EXPERIMENTATIONS AGRONOMIQUES DE LA RIZICULTURE PLUVIALE SOUS COUVERTURE PERMANENTE DU SOL

Besoins en eau

             En culture pluviale, il faut 160 à 300 mm de pluies par mois pendant la période végétative, soit 1000 à 1800 mm pour la totalité de celle –ci. Ces besoins en eau croissent avec l’âge des plants. Cependant, les fortes pluies sont nuisibles à l’épiaison et en période de moisson. Il faut quand même remarquer qu’une relation existe entre pluie et nature du sol. Ainsi sur un sol limoneux ou argileux, par exemple, un niveau de 800 à 1000 mm de pluie suffit pour faire la riziculture pluviale.

La Pédologie

                 Le sol de Beforona fait partie selon la classification française des sols à sesquioxyde et à matières organiques facilement minéralisables. Son pH tourne autour de 5,2 en moyenne. Une structure finement particulaire et finement polyédrique ou émoussée est observée dans l’horizon superficiel. Le sable domine la texture avec des proportions équivalentes d’argile et de limon. Une importante porosité autour de 53 à 72% du sol donne une bonne capacité d’infiltration. Du point de vue composition chimique, ces sols manquent en général de phosphore assimilable et surtout de bases déplaçables suite au lessivage très important des ces derniers. Le sous-sol est constitué d’une forte proportion d’argile kaolinitique, ceci est dû au fait qu’une perte de silice par lessivage ou par percolation entraîne une individualisation d’une quantité importante de sesquioxydes. Cette nature kaolinitique de l’argile occasionne une faible capacité d’échange et un faible taux de bases déplaçables.

Les activités du secteur primaire

             Le système de culture est traditionnellement dominée par la pratique de tavy ou culture sur brûlis, celle de rente pour le gingembre, le bananier, le manioc… L’exploitation paysanne de Beforona se caractérise surtout par la pratique d’une agriculture de sécurité basée sur la polyculture. On peut ainsi distinguer les systèmes suivants :
• L’agriculture traditionnelle faite annuellement sur abattis brûlis ou Tavy où les paysans cultivant les céréales après avoir abattu et brûlé las arbres et toute autre végétation pour y semer ensuite les graines. Ce système, apparemment productif, qu’en fin de compte, n’a qu’un effet destructeur pour l’environnement, ne se pratique presque plus dans la région de Beforona.
• La riziculture des bas fonds qui nécessite une irrigation, soit par l’existence même d’une cours d’eau comme le fait la rivière de Beforona qui arrose toute la région environnante sur une longueur de 15 km tout en traversant le chef lieu, soit en aménageant des barrages pour permettre la canalisation de l’eau. A cet effet, deux barrages ont été mis à la disposition des deux fokontany d’Antsakaviro et d’Antandrokomby, de la même commune de Beforona pour irriguer une superficie de 70 Ha intéressent une bonne centaine de paysans. La production rizicole pour ces deux systèmes de culture, qui couvre une superficie de 800 ha, ne dépasse pas les 1100 t par an avec seulement un rendement de 1.2 t/ha. Un déficit de 400 T serait donc à combler pour satisfaire les besoins en riz de la commune rurale de Beforona ( Cf. annexe 1),
• La culture de gingembre pratiqué depuis de bonne lurette dans la région comme un produit de consommation. Pendant les années 60, de nouvelles techniques et de nouvelles variétés ont été introduites par les immigrants «Antesaka », originaires du Sud- Est et par les services de vulgarisation. A présent, le gingembre représente une culture de rente très importante.

Plantes de couverture

              La restitution des résidus de récolte précède l’installation définitive des couvertures vivantes et constitue une couverture morte. Cette dernière fournit une certaine quantité de matières organiques brutes qui se décomposeront progressivement. En général, les plantes de couverture sont constituées par des légumineuse à port dressé ( Stylosanthes guyannensis, Mimosa invisa …), ou rampant ( Arachis pérenne , Lotus sp .. .) ou arbustive notamment le « Leuceana leucocephala » qui d’ailleurs est, pour le moment, l’espèce recommandée . En effet, cette espèce arbustive plantées dans les interlignes ou autour des parcelles de culture peut constituer une source permanente de matières organiques par une taille périodique. Elles permettent également de servir de brise vent et d’arbre d’ombrage. La plante de couverture peut se faire en culture pure ou association avec les plantes cultivées. Le but est d’avoir une bonne couverture du sol et une phytomasse les plus abondants possibles. Plusieurs critères devraient être considérés pour le choix des espèces de couverture comme la facilité d’implantation sinon le renouvellement de la culture morte pose un problème d’approvisionnement en matière de paillage, ensuite la faculté d’obtenir des fortes biomasses, la pérennité pour que l’effet de la couverture soit durable, la faculté de maîtrise pour éviter une éventuelle concurrence avec la culture principale, l’Insensibilité au photopériodisme par sa production tout au long de l’année, la résistance à la sécheresse, la protection et régénération du sol, et enfin l’effet « nettoyant » à développement plus vigoureux que les adventices.

