Facteurs associés au fait de discuter avec son médecin traitant de comportements addictifs

L’accès aux soins

Le médecin généraliste est le médecin de premier recours. L’enquête LMDE 2011-2012 avait en effet mis en évidence que le médecin généraliste était le professionnel de santé consulté le plus souvent en cas de problème psychologique. En effet, pour 60% d’entre eux la consultation bénéficiait d’un remboursement par la sécurité sociale ce qui en facilitait l’accès. En revanche peu d’étudiants (8%) connaissaient l’existence des bureaux d’aide psychologique universitaires (BAPU). De même, les étudiants nantais en PACES se disaient prêts à se tourner vers leurs parents (91% en cas de problèmes médicaux, 78% en cas de problèmes psychologiques), leur médecin (respectivement 78% et 39%), leurs amis (respectivement 54% et 78%) et beaucoup plus rarement vers la médecine universitaire (respectivement 4% et 4%) (25).
Par ailleurs, une étude a montré que le recours au médecin généraliste était associé au fait d’être chômeur/inactif et d’avoir un soutien socialinsuffisant. Par contre le fait d’être une femme, d’avoir 30 ans et plus, d’être chômeur/inactif, d’avoir un soutien social insuffisant était associé au fait d’avoir recours à un psychologue/psychothérapeute. Enfin, le fait d’avoir recours à un psychiatre était associé au fait d’être chômeur/inactif.

La situation en Haute-Normandie

La région Haute-Normandie compte deux universités et trois IUT. Pour l’année universitaire 2010-2011, 52507 étudiants étaient inscrits dans l’enseignement supérieur, dont 30856 à l’université (2).
Dans l’enquête LMDE 2011-2012, 53% des répondants déclaraient étudier dans une université et 10% étaient inscrits en médecine-odontologie(respectivement 58% et 11% en moyenne nationale).
Le campus hospitalo-universitaire de Rouen, situé en centre ville permet une proximité des laboratoires de recherche et des services cliniques pour de meilleures conditions de formations des professionnels de santé. Il est composé de la Faculté de Médecine et de Pharmacie (3700 étudiants), du centre hospitalo-universitaire (CHU) de Rouen, du Centre de Recherche et de Lutte Contre le Cancer Henri Becquerel et de l’Espace Régional de Formation des Professionnels de Santé (ERFPS) de Rouen.
L’Unité de Formation et de Recherche (UFR) Médecine Pharmacie, branche de l’université de Rouen, permet la formation des étudiants en médecine, en pharmacie, en orthophonie ainsi qu’en licence de science.
L’ERFPS dépend du CHU de Rouen et permet la formation des ambulanciers, des aides soignants, des auxiliaires de puériculture, des soins d’urgence, des cadres de santé, des infirmiers (formation initiale, infirmiers anesthésistes, infirmiers de bloc opératoire), des ergothérapeutes, des kinésithérapeutes, des psychomotriciens, des puéricultrices, des sages-femmes et des techniciens supérieurs d’imagerie médicale et radiologie thérapeutique.
En terme de démographie médicale, en 2009, il était recensé pour 100 000 habitants : 140 médecins généralistes (contre 163 en moyenne nationale) et 5 psychiatres libéraux (contre 10 en moyenne nationale).
Par ailleurs, il apparaît que la dotation en bureau d’aide psychologique universitaire (BAPU) soit très inégale en fonction des régions de France. En effet il n’y en a pas en Haute-Normandie.

OBJECTIFS DE L’ETUDE

L’objectif principal est de dresser un état des lieux de la consommation de substances psychoactives, du niveau de stress perçu des étudiants et de mieux connaître leurs habitudes de consommation et leur comportement alimentaire. Ceci afin de pouvoir mesurer l’évolution de ces comportements entre 2007 (étude CAMPUS SANTE) et 2015.
Les objectifs secondaires sont d’évaluer la relation entre les étudiants et leur médecin traitant et d’identifier les déterminants de cette relation ; de recenser les thèmes de prévention sur lesquels les étudiants souhaitent avoir des informations afin de répondre efficacement à leurs attentes.

