FACTEURS ASSOCIES AU DECES AU COURS DE LA TUBERCULOSE CHEZ LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH

HISTORIQUE DE LA CO-INFECTION TB/VIH

ย  ย  ย  La tuberculose a รฉtรฉ dรฉcrite depuis le temps dโ€™HIPPOCRATE sous le terme grec ยซphtisisยป, avec une connotation de dรฉpรฉrissement progressif des malades qui en รฉtaient atteints. Les bacilles de la tuberculose existaient il yโ€™a trois millions dโ€™annรฉes. La souche originelle serait apparue en Afrique de lโ€™Est, reconnue comme le berceau de lโ€™humanitรฉ. La maladie serait par consรฉquent aussi vieille que lโ€™humanitรฉ et son expansion ร  travers le monde serait intimement liรฉe ร  celle de lโ€™homme. La tuberculose a รฉtรฉ isolรฉe dโ€™autres maladies pulmonaires par Laennec dรฉs 1819. En 1839, le mรฉdecin allemand Schรถnlein a rรฉuni en une description unifiรฉe ses manifestations cliniques disparates et lui a donnรฉ son nom dรฉfinitif. Aristote avait soupรงonnรฉ sa nature contagieuse observant lโ€™air pernicieux et la production de maladies, elle ne fut mise en รฉvidence quโ€™en 1865 par Jean-Antoine Villemin et ce nโ€™est quโ€™en 1882 que Robert koch colore, fait pousser le bacille responsable sur sรฉrum coagulรฉ et isole le bacille tuberculeux humain : Mycbacterium tuberculosis. La mรชme annรฉe Elrich met en รฉvidence son acido-alcoolo rรฉsistance qui fรปt rรฉvรฉlรฉ dรฉs 1883 par la coloration de Ziehl Neelsen. En 1887, Nocard et Proux montrรจrent que lโ€™addition de glycรฉrine stimule la croissance du bacille. Les travaux de Rivolta et de Maffucci en 1889-1890 conduisirent ร  diffรฉrencier le bacille tuberculeux aviaire du bacille tuberculeux humain et les travaux de Thรฉobalt Smith le bacille tuberculeux bovin du bacille tuberculeux humain. De nombreux bacilles acido-alcoolo-rรฉsistants prรฉsents dans lโ€™environnement appelรฉs bacilles para tuberculeux, y furent รฉgalement dรฉcrites. Buhler et Bollak dรฉcouvrirent le pouvoir pathogรจne occasionnel de certains espรจces de bacilles para tuberculeux qui changรจrent de nom en sโ€™appellent dรฉsormais mycobactรฉries atypiques. De 1908 ร  1920, Calmette A et Guรฉrin C ont mis au point un vaccin antituberculeux (BCG) ร  partir dโ€™une souche vivante attรฉnuรฉe de bacille tuberculeux bovin et la vaccination fรปt pratiquรฉe ร  partir de 1921. En 1947 Waksman dรฉcouvre le premier antibiotique actif sur le BK : la streptomycine [8,15]. Puis vinrent en 1949 lโ€™acide para -amino-salicylique (PAS) ; en 1952 isoniazide et la rifampicine en 1967. Enfin Bois Vert et Coll dรฉcouvrirent en 1968 une variรฉtรฉ africaine de bacille tuberculeux รฉlevรฉe au titre dโ€™espรจce sous le nom de Mycobacterium africanum [27]. Dโ€™abord sรฉparรฉes en espรจces diffรฉrentes, M. tuberculosis, M .bovis, M.africanum sont maintenant regroupรฉs sous le nom de complexe tuberculosis en raison de 95% de similaritรฉ gรฉnomique. La tuberculose a รฉtรฉ la cause de maladies et de dรฉcรจs depuis des milliers dโ€™annรฉes. Cependant le nombre de cas de tuberculose a chutรฉ de faรงon spectaculaire vers le milieu du 20รฉme siรจcle grรขce ร  lโ€™amรฉlioration du niveau de vie, aux mรฉdicaments antituberculeux, aux programmes de vaccination contre la tuberculose. En fait, les progrรจs de la lutte contre la maladie ont รฉtรฉ si marquรฉs que dans les annรฉes 80, de nombreux pays industrialisรฉs รฉtaient sรปrs de pouvoir sโ€™en dรฉbarrasser complรจtement. Ce point de vue รฉtait trop optimiste et le nombre de cas de tuberculose a augmentรฉ dans le monde entier en partie ร  cause de la progression spectaculaire de lโ€™รฉpidรฉmie du VIH au cours des vingt derniรจres annรฉes, en particulier en Afrique subsaharienne. Cependant la TB et le VIH forment une co-infection complexe meurtriรจre. Les personnes qui vivent avec le VIH ont plus de risque de dรฉvelopper une TB que les personnes sรฉronรฉgatives et la tuberculose est une manifestation prรฉcoce de lโ€™infection par le VIH. La TB est la principale cause de mortalitรฉ et de morbiditรฉ des personnes infectรฉes et affectรฉes par le VIH/SIDA. Cette co-infection constitue une double menace pour lโ€™humanitรฉ en plus de lโ€™รฉpidรฉmie grandissante de TB multirรฉsistante notรฉe chez les personnes sรฉropositives et de traitements sans doute insuffisants.

