Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Production nationale de viande de volaille
La production nationale de viande des volailles industrielles est estimée à partir des effectifs des souches améliorées de poussins chair mis en élevage et ceux des pondeuses reformées. A ces effectifs on applique les paramètres zootechniques qui sont : le taux de mortalité et le poids moyen à l’abattage (HABYARIMANA, 1998).
Cette production a été de 7009 tonnes en 1999, représentant à la vente un chiffre d’affaire de l’ordre de 10,5 milliards de francs (Sénégal/MAE/DIREL, 1999).
L’ensemble de la production locale et de l’importation donne une disponibilité en viande de 122.788 tonnes en 200 ceci donne une progression de 5,2% comparativement à l’année précédente.
La production locale étant de 24.439 tonnes soit 20% du tonnage total en 2001, la quantité de viande importée a été en hausse de 69% passant de 3141 tonnes à 5234 tonnes entre 2000 et 2001 (Sénégal/MAE, 2001).
En fait entre les années 1990 et 2000 la filière avicole sénégalaise se portait si bien qu’elle maîtrisait 85% des parts de marché mais depuis l’an 2000 avec entre autres l’avènement de la globalisation du commerce internationale le Sénégal s’est vu poussé de se conformer aux accords de l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce). Ceci a contribué à l’augmentation des importations de la viande de volaille dont les prix défiaient toutes concurrences. C’est ainsi qu’on a vu les importations de viande de volaille passer de 1.137 tonnes en 1999 à 13.700 tonnes en 2004 ce qui a entraîné une diminution importante de la part de marché de la production avicole locale. En effet entre 2002 et 2003 la part de marché de la production locale est tombée à 33% soit une baisse par rapport aux années 1990 de 57 %. Et ce n’est qu’en octobre 2005 que le gouvernement sénégalais sous la menace de la grippe aviaire va interdire l’importation de la viande de volaille, donnant ainsi un espoir à la filière avicole locale. Espoir entaché par un problème d’information sur la grippe aviaire qui a amené certains consommateurs à réduire leurs achats de viande de volaille (NDIAYE, 2006).
En 1999 le prix moyen du kg de poulet s’élevait à 1.493 FCFA pour la production industrielle et à 1506 FCFA pour la production traditionnelle. En effet depuis 1995 le poulet de chair constitue la viande la plus moins chère.
Organisation de la production
La filière avicole est l’une des rares filières agroalimentaires où il existe une structure professionnelle relativement bien organisée. Deux fédérations coexistent : L’UNAFA (Union Nationale des Acteurs de la Filière Avicole) qui représente les gros producteurs tandis que la FAFA (Fédération des Acteurs de la Filière Avicole) est la porte parole des petits éleveurs.
L’aviculture est un secteur organisé dans lequel intervient divers acteurs que sont les sélectionneurs, les accouveurs, les éleveurs de reproducteurs, les producteurs, les provendiers et les encadreurs.
Le rôle de chacun de ces acteurs est capital pour le bon fonctionnement du secteur.
● Les accouveurs et éleveurs de reproducteurs
Les éleveurs de reproducteurs font l’élevage des souches sélectionnées dans le but de produire des œufs dont l’incubation donnera des poussins d’un jour destinés aux producteurs d’œufs de consommation ou de poulets de chairs. Les accouveurs s’occupent de l’incubation artificielle d’oeufs fécondés importés de l’étranger ou achetés auprès des éleveurs de reproducteurs locaux afin de fournir des poussins d’un jour aux producteurs, c’est le cas de la Sénégalaise de Distribution du Matériel Avicole (SEDIMA), de la Compagnie Africaine de Maraîchage d’Aviculture et d’Arboriculture Fruitière (CAMAF), du Complexe Avicole de Mbao (CAM) etc.
● Les producteurs
Ils achètent les poussins d’un jour et les élèvent pour la production des œufs de consommation ou des poulets de chair.
