facteurs de dégradation de la qualité de la litière et conséquences sur les oiseaux

Traitements d’amélioration de la qualité de la litière

Traitement mécanique

Une litière homogène sera obtenue à partir d’un support assez fin qui se mélangera facilement du fait de l’activité des animaux. La paille broyée, les copeaux ou encore un mélange paillecopeaux sont préférables à la paille entière. En cas d’utilisation de copeaux, il sera nécessaire de veiller à la sciure, laquelle présente en trop grande quantité, a tendance à conserver l’humidité absorbée et à favoriser la formation de croûtes en surface.
Pour limiter la production d’ammoniac, ITAVI (2001a) recommande d’éviter de remuer les litières à partir de 25 jours d’élevage, afin de limiter l’activité de la microflore aérobie ; d’épandre, environ deux fois par semaine, une fine couche de nouvelle litière. Il n’y a alors plus ou très peu de NH3 produit, faute de déjections en contact avec l’air. Le confort thermique des animaux peut de plus s’en trouver amélioré.
Les quantités de litière nécessaires peuvent varier suivant la saison, la nature du sol du bâtiment et la capacité de l’éleveur à bien maîtriser la ventilation de son bâtiment (ITAVI, 1997a). .
Plus généralement, l’amélioration de la qualité de la litière est basée sur les traitements chimiques ou microbiologiques

Traitement chimique de la litière

Le contrôle chimique de la production d’ammoniac s’effectue par une inhibition de la croissance des micro-organismes qui décomposent l’acide urique ou par neutralisation de l’ammoniac relâché. Maintenir la litière à un pH faible de 6 (dans le cas des produ its acidifiants comme l’alun, le sulfate d’aluminium, le mélange acide sulfurique/argile) inhibe la croissance des bactéries uricolytiques et augmente cette capacité de maintenir l’ammoniac à une faible concentration dans le bâtiment (BALTAZART, 2010).
Le superphosphate et l’acide phosphorique ont été étudiés comme inhibiteurs de la croissance microbienne. Ces produits présentent l’avantage d’être peu chers et facilement disponibles.
Le superphosphate est le produit le plus utilisé dans les élevages. Il a une action asséchante sur la litière. L’utilisation bihebdomadaire aux doses de 100 à 200 mg/m2 s’avère intéressante. Ce produit ne demeure actif que pendant 5 jours environ. L’acide phosphorique a la capacité de réduire la production d’ammoniac d’un facteur de quatre par son action acidifiante.
La chaux, agent alcalin, a un effet bactéricide et bloque par son pH de 9 à 11 la fermentation (ITAVI, 1997b).
Le bisulfate de sodium est largement utilisé dans la péninsule du Delmarva (États-Unis d’Amérique) comme amendement de la litière de volaille pour supprimer les émissions d’ammoniac à l’intérieur du poulailler. Ce produit chimique est habituellement utilisé à un taux de 25 kg/100 m2 pour chaque bande de volailles (GUOet al., 2009a). POPE et CHERRY (2000) cité par GUOet al., (2009 a), ont démontré que l’amendement par le bisulfate de sodium réduisait le pH et le nombre total de bactéries de la litière, mais n’agit pas sur le taux d’humidité de la litière ni sur le taux d’azote.

Traitement microbiologique de la litière

GUINEBERT et PENAUD (2005) ont évalué l’intérêt de l’apport régulier directement sur la litière d’une flore spécifique (BACTIVORTM, inoculum constitué de souches de Bacillus subtilis sélectionnées en fonction de leur aptitude à se multiplier et à dégrader la litière selon des critères métaboliques définis) dans cinq poulaillers de dindes. Celle-ci serait à même d’orienter le développement microbien et de modifier les processus de dégradation de la matière organique, sous son influence pour aboutir à une maturation bénéfique. La compétition bactérienne entretenue par ces apports entraînait la réduction drastique des entérobactéries et des coliformes dans la litière.

L’attapulgite

Le matériel utilisé pour le test d’amélioration de la qualité de la litière est la fine d’attapulgite calcinée qui a été prélevée à Thiès (Sénégal).