Du statut tabagique

La variable sur le statut tabagique a été déterminée comme suit : les étudiants ayant répondu « vous fumez régulièrement » ont été considérés comme fumeurs. Ceux ayant répondu « vous n’avez jamais fumé » ou « vous avez fumé régulièrement et vous avez arrêté » ont été codés comme non fumeur.

De la consommation d’alcool

Pour pouvoir comparer nos résultats à ceux de 2007 nous n’avons pas utilisé les définitions de l’OFDT et de la NIAAA citées en introduction et nous avons conservé les définitions utilisées dans l’étude CAMPUS SANTE.
Ainsi, nous avons considéré les étudiants ayant une consommation régulière comme ceux buvant au moins une fois par semaine des boissons alcoolisées. Il s’agissait donc des étudiants ayant répondu « 2 à 3 fois par semaine »ou « au moins 4 fois par semaine » à la question « au cours de l’année écoulée, avez-vous bu des boissons alcoolisées ? ».
Pour la même raison, nous avons défini le binge drinking comme la consommation de 6 verres ou plus au cours d’une même soirée à la fréquence d’au moins une fois par mois.
Les étudiants ayant associé au moins un des mots « excès », « oubli des problèmes », « déprime », « dépendance » ou « défonce » à leur consommation d’alcool ont été jugés comme ayant une vision négative de l’alcool.

du risque cannabique

Nous avons considéré les étudiants consommant du cannabis dix fois ou plus au cours du dernier mois comme fumeurs de cannabis à risque. Ce seuil représente pour l’OFDT la définition de l’usage régulier.

de la polyconsommation

La polyconsommation à été considérée comme l’usage régulier d’au moins deux substances psychoactives parmi le tabac, l’alcool et le cannabis.
Il s’agit des étudiants ayant répondu positivement à au moins deux des 3 assertions suivantes :
• « vous fumez régulièrement »
• « vous buvez de l’alcool 2 à 3 fois par semaine ou au moins 4 fois par semaine »
• « vous avez consommé du cannabis 10 à 30 fois ou plus de 30fois au cours des 30 derniers jours »

du grignotage

Les étudiants ayant répondu souvent ou toujours à la question « mangez vous entre les repas ont été considérés comme « grignoteurs ». Les « non grignoteurs » étaient ceux ayant répondu parfois ou jamais.

d’avoir une alimentation « light »

Etaient considérés comme ayant une alimentation « light »les étudiants qui avaient répondu positivement à au moins une des trois questions suivantes :
• Avez-vous tendance à éviter de consommer les aliments riches en graisses ?
• Avez-vous tendance à éviter de consommer les aliments riches en sucres ?
• Privilégiez-vous la consommation de produits alimentaires allégés quand vous en avez la possibilité ?

ANALYSE STATISTIQUE

L’analyse statistique a été réalisée avec le logiciel SPSS v 20 en juin et juillet 2015.
Dans un premier temps une analyse descriptive des variables issues du questionnaire a été réalisée pour l’effectif total et en fonction de la filière d’étude (ERFPS ou MPO). Les variables ont été décrites en proportion par rapport au nombre total de répondeurs (différent pour chaque variable).
Le test de Student a été utilisé pour comparer des variables quantitatives entre deux groupes. L’analyse de variance a été utilisée pour comparer des variables quantitatives entre plusieurs groupes. Le test du chi2 de Pearson a été utilisé pour comparer deux variables qualitatives entre elles. Les tests ont été réalisés en considérant des hypothèses bilatérales.
Une régression logistique a été réalisée pour déterminer les facteurs de risques de différents comportements addictifs ou alimentaires. La régression logistique permet d’étudier la relation entre une variable dépendante qualitative à 2 classes et des variables explicatives quantitatives ou qualitatives.
Donc les variables qui ont été considérées comme pouvant êtredes déterminants de la variable dépendante ont été testées au cours d’une analyse univariée. Les résultats ont été présentés sous forme d’odds ratio bruts avec leurs intervalles de confiance à 95% (ORb , IC à 95%).
Puis une analyse multivariée a été réalisée en prenant systématiquement en compte des facteurs de confusions potentiels suivants : âge (en année), sexe, catégoriesocioprofessionnelle des parents et filière d’étude. Les variables significatives en univariées ont aussi été inclues dans le modèle multivarié afin d’identifier les facteurs de risque indépendants. Les résultats ont été présentés sous forme d’odds ratio ajustés avec leurs intervalles de confiance à 95% (ORa, IC à 95%).
Un seuil pour p<0,05 a été considéré comme significatif.

