Facteurs liรฉs au virus
Sous-groupes A et B du Virus Respiratoire Syncitial Les pรฉdiatres constatent que les formes graves de bronchiolites sont plus frรฉquentes au cours de certaines pรฉriodes dโhivers, dโoรน lโhypothรจse que la souche virale peut influencer la gravitรฉ de la bronchiolite. Les deux sous-groupes de VRS A et B cocirculent habituellement au cours des รฉpidรฉmies, mais il existe des annรฉes oรน lโun des virus prรฉdomine. Lโexistence dโun lien entre sous-groupes de VRS et gravitรฉ de la bronchiolite est controversรฉe [40].
Titre viral Le niveau de rรฉplication virale dans le poumon pourrait รฉventuellement conditionner la gravitรฉ de la bronchiolite. En 2003, Gueudin et al ont observรฉ que le nombre de copies de lโacide ribonuclรฉique (ARN) viral est significativement plus รฉlevรฉ chez les nourrissons atteints de bronchiolites graves, mais la diffรฉrence avec les formes non graves ne devient plus significative si la mesure de la charge virale dans lโรฉchantillon respiratoire tient compte de la quantitรฉ de cellules prรฉsentes dans lโรฉchantillon [41]. Enfin, en 2005, Devincenzo et al ont montrรฉ quโil y a un lien รฉtroit entre la charge virale et la durรฉe dโhospitalisation, lโinsuffisance respiratoire ou le recours aux soins intensifs chez les nourrissons atteints de bronchiolite ร VRS [42].
Diagnostics diffรฉrentiels
Ils sont rares, cependant ils doivent รชtre restรฉs prรฉsents dans lโesprit :
๏ญ Une mucoviscidose : une toux sous forme de quintes, persistante, rรฉpรฉtitive et qui รฉpuise lโenfant est caractรฉristique. Parfois les accรจs de toux provoquent des vomissements. La respiration peut รชtre sifflante du fait de lโobstruction des petites bronches. Des infections pulmonaires ร rรฉpรฉtition peuvent survenir (bronchites). Le test de sueur froide doit รชtre rรฉalisรฉ au moindre doute [56].
๏ญ Une coqueluche : dans un contexte รฉpidรฉmique, lโexamen clinique retrouve une toux spasmodique, nocturne, paroxystique, persistante et quinteuse, se terminant par un chant de coq. Les examens paracliniques (hyperleucocytose, PCR coqueluche) peuvent aider ร affirmer ou infirmer le diagnostic. Il faut savoir en outre que coqueluche et bronchiolite peuvent survenir de faรงon concomitante chez un mรชme enfant.
๏ญ Une staphylococcie pleuro-pulmonaire peut ร la phase initiale faire รฉvoquer le diagnostic de bronchiolite. Une dermatose surinfectรฉe associรฉe ร une altรฉration de lโรฉtat gรฉnรฉral avec fiรจvre รฉlevรฉe, une hyperleucocytose avec polynulรฉose neutrophile et une CRP รฉlevรฉe sont en faveur dโune infection systรฉmatique ร staphylocoque. Les images radiologiques typiques (bulles intra-parenchymateuses) peuvent รชtre tardives.
๏ญ Une cardiopathie congรฉnitale avec shunt gauche-droit et hyper dรฉbit pulmonaire (ECG) ;
๏ญ Une anomalie vasculaire (double arc aortique, artรจre sous-claviรจre droite retro-ลsophagienne, tronc artรฉriel brachiocรฉphalique) diagnostiquรฉe par la tomodensitomรฉtrie.
๏ญ Une pathologie dโinhalationยซ chronique ยป par reflux gastro-ลsophagien (fibroscopie ลsogastrique et bronchique);
๏ญ Un corps รฉtranger intra bronchique (fibroscopie) ;
๏ญ Un ยซ asthme ยป du nourrisson mais dont le diagnostic formel est difficile ร affirmer. Par consรฉquent, le diagnostic est รฉvoquรฉ aprรจs trois รฉpisodes de bronchiolite avant lโรขge de 24 mois [57].
Kinรฉsithรฉrapie respiratoire
ย ย ย ย ย ย ย La kinรฉsithรฉrapie respiratoire a pour but de faciliter le drainage et l’รฉlimination des sรฉcrรฉtions trachรฉo-bronchiques. Son objectif est dโamรฉliorer la tolรฉrance de la maladie par le nourrisson et dโamรฉliorer sa qualitรฉ de vie[77]. La kinรฉsithรฉrapie respiratoire est pratiquรฉe de maniรจre trรจs diffรฉrente en fonction des pays:
๏ญ Dans les pays anglo-saxons, la kinรฉsithรฉrapie est basรฉe sur du drainage de posture (le nourrisson est placรฉ dans diverses positions pour drainer les diffรฉrents lobes pulmonaires, parfois la tรชte vers le bas) et du clapping (percussion thoracique). Ces techniques ne sont plus recommandรฉes en France depuis 1994 [78].