● Les provendiers
Les provendiers fabriquent et mettent sur le marché des aliments utilisés dans les élevages citons par exemples : la Sénégalaise de Distribution du Matériel Avicole (SEDIMA); la Sénégalaise de Distribution Avicole (SENDIS); le complexe avicole de MBAO; le moulins de SENTENAC; la Nouvelle Minoterie Africaine (NMA); la SONACOS (Sénégal/MA/DIREL, 1996).
● Les encadreurs
Ce sont des structures publiques telles que le Laboratoire National d’Elevage et de Recherche Vétérinaires (LNRV), l’Ecole Inter-Etats des Sciences et de Médecine Vétérinaire de Dakar (EISMV). Les vétérinaires privés, les fournisseurs d’intrants et de poussins.
Circuits de commercialisation d’œufs et des poulets de chair
La commercialisation des produits issus de l’aviculture au Sénégal se fait principalement sur les marchés urbains pour la filière moderne, et ruraux pour la filière traditionnelle, mais également par l’intermédiaire des Bana-banas (les vendeurs informels). Par ailleurs, les produits issus de l’élevage moderne peuvent être commercialisées dans les boutiques et plus rarement dans les super marchés. Les œufs de consommation se retrouvent dans tous les circuits de distribution, du petit étal de marché aux grandes surfaces.
Niveaux de consommation d’oeufs et des poulets de chair au Sénégal
La consommation d’œufs peut être assimilée à la quantité d’œufs produites par le secteur moderne puisque les importations d’œufs de consommation sont négligeables voire inexistantes et que la production du secteur traditionnel est presque nulle.
En 1995 la consommation d’œuf était estimée 19,64 œufs par habitant au Sénégal, cette consommation est en nette augmentation depuis 1998 (KOE, 2001).
La consommation de poulet de chair correspond à la quantité de poulet de chair produite par le secteur moderne et les importations de poulets congelés.
En effet en 2004 le volume des importations était à 13.700 tonnes pour une valeur de près de 13 milliards de FCFA. Les morceaux congelés ont constitué 75% du volume des importations. Si en 2004, la production locale de poulet de chair n’a été que de 7267 tonnes, on se rend donc compte que la majorité des consommateurs Sénégalais ont privilégié le poulet congelé importé à la production locale.
Compte tenu du contexte actuel de la grippe aviaire, tout porte à croire qu’avec l’arrêt des importations de viande de volaille, une nette amélioration de la production locale des poulets de chair se fera sentir ; à condition que les producteurs locaux parviennent à mieux gérer les contraintes que la filière avicole rencontre au Sénégal.
FACTEUR LIMITANTS DE L’AVICULTURE MODERNE DANS LA REGION DE DAKAR
Ces contraintes sont de plusieurs sortes à savoir :
– Les contraintes zootechniques
– Les contraintes technico-économiques
-Les contraintes Pathologiques (BULGEN et coll., 1992)
Contraintes zootechniques
L’insuffisance du niveau technique des éleveurs et l’insuffisance d’organisation des producteurs sont des facteurs qui contrarient la productivité des élevages. Ainsi les contraintes zootechniques varient selon le type d’élevage.
En élevage traditionnel
La faible productivité des poulets locaux exploités constitue la contrainte majeure. S’y ajoute le problème de l’alimentation car les poulets sont abandonnés à eux même, et leurs besoins alimentaires ne sont jamais couverts, ainsi cette situation provoque un ralentissement de leur croissance (I.E.M.V.T.1991).
Les prédateurs et les produits phytosanitaires très toxiques utilisés dans les champs à proximité des concessions constituent également facteur d’insécurité pour les poulets en élevage traditionnel.
En élevage moderne
Les défaillances observées dans l’application des normes techniques d’élevage sont à l’origine de mauvaises performances. En effet, la mauvaise conception des bâtiments, les vides sanitaires mal effectués, et l’absence d’hygiène souvent constatée dans les fermes ont des conséquences néfastes en élevage intensif. La qualité nutritive des aliments, fabriquées de façon artisanale dans certaines fermes avicoles non qualifiées, la distribution irrégulière et en quantité insuffisante des aliments ainsi que la rupture prolongée des stocks d’aliment dans les fermes ne favorisent pas une production optimale de ces fermes. A ces problèmes zootechniques s’ajoutent les contraintes technico-économiques.