IMPACT DE LA TUBERCULOSE SUR LE VIH

ย  ย  ย  ย De nombreux arguments รฉpidรฉmiologiques et expรฉrimentaux suggรจrent que le Mycobacterium tuberculosis agit comme cofacteur favorisant la progression de lโ€™infection par le VIH. Lโ€™hypersรฉcrรฉtion de cytokines (TNF, IL6, IL1) par les macrophages infectรฉs par le M. tuberculosis, lโ€™accumulation et lโ€™activation des lymphocytes sur les lieux de lโ€™infection entraรฎnent une production accrue locale et systรฉmique du VIH. Une รฉtude a montrรฉ que la charge virale plasmatique augmentait de 5 ร  160 fois au cours de la tuberculose maladie [26]. Le caractรจre dรฉlรฉtรจre de la tuberculose sur lโ€™histoire naturelle du VIH a รฉgalement รฉtรฉ illustrรฉ dans une รฉtude rรฉtrospective comparant lโ€™รฉvolution clinique de patients tuberculeux ou non tuberculeux dont le nombre de CD4+ รฉtait identique au dรฉpart. Les auteurs ont montrรฉ que lโ€™incidence dโ€™autres infections opportunistes รฉtait plus รฉlevรฉe chez les patients tuberculeux (4,0/100 personnes par an) par rapport au non tuberculeux (2,8/100 personnes par an).La survie ร  un an รฉtait รฉgalement plus courte chez les premiers (49% versus 83%, P : 0,001) et ce quel que soit le niveau dโ€™immunitรฉ [67].

Intradermorรฉaction ร  la tuberculine (IDRt)ย 

ย  ย  ย Les rรฉactions cutanรฉes tuberculiniques sont le plus souvent nรฉgatives chez les patients sรฉropositifs, en raison de lโ€™immunodรฉpression. Chez les patients infectรฉs par le VIH, une rรฉaction โ‰ฅ 5mm est considรฉrรฉe comme postive.

