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Systèmes d’élevage avicole dans la région de Dakar
L’aviculture dans la région de Dakar est pratiquée selon deux systèmes d’élevage : le système traditionnel et le système moderne.
Système traditionnel
L’aviculture traditionnelle est essentiellement à caractère rural et regroupe de petites unités de type familial à faibles productions et qui utilisent des systèmes extensifs avec des effectifs faibles par ferme (DOSSOU, 2008). La taille moyenne de ces unités de productions est de 10 sujets (DIOP, 1982).
La volaille est en divagation le jour ; elle parcourt de longues distances pour chercher sa nourriture. De ce fait, la croissance pondérale est lente.
Les poulaillers rudimentaires, servent seulement de dortoir. La basse-cour est très souvent exposée de jour comme de nuit aux intempéries et aux prédateurs. Les conditions d’habitat et de reproduction (ponte, couvaison, survie des poussins) qui sont difficiles, font que la volaille villageoise est peu prolifique.
Les poulets sont commercialisés pour la consommation humaine à l’âge de quatre mois à un an avec un poids vif faible (en moyenne 1,2 à 1,5 kilogramme par sujet). Les quantités de viandes de volailles traditionnelles produites par année figurent sur le tableau I.
Système moderne
L’aviculture moderne s’est surtout développée en zone péri-urbaine principalement dans la région de Dakar et certaines régions côtières abritant des réceptifs hôteliers. Son développement a été rendu possible grâce aux importations de poussin d’un jour auxquelles s’est substituée la production locale de poussins avec l’installation de plusieurs couvoirs.
Dans ce système d’élevage, les oiseaux sont des souches améliorées. Ces dernières reçoivent un aliment complet et en quantité précise. En outre, en aviculture moderne, les oiseaux bénéficient d’une protection sanitaire et leurs logements sont bien contrôlés.
D’une manière générale, le système moderne de productions avicoles est subdivisé en deux types à savoir : l’élevage industriel et l’élevage semi-industriel.
L’élevage industriel est un établissement qui possède des effectifs importants, utilise des poussins d’un jour provenant des multiplicateurs des souches sélectionnées, nourrit les volailles avec des aliments complets ou des aliments supplémentés et pratique des mesures de lutte contre les maladies (prophylaxie, traitement).Il utilise des équipements modernes et des techniques perfectionnées en ce qui concerne les différentes opérations (LISSOT, 1941) cité par DIOP (1982). En tenant compte de cette définition, plusieurs auteurs s’accordent sur le fait qu’il existe peu d’élevages de ce type dans la région de Dakar. Toutefois, l’élevage industriel est à ses débuts avec l’exemple de la Société de Distribution du Matériel Avicole (SEDIMA).
L’élevage avicole pratiqué dans la région de Dakar reste du type semi-industriel (GUEYE, 1999). Ce système moderne utilise des poussins d’un jour produits au Sénégal par des sociétés privées.
D’une manière générale, le système d’élevage moderne, en particulier celui des poulets de chair, connaît une évolution constante depuis 2005, suite à l’interdiction des importations des produits avicoles (figure 1).
Contraintes de l’élevage avicole dans la région de Dakar
Le développement de l’aviculture est essentiellement limité par des facteurs technico-économiques, des facteurs sanitaires et des facteurs alimentaires.
Contraintes technico-économiques
On note une absence de professionnalisation du métier, car la plupart des employés des élevages ne sont pas qualifiés (BIAGUI, 2002). Ceci entraîne des défaillances observées dans l’application des normes techniques d’élevage qui sont à l’origine de mauvaises performances. À ceci s’ajoute la mauvaise conception des bâtiments, les vides sanitaires mal effectués et l’absence d’hygiène souvent constatée dans les fermes qui ont des conséquences néfastes en élevage intensif (BIAOU, 1995). La mauvaise gestion de l’aliment, le non-nettoyage des abreuvoirs et une mal conservation de l’eau de boisson dans certaines fermes, ne favorisent pas une production optimale.
En plus de ces contraintes techniques, on note des contraintes économiques. Les producteurs éprouvent d’énormes difficultés pour obtenir des financements nécessaires à l’achat des équipements avicoles (HABAMENSHI, 1994). La mauvaise organisation du marché et le manque de chaîne de froid pour conserver les produits invendus font que beaucoup d’aviculteurs sénégalais se limitent à des opérations ponctuelles liées à des festivités d’origine religieuse, coutumière ou familiale (SENEGAL/MA/DIREL, 1995).
