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Systรจmes dโรฉlevage avicole dans la rรฉgion de Dakar
Lโaviculture dans la rรฉgion de Dakar est pratiquรฉe selon deux systรจmes dโรฉlevage : le systรจme traditionnel et le systรจme moderne.
Systรจme traditionnel
Lโaviculture traditionnelle est essentiellement ร caractรจre rural et regroupe de petites unitรฉs de type familial ร faibles productions et qui utilisent des systรจmes extensifs avec des effectifs faibles par ferme (DOSSOU, 2008). La taille moyenne de ces unitรฉs de productions est de 10 sujets (DIOP, 1982).
La volaille est en divagation le jour ; elle parcourt de longues distances pour chercher sa nourriture. De ce fait, la croissance pondรฉrale est lente.
Les poulaillers rudimentaires, servent seulement de dortoir. La basse-cour est trรจs souvent exposรฉe de jour comme de nuit aux intempรฉries et aux prรฉdateurs. Les conditions dโhabitat et de reproduction (ponte, couvaison, survie des poussins) qui sont difficiles, font que la volaille villageoise est peu prolifique.
Les poulets sont commercialisรฉs pour la consommation humaine ร lโรขge de quatre mois ร un an avec un poids vif faible (en moyenne 1,2 ร 1,5 kilogramme par sujet). Les quantitรฉs de viandes de volailles traditionnelles produites par annรฉe figurent sur le tableau I.
Systรจme moderne
Lโaviculture moderne sโest surtout dรฉveloppรฉe en zone pรฉri-urbaine principalement dans la rรฉgion de Dakar et certaines rรฉgions cรดtiรจres abritant des rรฉceptifs hรดteliers. Son dรฉveloppement a รฉtรฉ rendu possible grรขce aux importations de poussin dโun jour auxquelles sโest substituรฉe la production locale de poussins avec lโinstallation de plusieurs couvoirs.
Dans ce systรจme dโรฉlevage, les oiseaux sont des souches amรฉliorรฉes. Ces derniรจres reรงoivent un aliment complet et en quantitรฉ prรฉcise. En outre, en aviculture moderne, les oiseaux bรฉnรฉficient dโune protection sanitaire et leurs logements sont bien contrรดlรฉs.
Dโune maniรจre gรฉnรฉrale, le systรจme moderne de productions avicoles est subdivisรฉ en deux types ร savoir : lโรฉlevage industriel et lโรฉlevage semi-industriel.
Lโรฉlevage industriel est un รฉtablissement qui possรจde des effectifs importants, utilise des poussins dโun jour provenant des multiplicateurs des souches sรฉlectionnรฉes, nourrit les volailles avec des aliments complets ou des aliments supplรฉmentรฉs et pratique des mesures de lutte contre les maladies (prophylaxie, traitement).Il utilise des รฉquipements modernes et des techniques perfectionnรฉes en ce qui concerne les diffรฉrentes opรฉrations (LISSOT, 1941) citรฉ par DIOP (1982). En tenant compte de cette dรฉfinition, plusieurs auteurs sโaccordent sur le fait quโil existe peu dโรฉlevages de ce type dans la rรฉgion de Dakar. Toutefois, lโรฉlevage industriel est ร ses dรฉbuts avec lโexemple de la Sociรฉtรฉ de Distribution du Matรฉriel Avicole (SEDIMA).
Lโรฉlevage avicole pratiquรฉ dans la rรฉgion de Dakar reste du type semi-industriel (GUEYE, 1999). Ce systรจme moderne utilise des poussins dโun jour produits au Sรฉnรฉgal par des sociรฉtรฉs privรฉes.
Dโune maniรจre gรฉnรฉrale, le systรจme dโรฉlevage moderne, en particulier celui des poulets de chair, connaรฎt une รฉvolution constante depuis 2005, suite ร lโinterdiction des importations des produits avicoles (figure 1).
Contraintes de lโรฉlevage avicole dans la rรฉgion de Dakar
Le dรฉveloppement de lโaviculture est essentiellement limitรฉ par des facteurs technico-รฉconomiques, des facteurs sanitaires et des facteurs alimentaires.