ASPECTS ETHIQUES

Le protocole d’étude a été validé par le Comité d’Ethique de la Recherche NonInterventionnel (CERNI) de Rouen (Annexe 2).

CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES

Tabac

Consommation de tabac

Au total, 24,6% des étudiants présentaient un tabagisme actif, mais cette proportion était statistiquement significative entre les étudiants de MPO et de l’ERFPS (respectivement 21,2% et 30,6%, p<10 -3 ). Parmi les non fumeurs, 146 (10,7%) ont fumé régulièrement et ont arrêté. Les fumeurs consommaient en moyenne 7,4 cigarettes par jour.
En 2007, 36,3% des étudiants étaient considérés comme fumeur (p <10 -3 ). Il semble donc que le tabagisme actif avait diminué chez les étudiants en santé entre 2007 et 2015. Par ailleurs, 2,7 % des étudiants de 2007 déclaraient fumer régulièrement plus d’un paquet par jour, alors qu’aucun des étudiants de notre étude n’avait déclaré fumer plus de 20 cigarettes par jour. Il semble donc que la proportion de gros fumeurs avait tendance à diminuer dans cette population.

Facteurs associés à la consommation de tabac

Pour mettre en évidence les déterminants de la consommation de tabac, une régression logistique a été réalisée. Plusieurs variables ont été testées mais seules les caractéristiques être plus âgé, faire partie de l’ERFPS, avoir un travail rémunéré et avoir un CRAFFT positif ont été associées significativement avec le fait d’être fumeur (tableau 4).

Cigarette électronique

Au total, 282 étudiants ont déclaré avoir déjà essayé la cigarette électronique soit 20,3% de l’échantillon. Il existait cependant une différence statistiquement significative entre les étudiants de MPO et de l’ERFPS (respectivement 18,5% et 24,4%, p=0,01). Ce résultat peut s’expliquer par le fait que la cigarette électronique avait pour but initial d’aider au sevrage tabagique et que les étudiants de l’ERFPS étaient significativement plus nombreux à fumer régulièrement.
Parmi ces 282 étudiants, 46 avaient utilisé la cigarette électronique au cours des 30 derniers jours (16,3%) et 21 (7,4%) l’utilisaient quotidiennement.

Alcool

Consommation de boissons alcoolisées

Près d’un quart (24,2 %) des étudiants déclaraient boire des boissons alcoolisées régulièrement (au moins 2 à 3 fois par semaine). Il existait également une différence significative entre les étudiants de MPO et de l’ERFPS (respectivement 20,0% et 26,3%, p égal à 0,01).
Pour le binge drinking (6 verres ou plus au moins une fois par mois), il n’y avait pas de différence significative entre les deux filières (40,9% en MPO contre 39,2% à l’ERFPS, p=0,55). En moyenne, les étudiants étaient donc un peu moins de la moitié (40,3%) à avoir déjà pratiqué le binge drinking.
Les étudiants ayant déclaré avoir été ivres plus de 10 fois dans l’année représentaient 23,6% des répondants, il n’y avait pas de différence significative entre les filières. Ils étaient plus de la moitié à avoir été ivres plus de 3 fois dans l’année (50,6%) ce qui correspond aux résultats de CAMPUS SANTE (50,7%).
Par ailleurs, la moyenne d’âge de la première ivresse déclarée était de 16,4 ans dans notre population et 6 étudiants avaient déclaré avoir eu leur première ivresse à l’âge de 11 ans.
Plus de neuf étudiants sur dix (91,5%) associaient la consommation d’alcool à la fête. L’association d’au moins un mot négatif à la consommation d’alcool a été retrouvé chez 12,0% des étudiants de l’ERFPS et 17,3% des étudiants de MPO (pégal à 0,01).

