveau de l’éducation locale.

H.e Passage commercial

Comme la rue, le passage commercial est un espace d’entre-deux bien limité par les espaces autour. Avec les vitrines des galeries, ces espaces proposent plus d’informations que les rues et les passagers sont plus susceptibles d’y rester dedans. Le passage commercial a un double attribut: pour les consommateurs, c’est un lieu temporel de loisir, de détente et de rencontre; mais pour les marchands, c’est un lieu de travail et de vie pendant la majorité de la journée. Dans certaines villes, le passage commercial devient un lieu de vie même pour la famille des marchands. Par exemple, le Galleria Umberto Uno à Naples, les enfants des marchands traitent ces lieux comme un terrain du jeu et du sport.

Espace semi-public/semi-privé

« L’impasse, la rue, la cour intérieure, les petits ateliers artisanaux, les voisins, etc….constituent l’espace social de proximité, en même temps qu’il questionne la relation à autrui, de la règle et de sa transgression dans une typologie spatiale qui sera mémorisée et qui par la suite, servira de référence. »

H.f Cour semi-publique

La cour semi-publique est une réserve entre l’espace public et l’espace semi-privé. L’Architecte et urbaniste danois M. Jan Gehl suppose que l’établissement d’une série de zones extérieures de zones résidentielles, la formation d’un espace semi-public sur le bord de la maison, puissent faire mieux rapprocher les résidents, et que l’espace semi-publics appartiennent à la zone résidentielle dans la carte mentale des habitants, renforçant ainsi la conscience et la responsabilité collective des résidents.
«Cette zone est parfois possède un front physique, comme des cours collectives entourées des immeubles , mais souvent limité par une sphère de sécurité psychologique dans laquelle qu’on désire des espaces à marcher, demeurer un moment, s’asseoir, écouter, regarder, converser» Donc, la cour semi-publique a aussi un impact sur l’espace d’entre-deux psychologique du gens.

H.g Ruelle derrière, Chemin intérieur (back alley), Impasse

Depuis cette catégorie, on est rentré dans une micro-échelle d’espace d’entre-deux. Ces espaces sont extrêmement limités par le physique. Différents des rues, les back alleys sont des espaces d’entre-deux semi-public et semi-privé. L’espace d’entre-deux joue un rôle très important dans la vie collective, surtout en Asie. Lorsque je suis arrivé en France à l’école d’architecture, je n’étais pas du tout d’accord avec ce concept de grand espace tampon pendant une discussion avec des camarades du projet. À ma surprise, elle m’a demandé si on attache de l’importance aux espaces publics en Chine. Ma réponse était bien entendu que oui, même si nous sommes sur un marketing commerciale très matérialisée, les gens adaptent leurs vies collectives dans les espaces interstitiels– les espaces d’entre-deux-les ruelles derrières. Les «HuTongs» à Pékin font une épreuve très persuasive pour ce phénomène. Avec des appropriations, ces espaces ont des multifonctions comme des espaces de vie, dd jeu, de la communication. En Europe, nous pouvons constater le même phénomène. Par exemple, les quartiers-jardins de Bruxelles, sont structurés par des grands îlots délimités par des routes de transit et traversés par des chemins intérieurs. «Les terrain libres à l’intérieur des îlots deviennent ds zones vertes semi-privée destinées à l’activité ludique».

H.h Espace Gap

Dans de nombreux pays et régions, les règlements de construction imposent des règles strictes sur la distance entre les bâtiments adjacents. Les bâtiments doivent être indépendants les uns des autres et ne peuvent pas partager les murs. Avec les prix élevés des terres et les petites bases, les gens maximisent l’utilisation des terres qui peuvent être construites. Par conséquent, après la subdivision des parcelles, il y a toujours un écart étroit entre les bâtiments et les bâtiments qui ne peuvent pas être utilisés. L’Atelier Bow-Wow le définit comme «l’Espace Gap».