Contraintes technico-รฉconomiques
On note une absence de professionnalisation du mรฉtier, car la plupart des employรฉs des รฉlevages ne sont pas qualifiรฉs (BIAGUI, 2002). Ceci entraรฎne des dรฉfaillances observรฉes dans lโapplication des normes techniques dโรฉlevage qui sont ร lโorigine de mauvaises performances. ร ceci sโajoute la mauvaise conception des bรขtiments, les vides sanitaires mal effectuรฉs et lโabsence dโhygiรจne souvent constatรฉe dans les fermes qui ont des consรฉquences nรฉfastes en รฉlevage intensif (BIAOU, 1995). La mauvaise gestion de lโaliment, le non-nettoyage des abreuvoirs et une mal conservation de lโeau de boisson dans certaines fermes, ne favorisent pas une production optimale.
En plus de ces contraintes techniques, on note des contraintes รฉconomiques. Les producteurs รฉprouvent dโรฉnormes difficultรฉs pour obtenir des financements nรฉcessaires ร lโachat des รฉquipements avicoles (HABAMENSHI, 1994). La mauvaise organisation du marchรฉ et le manque de chaรฎne de froid pour conserver les produits invendus font que beaucoup dโaviculteurs sรฉnรฉgalais se limitent ร des opรฉrations ponctuelles liรฉes ร des festivitรฉs dโorigine religieuse, coutumiรจre ou familiale (SENEGAL/MA/DIREL, 1995).
Contraintes sanitaires
Les contraintes sanitaires sont reprรฉsentรฉes par les facteurs de risque essentiellement liรฉs ร lโenvironnement et aux pathologies.
Facteurs liรฉs ร lโenvironnement
Tempรฉrature
Cโest un facteur de stress aussi bien chez les poussins que chez les poules adultes (PARENT et al. 1989). Lโoiseau en rรฉagissant face ร lโagression thermique, sโรฉpuise et sโexpose davantage aux maladies. La tempรฉrature reste une contrainte majeure en aviculture au Sรฉnรฉgal ร cause de la chaleur qui est souvent ร lโorigine de trรจs fortes mortalitรฉs dans les รฉlevages avicoles.
Humiditรฉ
Lโhumiditรฉ favorise la croissance optimale des agents infectieux et infectants. Lorsquโun poulet est soumis ร un environnement ร forte humiditรฉ, il devient plus rรฉceptif aux maladies que celui qui nโest pas dans le mรชme cadre de vieย (BRUGERE PICOUX et SAVAD, 1987). Par ailleurs, lโhumiditรฉ renforce les effets nรฉfastes de la chaleur.
Ventilation
Le rรดle de la ventilation est bien connu en aviculture, car elle permet le renouvellement de lโair du poulailler. Cโest dโailleurs lโรฉlรฉment important qui est recherchรฉ dans lโorientation et la conception des bรขtiments, tout en รฉvitant les grands vents, les poussiรจres (sources dโagents pathogรจnes). Une bonne ventilation permet de minimiser les effets de la tempรฉrature et de lโhumiditรฉ (IBRAHIMA, 1991).
Polluants chimiques
Lโammoniac (NH3) est le polluant chimique le plus important. Il provient des oiseaux eux-mรชmes ou rรฉsulte de la dรฉgradation de la litiรจre.
Les facteurs physiques associรฉs aux facteurs chimiques, favorisent lโapparition et lโรฉvolution de nombreuses pathologies aviaires.
Facteurs liรฉs aux pathologies (BULDGEN et coll., 1992)
Les pathologies sont principalement dโorigine infectieuse ou parasitaire.
Maladies infectieuses
Elles rassemblent les maladies bactรฉriennes et virales.
๏ถ Maladies bactรฉriennes et mycoplasmiques Parmi ces maladies, on peut citer :
๏ผ le cholera aviaire du ร Pasteurella multocida ;
๏ผ les colibacilloses dues ร Escherichia coli et autres colibacilles ;
๏ผ les salmonelloses aviaires dues ร Salmonella pullorum gallinarum ;
๏ผ les mycoplasmoses dues ร Mycoplasme gallisepticum, M.synoviae et les autres mycoplasmes.
๏ถ Maladies virales
Ce sont les maladies les plus graves. Elles entraรฎnent dโรฉnormes dรฉgรขts, car il nโexiste aucun traitement contre ces maladies. On peut citer entre autres :
๏ผ la maladie de Gumboro due ร un Birnavirus ;
๏ผ la maladie de Newcastle ou pseudo peste aviaire due ร un Paramyxovirus;
๏ผ la variole aviaire due ร un Poxvirus ;
๏ผ les leucoses aviaires dues ร des rรฉtrovirus ;
๏ผ la bronchite infectieuse due ร un Coronavirus ;
๏ผ la maladie de Marek due ร un Herpes virus.