Contraintes technico-économiques
On peut les situer à 3 niveaux qui concernent surtout l’aviculture moderne (HABAMENSHI, 1994).
Financières
L’élevage des poulets de chair comme celui des poules pondeuses n’est pas accessible à toutes les couches de la population sénégalaise.
En effet, cet élevage demande des moyens financiers importants. En général, les poussins, les médicaments et 85 % du mais destinés aux fabriques d’aliments sont des intrants importés. L’entrée en vigueur du Tarif Extérieur Commun (TEC) s’est traduite par la baisse des droits de douane sans aucune application des mesures d’accompagnement prévues par l’Union Economique et Monétaire Ouest Africains (UEMOA). Récemment l’application d’une taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 18% sur les intrants agricoles qui étaient exonérées (poussins) ou d’une taxe réduite de 10% sur l’aliment fait que la filière avicole sénégalaise subit un différentiel de taxation de 28% directement supporté par le producteur. Cette taxe est plus faible dans les pays développés ; par exemple de 5% sur les produits avicole en France (DIOP, 2003). Cette situation conforte l’importation des produits avicoles qui arrivent sur les marchés Sénégalais à un tarif inférieur à celui des produits locaux.
Signalons aussi que les producteurs éprouvent d’énormes difficultés pour obtenir des financements pour les investissements, les bâtiments et les matériels avicoles.
Commerciales
Avec une demande variable au cours de l’année et la mauvaise organisation du marché, bon nombre d’aviculteurs se limitent à des opérations ponctuelles liées à des festivités d’origines religieuses, coutumières ou familiales, notamment lors des fêtes de Noël, Korité, Tamkharite, pour éviter les problèmes d’écoulements de leurs produits. Cette situation n’encourage pas le développement de la filière avicole. Il apparaît aussi une carence des structures d’abattages, de transformation, de conservation et de conditionnement (Sénégal/MA/DIREL, 1995).
En plus des contraintes technico-économiques s’ajoutent les problèmes sanitaires et pathologiques.
Contraintes sanitaires et Pathologiques
Les contraintes sanitaires et pathologiques sont représentées par les facteurs de risque dans les poulaillers et les maladies.
Les facteurs de risques dans les poulaillers
Ces facteurs de risque sont nombreux et peuvent agir en synergie ou individuellement.
→ Les facteurs physiques
Ces facteurs sont directement liés aux conditions climatiques et peuvent avoir un impact sur l’état de santé et la performance des volailles. Parmi ces facteurs on peut citer :
● La température
C’est un facteur de stress aussi bien chez les poussins que chez les poules adultes. (PARENT et al.1989). L’oiseau en réagissant face à l’agression thermique, s’épuise et s’expose davantage aux maladies.
● L’humidité
L’humidité favorise la croissance optimale des agents infectieux et infectants. Lorsqu’une poule est soumise à un environnement à forte humidité elle devient plus réceptive que celle qui n’est pas dans le même cadre de vie qu’elle.
● La ventilation
Le rôle de la ventilation est bien connu en aviculture car elle permet le renouvellement de l’air du poulailler. C’est d’ailleurs l’élément important qui est recherché dans l’orientation et la conception des bâtiments. Tout en évitant les grands vents, les poussières (sources d’agents pathogène), Une bonne ventilation permet de minimiser les effets de la température et de l’humidité. (IBRAHIMA, 1991).
Espèces affectées
La maladie de GUMBORO est une maladie des gallinacés.
Dans les conditions naturelles la poule est l’hote naturel du virus. Le dindon, la caille, les passereaux et les canards peuvent présenter une infection virale mais sous une forme subclinique (VINDEVOGEL, 1992).