Définition

L’attapulgite est un minéral qui est connu depuis plusieurs années. Déjà en 1807, BRONGNIARTcitépar KOFFI (2011),la plaçait dans le groupe des « abestes subériformes ».On l’a ensuite reconnue en faisceaux fibreux, avec des faciès de l’amiante, puis en masses terreuses ou en couches sédimentaires lacustres ou marines, prenant à l’affleurement un aspect feuilleté et papyracé. En fait, il s’agit d’un silicate alumino-magnésien dans lequel aluminium et magnésium sont en proportion à peu près égale.
En somme, c’est une argile saline appartenant au groupe des matériaux argileux fibreux; c’est JACQUES DE LAPPARENT en 1935 qui a dénommé « attapulgite » le constituant des terres de foulon d’attapulgus qui est un petit village qui se trouve à l’angle sud-ouest de la Géorgie aux U.S.A, près de la Floride et de Mormoiron (Vaucluse) en France.

Caractéristiques

L’attapulgite est un genre de minerai hydrique cristalloïde de silicate de magnésiumaluminium ayant une structure à chaîne stratifiée spéciale dans laquelle il y a un
déplacement de cristallin. Il contient des cristaux en quantités incertaines d’ion sodium,
d’ion calcique, d’ion ferreux et d’aluminium, et présents sous forme d’aiguilles, fibres
ou faisceaux fibreux.
La composition réelle de l’attapulgite (roche totale) varie, car il peut y avoir un
remplacement partiel du magnésium par l’aluminium, par le fer ou d’autres éléments
tels que : silice, manganèse, nickel, etc. En effet, il y a des attapulgites grasses, maigres,
plastiques, etc. Elles peuvent aussi recouvrir une autre désignation d’après les éléments
principaux cités plus haut (calcaire, silice, nickel) qu’elles contiennent par exemple : On
distingue une attapulgite calcaire, une attapulgite silicifiée, etc.
L’attapulgite a une forte capacité d’absorption d’eau. Quand elle est mouillée, elle
devient plastique et adhésive ; et quand elle est sèche, elle ne rétrécit pas assez et ne
montre pas de fissures. Le pouvoir absorbant élevé de l’attapulgite en fait un agent
déshydratant idéal, utilisé dans plusieurs domaines agricole, médical et industriel
(DIOP, 1979).

Variétés d’attapulgite

On peut citer une liste d’attapulgites lacustres, marines ou sursalées anciennement ou plus récemment connues. Mais nous n’en citerons que deux :
L’attapulgite en masse très pure dans les dolomies des lacs tertiaires d’Ipswich, dans le Queensland australien ;
Les sédiments à attapulgite et sépiolite pouvant être lacustres ou marins. Mais c’est dans les séries marines que ces sédiments sont les plus développés (DIOP, 1979).
Les attapulgites marines sont trouvées par Elouard (MICHEL, 1973) dans le lutétien inférieur du Sud de la Mauritanie et au Nord du Sénégal, puis dans le bassin tertiaire du Bénin et du Togo par SLANSKY cité par DIOP ,1979). De même, SLANSKYdétermine dans le forage de Sangalkam au Sénégal des couches marines à sépiolites, mêlées d’attapulgite, à 500 km des bordures. Ce qui est à remarquer, c’est la vaste extension des couches marines à attapulgite qui débordent de beaucoup les attapulgites lacustres.
Les attapulgites de l’ouest du Sénégal, lorsqu’elles ne sont pas calcaires ou silicifiées, sont très plastiques. Outre leur aspect stratifié, les attapulgites des gites de Pout,
Fouloume, Nianning, présentent des dendrites. L’on y trouve aussi quelques fossiles d’origine végétale, des dents et des vertèbres de poissons, des oursins, etc.… Il s’agit en somme d’une sédimentation classique basique. Aussi l’origine ne peut s’interpréter que par néoformation. En effet, les attapulgites n’existent pas longtemps dans les sols : quand elles y sont, elles sont rapidement altérées. Ne pouvant être héritée ni du sol, ni des roches, l’attapulgite est néoformée au cours de la sédimentation basique.