๏ญ Dans les pays francophones et certains pays hispanophones, la kinรฉsithรฉrapie est basรฉe sur la technique actuellement utilisรฉe en France qui est la technique de lโaugmentation du flux expiratoire (AFE) associรฉe, si nรฉcessaire, ร la rรฉalisation dโune toux provoquรฉe (TP). La toux provoquรฉe est recommandรฉe pour les pathologies respiratoires sรฉcrรฉtantes en gรฉnรฉral depuis 1994, et pour le nourrisson atteint de bronchiolite en particulier depuis 2000[79,80]. En pratique, la prescription de kinรฉsithรฉrapie n’est pas systรฉmatique et les sรฉances doivent รชtre rรฉalisรฉes par des kinรฉsithรฉrapeutes spรฉcifiquement formรฉs ร ces techniques [81]. Les sรฉances sont gรฉnรฉralement rรฉalisรฉes une ร deux fois par jour, ร distance des biberons, en position proclive si l’enfant rรฉgurgite. Elles ne dรฉpassent pas vingt minutesย [55]. La kinรฉsithรฉrapie ne permettait pas de rรฉduire le nombre de jours d’hospitalisation, les signes de lutte, les besoins en oxygรจne [82].
Les bronchodilatateurs
ย ย ย ย ย ย ย La justification de leur utilisation repose sur lโidรฉe quโune partie du syndrome obstructif bronchiolaire est due ร un bronchospasme. Plusieurs molรฉcules ont รฉtรฉ รฉvaluรฉes, principalement de la famille des beta2-mimรฉtiques (Salbutamol, Albutรฉrol, Terbutaline) ou des adrรฉnergiques (Adrรฉnaline, รpinรฉphrine). Des รฉtudes ont conclu ร un effet modรฉrรฉ et de courte durรฉe sur la dynamique respiratoire รฉvaluรฉe par un score clinique et sur lโoxymรฉtrie, et ร lโabsence dโefficacitรฉ sur le taux dโhospitalisation et sur la durรฉe dโhospitalisation [83].
Antรฉcรฉdents personnels et risque de dรฉcรจs
ย ย ย ย ย ย ย Dans notre รฉtude, nous avons 54 enfants qui ont dรฉjร eu un รฉpisode de bronchiolite soit 12,7%. Ce rรฉsultat est faible. Les rechutes de bronchiolite, dans lesย premiรจres annรฉes de vie, concernaient 23 ร 60% des nourrissons en France. Pour dโautres auteurs, la bronchiolite correspond dans 64% des cas ร un premier รฉpisode et dans 36% ร une rรฉcidive. Le nombre dโรฉpisode de la bronchiolite nโa pas de relation significative avec le dรฉcรจs par bronchiolite sรฉvรจre [54]. Nous avons trouvรฉ aussi des anciens prรฉmaturรฉs et asphyxie pรฉrinatale respectivement pour 11,1% (p=0,053) et 12,1% (p=0,07). Nos rรฉsultats sont faibles par rapport aux รฉtudes trouvรฉes par S. Goudjil avec 24% dโancien prรฉmaturรฉ mais de souffrance nรฉonatale presque semblable ร 11,4% [109]. Il nโy a pas eu de relation significative entre lโantรฉcรฉdent de prรฉmaturitรฉ des patients et le dรฉcรจs par bronchiolite sรฉvรจre dans notre รฉtude. Pourtant une autre รฉtude en France a rapportรฉ un taux de mortalitรฉ largement รฉlevรฉ de 40 % chez des nourrissons qui avaient des antรฉcรฉdents de pathologies prรฉexistantes, ร savoir la prรฉmaturitรฉ liรฉe ร la bronchodysplasie pulmonaire [110]. Ces facteurs ont รฉtรฉ rapportรฉs dans dโautres รฉtudes pouvant majorer le risque dโรฉvolution sรฉvรจre de la maladie [111]. Les enfants atteints de la cardiopathie congรฉnitale reprรฉsentaient 5,7% des cas et que la cardiopathie congรฉnitale multiplie la mortalitรฉ par bronchiolite sรฉvรจre de 1,39 fois dans notre รฉtude. Ce taux est faible ; alors que S. Gougjil a trouvรฉ 17% [109]. Cโest un facteur de risque de gravitรฉ de