Maladies parasitaires
Elles sont les plus nombreuses et sont responsables de mortalitรฉs ou de retard de croissance dans les รฉlevages. On retrouve entre autres :
๏ผ les coccidioses aviaires (Emeria tenella, E. necatrix, E. maxima, E. brunetti, E. proecox) ;
๏ผ lโascaridiose (Ascaridia, Cappillaria, Heterakis);
๏ผ les Tรฉniasis (Rallietina, Hymenolopis).
Les maladies parasitaires sont les plus frรฉquentes ร cause du manque dโhygiรจne. Parmi ces maladies parasitaires, les coccidioses aviaires sont les plus importantes. Elles entravent sรฉrieusement le dรฉveloppement de lโaviculture au Sรฉnรฉgal. Les pertes qui leur sont attribuables sont liรฉes ร la fois aux mortalitรฉs et aux retards de croissance.
Phรฉnomรจnes mรฉcaniques de la digestion
La prรฉhension des aliments est assurรฉe par le bec, qui prรฉsente des variations morphologiques en rapport direct avec la nature de rรฉgime alimentaire. Les particules alimentaires ingรฉrรฉes ne subissent pas de modifications notables au niveau de la bouche (absence de dents). Les simples transformations du bol alimentaire sont liรฉes ร l’intervention des muscles hyo-branchio-lingaux et ร son humectation par la salive. La dรฉglutition est essentiellement un phรฉnomรจne mรฉcanique, elle est facilitรฉe par les mouvements de la tรชte. Une alimentation sous forme de farine doit s’accumuler dans le pharynx pour atteindre un volume seuil capable de dรฉclencher la motricitรฉ ลsophagienne (SOUILEM et GOGNY, 1994).
Le jabot, par sa motricitรฉ, joue un rรดle rรฉgulateur du remplissage du proventricule et du gรฉsier.
La contraction des muscles รฉpais du gรฉsier qui reprรฉsentent de vรฉritables ยซ mรขchoires ยป gastriques, assure le broyage et la trituration des aliments (SOUILEM et GOGNY, 1994).
Phรฉnomรจnes chimiques de la digestion
La salive qui est essentiellement constituรฉ de mucus, est indispensable ร la lubrification de l’aliment, surtout en l’absence d’une phase de mastication. Il facilite ainsi le transit du bol alimentaire ร travers le bucco-pharynx et la partie proximale de l’ลsophage.
Une sรฉcrรฉtion abondante du mucus par les glandes muqueuses de l’ลsophage et de l’entrรฉe du jabot, favorisant l’imbibition et la macรฉration des aliments dans le jabot.
La sรฉcrรฉtion gastrique assurรฉe uniquement par le proventricule, permet une digestion partielle des protรฉines par la pepsine, action qui ne dรฉbute rรฉellement que dans le duodรฉnum, lorsque les aliments sont suffisamment fragmentรฉs par le gรฉsier (SOUILEM et GOGNY, 1994).
Le suc pancrรฉatique contient des enzymes indispensables ร la dรฉgradation des lipides, des protides et des glucides. Ces activitรฉs enzymatiques sont cependant faibles chez le jeune poussin ; la possibilitรฉ de digรฉrer les glucides se dรฉveloppe au cours des premiers jours (4 ร 5 jours). L’ingestion rรฉguliรจre d’une grande quantitรฉ de carbohydrates et de lipides augmente l’activitรฉ de types amylase et lipase, alors qu’un rรฉgime hyperprotidique augmente trรจs peu l’activitรฉ de la chymotrypsine (BRUGERE-PICOUX et SILIM, 1992 ; SOUILEM et GOGNY, 1994).
Les sels biliaires sont indispensables ร l’action de la lipase pancrรฉatique, dans la mesure oรน ils รฉmulsifient les lipides. La synthรจse de la bile se dรฉveloppe avec lโรขge ; les jeunes oiseaux digรจrent mal les lipides, surtout quand ils sont ร base d’acides gras saturรฉs. Ainsi, l’addition de sels biliaires dans l’alimentation du poussin amรฉliore la digestibilitรฉ des acides gras saturรฉs, et dans une moindre mesure celle des acides gras insaturรฉs (SOUILEM et GOGNY, 1994 ; VILLATE, 2001).