Techniques culturales et calendrier cultural

Défrichement Les activités principales sur le tavy commencent d’août en septembre par le défrichement des superficies à cultiver. Ces travaux sont effectués exclusivement par les hommes munis chacun de grand couteau ou « antsibe ». Il s’agit alors d’abattre les strates existantes sur la partie à cultiver. Il existe deux techniques de défrichement selon les caractéristiques des friches. Pour la friche constituée uniquement d’arbustes de 2 à 3 m de hauteur avec des herbacées (takoaka, longoza et des autres formations secondaires ), le défrichement consiste directement à abattre ces végétations. Dans le cas où des strates arborées prédomineraient, il s’agit tout d’abord de s’attaquer au sous bois qui vont se sécher pendant que les défricheurs procèdent à l’entaille des tous les arbres de manière à ce que ceux ci tombent sous un simple coup de pied. L’abattage proprement dit se fait par les premiers qui entraîneront la chute des autres avoisinant comme un jeu de carte. Malheureusement, de gros arbres, on n’en trouve pas beaucoup ou presque plus dans la région si bien que les riverains s’attaquent actuellement à la savane connue sous le nom de savoka. Le choix de la friche se fait en fonction de l’âge de cette dernière. En général, la durée des jachères va de 6 à 10 ans au bout desquels elles atteignent l’âge mature ou « tavy matoy » et est constituée d’arbustes de 3 à 4 m de hauteur, en grande partie d’herbacées comme Rubus molluanicus (Takoaka ), Aframomuma angustifolium (Longoza ) … En moyenne, un ha nécessite environ 50 journées de travail de défrichement, qui se repartissent en trois mois, échelonnement qui favorise surtout le séchage des végétations défrichées.
Installation des pare-feu Auparavant la pratique du tavy a nécessité l’obtention d’une autorisation auprès des contrôleurs des eaux et forets qui exigent des pratiquants certaines conditions telles que l’installation de pare feux pour pouvoir défricher. Un quartier mobile doit aussi être présent lors de la mise à feu. Le pare-feu est un simple couloir périphérique à la parcelle qui doit être parfaitement nettoyée. Il permet de limiter la propagation du feu vers d’autres friches ou des forêts limitrophes devant être encore préservées pour les prochaines campagnes. Le nettoyage se fait en 2 passages afin d’éliminer les repousses qui ont dû se développer avant que les pare feux soient complètement installés. Sa largeur varie en fonction de l’état de la végétation à défricher, de la vitesse du vent mais, en générale, le pratiquant utilise un pare-feu de 2 m à 3 m de large. Le séchage des végétations défrichées se déroule pendant la mise en place des pare feux.
Brûlis La mise à feu se fait de l’extérieur à l’intérieur et du haut de versant vers le bas. Le premier foyer de feu est installé sur le haut et qui va se propager en direction du bas et vers l’intérieur. Au fur et à mesure que le feu se dirige en direction du centre, le pare-feu va s’élargir en même temps empêchant tout éventuel débordement des flammes. Toutefois des gardes de feu composés des proches de la famille, soit environ 6 à 8 personnes sont installés autour de la parcelle. Le brûlis est l’un des éléments les plus importants de l’itinéraire technique du tavy [21]. En effet :
• La cendre issue de la végétation incinérée relève le pH et confère au sol des éléments nutritifs : il provoque la libération des potasses et du phosphore contenu dans la biomasse.
• Il permet une lutte efficace contre les mauvaises herbes en éliminant ces dernières et leur stock de graines dans le sol.
• Il permet aussi d’éliminer certains ennemis du riz comme les insectes terricoles ( Behatoka) et les rongeurs comme le rat. Les ménages quittent leurs habitations habituelles pour vivre dans des cases provisoires appelées « tranotavy » aménagés près du tavy afin de mieux assurer les travaux qui s’y rattachent et retournent dans leurs habitations permanentes qu’après la récolte. Un brûlis d’un ha demande 5 journées de travail.