ÉVOLUTION DES NOMS D’ESPACE D’ENTRE-DEUX

Comme relaté dans la partie précédente, la définition de l’espace d’entre-deux consiste en différentes notions par rapport à ses caractères spatiales, sociales et temporelles. Ces notions se mobilisent et se manifestent avec les changements de contextes. Pour le socio-anthropologue, chercheur au laboratoire Architecture Urbanistique Société (AUS) de l’Unité Mixte Roselyne de Villanova, ces espaces « entre-deux» sont mal nommés. Auparavant le mot « Entre-deux» était établi pour définir un certain type de l’espace, comment sont-ils décrits? En effet, les chercheurs utilisaient un vocabulaire varié pour le décrire en montrant ses caractères positifs ou négatifs. Une synthèse des notions mobilisées de l’espace d’entre-deux est déjà faite par un géographe Dr.Lionel Rougé dans sa recherche «Oser les entre-deux!» avec Dr. Juile lE Gall, ci-dessous nous avons repérés les oeuvres et les articles qui sont mentionnés dans cette synthèse et ajoutés nos réflexions, nos interprétations et des notions que nous estimons relatifs par rapport à l’espace d’entre-deux.
Dans le « Carnets de géographes numéro 7: Oser l’entre-deux!» Les auteurs citent les références mobilisées dont la discontinuité formée dans les années soixante, est une des premières descriptions traçables de l’espace d’entre-deux. La notion de discontinuité est développée par Roger Brunet (1968) « des lieux de faiblesse, là où le système se défait, ou n’est pas complètement constitué…» [1] Beaucoup d’études s’élaborent selon la théorie de Brunet. L’espace d’entre-deux était donc considéré en géographie comme plus simple, plus objectif, moins sujet à des interprétations divergentes en fonction des critères considérés. Il est considéré même comme une rupture, avec des angle-morts où il n’y a pas d’activité sociale ni interaction humaine. « La discontinuité entre au moins deux portions d’espace renvoie à l’idée de séparation, de rupture, de saut, de changement de système spatial » (Brunet, 1967 ; Gay, 1995 ; Hubert, 1993).[2]
L’un des intervieweurs de l’entretien avec Brunet en 1997 – Jean-Christophe François porte un avis plus ou moins neutre par rapport à la notion d’un lieu de faiblesse. « Son apparition résulte très souvent davantage de processus internes au système (discontinuités endogènes) que de perturbations extérieures (discontinuités exogènes)., …, On voit que l’analyse des discontinuités est fondamentale en géographie, ne serait-ce que pour identifier (cerner) des systèmes spatiaux.»
De plus en 2008, dans l’article « La notion de discontinuité en géographie » dont l’auteur est Claude Grasland, nous pouvons constater une interprétation plus positive sur l’espace de discontinuité. Claude Grasland croit qu’il y a « une perspective relationnelle dans le temps et dans l’espace, et elle impose dans les deux cas une interaction forte entre l’observateur et son objet d’analyse.»À mon sens, on peut constater très clairement une évolution d’attitude vers la discontinuité par laquelle le nom peut être remplacé par l’espace d’entre-deux.

Interface

« L’interface est un objet géographique qui naît de la discontinuité et/ou est établi sur celle-ci. Elle est le lieu où s’expriment des complémentarités mais aussi des différences ou des tensions entre des modes de régulation opposés.» [2] Pour le groupe des chercheurs, l’interface est une notion qui se prolonge de la discontinuité et de la limite. L’interface est une limite par laquelle des systèmes communiquent une rupture à l’échange. Les deux systèmes mentionnés ne sont pas seulement dans le sens géographique, mais aussi entre l’espace et les activités humaines (la culture). Ils nous donnent un exemple des systèmes transfrontaliers européens dont les frontières se superposent ou non à des limites linguistiques. Ces zones d’interfaces où les frontières du pays sont bien définies mais qui en même temps encouragent une valorisation de leurs différences par le commerce et les droits de douane.
L’interface a un double attribut positif et négatif qui justifie aussi les multi-caractères de l’espace d’entre-deux dont nous discutons dans ce mémoire. « les interfaces sont à l’origine d’une augmentation et d’une diversification des flux liés à ce différentiel, que cette augmentation soit interprétée positivement (activité touristique) ou négativement (trafic de drogue).»[3] Par rapport à la notion de discontinuité, l’interface est plus riche. Il se structure de manière horizontale en mettant en relation des espaces de même niveau d’organisation (ZU, ZAU, ZN et aussi ZA) et aussi il se structure de manière verticale par rapport aux activités humaines et à la communication corporelle ou incorporelle.
«Le terme de marge renvoie avant tout à ce qui est loin, en périphérie, à la limite ou à la frontière ; ainsi qu’à ce qui est petit, de moindre taille, aux interstices… Entre des lieux, des espaces, ou des groupes sociaux, ces rapports expriment une influence, une domination, une relation asymétrique.» En premier temps, d’un point de vue négatif, les marges se considèrent comme des lieux lions et invisibles( hors-normes), et qui ont moins d’activités. D’un point de vue positif, sur le niveau géographique et spatiale, les marges, sont à la fois, les discontinuités et les interfaces qui concernent différentes appropriations de l’espace et des enjeux environnementaux. Sur le niveau d’activités sociales, elles sont considérées comme des espaces qui peuvent être reconquis et redynamisés. Les friches sont parfois décrits comme des espaces en marge, « Marge de manoeuvre spatiale dans la gestion du foncier, la friche gérée avec le temps peut également être aussi une ressource en tant que marge de manoeuvre territoriale pour aborder les changements et les mutations sociétales.»

