Facteurs de variation de la consommation d’aliment et des besoins de l’animal

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Les prix pratiqués et la concurrence

Le prix de vente du kilogramme de poulet de chair s’élève à 16 500 fmg. Le kilo de poulet vif coûte environ 11 500 fmg.
Ce sont les prix pratiqués sur le marché de la capitale de tous les concurrents, composé surtout de poulets abattus entiers ou en morceaux, selon la convenance des acheteurs. Ces prix sont donc partout les mêmes, et les modulations sont presque inexistantes même à la périphérie.
Les concurrents sont du coup très nombreux, parce que l’élevage est parfois du type informel. Certains pratiquent souvent des actions promotionnelles, surtout à l’approche des fêtes civiles ou religieuses. C’est le cas de la Hutte canadienne et de certains fournisseurs.

L’offre est ainsi très grande et cela pourrait nous amener à renoncer à notre projet, parce que le marché semble déjà saturé. Ce qui n’est pas vrai puisque géographiquement, il y a des endroits où l’offre n’existe pas. Il y a do nc des lieux qui ne sont pas bien pourvus en poulets de chair. C’est ce que nous avons l’intenti on de cibler. Et même dans les endroits les plus fréquentés, il suffit de « moduler » un peu le prix de vente par exemple, il y a une différence de prix de 500 francs, cela suffit pourdrainer les acheteurs.
Il est mieux d’offrir des prix très compétitifs quitte à grignoter un peu sur la marge pour attirer la clientèle.
Les produits locaux sont soumis à la concurrence de s volailles importées. Celles-ci coûtent moins cher que les produit locaux, donc ont tendance à attirer les acheteurs. Mais depuis que la maladie de la dioxine s’est manifestée, la consommation en a été réduite, et les gens achètent plutôt les produits locaux.
Ce qui rend difficile l’estimation réelle de l’offre, c’est l’existence du secteur informel de l’élevage du poulet de chair. Ainsi on est obligé de descendre sur terrain, pour pouvoir apprécier les offres qu’on y trouve.

La demande 

Une des difficultés que nous avons rencontrées danscette étude, c’est l’absence d’études spécifiques sur le poulet de chair auprèsdes institutions tel que l’Institut National de la statistique.
Ce que nous avons pu récolter comme informations nous permettent d’analyser les circuits actuels et la demande potentielle.

Les circuits actuels

Nous avons énoncé que l’épidémie de peste porcineuiq a sévi à Madagascar pendant les années 1998 – 1999 a eu pour conséquenc le transfert de la préférence des consommateurs vers la volaille de toutes sortes : canards, poulets « gasy », et surtout le poulet de chair.
L’accroissement de la demande s’est traduit dans ce lui de l’accouvage, c’est-à-dire la fourniture de poussins d’UN JOUR.
Les accouveurs n’arrivent pas à satisfaire la deman de bien qu’ils soient en nombre assez conséquent : l’AVITECH (technique de l’aviculture), SOPRAMAD, SOANAVELA et BEVALALA. Ces accouveurs n’arrivent plus à couvr ir les commandes exprimées par une population de plus en plus orientée vers l’élevage de poulets de chair parce que le cycle court qu’il requiert est un facteur de retour rapide des investissements. Par exemple, il faut 6 mois aux pondeuses pour commencer à fournir des œ ufs, alors que le cycle court de 45 jours est plus favorable à la trésorerie de l’exploitant.

La demande potentielle

Nous pouvons affirmer que la demande potentielle reste importante à travers les écoles et les entreprises qu’il faut explorer au maximum. Il faut y ajouter les particuliers surtout pendant les jours de grande festivité. Le développement des grillades et de barbecue constitue une demande potentielle très grande en poulet de chair, car c’est une nouvelle façon de vivre des citadins qui préfèrent les poulets de chair, dont la rapidité de préparation est un facteur prépondérant, apprécié par les consommateurs qui n’ont pas besoin de faire de longues queues avant d’être servis.
Il faut encore une demande potentielle très grande dans la présentation du poulet de chair en barquettes réfrigérées dans les grandes surfaces, qui cible aussi bien les nationaux que les expatriés. C’est un peu le haut de gamme des consommateurs.