Usage nocif d’alcool, questionnaire CRAFFT

En ce qui concerne le dépistage de l’usage nocif d’alcool, 356 étudiants (27,0%) avaient un CRAFFT positif (plus de 2 réponses positives). Il n’y avait pas de différence significative entre les filières. Ceci est plus important qu’en 2007 où 23,8% des étudiants avaient un CRAFFT positif (p <10 -3 ). Dans l’étude CAMPUS SANTE de 2007, le mésusage d’alcool prédominait chez les garçons (38,3%contre 18,6% chez les filles) ce qui est en accord avec les résultats de notre étude (35,9% chez les garçons, 21,8% chez les filles, p<10-3).

Facteurs associés à l’usage nocif d’alcool

Pour mettre en évidence les déterminants de l’usage nocif d’alcool, une régression logistique avait été réalisée. Plusieurs variables ont été testées. Ce sont les caractéristiques sexe masculin, niveau de stress (COHEN), SCOFF ≥2, consommer du cannabis régulièrement qui ont été associées significativement avec le fait d’avoir un CRAFFT ≥2 (tableau 5).

Consommation de boissons énergisantes

La consommation régulière de boissons énergisantes a donc été déterminée comme une consommation supérieure ou égale à 5 fois dans les 30 derniers jours. Les étudiants étaient en moyenne 6,8% à répondre à cette définition, sans différence significative entre les filières. L’expérimentation était bien plus fréquente, 66,2% des étudiants avaient déclaré avoir déjà consommé des boissons énergisantes.

Cannabis

Dans notre population, 661 étudiants (48,2%) ont déjà expérimenté le cannabis ce qui est moins important que dans l’étude CAMPUS SANTE (57,6%).
Par contre, l’usage régulier de cannabis (consommation supérieure ou égale à 10 au cours des 30 derniers jours) était de 2,5%, il n’y avait pas de différence significative entre les filières. Ce dernier résultat avait tendance à être moins important qu’en 2007 (3,6%), p égal à 0,09.
PolyconsommationLa polyconsommation (consommation régulière d’au moins 2 substances parmi tabac, alcool et cannabis) a été retrouvée chez 10,8% des répondants sans différence significative entre les filières. Ces résultats sont similaires à ceux recueillis en 2007 (11,8%), (p=0,37).

STATUT PONDERAL ET PERCEPTION DU POIDS

Statut pondéral

La corpulence reposait sur l’IMC qui est dépendant du poids et de la taille déclarés par les étudiants. Notre population était constituée d’une large majorité (81,2%) d’étudiants avec un IMC normal (18,5-24,9 kg/m 2 ), 8,1% présentaient une insuffisance pondérale (IMC<18,5 kg/m 2 ), 9,4% étaient en surpoids (entre 25 et 29,9 kg/m2) et 1,3% des répondeurs était porteur d’une obésité.
L’IMC le plus bas était de 15,9 kg/m 2 et l’IMC le plus élevé était de 38,1 kg/m 2 . Il y avait donc une étudiante sévèrement dénutrie et aucun étudiant porteur d’une obésité massive.
Au total, 10,7% des étudiants de notre étude étaient considérés comme en surpoids ou obèses, ce résultat n’était pas significativement différent de 2007 (11,1%, p égal à 0,77). Par ailleurs la proportion d’étudiants dénutris était semblable à celle de 2007 (8,1% contre 7,8%, p égal à 0,73).

Perception du poids

Seuls 58,3% des étudiants étaient satisfaits de leur poids. Un peu moins du tiers des étudiants (31,7%) se trouvait trop gros (vs 39,2% en 2007), 62,5% se trouvaient de corpulence normale et 5,8% se trouvaient trop maigre. Ces résultats sont significativement différents de l’étude CAMPUS SANTE où seulement 49,4% des étudiants se disaient satisfaits de leur poids, (p < 10 -3 ).

