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Habitat et distribution géographique
Il est très commun dans le sud du Saloum et en moyenne Casamance où il forme des peuplements purs dans les sols compacts ou argilo-ferrugineux.Il existe aussi dans les sols frais du Sine et les sables humides à faible profondeur de la presqu’île du Cap Vert, mais il y a été pratiquement détruit par l’homme. Il vit plus éparsément dans le Sénégal oriental et dans les fôrets sèches soudaniennes.
Les sujets isolés développent mieux et plus harmonieusement leur frondaison. On peut le retrouver dans de nombreux pays d’Afrique plus particulièrement de l’Ouest et du centre avec comme nom anglophone : « african copaiba basalm tree » ou « west african gum copal » et comme nom français : « copahu africain ». On peut citer comme pays :
Angola – Bénin – Burkina – Cameroun – République Centrafricaine. – Tchad – Gambie – Ghana – Guinée – Guinée Bissau – Cote d’Ivoire – Mali -Niger – Nigeria –Sénégal-Sierra Leone -Soudan -Togo -Ouganda – Zaïre.
CHIMIE
Le Daniellia oliveri fournit une résine particulièrement riche en huile essentielle. Le rendement qu’en a obtenu Talaj avec la résine de l’espèce ghanéenne est de 50%. [20]
¾ Composition phytochimique des écorces
Dans l’écorce de l’espèce nigériane Persinos et al, ont décelé des tanins, mais ni saponosides ni flavonoïdes. [20]
Ekong et collaborateurs ont trouvé du beta sisterol dans l’extrait éthero-pétroléique de la plante.
¾ Chimie de l’huile essentielle [27]
On y a mis en évidence avec un mélange de sesquiterpènes volatils, un nouvel acide, l’acide daniéllique C20 H28O3 qui est un dérivé di terpénique en (C5) à 2 cycles hydro aromatiques. L’analyse des huiles essentielles obtenues par hydrodistillation d’écorces de Daniella oliveri provenant du Benin et du Burkina Faso a été réalisée par Chromatographie en Phase Gazeuse couplée à la spectrométrie de masse(CPG/SM) et a permis d’identifier 23 composants représentant 92,2 à 97,7% d’huiles étaient identifiés. Les huiles comprenaient essentiellement des sesquiterpènes, dont la majorité sont des hydrocarbures. Les composants les plus abondants étaient l’alpha copaene (6,0-12,0%) ; la germacrene D (4,5-79,5%) et la sigma-cadinene (25,5-29,8%). (Tableau II)
Propriétés de D.oliveri démontrées par des travaux
Propriétés répulsives des fumées d’incinération des écorces de Daniellia oliveri [30]
Des données sur les espèces de plantes et les méthodes ou produits dérivés de plantes utilisées par la population pour se protéger contre les piqûres de moustique ont été rassemblées par le biais d’interviews standardisés effectués dans 23 villages ruraux de la région d’Oio en Guinée-Bissau. Il en ressort que les fumées d’incinération d’écorce de Daniellia oliveri sont utilisées pour réduire le nombre de moustiques à l’intérieur des maisons la nuit.
Action antispasmodique des feuilles de D.oliveri [2]
Les feuilles de D.oliveri sont traditionnellement prescrites au nord du Nigéria dans diverses plaintes gastro-intestinales.
L’activité antispasmodique de l’extrait n-butanolique soluble, et de la fraction aqueuse de l’extrait éthanolique a été démontrée sur l’intestin isolé de porc en présence de trois spasmodiques : acétylcholine, histamine et chlorure de baryum.
Propriétés cosmétiques des exsudats d’écorces et d’oléorésine [32]
Isabelle Renimel , Patrice André et al, ont maintenant découvert de manière surprenante et inattendue, que des extraits des exsudats de la plante Daniellia oliveri, et plus particulièrement des extraits contenant l’oléorésine de cette plante, ont une activité antirides et peut être utilisé comme un agent cosmétique pour améliorer l’aspect de surface de la peau, en particulier pour réduire la profondeur des rides et ridules causant à disparaître.