Aliment utilisé

Les animaux ont été nourris à l’aliment « NMA-SANDERS de DAKAR » durant toute la période d’élevage. Ils ont reçu tour à tour un aliment « démarrage » puis un aliment « croissance » et enfin un aliment « finition ».
Du démarrage de la bande jusqu’au 15 ème jour, les animaux ont été nourris à base d’un aliment démarrage, puis une transition de trois jours a été observée avant de passer à l’aliment croissance jusqu’au 30 ème jour. Une nouvelle transition de trois jours a été observée, avant de passer à l’aliment finition jusqu’à l’abattagequi a eu lieu au 43 ème jour. Au cours des deux phases de transition, les oiseaux ont reçu comme aliment, un mélange des deux types d’aliments. Par exemple, pour la transition démarragecroissance, les proportions des deux aliments sont les suivantes :
1er jour : 2/3 de l’aliment démarrage + 1/3 de l’aliment croissance ;
2e jour : 1/2 de l’aliment démarrage+ 1/2 de l’aliment croissance ;
3e jour : 1/3 de l’aliment démarrage + 2/3de l’aliment croissance.
C’est ce même modèle de transition qui a été utilisé entre la croissance et la finition.

Litière utilisée

Pour l’essai, la coque d’arachide a été utilisée comme litière pour tous les lots. Elle a été étalée sur le sol du poulailler sur une épaisseur de cinq centimètres.

Evaluation des performances de zootechniques

Consommation alimentaire

L’évaluation des quantités d’aliment consommées a été faite par la différence entre les quantités distribuées et les refus. Du 10 ème au 43 ème jour (jour de l’abattage), la consommation alimentaire quotidienne a été déterminée en faisant la différence entre les quantités d’aliment distribuées la veille et les quantités aliment refusées le lendemain à la même heure. Dans chaque sous lot, la consommation alimentaire par poulet est obtenue en divisant la quantité totale consommée par le nombre de poulets.
Le calcul de la consommation alimentaire par poulet et par jour a été fait de la manière suivante :

Analyse microbiologique

Au plan microbiologique, la qualité des litières est analysée à partir de la flore sporulée aérobie et la flore sporulée anaérobie. La flore aérobie se développe dans une litière poreuse à l’oxygène donc de bonne qualité, contrairement à la flore anaérobie (CARRE et al., 1995).

Flore Mésophile Aérobie Totale (FMAT)

Nous avons appliqué la méthode par comptage. Ainsi pour l’ensemencement, on prend deux boites de pétri stériles et dans chacune d’elle est transféré 1ml de la suspension mère de l’échantillon à l’aide d’une pipette. Avec une autre pipette stérile, on transfère dans deux autres boites de pétri stériles 1ml de la dilution au 1/100. Sans dépasser 15 minutes entre la fin de la préparation de la suspension mère et le moment où les dilutions sont en contact avec le milieu de culture, on coule dans la boite 15ml de gélose pour dénombrement à 45 ± 0,5°C. On mélange soigneusement l’inoculum au milieu et on laisse se solidifier. Ensuite, 4ml de gélose blanche à 45 ± 0,5°C sont versés à la surface du milieu ensemencé. Concernant l’incubation, les boites ainsi préparées sont placées dans l’étuve à 30 ± 1°c durant 72 ± 3h. Après cette étape, on procède au comptage des colonies.

Flore Anaérobie Sulfito-Réducteur (FASR)

La numération des FASR se fait en profondeur sur TSN (Tryptone-Sulfite-Néomycine).
On fait une dilution au 1/10 ou 1/5 de la suspension mère qu’on ensemence en profondeur dans la gélose. Ensuite après avoir mélangé et solidifié, on coule une seconde couche de TNS 10 ml solfiée. Puis les boites sont retournées et placées dans une jarre en anaérobiose avec un sachet générateur d’anaérobiose et une inductrice anaérobiose.
L’incubation se fait à 37°c ± 1°C pendant 20h en anaérobiose. On sélectionne 5 colonies noires de FASR présumés sur chaque boite retenue pour le dénombrement maximum de 150 colonies.
La confirmation se fait par ensemencement de ces colonies sur bouillon thioglycolate, suivi d’une incubation à 37°c pendant 18 à 24h et d’un isolement sur base TSN. On coule une seconde couche de 10 ml de base TSN et on incube pendant 48h ±2h à 37°c.
La lecture se fait en comptant les colonies entourées d’un halo noir qui se sont développées à 37°c en 24h.