Il reste encore beaucoup à faire dans la demande de poulets de chair entiers rôtis, car cela simplifie le travail des femmes au ménage qui sortent de plus en plus de chez elles pour travailler dans le secteur public ou privé.
Enfin, il y a lieu de considérer la demande non satisfaite des centres urbains moins importants.

CONDUITE DU PROJET ET CAPACITE DE PRODUCTION

Considérons maintenant les techniques de production, plutôt pour examiner la conduite d’élevage du poulet de chair à partir des poussins d’UN JOUR et ce jusqu’au poulet de chair de 1.3 à 1.7 kg vif.
Il comprendra les étapes suivantes : préparation dubâtiment d’élevage, alimentation prophylaxie et étude organisationnelle.

LA CONDUITE D’ELEVAGE

Infrastructure nécessaire

La préparation du poulailler commence dès le départde la bande de poulet précédente. L’éleveur doit se familiariser pour s’assurer un rendement maximum afin d’assurer une bonne rentabilité au projet avec une procédure stricte de nettoyage et désinfection.

Mise en place et choix de l’infrastructure : la litière

Deux jours avant l’arrivée des poussins, sur un sol propre et sec, la litière est disposée avec éventuellement au préalable l’épandage d’une trentaine de kilos de superphosphate pour une surface de 100 m2.
Pour cette même surface, il faut prévoir deux à trois cents kilos de gros copeaux. Blancs de bois non traités ou de la bonne paille hachée, seule ou avec les copeaux. La litière bien tassée et nivelée tout en restant souple, doit avoir une épaisseur régulière de 15 cm environ.
L’épaisseur de la litière constituée au démarragest importante par la suite. D’après l’enquête menée on constate que si la litière a moins de 5 cm d’épaisseur au démarrage, on ne retrouve à 35 jours d’âge que 10% de bonne litière. On peut donc penser qu’il est pratiquement impossible de conserver une litière correcte si son épaisseur est insuffisante au départ.
En revanche, si la litière mesure plus de 10 cm au départ, on trouve à 35 jours la même proportion de litière médiocre ou de bonne ièrelit. La litière doit assurer une bonne progression du développement des poussins, ensuitepoulets.

Densité optimale

Dès le premier jour, la densité en élevage est déterminée par le choix du nombre de poulets mis en place en fonction de la surface du bâtiment disponible.
Cette densité dépend en fait de plusieurs paramètres :
– l’état du bâtiment : ancien et éventuellement mal isolé ou récent et bien isolé,
– l’importance de l’équipement d’élevage (trémies te abreuvoirs, chaînes, etc.…,)
– la plus ou moins bonne ventilation du bâtiment (b rasseurs d’air),
– le poids vif recherché par l’abatteur,
– la technicité et la disponibilité de l’éleveur,
– l’environnement immédiat de l’élevage et la situation sanitaire régionale.

Démarrage du projet

Dispositions nécessaires du matériel

Avant l’arrivée des poussins, l’éleveur remet en place l’ensemble du matériel d’élevage (démarrage et croissance), de chauffage, les équipements d’éclairage et de ventilation. Le fonctionnement des équipements de ventilation (brasseurs d’air), de régulation des ouvertures (treuils automatiques) etd’alarme est vérifié.
Dans les bâtiments anciens plus ou moins isolé, le démarrage est le plus souvent effectué sur un côté du poulailler. Une bâche plastique le sépare en deux de façon à réduire les déperditions de chaleur. Le radiant au panneau électrique est entouré d’unegarde en carton ou en grillage fin, en feuilles de contre-plaqué flexible de 50 à 60 cm de hauteur. Pour 500 sujets, le diamètre du « rond » est de l’ordre de 2,50 m au départ puis est progressivement élargi. Dans les bâtiments récents, correctement isolés, ilest possible de démarrer les poussins dans l’ensemble du bâtiment. On peut maintenir la d isposition en « rond »: un par radiant mais avec un diamètre un peu plus important de l’ordre de 3,50m environ dès les premiers jours pour 500 poussins.