la bronchiolite et augmentation mortalitรฉ [103]. Lโallaitement maternel exclusif dโune durรฉe dโau moins 6 mois a รฉtรฉ notรฉ chez 74,2% dans notre รฉtude et il nโy a pas eu de relation significative entre lโallaitement maternel exclusif des patients et le dรฉcรจs par bronchiolite sรฉvรจre. Ce rรฉsultat est largement supรฉrieur par rapport ร celui trouvรฉ par Goudjil S avec seulement 11% [109]. L’enquรชte rรฉalisรฉe en 2012 en France a montrรฉ que dรจs l’รขge dโun mois, les nourrissons ne sont que 54% ร รชtre allaitรฉs, et seulement 35% de faรงon exclusive [112]. Cela signifie que les femmes malgaches ont plus de temps et de disponibilitรฉ ร sโoccuper de ses enfants. Une รฉtude publiรฉe en 2013 a dรฉmontrรฉ que lโallaitement maternel, mรชme en association avec lโallaitement artificiel, rรฉduisait le risque dโhospitalisation pour bronchiolite durant la premiรจre annรฉe de vie [113]. Une autre รฉtude a montrรฉ que les enfants non allaitรฉs au sein avaient trois fois plus de risque d’hospitalisation pour infection respiratoire basse que ceux nourris exclusivement au sein pendant quatre mois [114]. Lโassociation avec la malnutrition aiguรซ sรฉvรจre a รฉtรฉ observรฉe dans 2,6% des cas. Mais il nโy a pas eu de relation significative entre le statut nutritionnel des patients et le dรฉcรจs par bronchiolite sรฉvรจre. Nos rรฉsultats sont comparables ร ceux retrouvรฉs par Bogne et al [115]. Dans lโรฉtude rรฉalisรฉe ร Dallas, lโรขge gestationnel moyen des enfants hospitalisรฉs pour infection VRS (+) รฉtait significativement supรฉrieur par rapport au non-VRS (38.3 ยฑ3.0 vs 37.4 ยฑ 4.3 SA). Les enfants hospitalisรฉs pour bronchiolite ร VRS nรฉgatif avaient significativement une forte prรฉvalence de cardiopathie congรฉnitale, de maladie pulmonaire chronique, de trisomie 21 et de prรฉmaturitรฉ. En plus, la proportion des enfants รขgรฉs de moins de 32 semaines hospitalisรฉs pour bronchiolite ร VRS positif ont รฉtรฉ significativement faible par rapport ร ceux VRS nรฉgatif. Ce qui pourrait reflรฉter lโeffet des mesures prophylactiques anti-VRS. Dโautres facteurs de risque comme lโimmunodรฉpression (congรฉnitale ou acquise) ainsi que les fibroses kystiques ont รฉtรฉ identifiรฉs et comparables entre les deux groupes [96].
Kinรฉsithรฉrapie respiratoire
ย ย ย ย ย ย Dans notre รฉtude, 224 enfants ont reรงus de sรฉance de kinรฉ respiratoire soit 57,7%. Deux sur trois des hรดpitaux quโon a fait lโรฉtude prescrits largement ce kinรฉ comme dans les pays Europรฉens francophones (82,5 ร 99%). Et un tiers comme dans les pays anglosaxons, elle est nettement moins prescrite [78]. La kinรฉ respiratoire entraine une amรฉlioration score clinique ร court terme (FR, sibilants, รฉtat gรฉnรฉral) [131, 132]. Cโest un facteur protecteur pour la bronchiolite sรฉvรจre avec p = 0,001 et RR = 0,3. La kinรฉsithรฉrapie constitue la rรจgle en France alors quโelle est trรจs controversรฉe, voire contre-indiquรฉe chez les anglo-saxons. Utilisรฉe en France avec prรจs de 95% de prescriptions et 76% en Belgique, elle nโest que de 13% au Canada. Dans les pays anglo- saxons oรน la kinรฉsithรฉrapie respiratoire est peu prescrite, on observe un nombre dโhospitalisations identique, ainsi quโune durรฉe dโhospitalisation et une mortalitรฉ comparables [133, 134].