Pouvoir absorbant

Pour chaque type de litière, le pouvoir absorbant de l’eau a été directement testé. Le principe consiste à immerger 20 g de chaque type de litière contenu dans un entonnoir grillagé à la maille de 350 micromètres dans de l’eau pendant 20 minutes, puis à peser cet entonnoir, l’égoutter pendant 30 minutes, le peser à nouveau et appliquer la formule suivante pour déterminer le pouvoir absorbant de chaque type de litière.

RESULTATS ET DISCUSSION

RESULTATS

Les performances de croissance

Consommation alimentaire

Les différentes consommations présentées dans le tableau III et illustrées par la figure 3 montrent que chez tous les poulets, la consommation alimentaire augmente en fonction de l’âge, avec cependant une baisse de consommation en fin de croissance. Les oiseaux du lot A ont montré une consommation alimentaire moyenne sur toute la durée de l’élevage supérieure à celle des autres lots. Par contre, les oiseaux du lot B ont consommé moins que les autres oiseaux. Toutefois, ces différences ne sont pas significatives au seuil de 5%. Sur l’ensemble de la période d’élevage, la consommation alimentaire moyenne par jour et par poulet a été respectivement de 161,77g pour le lot A (poulets élevés sur une litière traitée avec de l’attapulgite à 500g /m 2 ),156,51 pour le lot B (poulets élevés sur une litière traitée avec de l’attapulgite à 1kg /m 2 ) et 159,09g pour le lot T (poulets élevés sur une litière non traitée)
Au total, le traitement de la litière avec la fine d’attapulgite calcinée mélangées avec des acides organiques n’a aucun effet significatif sur la consommation alimentaire des poulets.