Contraintes sanitaires
Les contraintes sanitaires sont représentées par les facteurs de risque essentiellement liés à l’environnement et aux pathologies.
Facteurs liés à l’environnement
Température
C’est un facteur de stress aussi bien chez les poussins que chez les poules adultes (PARENT et al. 1989). L’oiseau en réagissant face à l’agression thermique, s’épuise et s’expose davantage aux maladies. La température reste une contrainte majeure en aviculture au Sénégal à cause de la chaleur qui est souvent à l’origine de très fortes mortalités dans les élevages avicoles.
Humidité
L’humidité favorise la croissance optimale des agents infectieux et infectants. Lorsqu’un poulet est soumis à un environnement à forte humidité, il devient plus réceptif aux maladies que celui qui n’est pas dans le même cadre de vie (BRUGERE PICOUX et SAVAD, 1987). Par ailleurs, l’humidité renforce les effets néfastes de la chaleur.
Ventilation
Le rôle de la ventilation est bien connu en aviculture, car elle permet le renouvellement de l’air du poulailler. C’est d’ailleurs l’élément important qui est recherché dans l’orientation et la conception des bâtiments, tout en évitant les grands vents, les poussières (sources d’agents pathogènes). Une bonne ventilation permet de minimiser les effets de la température et de l’humidité (IBRAHIMA, 1991).
Polluants chimiques
L’ammoniac (NH3) est le polluant chimique le plus important. Il provient des oiseaux eux-mêmes ou résulte de la dégradation de la litière.
Les facteurs physiques associés aux facteurs chimiques, favorisent l’apparition et l’évolution de nombreuses pathologies aviaires.
Facteurs liés aux pathologies (BULDGEN et coll., 1992)
Les pathologies sont principalement d’origine infectieuse ou parasitaire.
Maladies infectieuses
Elles rassemblent les maladies bactériennes et virales.
Maladies bactériennes et mycoplasmiques Parmi ces maladies, on peut citer :
le cholera aviaire du à Pasteurella multocida ;
les colibacilloses dues à Escherichia coli et autres colibacilles ;
les salmonelloses aviaires dues à Salmonella pullorum gallinarum ;
les mycoplasmoses dues à Mycoplasme gallisepticum, M.synoviae et les autres mycoplasmes.
Maladies virales
Ce sont les maladies les plus graves. Elles entraînent d’énormes dégâts, car il n’existe aucun traitement contre ces maladies. On peut citer entre autres :
la maladie de Gumboro due à un Birnavirus ;
la maladie de Newcastle ou pseudo peste aviaire due à un Paramyxovirus;
la variole aviaire due à un Poxvirus ;
les leucoses aviaires dues à des rétrovirus ;
la bronchite infectieuse due à un Coronavirus ;
la maladie de Marek due à un Herpes virus.
Maladies parasitaires
Elles sont les plus nombreuses et sont responsables de mortalités ou de retard de croissance dans les élevages. On retrouve entre autres :
les coccidioses aviaires (Emeria tenella, E. necatrix, E. maxima, E. brunetti, E. proecox) ;
l’ascaridiose (Ascaridia, Cappillaria, Heterakis);
les Téniasis (Rallietina, Hymenolopis).
Les maladies parasitaires sont les plus fréquentes à cause du manque d’hygiène. Parmi ces maladies parasitaires, les coccidioses aviaires sont les plus importantes. Elles entravent sérieusement le développement de l’aviculture au Sénégal. Les pertes qui leur sont attribuables sont liées à la fois aux mortalités et aux retards de croissance.
Phénomènes mécaniques de la digestion
La préhension des aliments est assurée par le bec, qui présente des variations morphologiques en rapport direct avec la nature de régime alimentaire. Les particules alimentaires ingérées ne subissent pas de modifications notables au niveau de la bouche (absence de dents). Les simples transformations du bol alimentaire sont liées à l’intervention des muscles hyo-branchio-lingaux et à son humectation par la salive. La déglutition est essentiellement un phénomène mécanique, elle est facilitée par les mouvements de la tête. Une alimentation sous forme de farine doit s’accumuler dans le pharynx pour atteindre un volume seuil capable de déclencher la motricité œsophagienne (SOUILEM et GOGNY, 1994).