A l’intérieur de la garde (voir schéma 1) doit être disposé de manière régulière et rayonnante le matériel de démarrage :
– leurs abreuvoirs seront adaptés aux poussins premier âge ; ils doivent être suffisamment nombreux : un point d’eau alimentera au maximum 50 à 80 sujets. Il ne faut pas hésiter à multiplier ces points d’eau, même manuels, pour les premiers jours. La déshydratation du poussin ou l’altération des reinssuite à un abreuvement insuffisant, peuvent avoir des conséquences économiques importantes.
– Les mangeoires seront également de type premier âge et suffisamment nombreuses. Avant l’arrivée des poussins, prévoir des points d’alimentation supplémentaires qui ne seront utilisés que les deuxou trois premiers jours. Les mangeoires ne doivent pas être situées trop près des points eaud’ de façon à rester une zone de litière toujours sèche.

Disposition du matériel à l’intérieur de la garde

. Cercle de protection des poussins
. Plateaux
. Abreuvoirs

Les précautions à prendre

A la réception du poussin

Suivant la saison, 24 à 36 heures avant l’arrivée des animaux, il est nécessaire d’amener la température ambiante du local à plus de 20°C de manière à mettre en place les poussins sur une litière sèche et chaude.
Avant de sortir les poussins des boîtes, l’éleveur s’assure qu’aliment et eau claire sont présents dans les équipements de démarrage etque la température est de 35°C sous les radiants et 25°C en ambiance.
En répartissant les poussins dans les points de démarrage, l’éleveur doit être attentif à leur comportement et à leur aspect externe.
Il peut par exemple appuyer avec la main ouverte sur les poussins qui, s’ils sont bien vigoureux, résistent à la pression. Une observation méthodique et en effet indispensable pour bien analyser l’état des animaux dans le but de démarrer les poussins de façon satisfaisante.
Quelques cas de ventre maux au niveau du nombril peuvent être décelés. S’il ne s’agit pas d’une infection, l’éleveur ne doit pas s’inquiéter car une trop forte humidité en fin d’incubation peut entraîner ce petit défaut qui disparaît en quelques heures.
Les sujets atteints de malformation, pattes écartées, becs de travers doivent être éliminés.

Surveiller le comportement des poussins

Le comportement et la répartition des poussins dansles points de démarrage sont en définitive les meilleurs indicateurs du bien être esd poussins (voir schéma 2)
Si les poussins s’entassent le long des gardes ils fuient la source de chauffage dont la température est trop élevée. Haletants, les becsouverts, les poussins se déshydratent, ne mangent plus, ne boivent plus.
Si les poussins sont serrés sous le radiant, c’est que celui-ci ne chauffe pas assez ou a été allumé trop tard. Les poussins ont froid, restent entassés et ne mangent plus. Ils risquent en outre de s’étouffer.
Si les poussins n’occupent qu’une partie du point de démarrage, plusieurs cause sont possibles :
– radiant mal orienté,
– mauvais éclairage, d’où zone d’ombre,
– courant d’air.
La distribution de la chaleur et de l’éclairage, le niveau de température sont corrects si les poussins sont repartis de façon homogène dans l’ensemble de l’aire de démarrage.

L’éclairage

A la réception des poussins, un fort éclairement etnécessaire pour que tous se dirigent sans problème vers les points d’abreuvement et d’alimentation.
L’éclairage évolue en fonction de l’âge des animaux. Le premier jour, l’intensité de l’éclairement est maximale à 100° de son potentiel (3 W/m2). Ensuite, elle est réduite graduellement chaque jour au moyen d’un variateur d’intensité pour atteindre 0,7 W/m2 à 8 jours. Il ne faut réduire la durée de l’éclairementmais il faut diminuer l’intensité afin d’éviter le picage ou les accidents de comportement.