Le suc intestinal renferme du mucus, des รฉlectrolytes et des enzymes capables de digรฉrer les glucides, les lipides et les protides. La lactase est absente d’oรน l’intolรฉrance au lactose. Les activitรฉs maltase et sucrase sont prรฉsentes dรจs la naissance, ce qui donne la possibilitรฉ au poussin de digรฉrer les sucres dรจs les premiers jours (4 ร 5 jours).
La digestion intestinale des lipides est mรฉdiocre ร la naissance, et seuls les lipides insaturรฉs sont utilisรฉs. La valorisation des lipides saturรฉs ne devient possible qu’ร lโรขge de 4 ร 8 semaines (SOUILEM et GOGNY, 1994).
Digestion microbienne
L’activitรฉ microbienne a รฉtรฉ signalรฉe essentiellement au niveau du jabot et surtout des caecums.ย Cette flore bactรฉrienne (surtout de bactรฉries gram nรฉgatives), favorise le renouvellement rapide de l’รฉpithรฉlium intestinal. La flore bactรฉrienne du jabot est surtout constituรฉe de lactobacilles (Lactobacillus acidophilus), qui contribuent ร la baisse relative du pH local, par la sรฉcrรฉtion d’acide lactique, d’acides organiques et d’acides gras volatils. Les oses issus de la dรฉgradation bactรฉrienne des glucides sont absorbรฉs en trรจs faible quantitรฉ et sont souvent utilisรฉs comme source d’รฉnergie par les bactรฉries. Les cรฆcums constituent un milieu favorable pour la multiplication bactรฉrienne : le milieu est anaรฉrobie, trรจs liquide, stagnant partiellement (l’รฉvacuation ne se fait que toutes les 6 ร 8 heures en moyenne), et le pH est de l’ordre de 6,5 ร 7,5. L’attaque des glucides se traduit par une activitรฉ amylolytique trรจs faible, ainsi qu’une production de gaz (CO2, mรฉthane) et d’acides gras volatils. Concernant la digestion de la cellulose, les poulets normaux sont capables d’utiliser 17% de la cellulose de la ration. Les caecums jouent un rรดle dans la digestion des protรฉines et dans la rรฉcupรฉration de l’azote non protรฉique, la digestion des protรฉines est mieux valorisรฉe chez les sujets normaux que chez ceux qui ont subi l’ablation des cรฆcums. La flore caecale anaรฉrobie est capable, de dรฉcomposer l’acide urique (principal composรฉ azotรฉ excrรฉtรฉ par les reins), issu de l’urine vรฉhiculรฉe par le reflux antipรฉristaltique. L’ammoniac produit est incorporรฉ dans la synthรจse d’acides aminรฉs, qui sont utilisรฉs par les bactรฉries et gรฉnรฉralement peu absorbรฉs par la paroi des caecums. Comme chez les mammifรจres, la flore digestive des oiseaux, dรฉprime l’utilisation des lipides, en rรฉduisant le rรดle des sels biliaires. Enfin, la flore bactรฉrienne au niveau des caecums est capable de synthรฉtiser les vitamines hydrosolubles, surtout du groupe B, telle que la vitamine B12 (BRUGERE-PICOUX et SILIM, 1992 ; SOUILEM et GOGNY, 1994).
Facteurs de variation des performances de croissance du poulet de chair
Facteurs intrinsรจques
Les facteurs intrinsรจques sont les facteurs qui sont propres ร lโanimal ร savoir lโรขge, le sexe, et la race qui sont en corrรฉlation avec le gรฉnotype.
La vitesse de croissance du poulet de chair varie en fonction de lโรขge, selon les souches ou les races. La croissance est surtout accรฉlรฉrรฉe entre 0 et 6 semaines, ralentit et devient coรปteuse en รฉnergie (NIR et al (1993)). Selon ENEDE (2005) les mรขles croissent plus rapidement que les femelles, ce qui serait dรป ร lโaction des androgรจnes testiculaires. Selon INRA (1979) les mรขles croissent plus rapidement, car apprennent ร consommer plus rapidement les aliments que les femelles. Pourtant selon BOURGON et coll. (1976) les femelles ont une aptitude ร dรฉposer plus de gras que les mรขles. Des รฉtudes faites par GIORDANI et al. (1993) sur trois souches de poulet de chair, ont montrรฉ quโil y a des diffรฉrences non nรฉgligeables de poids ร 8 semaines dโรขge, dโoรน lโinfluence des facteurs gรฉnรฉtiques sur la croissance des poulets de chair.