TRAITEMENT PREVENTIF

ย  ย  ย  La lutte contre la tuberculose et lโ€™infection ร  VIH repose sur plusieurs stratรฉgies :
– Amรฉlioration du niveau de vie pour la prรฉvention de la tuberculose
– Education sanitaire des populations pour le changement de comportement
– Isolement des patients contagieux et dรฉclaration obligatoire des cas
– Vaccin par le BCG a un effet protecteur attestรฉ contre la mรฉningite tuberculeuse et la tuberculose dissรฉminรฉe chez lโ€™enfant. Lโ€™OMS recommande une vaccination par voie intradermique le plutรดt possible aprรจs la naissance sans contrรดle tuberculinique ou revaccination.
– Chimioprophylaxie antituberculeuse chez les patients VIH
Le traitement prรฉventif de la tuberculose est recommandรฉ chez les sujets infectรฉs par le VIH, ayant une IDR ร  la tuberculine positive et qui ne sont pas atteints de tuberculose รฉvolutive mais รฉgalement chez les enfants en contact avec des adultes qui ont une TPM+. Le mรฉdicament de rรฉfรฉrence est lโ€™isoniazide, ร  la dose quotidienne, de 5mg/kg pendant 6 mois. Il permet dโ€™รฉviter une รฉvolution ultรฉrieure vers une tuberculose maladie. Des essais cliniques rรฉalisรฉs en Haรฏti, en Zambie et en Ouganda ont montrรฉ une rรฉduction par lโ€™isoniazide de lโ€™incidence de la tuberculose active [36]. Cependant, par rapport ร  la mise ร  lโ€™รฉchelle de cette chimioprophylaxie antituberculeuse, certaines questions restent ร  lโ€™heure actuelle sans rรฉponse [25,33] :
– quel est le nombre de sujets susceptibles de se rรฉinfecter aprรจs lโ€™arrรชt dโ€™une chimioprophylaxie antituberculeuse ponctuelle, dans les pays ร  forte endรฉmie tuberculeuse ?
– quels sont les risques de sรฉlection de bacilles rรฉsistants pouvant, notamment, rรฉsulter de la difficultรฉ ร  รฉliminer une tuberculose active avant la mise sous chimioprophylaxie antituberculose ?
– comment identifier les sujets infectรฉs par le bacille tuberculeux, qui reprรฉsenteraient la population dโ€™une telle prophylaxie ?