EXTRAITS AROMATIQUES DE PLANTE ET METHODES D’EXTRACTION
Les concrètes
Historique
L’hydrodistillation n’étant pas efficace avec certains végétaux tels que la rose, le narcisse ou encore le mimosa, très tôt des chercheurs ont essayé de mettre au point de nouvelles méthodes permettant d’extraire les huiles essentielles. En effet, les anciennes méthodes ne permettaient pas d’obtenir des huiles de bonne qualité, le rendement était faible ou le produit obtenu était tellement altéré par rapport à l’odeur de base de la plante qu’il n’était pas exploitable. Ainsi, dès le XVIIIème siècle, des tentatives ont été menées en utilisant un solvant : l’éther. Cependant, cette technique fut très vite abandonnée à cause des coûts trop élevés de production et des risques d’explosion liés au solvant. Au XIXème, les progrès de la chimie et de meilleures connaissances en matière de sécurité liées à l’utilisation de solvants inflammables, permirent d’améliorer cette méthode d’extraction en utilisant désormais l’hexane ou le benzène comme solvant. Ces derniers furent choisis en raison de leur grand pouvoir de solubilisation et de leur volatilité. [5]
Définition
Extrait à odeur caractéristique, obtenu à partir d’une matière première fraiche végétale, par extraction au moyen d’un solvant non aqueux, suivie de l’élimination de ce solvant par un procédé physique.
Dans la pratique courante on parle plus volontiers d’essence concrète ou, plus simplement encore, d’essence.
Appareils utilisés
On distingue les extracteurs statiques et rotatifs.
En pratique générale, on utilise les extracteurs statiques.
– Les extracteurs statiques
Les extracteurs statiques sont des cylindres à station verticale. Ils contiennent des grilles verticales sur lesquelles sont déposées les fleurs. Ces dernières étalées sur une grande surface, le solvant pourra alors pénétrer plus uniformément le matériel végétal.
-Les extracteurs rotatifs
Ce sont de lourds cylindres en fer tournant autour d’un axe horizontal .L’intérieur est divisé en quatre compartiments perforés, dans lesquels les fleurs sont chargées. La rotation lente de l’extracteur permet un brassage continuel des fleurs qui chutent et tombent dans le solvant, présent dans la partie inférieure de l’extracteur.
Description de l’opération
Les extracteurs statiques sont constitués de nombreux plateaux perforés de sorte que les fleurs ne soient pas comprimées par leur propre poids. [36]
Le matériel végétal dont on veut extraire l’huile est placé sur des grilles puis dans des cuves appelées extracteurs. On les remplit de solvant et on effectue ainsi plusieurs lavages successifs. Le mélange est ensuite envoyé dans un décanteur où on le laisse reposer : cette phase de repos va permettre d’obtenir deux phases. Celle au fond contiendra l’eau contenue dans les plantes, l’eau étant plus lourde que le solvant, celui-ci sera à la surface (Académie de Nice, 2002). Les huiles essentielles étant très solubles dans le solvant, elles se retrouvent dans la même phase (en haut). Il suffit donc d’éliminer l’eau. Ensuite on fait évaporer le solvant afin d’obtenir un composé pur. [5]
L’ensemble des plaques perforées peut être sous forme de panier cylindrique amovible.
En même temps que l’empilage des fleurs sur les plateaux, il faut prendre soin de réduire au minimum les écrasements, dommages ou lésions sur la fleur parce qu’elles peuvent aboutir à la libération d’enzymes dans le jus de fleurs, ce qui détériore la qualité des concrètes. Le panier portant les fleurs est inséré dans l’extracteur et le solvant introduit à partir du fond du matériel d’extraction, jusqu’à ce que l’ensemble des disques perforés soit complètement immergé. Environ quatre à cinq lavages de ce type sont réalisés jusqu’à ce que le matériel soit épuisé.