Réglage des équipements de chauffage et de entilationv

A partir de la 4ème semaine, l’éleveur remonte de ,30 à 0,50 m, les radiants, gaz, panneaux électriques ou éleveuses encore allumés. esC ponts de chauffe éteints progressivement : un sur deux ou un sur trois.

Dès premières semaines, il est nécessaire de procéder à un renouvellement d’air minimum. Avec une ventilation d’air statique, l’éleveur ouvre très légèrement les trappes d’entrées d’air. Par suite, pour éviter les changements brusques de températures (trop froid ou trop chaud), il est fortement recommandé d’installer une régulation automatique de l’ouverture et de la fermeture des trappes, fonctionnant à partir des données fournies par une ou plusieurs sondes thermostatiques.
Dans un bâtiment de 1000m2, il est préférable de prévoir 2 régulations séparées, chacune d’elles commandant par exemple la moitié du lanterneau et les trappes de l’un des deux côtés du poulailler. Beaucoup d’éleveurs associent à ce type de régulation un système d’alarme les avertissant d’une élévation ou d’une baisse anormale de la température de l’élevage.
La ventilation régule :
. l’humidité
. la température
. la charge microbienne
. la composition de l’air (O2, NH3, CH4)
L’humidité doit être combattue :
. en évitant la perte aux abreuvoirs ;
. en ventilant suffisamment (détasser, pas d’obstacles à la circulation d’air, lanternau, brasseur d’air) ;
. en chauffant au démarrage
en rapportant de la litière sèche ou en la remuant

Brassage d’air et humidification

La ventilation statique d’un poulailler est également améliorée par la pose de brasseurs (Voir schéma 3).
Deux systèmes sont couramment utilisés sur le terrain : d’une part, un brassage avec des ventilateurs placés verticalement en diagonale à 8 mètres de chaque pignon (4,5 m du côté et 2,50m du sol). La vitesse de ces deux ventilateurs (2,4 ou plus) est programmée en fonction de l’âge des animaux et de la température. D’autre part, un brassage avec des ventilateurs réversibles placés horizontalement à proximité du faîtage (1 pour 150 à 180 m2 de surface.

Dans les deux cas, le brassage assure une plus grande homogénéité de la température avec une récupération des calories dansla partie haute du poulailler. Outre l’économie de chauffage ainsi obtenue, ce dispositif contribue à sécher les litières.
Pour éviter les conséquences des coups de chaleur uiq sévissent presque chaque été dans plusieurs régions, il existe différents systèmes de refroidissement des poulaillers. Un moyen simple et peu coûteux consiste à vaporiser de l’eau à l’aide d’un tuyau plastique équipé de gicleurs. Ce tuyau plastique peut êtrexéfi en partie basse des jupes latérales des longs pans ou au niveau des arrivées d’air des trappes. Il est également possible de vaporiser de l’eau à la hauteur des ventilateurs br asseurs.
Ces différents systèmes humidifient l’air des poulaillers tout en stabilisant et en faisant baisser la température intérieure.

Réglage des abreuvoirs – Entretien des litières

Outre la surveillance et le réglage de l’ambiance, l’éleveur est amené à effectuer différents travaux se rapportant à la conduite de l’élevage.
La hauteur des abreuvoirs et des mangeoires sera réglée en fonction de la taille des animaux de façon à limiter les débordements d’eau s ur la litière et le gaspillage d’aliments.
Il est conseillé de maintenir les abreuvoirs et lesmangeoires au niveau du dos des animaux, les abreuvoirs étant même légèrement rehausser parrapport aux mangeoires.
On constate alors que 43% des lots à bonne indice d e production (supérieur à 172) ont une bonne litière, alors que 42% des lots à mauvais indice (inférieur à 150) ont une litière médiocre.