Facteurs environnementaux
Seront ici pris en compte seulement quelques facteurs environnementaux qui sont les facteurs climatiques, la photopรฉriode, les facteurs physiques et sanitaires.
Facteurs climatiques
Les accidents liรฉs ร une tempรฉrature ambiante excessive constituent un problรจme majeur de la filiรจre avicole, tant dans les pays ร climat chaud oรน l’aviculture est en pleine expansion que dans les pays tempรฉrรฉs (TREVIDY, 2000).
Les fortes chaleurs constituent un risque majeur en matiรจre dโรฉlevage avicole. Afin dโรฉviter les catastrophes lors dโune hausse inhabituelle de tempรฉrature dans les bรขtiments, il est nรฉcessaire dโintervenir sur diffรฉrentes points notamment la mise ร jeun des volailles (Afrique Agriculture, 2000).
Lorsque la tempรฉrature ambiante dรฉpasse 23ยฐC, le premier rรฉflexe de lโanimal est de limiter ces apports รฉnergรฉtiques en diminuant sa consommation alimentaire ce qui peut affecter la croissance de lโanimal (SANCHEZ et al. 2000).
Chez les volailles en croissance, la tempรฉrature est capable de modifier en mรชme temps que la vitesse de croissance, la consommation alimentaire et lโรฉtat dโengraissement (ENEDE, 2005). Selon KOLB (1965), une tempรฉrature supรฉrieure ร 25ยฐC compromet la prise de poids par rรฉduction de la consommation alimentaire; ceci est dโautant plus marquรฉ lorsque la tempรฉrature passe de 32ยฐC ร 36ยฐC.
Notons รฉgalement quโen climat chaud et hygromรฉtrie รฉlevรฉe, les performances des animaux sont infรฉrieures ร celles des animaux en climat chaud et hygromรฉtrie modรฉrรฉe (Afrique Agriculture, 2000).
Chez le poulet de chair, la zone de confort thermique varie en fonction de lโรขge (Tableau II).
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre I : Gรฉnรฉralitรฉs sur lโaviculture dans la rรฉgion de Dakar (Sรฉnรฉgal)
I.1. Donnรฉes gรฉographiques
I.1.1. Situation gรฉographique du Sรฉnรฉgal
I-1-2- Climat du Sรฉnรฉgal
I-1-2-1-Types de climat
I-1-2-2- Pluviomรฉtrie
I-1-2-3- Tempรฉrature
I-2- Systรจmes dโรฉlevage avicole dans la rรฉgion de Dakar
I-2-1- Systรจme traditionnel
I-2-2- Systรจme moderne
I-3- Contraintes de lโรฉlevage avicole dans la rรฉgion de Dakar
I-3-1- Contraintes technico-รฉconomiques
I-3-2- Contraintes sanitaires
I-3-2-1- Facteurs liรฉs ร lโenvironnement
I-3-2-1- 1-Tempรฉrature
I-3-2-1-2- Humiditรฉ
I-3-2-1-3-Ventilation
I-3-2-1-4-Polluants chimiques
I-3-2-2-Facteurs liรฉs aux pathologies
I-3-2-2-1 Maladies infectieuses
I-3-2-2-2 Maladies parasitaires
I-3-3- Contraintes alimentaires
Chapitre II : Facteurs influenรงant la croissance du poulet de chair
II.1. Physiologie de la digestion
II .1.1. Rappels anatomiques de lโappareil digestif du poulet
II.1.2. Phรฉnomรจnes mรฉcaniques de la digestion
II.1.3. Phรฉnomรจnes chimiques de la digestion
II.1.4. Digestion microbienne
II.2 Facteurs de variation des performances de croissance du poulet de chair
II.2. 1.Facteurs intrinsรจques
II.2.2 Facteurs environnementaux.
II.2.2.1. Facteurs climatiques
II.2.2.2. Photopรฉriode
II.2.2.3. Facteurs physiques
II.2.2.4. Facteurs sanitaires
II.2.3. Facteurs alimentaires.