Le solvant enrichi provenant de l’extraction est introduit dans un évaporateur pour la récupération des solvants et la teneur en solvant est réduite à environ 1/10 ème du volume initial. Le solvant récupéré est pompé vers des réservoirs de solvants pour être utilisé à nouveau. Le matériel concentré provenant de l’évaporation est pompé dans un évaporateur sous vide. Le solvant est retiré plus soigneusement, sous vide poussé et est retourné au réservoir de solvant pour un usage répété. Les concrètes qui en résultent ont une odeur similaire mais plus forte que celle du matériel original à partir duquel ils ont été extraits.
Dans la fabrication des concrètes, il existe une pratique courante consistant à faire circuler le solvant frais à travers une batterie d’extractions. Lors de chaque cycle le solvant s’enrichi progressivement en substances volatiles jusqu’à la fin de l’extraction. [36]
Critères de choix du solvant et inconvénients
Le choix du solvant est influencé par des paramètres techniques et économiques :
-sélectivité (pouvoir solvant à l’égard des constituants odorants) ; -stabilité ;
-inertie chimique ;
-température d’ébullition (pas trop élevée pour permettre son élimination totale, pas trop faible pour éviter les pertes, et donc une élévation des coûts) ; -sécurité de manipulation (si possible non toxique et ininflammable).
Les solvants les plus utilisés, sous réserve de législations restrictives particulières sont les hydrocarbures aliphatiques : éther de pétrole, hexane, mais aussi propane ou butane liquide (sous pression).
Si le benzène est un bon solvant, sa toxicité limite de plus en plus son utilisation. On a également recours aux solvants halogénés (dérivés chlorés et fluorés du méthane et de l’éthane) et à l’éthanol. Ce dernier étant surtout utilisé pour l’obtention d’absolues et de résinoïdes lavés. Après l’extraction, le solvant est distillé. En fin d’opération, le solvant qui imbibe la masse végétale est récupéré par injection de vapeur d’eau dans celle-ci.
Si l’utilisation de solvants à bas point d’ébullition évite les dégradations induites par la présence d’eau et par les pH acides, diverses modifications demeurent néanmoins possibles avec des solvants comme l’acétone ou comme les alcools. Quoique, dans ce dernier cas, des traces d’éthers éthyliques ne sont pas toujours nuisibles aux qualités olfactives du produit final.
L’inconvénient majeur de l’extraction par les solvants est leur manque de sélectivité : de nombreuses substances lipophiles peuvent, de ce fait, se retrouver dans les concrètes (huiles fixes, phospholipides, caroténoïdes, cirres, certaines coumarines) et imposer une purification ultérieure. Un autre inconvénient réside dans la toxicité des solvants : règles contraignantes d’utilisation, problèmes de résidus dans le produit final.
Absolus
Les concrètes ne sont pas largement utilisées en parfumerie sous leur forme naturelle, mais sont généralement converties en un alcool concentré soluble volatile, connu sous le nom d’ « Absolu ». C’est à dire qu’elles doivent être extraites avec de l’alcool.
Définition
Produit ayant une odeur caractéristique, obtenu à partir d’une concrète, par extraction à l’éthanol, à température ambiante .On peut l’obtenir également à partir d’une pommade florale ou d’un résinoïde, par extraction à l’éthanol à température ambiante.
Mode d’obtention
Pour faire un absolu, les concrètes sont mélangées avec de l’alcool absolu et agitées à fond dans une cuve contenant un agitateur. Au cours de l’agitation, la température est maintenue entre 40 et 60 ° C et les concrètes sont immergées dans la solution. La solution est refroidie entre -5 et -10 ° C pour précipiter les cires, étant donné que les cires sont normalement insolubles dans l’alcool au dessous de -1 ° C. Le précipité de cire est éliminé en faisant passer la solution à travers un filtre rotatif. Le filtrat provenant du filtre rotatif est pompé dans un évaporateur primaire, où il est concentré à environ 10% d’alcool. Enfin, l’extrait concentré est aspiré dans un évaporateur agitateur, où l’alcool est soigneusement éliminé sous vide poussé.
Les résinoïdes
Définition
Extrait à odeur caractéristique, obtenu à partir d’une matière première sèche d’origine végétale, par extraction à l’aide d’un solvant non aqueux, suivie de l’élimination de ce solvant par un procédé physique.