Dans les conditions expérimentales à l’inoculation par la voie buccale, seule est sensible la poule. L’inoculation intrapéritonéale, intracérébrale ou intraveineuse du virus peut permettre la reproduction de la maladie de GUMBORO chez les poules. Tandis que chez la souris blanche âgée de 1-14 jours, ceci n’est possible que seulement par voie intracérébrale ou intrapéritonéale selon BENTON et coll. (1967)
Répartition géographique
La maladie de GUMBORO est une maladie cosmopolite. Des USA, elle s’est propagée dans le reste du monde, à savoir l’Europe via la grande Bretagne, l’Afrique où son identification a été tardive. De nos jours plusieurs pays africains sont atteints de la maladie de GUMBORO dont le Sénégal.
ETIOLOGIE
Le virus
Caractères physico-chimiques culturaux et biologiques du virus
Morphologie et structure
Le virus de la maladie de GUMBORO appartient à la famille des Birnaviridae, virus à symétrie cubique de 55 à 65 nm de diamètre. Le génome viral est constitué d’une chaîne d’acide ribonucléique (ARN) bicatenaire et bisegmentée.
Caractéristiques physico-chimiques et classification
Le virus de la maladie de GUMBORO a fait l’objet de plusieurs controverses :
-en 1967 CHEVILLE identifia les caractères des reovirus,
– en 1973 HIRAI et ses collaborateurs évoquent l’hypothèse d’un arbovirus,
-en 1977 BETCH travailla sur la souche 2207/68 et classa le virus dans le groupe des Arénavirus bicatenaires.
-en 1991, identification définitive de la famille du virus, il s’agit d’un virus de la famille des Birnaviridae.
Le virus de la maladie de GUMBORO présente une grande résistance à la chaleur dans le milieu extérieur. A 70° C il résiste pendant 30 minutes et à 56°C pendant 5 heures.
L’IBDV présente également une grande résistance aux agents chimiques : chloroforme, éther, acides, formol à 1% et à l’eau de javel. Il est inactivé à pH=2 (VINDEVOGEL, 1992).
Caractères culturaux
► Sur œufs embryonnés
La culture est faite sur œuf sans anticorps spécifiques ou Exempte d’Organismes Pathogènes Spécifiques (EOPS) âgés de 6 à 10 jours par inoculation intra choro-allantoidienne. L’embryon meurt dans 3 à 5 jours. A l’autopsie il présente :
-des lésions d’oedème sur la tête, le cou et l’abdomen ;
-des congestions ;
-des hémorragies ;
-une coloration verdâtre au niveau du jaune d’œuf et du liquide allantoïque.
► Sur culture cellulaire
Elle est faite sur les fibroblastes des poules, des cellules de l’embryon de dindon, de canard ou sur les lignées cellulaires des reins de lapin et de singe.
Propriétés biologiques
Pouvoir pathogène
Il est variable :
►dans les conditions naturelles
La poule (Gallus gallus) est la plus sensible ; cette sensibilité est fonction de l’age, d’où chez les sujets de 5 jours, il n’y a pas expression de la maladie. L’infection entraîne une immunodépression durable.
Chez les sujets qui ont entre 3 et 6 semaines, la forme aigue d’apparition brutale, est la plus observée et elle se manifeste par une diminution de l’immunité maternelle.
La pathogénie est variable en fonction des souches virales. On a des souches « traditionnelles » connues depuis 1962 et qui entraînent 5 à 10 % de mortalité (BRICOUT et coll., 1974). Certains pathotypes apparus depuis 1987 entraînent un taux de mortalité de 20 à 60% (VANMARCK, 1992)
► Dans les conditions expérimentales
L’embryon de moins de 6 jours est moins sensible au virus que celui de 12 jours.
Le passage en série sur une culture cellulaire du virus entraîne l’atténuation de son pouvoir pathogène. Le virus atténué peut être utilisé pour la production des vaccins.