CAPACITE DE PRODUCTION :

Ce chapitre comptera deux sections dont l’une sera relative au planning de production et l’autre à l’alimentation, condition s ine qua non d’une bonne production.

Planning de production

Au démarrage

1ère phase. – Nous démarrons avec un lot de 300 poussins d’UN JOUR qui seront vendus à partir du 46 ème jour.
2ème phase. – Il ne faudra pas attendre la fin des 45 premiers jours pour démarrer le cycle suivant.
Il faudra s’approvisionner dès la 2ème semaine après le 1er lot. Et ainsi de suite.
Donc chaque lot sera séparé par une période de 15oursj.
Enfin, de compte, nous aurons produit 600 poulets de chair tous les deux mois. En extrapolant, cette capacité de production sera planifiée de telle sorte que nous puissions produire 600 x 6 = 3.600 poulets la première année.

Pendant la période de croisière

Nous estimons avoir atteint ce stade au bout d’un an. Il sera temps alors, suivant l’évolution de la demande, suite à nos actions publicitaires et promotionnelles.
Nous pensons alors augmenter notre capacité de production dès le début de la 2ème année d’exploitation. Cette augmentation sera de l’ordre de 10 à 20 %.

Alimentation pour un rendement optimal

Alimentation de poulets de chair

Rappel sur la physiologie de la nutrition

L’animal a besoin d’aliments pour se développer et grandir. Cependant ces aliments doivent subir un ensemble de transformations afin de pouvoir être utilisés par l’organisme.
La digestion
Un organisme vivant peut se schématiser ainsi : unlong tube entouré d’un ensemble fermé. L’aliment ingéré passe dans ce tube, une partie traverse la paroi du tube, une autre est rejetée à l’extrémité du tube. Cependant pour raversert les parois du tube, les aliments doivent être détruits en éléments simples qui sontseuls assimilables par l’organisme.
Le passage aliment-élements simple constitue la digestion. Le franchissement des parois de ce tube (tube digestif) constitue l’absorption intestinale ; ce qui n’est pas absorbé constitue les fèces. La dégradation dans le tube digestif est réalisée par des sécrétions de glandes du tube digestif, les sucs digestifs.
Etude plus approfondie de la digestion
La bouche : il n’y a pas de distinction bouche-arrière bouche (= pharynx) chez l’oiseau. Il n’existe, de plus, pas de dent. La lan gue est peu mobile chez la poule. Le palais est percé d’une fente médiane qui communique avec esl cavités nasales. Le bec est une production cornée ; chez les gallinacés, la valve upérieures est courbée.
On observe un faible développement des glandes salivaires, 12 cm3 par jour contre 15 l par jour chez le porc, et 100 à 190 litres par jour chez le bœuf. La salive est riche en mucines, mais les aliments sont ingérés tels quels.

L’odorat est peu développé ainsi que les facultés ustativesg. Seule la vue permet à l’animal de trouver ses aliments. Ce dernier point justifie, entre autre, l’éclairage du bâtiment les premiers jours suivant la réception des poussins.
Œsophage –jabot : l’œsophage se présente comme un tube de 15 à 20 c m de long, de faible calibre (environ 1 cm). Sa paroi est très mince et très dilatable. Il se termine au niveau du ventricule succenturié.
Chez les gallinacés, on distingue une portion cervicale et une portion thoracique. Ces deux portions sont séparées par le jabot. Ce dernier est situé à la base du cou ; c’est une poche membraneuse, mais on n’observe pas de différence avec l’œsophage. Physiologiquement, le jabot est un réservoir temporaire d’aliment, on a alors ramollissement de ces aliments.