NB : Le terme de résinoïde est surtout employé en parfumerie alors que celui d’oléorésine d’extraction est utilisé en aromatisation alimentaire et en parfumerie.
Mode d’obtention
Le procédé d’extraction des résinoïdes reste le même que celui des concrètes sauf que les plaques perforées ne sont pas utilisées pour empiler le matériel ; ici la poudre de matière végétale sèche est introduite dans l’extracteur. [18]
Pommades florales
Dès l’antiquité, l’homme avait remarqué le pouvoir des graisses et des huiles à absorber les odeurs.
Certaines fleurs à parfum de haute qualité comme le Jasmin donnent des rendements faibles en huile essentielle et ne peuvent être extraits par hydrodistillation. De plus les composants de l’huile sont thermolabiles et de telles fleurs continuent d’émettre de petites quantités de parfum même après l’arrachage. Les essences provenant de ces fleurs sont extraites par des graisses : c’est l’enfleurage.
Malgré l’introduction des méthodes modernes d’extraction avec des solvants volatiles, les vieilles méthodes de l’enfleurage, répercutées de père en fils et perfectionnées au cours des générations, jouent encore un rôle important. Le principe de l’enfleurage est simple.
En effet, les graisses possèdent un grand pouvoir d’absorption des huiles volatiles et, lorsqu’elles sont mises en contact avec des fleurs parfumées, elles absorbent le parfum.
Définition
Les « pommades florales » sont des corps gras parfumés obtenus à partir de fleurs soit par « enfleurage à froid » (c’est la diffusion des constituants odorants des fleurs dans le corps gras), soit par « enfleurage à chaud » (c’est la digestion ou immersion des fleurs dans le corps gras fondu). [9]
De la qualité de la graisse dépendra celle de l’essence de fleur. La matière grasse utilisée doit être sans odeur et de consistance voulue ; si elle est trop dure, il n’y aura pas suffisamment de contact avec la fleur et donc l’absorption sera insuffisante et, la qualité et le rendement seront faibles. L’extrait saturé de graisse est connu sous le nom de « pommades ». [18]
Description de l’enfleurage
Dans la technique dite de « l’enfleurage » l’extraction se fait à froid, alors que dans celle dite de la « digestion » elle se pratique à chaud.
Le procédé classique et très ancien de l’enfleurage consiste à déposer les organes végétaux, (en général des fleurs) sur des plaques de verre recouvertes d’une mince couche de graisse. Le parfum qui s’exhale des fleurs se dissout dans le corps gras. Périodiquement, les fleurs sont éliminées et remplacées par des fleurs fraiches. (Figure N°4)
Une variante de l’enfleurage traditionnel consiste à faire passer un courant d’air chaud sur des fleurs puis à diriger celui-ci ,chargé des principes volatils, à travers une dispersion de graisse fondue.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE BIBLIOGRAPHIQUE DES CONNAISSANCES
CHAPITRE I : PRESENTATION DE DANIELLIA OLIVERI (Rolfe) Hutch. & Dalz
1.1 Biosystématique
1.2 Synonymes et Noms communs
1.3 Caractères botaniques
1.4 Habitat et distribution géographique
1.5 Chimie
1.6 Emplois
1.7 Propriétés de Daniellia oliveri démontrées par des travaux
CHAPITRE II : EXTRAITS AROMATIQUES DE VEGETAUX ET METHODES D’OBTENTION
1 Concrètes
1.1 Historique
1.2 Définition
1.3 Appareils utilisés
1.4 Description de l’opération
1.5 Critères de choix du solvant et inconvénients