Evolution pondérale

Les résultats présentés dans le tableau V et illustrés par la figure 5 montrent qu’au début de l’essai (J10), les oiseaux ont respectivement un poids vif moyen de 229,15g ; 225,39g ; 227,79g pour les lots A(poulets élevés sur une litière traitée avec de l’attapulgite à 500g /m 2 ), B(poulets élevés sur une litière traitée avec de l’attapulgite à 500g /m 2 ), T(poulets élevés sur une litière non traitée), sans différence significative (P>0,05). Ces différents poids ont évolué au cours du temps jusqu’à l’abattage sans connaitre une différence significative (P>0,05).
Ainsi, on en déduit que le traitement de la litière avec la fine d’attapulgite calcinée mélangéeavec des acides organiques n’a aucun effet sur la croissance des poulets.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LA LITIERE
I.1. Définition
I.2. Caractéristiques
I.3. Les différentes fonctions de la litière
I.3.1. Isolant
I.3.2. Confort des animaux
I.3.2.1. Confort physique
I.3.2.2. Développement comportemental
I.3.2.3. Antistress
I.3.3. Absorption de l’humidité
I.4. Les types de litières
I.4.1. La paille de riz
I.4.2. Le copeau de bois
I.4.3. La sciure de bois
I.4.4. La coque d’arachide
I.4.5. Le mariage paille-copeau
I.4.6. Les balles de riz
I.4.7. Le carton
I.5. Evolution de la litière
I.5.1. Evolution physico-chimique
I.5.1.1. La structure
I.5.1.2. L’humidité
I.5.1.3. Le pourcentage de matière sèche
I.5.1.4. Les composés azotés
I.5.2. Evolution microbiologique
I.5.2.1. Les bactéries
I.5.2.2. Les parasites
CHAPITRE II : FACTEURS DE DEGRADATION DE LA QUALITE DE LA LITIERE ET CONSEQUENCES SUR LES OISEAUX
II.1. Facteurs de dégradation de la qualité de la litière
II.1.1.Facteurs liés à l’ambiance intérieure
II.1.1.1. La ventilation
II.1.1.2. La température
II.1.1.3. L’hygrométrie
II.1.2. Facteurs liés au sol
II.1.3. Facteurs liés à l’espèce animale et à l’âge
II.1.4. Facteurs liés à la densité des animaux
II.1.5. Facteurs liés à l’aménagement et l’équipement du bâtiment d’élevage
II.1.6. Facteurs liés aux problèmes pathologiques
II.1.7. Facteurs liés à l’alimentation
II.2. Conséquences de la dégradation de la litière sur les oiseaux
II.2.1.Conséquences sur les performances de croissance
II.2.2. Conséquences sur la santé
II.2.2.1. Atteintes respiratoires
II.2.2.2. Atteintes locomotrices
II.2.2.3. Atteintes oculaires
II.3. Traitements d’amélioration de la qualité de la litière
II.3.1. Traitement mécanique
II.3.2. Traitement chimique de la litière
II .3.3. Traitement microbiologique de la litière
CONCLUSION PARTIELLE
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
Chapitre I : MATERIEL ET METHODES
I.1. MATERIEL
I .1.1. Site et période de travail
I.1.2. Cheptels expérimentaux
I.1.3. Matériel d’élevage et de contrôle de performance
I.1.4. L’attapulgite
I.1.4.1. Définition
I.1.4.2. Caractéristiques
I.1.4.3. Variétés d’attapulgite
I.1.5. Aliment utilisé
I.1.6. Litière utilisée
I.2. METHODES
I.2.1.1. Préparation de la fine d’attapulgite calcinée
I.2.2. Conduite de l’élevage
I.2.2.1. Préparation de la salle d’élevage
I.2.2.2. Arrivée et installation des poussins
I.2.2.3. Répartition des oiseaux en lots
I.2.2.4. Alimentation des oiseaux
I.2.2.5. Prophylaxie
I.2.3. Evaluation des performances de zootechniques
I.2.3.1. Consommation alimentaire
I.2.3.2. Gain moyen quotidien (GMQ)
I.2.3.3. Indice de consommation (IC)
I.2.3.4. Rendement carcasse (RC)
I.2.3.5. Taux de mortalité (TM) et prévalence des pathologies
I.2.4. Analyse de la qualité de la litière
I.2.4.1. Relevés de la température et de l’humidité
I.2.4.2. Analyse chimique et microbiologique
I.2.4.2.1. Analyse chimique
I.2.4.2.2. Analyse microbiologique
I.2.4.3. Pouvoir absorbant
I.2.5. Analyse économique
I.2.6. Analyse statistique des résultats
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
II.1. RESULTATS
II.1.1. Les performances de croissance
II.1.1.1. Consommation alimentaire
II.1.1.2. Consommation d’eau
II.1.1.3. Evolution pondérale
II.1.1.4. Gain Moyen Quotidien
II.1.1.5. Indice de consommation
II.1.1.6. Les caractéristiques de la carcasse
II.1.1.7. Mortalité et prévalence des pathologies
II.1.2. Evolution de la litière
II.1.2.1. Les paramètres d’ambiance
II.1.2.1.1. Température
II.1.2.1.2. Humidité
II.1.2.2. Composition chimique et microbiologique des litières
II.1.2.2.1. Composition chimique
II.1.2.2.2. Composition microbiologique
II.1.2.3. Pouvoir absorbant
II.1.3. Etude économique
II.1.3.1. Estimation du coût de production
II.1.3.2. Recettes
II.2. DISCUSSION
II.2.1. La consommation alimentaire et hydrique
II.2.2. Les performances de croissance
II.2.3. Les caractéristiques de la carcasse
II.2.4. Mortalité et prévalence des pathologies
II.2.5. Qualité de la litière
II.2.6. Rentabilité économique
CONCLUSION GENERALE

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