Régimes

Près du tiers des étudiants (31,7%) avait déclaré avoir déjà fait au moins un régime au cours de leur vie sans différence significative entre les filières. Ils étaient 44,7% en 2007, p < 10  -3.
Sur les 418 étudiants ayant déclaré avoir déjà fait un régime, 90 (21,5%) en avaient fait un à plus de 3 reprises. Dans 90,7% des cas le but déclaré du régime était de perdre du poids. Les régimes étaient encadrés (médecin, diététicien) dans un tiers (32,4%) des cas seulement (34,7% en 2007, p=0,37).

Facteurs associés à un SCOFF positif

Pour mettre en évidence les déterminants du fait de considérer son alimentation comme équilibrée, une régression logistique a été réalisée. Plusieurs variables ont été testées mais ce sont les caractéristiques sexe, filière d’étude, niveau de stress (COHEN), avoir fait un régime, être satisfait de son poids, seconsidérer en bonnesanté, trouver son alimentation équilibrée, avoir changé ses habitudes alimentaires à la suite d’un évènement qui ont été associées significativement avec un SCOFF positif (tableau 14).

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Table des matières
LISTE DES ABREVIATIONS 
INTRODUCTION 
1. CAMPUS SANTE
2. CONTEXTE ACTUEL
1. 1. Les étudiants
1. 2. La santé
1. 3. La situation en Haute-Normandie
3. OBJECTIFS DE L’ETUDE
MATERIEL ET METHODES 
1. OUTILS DE MESURE
1. 1. Le questionnaire
1. 2. CRAFFT-ADOSPA
1. 3. Echelle de stress perçu (PSS)
1. 4. SCOFF
2. DEROULEMENT DE L’ETUDE
3. POPULATIONS ETUDIEES
3. 1. Population source
3. 2. Plan d’analyse
4. ANALYSE STATISTIQUE
5. ASPECTS ETHIQUES
RESULTATS 
1. TAUX DE REPONSE
2. DONNEES SOCIODEMOGRAPHIQUES
2. 1. Description de la population
2. 2. Synthèse : comparaison 2007-2015
3. CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES
3. 1. Tabac
3. 2. Cigarette électronique
3. 3. Alcool
3. 4. Consommation de boissons énergisantes
3. 5. Cannabis
3. 6. Polyconsommation
3. 7. Synthèse : comparaison 2007-2015
4. STRESS ET MEDICAMENTS PSYCHOTROPES
4. 1. Stress
4. 2. Médicaments psychotropes
5. STATUT PONDERAL ET PERCEPTION DU POIDS
5. 1. Statut pondéral
5. 2. Perception du poids
5. 3. Régimes
5. 4. Synthèse : comparaison 2007-2015
6. HABITUDES ALIMENTAIRES ET MODE DE CONSOMMATION
6. 1. Description de l’alimentation
6. 2. Saut de repas
6. 3. Equilibre alimentaire
6. 4. Facteurs associés à la vision d’une alimentation équilibrée
6. 5. Changements alimentaires
6. 6. Synthèse : comparaison 2007-2015
7. TROUBLES DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRE
7. 1. Dépistage d’un TCA, score SCOFF
7. 2. Facteurs associés à un SCOFF positif
7. 3. Autres TCA
7. 4. Synthèse : comparaison 2007-2015
8. ACTIVITE PHYSIQUE
9. RELATION DES ETUDIANTS AVEC LEUR MEDECIN GENERALISTE
9. 1. Se sentir en bonne santé
9. 2. Lien avec son médecin traitant
9. 3. Discuter facilement des comportements addictifs avec son médecin traitant
9. 4. Facteurs associés au fait de discuter avec son médecin traitant de comportements addictifs
10. THEMES DE PREVENTION
DISCUSSION 
1. DISCUSSION DES PRINCIPAUX RESULTATS
1. 1. Population
1. 2. Consommation de substances psychoactives
1. 3. Niveau de stress et médicaments psychotropes
1. 4. Statut pondéral
1. 5. Habitudes alimentaires
1. 6. Troubles du comportement alimentaire
1. 7. Relation des étudiants avec leur médecin généraliste
2. LIMITES DE L’ETUDE
2. 1. Type d’étude
2. 2. Biais
CONCLUSION ET PERSPECTIVES 
1. CONCLUSION
2. PERSPECTIVES
ANNEXE 1 
ANNEXE 2 
BIBLIOGRAPHIE

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