Pouvoir antigénique et immunogène
L’IBDV possède des antigènes entraînant la formation des anticorps neutralisants et précipitants qu’on peut mettre en évidence par l’immunofluorescence ou par la technique ELISA.
Deux serotypes du virus ont été isolés :
-le sérotype 1 comprend plusieurs souches comportant des antigènes différents entre les souches classiques et variantes,
-le sérotype 2 a été isolé chez le dindon où il provoque une affection subclique inapparente qui serait quand même immunodépressive. Les souches de ce sérotype peuvent affecter aussi bien le dindon que le poulet.
Par ailleurs WINTERFIELD (1969) montra que les poulets guéris de la maladie ou ayant été mis en contact avec une souche atténuée du virus, possédaient des anticorps contre les souches homologues et hétérologues. Ces travaux montrent donc l’existence de neutralisations croisées entre les différentes souches et ceci présente un grand intérêt dans la préparation des vaccins où il n’est pas nécessaire d’inclure toutes les souches connues du virus comme principe actif.
Le même auteur démontre par la même occasion que l’âge où doit se faire le contact du virus avec le poussin importe beaucoup, car les poussins de trois semaines infectés développaient un taux d’anticorps neutralisant très inférieur a celui produit par les poussins de quatre semaines.
Les anticorps précipitants dont l’existence a été démontrée par FARAGHER (1972) apparaissent du 2ème au 6ème jour après l’infection de la bourse de Fabricius.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE SUR L’AVICULTURE DANS LA REGION DE DAKAR ET LA MALADIE DE GUMBORO
CHAPITRE 1. GENERALITES SUR L’AVICULTURE DANS LA REGION DE DAKAR
1.1. DONNEES DE GEOGRAPHIE PHYSIQUE
1.1.1. Situation géographique de Dakar
1.1.2. Relief
1.1.3. Données climatiques
1.1.3.1. Vents dominants
1.1.3.2. Pluviométrie
1.1.3.3. Température
1.1.3.4. Hygrométrie
1.1.4. Population
1.2. SITUATION DE L’ELEVAGE AVICOLE DANS LA REGION DE DAKAR
1.2.1. Système d’élevage traditionnel
1.2.2. Système d’élevage moderne
1.2.2.1. Evolution des effectifs des volailles mis en élevage
1.2.2.2. Caractéristiques de l’aviculture moderne
1.2.2.3. Différents types de production
1.2.2.3.1. Production nationale de viande de volaille
1.2.2.3.2. Production nationale d’œuf
1.2.2.4. Organisation de la production
1.2.2.5. Circuits de commercialisation d’œufs et des poulets de chair
1.2.2.6. Niveaux de consommation d’oeufs et des poulets de chair au Sénégal
1.3. FACTEUR LIMITANTS DE L’AVICULTURE MODERNE DANS LA REGION DE DAKAR
1.3.1. Contraintes zootechniques
1.3.1.1. En élevage traditionnel
1.3.1.2. En élevage moderne
1.3.2. Contraintes technico-économiques
1.3.2.1. Financières
1.3.2.2. Commerciales
1.3.3. Contraintes sanitaires et Pathologiques
1.3.3.1. Les facteurs de risques dans les poulaillers
1.3.3.2. Les pathologies
CHAPITRE 2. LA MALADIE DE GUMBORO
2.1. INTRODUCTION
2.1.1. Définition
2.1.2. Historique
2.1.3. Espèces affectées
2.1.4. Répartition géographique
2.2. ETIOLOGIE