FACTEURS ASSOCIES AU DECES AU COURS DE LA CO INFECTION TB/VIH

ย  ย  ย  ย Au total, lโ€™issu a รฉtรฉ dรฉfavorable dans 207 cas, soit une lรฉtalitรฉ de 31,1%. Dans notre รฉtude, il nโ€™avait pas de diffรฉrence statistiquement significative de la lรฉtalitรฉ en fonction du sexe. De mรชme lโ€™รขge nโ€™a pas รฉtรฉ associรฉ au dรฉcรจs. En revanche dโ€™autres รฉtudes ont identifiรฉ lโ€™รขge avancรฉ comme รฉtant un facteur de risque de dรฉcรจs chez les patients TB sรฉropositifs pour le VIH [10, 11,32].La lรฉtalitรฉ รฉtait plus รฉlevรฉe chez les patients nos vaccinรฉs que chez les patients vaccinรฉs (38,8% contre 16,8%), avec une diffรฉrence trรจs significative (P=0,00002). Lโ€™absence de vaccination exposait au risque de dรฉcรจs. Lโ€™รฉtude de Kuaban ร  Yaoundรฉ au Cameroun a retrouvรฉ le mรชme rรฉsultat [39]. Dans notre sรฉrie, la lรฉtalitรฉ des patients prรฉsentant une dyspnรฉe รฉtait plus รฉlevรฉe avec une diffรฉrence trรจs significative, que celle des patients qui nโ€™avaient pas de dyspnรฉe (38% contre 22,7%, P=0,00003). La dyspnรฉe est un signe de gravitรฉ qui nโ€™est pas spรฉcifique de la tuberculose et tรฉmoigne de la sรฉvรฉritรฉ de la lรฉtalitรฉ. Il yโ€™avait une diffรฉrence significative entre la lรฉtalitรฉ des patients qui avaient une hรฉmoptysie et celle des patients qui ne prรฉsentaient pas dโ€™hรฉmoptysie (46,3% contre 30%, P=0,03). Lโ€™hรฉmoptysie tรฉmoigne aussi dโ€™un stade รฉvolutif avancรฉ, confirme du diagnostic trรจs tardif. On note une lรฉtalitรฉ plus รฉlevรฉe chez les malades prรฉsentant un trouble de la conscience (54% versus 28,2%) (P=0,00002). La prรฉsence dโ€™un dรฉficit moteur รฉtait fortement associรฉe au dรฉcรจs avec une diffรฉrence significative (53,6% versus 30%, P=0,01). Cette mรชme conclusion a รฉtรฉ faite par Kuaban qui a montrรฉ dans son รฉtude que la dyspnรฉe et lโ€™hรฉmoptysie รฉtaient plus frรฉquemment retrouvรฉs dans le groupe des patients dรฉcรฉdรฉs (P<0,0001) ayant un dรฉlai dโ€™installation des symptรดmes โ‰ฅ 6mois avant lโ€™admission [39]. La lรฉtalitรฉ รฉtait plus รฉlevรฉe dans le groupe des patients prรฉsentant une tuberculose mรฉningรฉe que dans le groupe des malades qui ne prรฉsentaient pas dโ€™atteinte mรฉningรฉe (58,3% versus 29,4%, P=0,00006). Parmi les diffรฉrentes localisations, seule lโ€™existence dโ€™une tuberculose mรฉningรฉe a รฉtรฉ retrouvรฉe comme รฉtant un facteur de risque associรฉ au dรฉcรจs. Fortes Dรฉguenonvo, dans une รฉtude faite ร  la clinique des maladies infectieuses du CHNU de Fann ; avait montrait que la lรฉtalitรฉ รฉtait plus รฉlevรฉe chez les patients prรฉsentant une atteinte mรฉningรฉe (56 contre 23, P=0,005) [21]. Cela corrobore les donnรฉes de Kingkaew [36] en Thaรฏlande qui a รฉgalement montrรฉ que le risque de dรฉcรจs รฉtait รฉlevรฉ chez les patients prรฉsentant une localisation mรฉningรฉe. En effet la tuberculose neuromรฉningรฉe est lโ€™infection ร  Mycobacterium tuberculosis la plus sรฉvรจre et elle est responsable dโ€™une mortalitรฉ รฉlevรฉe [23]. La lรฉtalitรฉ รฉtait de 58,3% chez nos patients prรฉsentant une atteinte mรฉningรฉe. Dans dโ€™autres sรฉries elle est plus รฉlevรฉe : Cecchini D en Argentine et Estee Torok au Vietnam ont enregistrรฉ respectivement une lรฉtalitรฉ de 63,3% et 67,2% [6,62]. Sur le plan biologique, lโ€™anรฉmie, lโ€™hyperleucocytose et lymphopรฉnie, nโ€™ont pas รฉtรฉ identifiรฉes comme facteurs de risque de dรฉcรจs. Notre rรฉsultat est contraire ร  celui dโ€™autres รฉtudes qui ont montrรฉ que lโ€™anรฉmie est un risque de mortalitรฉ associรฉe au VIH [10,48]. Dans notre รฉtude, la lรฉtalitรฉ รฉtait plus รฉlevรฉe chez les patients ayant une immunodรฉpression avancรฉe (mรฉdiane de 66/mm3 contre 32/mm3 de taux de lymphocytes T -CD4+ avec une diffรฉrence significative (P=0,001). Lโ€™รฉtat dโ€™immunodรฉpression รฉtait fortement associรฉ au risque de mortalitรฉ. Lโ€™absence dโ€™accรฉlรฉration de la vitesse de sรฉdimentation รฉtait identifiรฉe comme un facteur prรฉdictif de mortalitรฉ. Une รฉtude a montrรฉ que la dรฉplรฉtion en lymphocytes T CD4+ est un facteur prรฉdictif le plus important dโ€™une survie raccourcie [38,43,61].