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Table des matières

INTRODUCTION
Ière PARTIE : VUE GENERALE SUR LE PROJET
CHAPITRE 1 : Présentation du projet
Section 1 : Historique du projet
Section 2 : Caractéristiques du projet
2.1. Le cycle court d’exploitation
2.2. Facilité et rapidité du développement du poulet de chair
CHAPITRE 2.- Etude du marché
Section 1°.- L’offre
1-1. Le marché ciblé
1.2. L’offre actuelle de poulets de chair
1.3 Les prix pratiqués et la concurrence
Section 2 : La demande :
2-1.- Les circuits actuels
2.2.- La demande potentielle
IIème PARTIE : CONDUITE DU PROJET ET CAPACITE DE PRODUCTION
CHAPITRE I : LA CONDUITE D’ELEVAGE
Section 1 : Infrastructure nécessaire
1.1. Mise en place et choix de l’infrastructure : la litière
1.2. Densité optimale
Section 2°: Démarrage du projet
2.1. Dispositions nécessaires du matériel
2.2. Les précautions à prendre
2.2.1 A la réception du poussin
2.2.2. Surveiller le comportement des poussins
2.2.3. L’éclairage
2.2.4. Le doigté de l’éleveur
2.3. Après le démarrage, l’élevage du poulet
2.3.1. Au 6ème jour, agrandissement des parcs
2.3.2.Température sous radian et en ambiance
2.3.3. Réglage des équipements de chauffage et de ventilation
2.3.4. Brassage d’air et humidification
2.3.5. Réglage des abreuvoirs – Entretien des litières
2.3.6. Suivi de la croissance et fiche d’élevage
CHAPITRE 2 Capacité de production :
Section 1 – Planning de production
1.1 Au demarrage
1.2 Pendant la période de croisière
Section 2. Alimentation des poulets de chair
2.1. Rappel sur la physiologie de la nutrition
2.2. Définition du besoin d’un animal
2.3. Facteurs de variation de la consommation d’aliment et des besoins de l’animal
2.1.5. Alimentation pratique
2.1.6. La présentation des aliments poulets
2.2. Les additifs dans les aliments poulets
2.3. Les principales matières premières utilisables en aviculture
2.3.1. Les céréales
2.3.2. Les graisses alimentaires
2.3.3. Les tubercules
2.3.4. Les tourteaux
2.3.5. Les protéagineux
2.4. Facteurs influençant la consommation d’eau
2.4.1. Mesures à prendre pour assurer aux poulets un abreuvement satisfaisant
2.4.2. Prophylaxie
2) – La prophylaxie médicale
a– La chimio-prévention
b– Les vaccinations
E) – LES PRINCIPALES MALADIES DU POULET DE CHAIR
a- Les maladies parasitaires
b- Les maladies bactériennes
c) les maladies à virus
CHAPITRE III – ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 : Structure légère au début
Section 2 : Répartition des tâches
2.1 : Le gérant
2.2 Les éleveurs
2.3 Le gardien
CONCLUSION
Troisième partie : Etude financière du projet
Chapitre 1er : Les investissements
Section 1 : Le coût de l’infrastructure
1.1. Terrain et bâtiments
1.2. Equipements de chauffage et accessoires
Section 2 : Le fonds de roulement initial et les amortissements
2.1. Fonds de roulement initial
2.2. Amortissement
Chapitre 2 : Les comptes de gestion
Section 1 : Les charges d’exploitation
1.1. Achat de matières premières
1.2. Les produits d’entretien
1.2.1. Achat de provende
1.2.2. Achats de vaccins
1.2.3. Fournitures de bureau
1.2.4. Eau et électricité
1.2.5. Frais de personnel
1.2.6 Transports et Déplacements 485 000 fmg/mois
1.2.7 Carburants (pétrole lampant) 60 000 fmg/mois
1.2.8 Emballage 100 000 F/mois à partir du 3ème mois
2.1. Les ventes mensuelles
2.2 Compétitivité :
Chapitre 3.- Etude de faisabilité du projet.
Section 1.- Le compte de résultat prévisionnel (CRP)
CONCLUSION GENERALE

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