Le jabot, par sa motricité, joue un rôle régulateur du remplissage du proventricule et du gésier.
La contraction des muscles épais du gésier qui représentent de véritables « mâchoires » gastriques, assure le broyage et la trituration des aliments (SOUILEM et GOGNY, 1994).
Phénomènes chimiques de la digestion
La salive qui est essentiellement constitué de mucus, est indispensable à la lubrification de l’aliment, surtout en l’absence d’une phase de mastication. Il facilite ainsi le transit du bol alimentaire à travers le bucco-pharynx et la partie proximale de l’œsophage.
Une sécrétion abondante du mucus par les glandes muqueuses de l’œsophage et de l’entrée du jabot, favorisant l’imbibition et la macération des aliments dans le jabot.
La sécrétion gastrique assurée uniquement par le proventricule, permet une digestion partielle des protéines par la pepsine, action qui ne débute réellement que dans le duodénum, lorsque les aliments sont suffisamment fragmentés par le gésier (SOUILEM et GOGNY, 1994).
Le suc pancréatique contient des enzymes indispensables à la dégradation des lipides, des protides et des glucides. Ces activités enzymatiques sont cependant faibles chez le jeune poussin ; la possibilité de digérer les glucides se développe au cours des premiers jours (4 à 5 jours). L’ingestion régulière d’une grande quantité de carbohydrates et de lipides augmente l’activité de types amylase et lipase, alors qu’un régime hyperprotidique augmente très peu l’activité de la chymotrypsine (BRUGERE-PICOUX et SILIM, 1992 ; SOUILEM et GOGNY, 1994).
Les sels biliaires sont indispensables à l’action de la lipase pancréatique, dans la mesure où ils émulsifient les lipides. La synthèse de la bile se développe avec l’âge ; les jeunes oiseaux digèrent mal les lipides, surtout quand ils sont à base d’acides gras saturés. Ainsi, l’addition de sels biliaires dans l’alimentation du poussin améliore la digestibilité des acides gras saturés, et dans une moindre mesure celle des acides gras insaturés (SOUILEM et GOGNY, 1994 ; VILLATE, 2001).
Le suc intestinal renferme du mucus, des électrolytes et des enzymes capables de digérer les glucides, les lipides et les protides. La lactase est absente d’où l’intolérance au lactose. Les activités maltase et sucrase sont présentes dès la naissance, ce qui donne la possibilité au poussin de digérer les sucres dès les premiers jours (4 à 5 jours).
La digestion intestinale des lipides est médiocre à la naissance, et seuls les lipides insaturés sont utilisés. La valorisation des lipides saturés ne devient possible qu’à l’âge de 4 à 8 semaines (SOUILEM et GOGNY, 1994).
Digestion microbienne
L’activité microbienne a été signalée essentiellement au niveau du jabot et surtout des caecums. Cette flore bactérienne (surtout de bactéries gram négatives), favorise le renouvellement rapide de l’épithélium intestinal. La flore bactérienne du jabot est surtout constituée de lactobacilles (Lactobacillus acidophilus), qui contribuent à la baisse relative du pH local, par la sécrétion d’acide lactique, d’acides organiques et d’acides gras volatils. Les oses issus de la dégradation bactérienne des glucides sont absorbés en très faible quantité et sont souvent utilisés comme source d’énergie par les bactéries. Les cæcums constituent un milieu favorable pour la multiplication bactérienne : le milieu est anaérobie, très liquide, stagnant partiellement (l’évacuation ne se fait que toutes les 6 à 8 heures en moyenne), et le pH est de l’ordre de 6,5 à 7,5. L’attaque des glucides se traduit par une activité amylolytique très faible, ainsi qu’une production de gaz (CO2, méthane) et d’acides gras volatils. Concernant la digestion de la cellulose, les poulets normaux sont capables d’utiliser 17% de la cellulose de la ration. Les caecums jouent un rôle dans la digestion des protéines et dans la récupération de l’azote non protéique, la digestion des protéines est mieux valorisée chez les sujets normaux que chez ceux qui ont subi l’ablation des cæcums. La flore caecale anaérobie est capable, de décomposer l’acide urique (principal composé azoté excrété par les reins), issu de l’urine véhiculée par le reflux antipéristaltique. L’ammoniac produit est incorporé dans la synthèse d’acides aminés, qui sont utilisés par les bactéries et généralement peu absorbés par la paroi des caecums. Comme chez les mammifères, la flore digestive des oiseaux, déprime l’utilisation des lipides, en réduisant le rôle des sels biliaires. Enfin, la flore bactérienne au niveau des caecums est capable de synthétiser les vitamines hydrosolubles, surtout du groupe B, telle que la vitamine B12 (BRUGERE-PICOUX et SILIM, 1992 ; SOUILEM et GOGNY, 1994).