2 Absolue
2.1 Définition
2.2 Mode d’obtention
3 Résinoïdes
3.1 Définition
3.2 Mode d’obtention
4 Pommades florales
4.1 Définition
4.2 Description de l’enfleurage
5 Huiles essentielles
5.1 Définition
5.2 Les sources naturelles d’huile essentielles
5.3 Propriétés physiques des huiles essentielles
5.4 Composition chimique des huiles essentielles
5.5 Facteurs de variabilité des huiles essentielles
5.5.1 Facteurs environnementaux
5.5.2 Cycle végétatif
5.5.3 Chimiotype
5.5.4 Mode d’extraction
5.5.5 Organes d’origine
5.5.6 Facteurs géographiques
5.6 Méthodes d’identification des huiles essentielles
5 .6.1 Analyses physico-chimiques
5.6.1.1-Détermination de la densité relative selon la norme NF.T75-111
5.6.1.2-Détermination de l’indice de réfraction selon la norme NF.T75 112
5.6.1.3-Détermination du pouvoir rotatoire selon la norme NF.T75 113
5.6.1.4-Détermination de l’indice d’acide selon la norme NF.T75 103
5.6.1.5-Détermination de l’indice d’ester (IE) selon la norme NF.T75 104
5.6.2 Analyses spectrales et chromatographiques
5.7 Utilisations et propriétés des huiles essentielles
5.7.1 Utilisation en pharmacie
5.7.2 Utilisation en agroalimentaire
5.7.3 Utilisation en parfumerie et en cosmétologie
5.7.4 Propriétés des huiles essentielles
5.8 Méthodes d’extraction des huiles essentielles
5.8.1-Entrainement à la vapeur
5-8-2-Extraction par expression des épicarpes de citrus
5-8-3-Nouveaux procédés d’extraction
5.9 Conservations des huiles essentielles
CHAPITRE III : PHYTOCHIMIE ET PROPRIETES BIOLOGIQUES DES GRANDS GROUPES DES COMPOSÉS DE VEGETAUX
1 La Phytochimie
2 Propriétés biologiques des grands groupes chimiques
2.1 Alcaloïdes
2.2 Tanins
2.3 Flavonoïdes
2.4 Saponosides
2.5 Terpènes
2 .6 Dérivés cyanogéniques
2.7 Hétérosides cardiotoniques
DEUXIEME PARTIE : SCREENING PHYTOCHIMIQUE ET ESSAIS PHYSICOCHIMIQUES SUR L’HUILE ESSENTIELLE DE Daniellia oliveri
I. OBJECTIFS
II. CADRE D’ÉTUDE
III. MATERIEL, RÉACTIFS ET MÉTHODES
III.1.MATÉRIEL
III.1.1-Matériel végétal
III.1.2-Hydrodistillation
III.1.3-Densité relative
III.1.4-Pouvoir rotatoire
III.1.5-Indice de réfraction
III.1.6-Indice d’acide et indice d’ester
III.2.RÉACTIFS
-Détermination des indices
– Screening et détermination du pouvoir rotatoire
III.3 METHODES
III.3.1 SCREENING PHYTOCHIMIQUE DES ECORCES
III.3.1.1-Recherche des alcaloïdes
III.3.1.2-Recherche des composés polyphénoliques
III.3.1.3-Recherche des dérivés quinoniques
III.3.1.4-Recherche des saponosides
III.3.1.5-Recherche des triterpénoides et des stéroïdes y compris les cardénolides
III.3.1.6-Recherche des dérivés cyanogéniques
III.3.1.7-Recherche de mucilages
III.3.1.8- Recherche de composés réducteurs
III.3.2- EXTRACTION DE L’HUILE ESSENTIELLE PAR HYDRODISTILLATION ET DÉTERMINATION DU RENDEMENT
III.3.3-TESTS DE CARACTERISATION PHYSICO-CHIMIQUES DES HUILES ESSENTIELLES
III.3.3.1-Détermination de la densité relative
III.3.3.2- Détermination de l’indice de réfraction
III.3.3.3- Détermination du pouvoir rotatoire
III.3.3.4- Détermination de l’indice d’acide
III.3.3.5- Détermination de l’indice d’ester
IV-RESULTATS
IV.1- Composition phytochimique des écorces
IV.2- Rendement d’extraction des huiles essentielles
IV.3- Caractéristiques physico-chimiques de l’huile essentielle
V-DISCUSSION
VI-CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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