2.2.1. Le virus
2.2.1.1. Caractères physico-chimiques culturaux et biologiques du virus
2.2.1.1.1. Morphologie et structure
2.2.1.1.2. Caractéristiques physico-chimiques et classification
2.2.1.1.3. Caractères culturaux
2.2.1.1.4. Propriétés biologiques
2.2.1.1.4.1. Pouvoir pathogène
2.2.1.1.4.2. Pouvoir antigénique et immunogène
2.3. PATHOGENIE
2.3.1. Mécanisme pathogénique
2.3.2. Conséquences physiopathologiques
2.4. ETUDE CLINIQUE
2.4.1. Symptômes généraux
2.4.2. Symptômes locaux
2.4.3. Evolution
2.4.4. Lésions
2.4.4.1. Lésions macroscopiques
2.4.4.2. Lésions microscopiques
2.5. EPIDEMIOLOGIE
2.5.1. Epidémiologie descriptive
2.5.2. Epidémiologie analytique
2.5.3. Epidémiologie synthétiques
2.6. DIAGNOSTIC
2.6.1. Diagnostic épidémioclinique
2.6.2. Diagnostic nécropsique
2.6.3. Diagnostic différentiel
2.6.4. Diagnostic de laboratoire
2.6.4.1. Diagnostic histopathologique
2.6.4.2. Diagnostic virologique
2.6.4.2.1. L’inoculation
2.6.4.2.2. L’immunofluorescence
2.6.4.3. Diagnostic sérologique
2.7 METHODE DE LUTTE
2.7.1. Traitement
2.7.2. Prophylaxie
2.7.2.1. Prophylaxie sanitaire
2.7.2.2. Prophylaxie médicale
CHAPITRE 3. INFLUENCE ECONOMIQUE DES MALADIES ANIMALES
3.1. APPROCHE ECONOMIQUE DES MALADIES ANIMALES
3.2. EFFET DE LA MALADIE SUR LA PRODUCTIVITE ET LES PERFORMANCES DES ANNIMAUX
3.2.1. Effet au niveau micro-économique
3.2.1.1. Effets directs
3.2.1.1.1. Pertes de production
3.2.1.1.2. Coût du contrôle
3.2.1.2. Effets indirects
3.2.2. Effet au niveau macro-économique
3.2.3. Effet sur le commerce internationale
3.3. ESTIMATION DU COUT D’UNE MALADIE ANIMALE
3.3.1. Approche micro-économique
3.3.1.1. Les coûts directs
3.3.1.2. Les coûts indirects
3-3-2 Approche macro-économique
DEUXIEME PARTIE : INCIDENCE ECONOMIQUE DE LA MALADIE DE GUMBORO SUR LES PERFORMANCES DES POULETS DE CHAIR DANS LA ZONE PERIURBAINE DE DAKAR
CHAPITRE 1. MATERIEL ET METHODES DE RECHERCHE
1.1. CONTEXTE ET MILIEU D’ETUDE
1.2. MATERIEL
1.3. METHODES
1.3.1. Traitement des données
1.3.2 Méthode d’analyse des résultats
1.4. LIMITE DE L’ÉTUDE
CHAPITRE 2. LES RESULTATS
2.1. RESULTATS TECHNIQUES D’ELEVAGE
2.2. PERTES ATTRIBUABLES A LA MALADIE DE GUMBORO
2.3. CALCUL DE LA RENTABILITE ECONOMIQUE
2.3.1 Les charges
2.4.2 Les recettes
2.4.3. Les marges et bénéfices
2 .3.4. Coûts de revients des poulets de chair produits
2.4. MANQUES A GANGNER INDUITS PAR LA MALADIE DE GUMBORO
CHAPITRE 3. DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
3.1. DISCUSSIONS
3.1.1. Matériel
3.1.2. Méthodes
3.1.2.1. Difficultés et problèmes rencontrés
3.1.2.2. Choix des élevages et lieu de l’étude
3.1.2.3. Méthodologie
3.1.3. Résultats
3.1.3.1. Résultats techniques
3.1.3.2. Rentabilité économique
3.1.3.2.1. Charges
3.1.3.2.2. Marges et bénéfices
3.1.3.2.3. Coûts de revient
3.1.3.2.4. Les pertes attribuables à la maladie de GUMBORO
3.2. RECOMMANDATIONS
3.2.1. Pouvoirs publics
3.2.2. Chercheurs
3.2.3. Eleveurs
3.2.4. Vétérinaires privées
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
Télécharger le rapport complet