II.2.3.1. Composition des aliments
II.2.3.1.1. Besoins alimentaires du poulet de chair
II.2.3.1.1.1.Besoins en รฉnergie
II.2.3.1.1.1.2. Besoins de production
II.2.3.1.1.3.Besoins en vitamines et en minรฉraux
II.2.3.1.1.4.Besoins en eau
II.2.3.1.2. Formulation des rations
II.2.3.1.2.1.Aliments dรฉmarrage
II.2.3.1.2.2.Aliments croissance- finition
II.2.3.2. Prรฉsentation physique des aliments
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
Chapitre I: Matรฉriel et Mรฉthodes
I.1 Matรฉriel
I.1.1 Bรขtiment dโรฉlevage
I.1.2. Aliments
I.1.3. Oiseaux
I.1.4. Matรฉriel dโรฉlevage et de contrรดle des performances
II.2. Mรฉthodes
II.2.1. Conduite de lโรฉlevage
II.2.1.1. Prรฉparation du bรขtiment dโรฉlevage
II.2.1.2. Mise en lots des poussins
I.2.1.3. Alimentation des oiseaux
II.2.1.4. Prophylaxie mรฉdicale
I.2.2. Collecte des donnรฉes
I.2.2.1.Paramรจtres dโambiance
I.2.2.2.Tempรฉrature rectale
I.2.2.3 Consommation alimentaire et dโeau
I.2.2.4.Evolution pondรฉrale
I.2.2.5.Poids de la carcasse
I.2.2.6. Mortalitรฉ
I.2.3.Calcul des paramรจtres zootechniques
I.2.3.1.Consommation alimentaire et dโeau
I.2.3.2.Gain moyen quotidien
I.2.3.3.Indice de conversion ou de consommation alimentaire
I.2.3.4.Rendement carcasse
I.2.3.5.Taux de mortalitรฉ
I.2.4.Evaluation de la rentabilitรฉ รฉconomique
I.2.5.Analyse statistique des donnรฉes
Chapitre II : Rรฉsultats et Discussion
II.1.Rรฉsultats
II.1.1. Effets de la distribution de lโaliment classique sur le papierยซ Chick care ยปsur la thermorรฉgulation et la croissance du poussin au dรฉmarrage
II.1.1.1.Effets sur la thermorรฉgulation
II.1.1.1.1.Paramรจtres dโambiance
II.1.1.1. 2.Tempรฉrature rectale
II.1.1.2.Effets sur les performances de croissance
II.1.1.2.1.Consommation alimentaire
II.1.1.2.2.Consommation dโeau
II.1.1.2.3.Ratio Eau/Aliment
II.1.1.2.4. Evolution pondรฉrale
II.1.1.2.5. Gain Moyen Quotidien (GMQ)
II.1.1.2.6.Indice de consommation
II.1.2. Effets de la distribution de lโaliment classique sur le papierยซ Chick care ยปsur les performances de croissance du poulet de chair sur toute la durรฉe dโรฉlevage.
II.1.2. 1.Consommation alimentaire
II.1.2. 2.Consommation dโeau
II.1.2. 3.Ratio Eau/Aliment
II.1.2. 4.Evolution pondรฉrale
II.1.2. 5.Gain Moyen Quotidien (GMQ)
II.1.2. 6. Indice de consommation
II.1.2.7.Poids vif ร lโabattage, poids carcasse et rendement carcasse
II.1.2. 8. Taux de mortalitรฉ
II.1.3.Effets de la distribution de lโaliment classique sur le papier ยซ Chick care ยป sur la rentabilitรฉ รฉconomique
II.1.3.1.Estimation du coรปt de production dโun poulet
II.1.3.2.Estimation de la rentabilitรฉ รฉconomique
II.2.Discussion
II.2.1 Mรฉthodologie
II.2.2.Effets de la distribution de lโaliment classique sur le papier ยซ Chick careยป sur les poussins au dรฉmarrage
II.2.2.1.Effets sur la thermorรฉgulation
II.2.2.2.Effets sur les performances de croissance
II.2.3.Effets de la distribution de lโaliment classique sur le papier ยซ Chick care ยป sur les performances de croissance du poulet de chair sur toute la pรฉriode de lโรฉlevage
II.2.4.Effets de la distribution de lโaliment classique sur le papier ยซ Chick care ยป sur la rentabilitรฉ รฉconomique de lโรฉlevage du poulet de chair
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
WEBOGRAPHIE
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