Facteurs de variation des performances de croissance du poulet de chair
Facteurs intrinsèques
Les facteurs intrinsèques sont les facteurs qui sont propres à l’animal à savoir l’âge, le sexe, et la race qui sont en corrélation avec le génotype.
La vitesse de croissance du poulet de chair varie en fonction de l’âge, selon les souches ou les races. La croissance est surtout accélérée entre 0 et 6 semaines, ralentit et devient coûteuse en énergie (NIR et al (1993)). Selon ENEDE (2005) les mâles croissent plus rapidement que les femelles, ce qui serait dû à l’action des androgènes testiculaires. Selon INRA (1979) les mâles croissent plus rapidement, car apprennent à consommer plus rapidement les aliments que les femelles. Pourtant selon BOURGON et coll. (1976) les femelles ont une aptitude à déposer plus de gras que les mâles. Des études faites par GIORDANI et al. (1993) sur trois souches de poulet de chair, ont montré qu’il y a des différences non négligeables de poids à 8 semaines d’âge, d’où l’influence des facteurs génétiques sur la croissance des poulets de chair.
Facteurs environnementaux
Seront ici pris en compte seulement quelques facteurs environnementaux qui sont les facteurs climatiques, la photopériode, les facteurs physiques et sanitaires.
Facteurs climatiques
Les accidents liés à une température ambiante excessive constituent un problème majeur de la filière avicole, tant dans les pays à climat chaud où l’aviculture est en pleine expansion que dans les pays tempérés (TREVIDY, 2000).
Les fortes chaleurs constituent un risque majeur en matière d’élevage avicole. Afin d’éviter les catastrophes lors d’une hausse inhabituelle de température dans les bâtiments, il est nécessaire d’intervenir sur différentes points notamment la mise à jeun des volailles (Afrique Agriculture, 2000).
Lorsque la température ambiante dépasse 23°C, le premier réflexe de l’animal est de limiter ces apports énergétiques en diminuant sa consommation alimentaire ce qui peut affecter la croissance de l’animal (SANCHEZ et al. 2000).
Chez les volailles en croissance, la température est capable de modifier en même temps que la vitesse de croissance, la consommation alimentaire et l’état d’engraissement (ENEDE, 2005). Selon KOLB (1965), une température supérieure à 25°C compromet la prise de poids par réduction de la consommation alimentaire; ceci est d’autant plus marqué lorsque la température passe de 32°C à 36°C.
Notons également qu’en climat chaud et hygrométrie élevée, les performances des animaux sont inférieures à celles des animaux en climat chaud et hygrométrie modérée (Afrique Agriculture, 2000).
Chez le poulet de chair, la zone de confort thermique varie en fonction de l’âge (Tableau II).
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre I : Généralités sur l’aviculture dans la région de Dakar (Sénégal)
I.1. Données géographiques
I.1.1. Situation géographique du Sénégal
I-1-2- Climat du Sénégal
I-1-2-1-Types de climat
I-1-2-2- Pluviométrie
I-1-2-3- Température
I-2- Systèmes d’élevage avicole dans la région de Dakar
I-2-1- Système traditionnel
I-2-2- Système moderne
I-3- Contraintes de l’élevage avicole dans la région de Dakar
I-3-1- Contraintes technico-économiques
I-3-2- Contraintes sanitaires
I-3-2-1- Facteurs liés à l’environnement
I-3-2-1- 1-Température
I-3-2-1-2- Humidité
I-3-2-1-3-Ventilation
I-3-2-1-4-Polluants chimiques
I-3-2-2-Facteurs liés aux pathologies
I-3-2-2-1 Maladies infectieuses
I-3-2-2-2 Maladies parasitaires
I-3-3- Contraintes alimentaires
Chapitre II : Facteurs influençant la croissance du poulet de chair
II.1. Physiologie de la digestion
II .1.1. Rappels anatomiques de l’appareil digestif du poulet
II.1.2. Phénomènes mécaniques de la digestion
II.1.3. Phénomènes chimiques de la digestion
II.1.4. Digestion microbienne
II.2 Facteurs de variation des performances de croissance du poulet de chair
II.2. 1.Facteurs intrinsèques
II.2.2 Facteurs environnementaux.