Espace interstitiel

« Une notion de l’interstice: Il y a une forme d’appropriation symbolique du lieu qui passe par la volonté d’exploiter sa singularité, de développer une correspondance entre ces terrains urbains interstitiels et des pratiques culturelles hors-normes.» [3] Jusqu’ici, nous nous sommes placés à l’échelle d’une ville. Le point clé n’est plus sur la définition géographique. Par contre, nous prenons en compte de plus en plus sa potentialité et ses possibilités. «Ces espace physiques-ces interstices au sein de la ville – ont souvent été réutilisés, détourné de leur usage initial, pour devenir des lieux dédiés à l’animation socioculturelle et artistiques. »[1] Il s’agit aussi de la spatialité et de la temporalité. «…ces espaces ont profité d’un entre-deux à la fois spatiale (détournement de friches, entre deux usages) et temporel (changement de régime politique, entre deux systèmes sociaux).»[2] Cette réflexion ressort des espaces à enjeux dans la ville dans le sens d’échelle d’activité et aussi de la nature. Le point de vue sur ces espaces devient de plus en plus positif.

Espace intermédiaire

« La notion d’intermédiaire permet de combiner des traits propres aux deux figures du continu et du discontinu. De la discontinuité, l’intermédiaire retient la position à la fois en limite et en contact; de la continuité il tient la dépendance de son positionnement relatif sur des gardiens géographiques » Par rapport à la notion de l’interface, l’espace intermédiaire semble diminuer l’importance de la discontinuité et se concentre plus sur l’échange et le lien. Si nous analysons l’interface comme un système de coordonnées en deux dimensions, pour l’espace intermédiaire, il faut ajouter l’axe Y. L’architecte hollandais Aldo Van Eyck estime que l’architecture est aussi un ou des espaces intermédiaires. « L’architecture doit être conçue comme une configuration de lieux intermédiaires clairement définis… Cela implique le rejet des tendances actuelles à la continuité spatiale et à la suppression de toutes les articulations entre les espaces…, entre un espace et un autre (entre une réalité et une autre). Au contraire, la transition doit être articulée au moyen de lieux intermédiaires définis qui suggèrent ce qu’il y a d’important des deux côtés… Un espace intermédiaire compris de cette manière procure un terrain commun où les polarités opposées peuvent de nouveau devenir un phénomène jumelé…».Il s’agit du rapport entre l’espace intérieur et l’espace extérieur d’un bâtiment mais aussi entre l’espace privé et l’espace public.

Espace de transition/ Espace en tension avec l’espace publique

L’autre description approximatif de l’espace intermédiaire est l’espace de transition. « L’espace de transition se définit comme “un passage d’un état à un autre, d’une situation à une autre”,…, et puisque nous avons désigné préalablement ces deux états comme étant l’espace public et l’espace privé, l’espace de transition devient doublement problématique si on n’arrive pas à définir les contours de ce qui est public et qui est privé.» [2] Cette définition donne à l’espace d’entre-deux des formes plus objectives et une échelle plus petite. « Par espace de transition nous entendons les intervalles entre l’espace public, celui de la voire, et l’intimité du logis. Ces espaces, collectifs ou privés, sont de plusieurs types: cour et cour commune, corridor et passage, jardin, allée, escalier extérieur, coursive.»
L’autre façon que des auteurs utilisent pour décrire ce type d’espace est l’espace en tension avec l’espace public. Par exemple, dans « Habiter la ville méditerranéenne » et « L’Enfant et son intégration dans la cité », les auteurs l’ont décrit comme: «L’impasse, la rue, la cour intérieure, les petits ateliers artisanaux, les voisins, etc….constituent l’espace social de proximité, en même temps qu’il questionne la relation à autrui, de la règle et de sa transgression dans une typologie spatiale qui sera mémorisée et qui par la suite, servira de référence.»«…les lieux de tension se sont en partie déplacés de la rue vers les espaces privés ou semipublics…»

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Table des matières

1. Introduction
2. Problématique du mémoire
3. Définition de l’«Entre-deux»
4. Évolution des noms d’espace d’entre-deux
5. Facteurs qui influencent les espaces d’entre-deux
6. Acteurs dans les espaces d’entre-deux
7. Dix-huit espaces d’entre-deux à Nantes
8. Hypothèse dans les espaces d’entre-deux
9. Bibliographie
10. Cinématographie

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