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
PREMIรˆRE PARTIE : REVUE DE LA LITTERATURE
1. HISTORIQUE DE LA CO-INFECTION TB/VIH
2. EPIDEMIOLOGIE DE LA CO-INFECTION TB/VIH
2.1 MORBIDITร‰
2.2 MORTALITร‰
3. INTERACTION ENTRE LA TB ET LE VIH
3.1-IMPACT DE LA TUBERCULOSE SUR LE VIH
3.2 IMPACT DU VIH SUR LA TUBERCULOSE
4. AGENTS PATHOGENESย 
4.1 TUBERCULOSE
4.1.1 Germes
4.1.2. Mode de transmission
4.1.3. Le terrain
4.2. VIRUS DE Lโ€™IMMUNODร‰FICIENCE ACQUISE
4.2.1. Aspects virologiques
4.2.2. Diagnostic virologique
4.2.3. Mode de contamination
5. DIAGNOSTIC DE LA CO โ€“INFECTION TB/VIHย 
5.1 CIRCONSTANCES DU DIAGNOSTIC
5.2 ASPECTS CLINIQUES
5.3 ASPECTS PARACLINIQUES
5.3.1 Intradermorรฉaction ร  la tuberculine (IDRt)
5.3.2 Aspects radiologiques
5.3.3. Bactรฉriologie
5.3.4. Histologie
6. PRISE EN CHARGE DE LA CO-INFECTION TB/VIHย 
6.1. TRAITEMENT CURATIF
6.2. TRAITEMENT PREVENTIF
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNELย 
1. CADRE Dโ€™ETUDE
2. PATIENTS ET METHODEย 
2.1 TYPE ET Pร‰RIODE Dโ€™ร‰TUDE
2.2 POPULATION Dโ€™ร‰TUDE
2-3 RECUEIL ET EXPLOITATION DES DONNร‰ES
2-4 CONTRAINTES ET LIMITES DE Lโ€™ร‰TUDE
3. RESULTASย 
3.1 ETUDE DESCRIPTIVE
3.1.1 Aspects รฉpidรฉmiologiques
3.1.1.1 Rรฉpartition annuelle des cas de tuberculose et de coinfection TB /VIH
3.1.1.2 Rรฉpartition selon la tranche dโ€™รขge
3.1.1.3 Rรฉpartition des patients selon le sexe
3.1.1.4 Rรฉpartition des cas selon la profession
3.1.1.5 Rรฉpartition des cas selon le contage tuberculeux
3.1.1.6 Rรฉpartition des cas selon la vaccination au BCG
3.1.1.7. Rรฉpartition des patients selon lโ€™anciennetรฉ de lโ€™infection ร  VIH
3.1.2 Aspects cliniques
3.1.2.1. Rรฉpartition des cas selon les signes fonctionnels et gรฉnรฉraux
3.1.2.2 Rรฉpartition des cas selon le nombre et la localisation de la tuberculose
3.1.2.3. Rรฉpartition des cas selon le type de localisation de la tuberculose
3.1.3. Aspects paracliniques
3.1.3.1. Rรฉpartition des cas selon la bacilloscopie
3.1.3.2. Rรฉpartition des patients selon le rรฉsultat de lโ€™intradermorรฉaction ร  la tuberculine (IDRt)
3.1.3.3. Rรฉpartition des patients selon le taux de lymphocytes T CD4+
3.1.3.4 Rรฉpartition des taux de lymphocytes CD4+ selon le sexe
3.1.3 .5. Rรฉpartition des cas selon le type de VIH
3.1.3.6 Rรฉpartition des cas selon lโ€™hรฉmogramme
3.1.4 Aspects รฉvolutifs
3.1.4.1 Rรฉpartition selon lโ€™รฉvolution
3.2. ETUDE ANALYTIQUE
3.2.1. Analyse des facteurs รฉpidรฉmiologiques associรฉs au dรฉcรจs chez les patients co-infectรฉs TB/VIH
3.2.2 Analyse des facteurs cliniques associรฉs au dรฉcรจs chez les patients co-infectรฉs TB/VIH
3.2.3. Analyse des aspects paracliniques associรฉs au dรฉcรจs chez les patients co-infectรฉs TB/VIH
4. DISCUSSIONย 
4.1. Sร‰ROPRร‰VALENCE DU VIH CHEZ LES TUBERCULEUX
4.2. ASPECTS ร‰PIDร‰MIOLOGIQUES
4.3. ASPECTS CLINIQUES
4.4. ASPECTS PARACLINIQUES
4.5. FACTEURS ASSOCIร‰S AU Dร‰CรˆS AU COURS DE LA CO-INFECTION TB/VIH
CONCLUSION
REFERENCES
ANNEXES

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