CONCLUSION
ย ย ย ย ย ย ย ย La bronchiolite aigue sรฉvรจre du nourrisson constitue un vรฉritable enjeu de santรฉ publique sur le plan mรฉdical, social et professionnel. Cโest aussi un problรจme tant par sa frรฉquence que par sa gravitรฉ potentiel. Elle fait intervenir et travailler ensemble les mรฉdecins hospitaliers, les mรฉdecins libรฉraux, les kinรฉsithรฉrapeutes parfois et les parents toujours. Au terme de notre รฉtude, la bronchiolite constitue 16,3% dans le service pรฉdiatrique des trois CHU dโAntananarivo suscitรฉ du janvier 2015 au dรฉcembre 2015 et que 39,8% des cas sont sรฉvรจres. Les garรงons sont les plus touchรฉs par lโaffection, la tranche dโรขge prรฉdominante est moins de 12 mois. Les atopies familiales et le tabagisme passif constituent des facteurs de risques et de gravitรฉ de la maladie. Dans notre รฉtude, les facteurs de risque de mortalitรฉ pour la bronchiolite sรฉvรจre sont le dรฉlai dโhospitalisation, la cyanose, la pรขleur, lโinsuffisance cardiaque et les cardiopathies congรฉnitales. La surinfection bactรฉrienne est la complication la plus frรฉquente dโoรน lโutilisation dโantibiothรฉrapie dans 78% des cas des enfants hospitalisรฉs. Au cours de notre travail, on a 8,3% des cas de dรฉcรจs. La prise en charge est pluridisciplinaire et, repose initialement sur la dรฉsobstruction rhino โ pharyngรฉe pluriquotidienne, hygiรจne et le couchage en position proclive de 30ยฐ. Compte tenu de lโabsence de traitement spรฉcifique, les pistes se tournent actuellement principalement vers la prรฉvention dans lโattente dโun vaccin. Nous recommandons donc lโรฉducation parentale sur les signes prรฉmonitoires de la maladie, conseils dโhygiรจne, et sur le danger de lโautomรฉdication. Nous prรฉconisons aussi la participation des agents communautaires, les autoritรฉs, les organismes nationaux et internationaux.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS
I. GENERALITES
I.1. Dรฉfinition
I.2. Rappels anatomophysiologiques des voies respiratoires
I.3. Epidรฉmiologie
I.4. Physiopathogรฉnie
I.5. Facteurs de risque de lโinfection
I.6. Diagnostic
I.7. Evolution
I.8. Prise en charge de la bronchiolite
I.8.1. Mesures gรฉnรฉrales
I.8.2. Traitements mรฉdicamenteux
I.8.3. Surveillance
I.8.4. Prรฉvention
DEUXIEME PARTIE: METHODES ET RESULTATS
II.1. METHODES
II.1.1. Cadre de lโรฉtude
II.1.2. Type de lโรฉtude
II.1.3. Pรฉriode et durรฉe de lโรฉtude
II.1.4. Population dโรฉtude
II.1.4.1. Critรจres dโinclusion
II.1.4.2. Critรจres dโexclusion
II.1.5. Mode dโรฉchantillonnage et taille dโรฉchantillonnage
II.1.6. Variables ร รฉtudier
II.1.7. Collecte des donnรฉes
II.1.8. Saisie et analyse des donnรฉes
II.1.9. Considรฉrations รฉthiques
II.1.10. Limite dโรฉtude
II.1.11. Matรฉriels
II.2. RESULTATS
II.2.1. Frรฉquence gรฉnรฉrale des bronchiolites sรฉvรจres ร lโhรดpital
II.2.2. Age
II.2.3. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon le genre
II.2.4. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon lโรฉtat nutritionnel
II.2.5. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon le dรฉlai dโhospitalisation
II.2.6. Antรฉcรฉdents
II.2.7. Aspects cliniques
II.2.8. Aspects thรฉrapeutiques
II.2.9. Issue des patients
II.2.10. Analyse des facteurs de dรฉcรจs
II.2.10.1. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon dรฉcรจs des patients et รขge
II.2.10.2. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon dรฉcรจs des patients et genre
II.2.10.3. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon lโรฉtat nutritionnel et dรฉcรจs
II.2.10.4. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon dรฉcรจs et dรฉlai dโhospitalisation
II.2.10.5. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon dรฉcรจs des patients et antรฉcรฉdents personnels
II.2.10.6. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon dรฉcรจs des patients et antรฉcรฉdents familiaux
II.2.10.7. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon nombre de dรฉcรจs par rapport aux signes cliniques
II.2.10.8. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon la prise en charge avant lโhospitalisation et lโissu des patients
II.2.10.9. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon les traitements hospitaliers et lโissu des patients
II.2.10.10. Rรฉpartition des enfants ayant eu de bronchiolite sรฉvรจre selon les aรฉrosols prescrits et lโissue des patients
TROISIEME PARTIE: DISCUSSION
III. DISCUSSION
III.1. Forces et limites de lโรฉtude
III.2. Prรฉvalence gรฉnรฉrale de la bronchiolite
III.3. Issue
III.4. Durรฉe dโhospitalisation
III.5. Facteurs de risques de mortalitรฉ liรฉs ร la bronchiolite sรฉvรจre
III.5.1. Age et risque de dรฉcรจs
III.5.2. Genre et risque de dรฉcรจs
III.5.3. Dรฉlai dโhospitalisation et risque de dรฉcรจs
III.5.4. Antรฉcรฉdents
III.5.4.1. Antรฉcรฉdents personnels et risque de dรฉcรจs
III.5.4.2. Environnementaux et risque de dรฉcรจs
III.5.5. Aspect clinique et risque de dรฉcรจs
III.5.6. Aspect thรฉrapeutique et risque de dรฉcรจs
III.6. Suggestions
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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