II.2.2.1. Facteurs climatiques
II.2.2.2. Photopériode
II.2.2.3. Facteurs physiques
II.2.2.4. Facteurs sanitaires
II.2.3. Facteurs alimentaires.
II.2.3.1. Composition des aliments
II.2.3.1.1. Besoins alimentaires du poulet de chair
II.2.3.1.1.1.Besoins en énergie
II.2.3.1.1.1.2. Besoins de production
II.2.3.1.1.3.Besoins en vitamines et en minéraux
II.2.3.1.1.4.Besoins en eau
II.2.3.1.2. Formulation des rations
II.2.3.1.2.1.Aliments démarrage
II.2.3.1.2.2.Aliments croissance- finition
II.2.3.2. Présentation physique des aliments
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
Chapitre I: Matériel et Méthodes
I.1 Matériel
I.1.1 Bâtiment d’élevage
I.1.2. Aliments
I.1.3. Oiseaux
I.1.4. Matériel d’élevage et de contrôle des performances
II.2. Méthodes
II.2.1. Conduite de l’élevage
II.2.1.1. Préparation du bâtiment d’élevage
II.2.1.2. Mise en lots des poussins
I.2.1.3. Alimentation des oiseaux
II.2.1.4. Prophylaxie médicale
I.2.2. Collecte des données
I.2.2.1.Paramètres d’ambiance
I.2.2.2.Température rectale
I.2.2.3 Consommation alimentaire et d’eau
I.2.2.4.Evolution pondérale
I.2.2.5.Poids de la carcasse
I.2.2.6. Mortalité
I.2.3.Calcul des paramètres zootechniques
I.2.3.1.Consommation alimentaire et d’eau
I.2.3.2.Gain moyen quotidien
I.2.3.3.Indice de conversion ou de consommation alimentaire
I.2.3.4.Rendement carcasse
I.2.3.5.Taux de mortalité
I.2.4.Evaluation de la rentabilité économique
I.2.5.Analyse statistique des données
Chapitre II : Résultats et Discussion
II.1.Résultats
II.1.1. Effets de la distribution de l’aliment classique sur le papier« Chick care »sur la thermorégulation et la croissance du poussin au démarrage
II.1.1.1.Effets sur la thermorégulation
II.1.1.1.1.Paramètres d’ambiance
II.1.1.1. 2.Température rectale
II.1.1.2.Effets sur les performances de croissance
II.1.1.2.1.Consommation alimentaire
II.1.1.2.2.Consommation d’eau
II.1.1.2.3.Ratio Eau/Aliment
II.1.1.2.4. Evolution pondérale
II.1.1.2.5. Gain Moyen Quotidien (GMQ)
II.1.1.2.6.Indice de consommation
II.1.2. Effets de la distribution de l’aliment classique sur le papier« Chick care »sur les performances de croissance du poulet de chair sur toute la durée d’élevage.
II.1.2. 1.Consommation alimentaire
II.1.2. 2.Consommation d’eau
II.1.2. 3.Ratio Eau/Aliment
II.1.2. 4.Evolution pondérale
II.1.2. 5.Gain Moyen Quotidien (GMQ)
II.1.2. 6. Indice de consommation
II.1.2.7.Poids vif à l’abattage, poids carcasse et rendement carcasse
II.1.2. 8. Taux de mortalité
II.1.3.Effets de la distribution de l’aliment classique sur le papier « Chick care » sur la rentabilité économique
II.1.3.1.Estimation du coût de production d’un poulet
II.1.3.2.Estimation de la rentabilité économique
II.2.Discussion
II.2.1 Méthodologie
II.2.2.Effets de la distribution de l’aliment classique sur le papier « Chick care» sur les poussins au démarrage
II.2.2.1.Effets sur la thermorégulation
II.2.2.2.Effets sur les performances de croissance
II.2.3.Effets de la distribution de l’aliment classique sur le papier « Chick care » sur les performances de croissance du poulet de chair sur toute la période de l’élevage
II.2.4.Effets de la distribution de l’aliment classique sur le papier « Chick care » sur la rentabilité économique de l’élevage du poulet de chair
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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