Le semis Après avoir brûlé les végétations séchées, le semis peut se faire même un jour après si la friche est constituée uniquement des savoka dont le feu s’éteint rapidement. Cela afin de profiter de la température du sol pour accélérer la germination des grains. 1 ha de tavy nécessite 25,5 hj [10]. Le semis se fait à l’aide d’un bâton à fouir appelé « fitomboka ou filemboka » et mobilise toutes les mains d’œuvre disponibles. La quantité de semence utilisée varie de 20 à 35 kg /ha soit 1 daba. Les variétés appelées « SOMOTRA » et « BOTRAMAITSO » sont les plus utilisées à cause de leur rusticité ( Cf. annexe 2 ). Le procédé de semis se déroule comme suit : à l’aide d’un bâton aiguisé à fouir, tenu à la main, les semeurs font un poquet. Dans le poquet, ils mettent 3 à 5 graines contenues dans un petit panier accroché au niveau de la hanche. Ensuite les trous ne sont pas immédiatement bouchés mais les semeurs laissent aux eaux de pluies et au vent le soin de les combler petit à petit. Le semis ne se fait en ligne mais en foule et distant environ de 15 à 20 cm chacun, cela ne permet pas le sarclage mécanique après. En revanche le semis en foule réduit au minimum le temps nécessaire pour le semis.
Sarclage et gardiennage Le sarclage représente une activité lourde et pénible mais primordiale parce qu’elle influe beaucoup sur le rendement. L’introduction des cultures associées occupant les espaces vides entre les pieds de riz et le nettoyage lors du brûlis contribuent à entraver la prolifération de mauvaises herbes sur les parcelles. La journée de travail pour le sarclage d’un ha est de 40 hj homme [8]- jours durant toute la campagne culturale. Les travaux de sarclage sont partagés entre les hommes et les femmes. Le sarclage se fait manuellement ou avec une petite bêche appelé « angady kely » et consiste à extirper totalement les racines des mauvaises herbes qui sont laissées sur place pour restituer les matières organiques du sol et en minimiser les pertes. Le gardiennage se fait d’abord après le semis pour chasser les oiseaux fouisseurs : « Trotroaka » et « Tsibobo » puis le fody (Foudia sp), domoiana (Speptopelia pricturata) pendant la phase de maturation . Les paysans utilisent aussi des épouvantails. Une structure en bois est construite dans les champs de riz pour le gardiennage.
La récolte La récolte nécessite en moyenne 37 hj/ha [09]. Elle s’effectue à l’aide d’une petite lame de couteau appelée par les paysans « kisy », et consiste simplement à enlever les épis. Les tiges et les autres végétations non emportées forment une couverture assez dense sur le sol, ces résidus serviront les prochaines végétations à brûler lors de la deuxième saison. Le gardiennage tient aussi une grande utilité pendant cette période. Le riz récolté est stocké en épis d’abord sur le champ même communément appelé « Onkalo ». C’est seulement après la fin de la récolte qu’il est transporté au fur et mesure au grenier familiale situé au village. La fin de cette activité signifie en même temps celle du cycle cultural de tavy.
Cultures associées Le maïs est généralement le plus adopté par les paysans de Beforona puis il y a le haricot et le manioc. La culture de maïs semé au même moment que le riz pluvial est récolté seulement après 3 mois. Trois à quatre graines de maïs sont semées à intervalle de 3 m. Le rapport entre les graines de riz et celles du maïs est de 3 à 100 kapoaka de semence de riz. Ces grains sont mélangés dans un même sac lors du semis. Les légumes comme le haricot blanc ou autre genre avec les cucurbitacées (melon, concombre) comblent les espaces inoccupées.
Calendrier cultural

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Table des matières

INTRODUCTION
I – ETUDES DU CONTEXTE D’ INTEGRITE DU RIZ PLUVIAL A BEFORONA
I.1 – MISE EN EVIDENCE DE LA PROBLEMATIQUE ACTUELLE 
I.1.1 – But de l’ étude
I.1.2 – Objectifs
I.1.3 – Méthodologie
I.1.3.1- Recherche bibliographique
I.1.3.2- Descente sur terrain
I.2 – CORRESPONDANCE ENTRE LE MILIEU ET L’ ECOLOGIE DU RIZ PLUVIAL
I.2.1 – Ecologie de la riziculture pluviale
I.2.1.1- Besoins en eau
I.2.1.2- Hygrométrie
I.2.1.3- Température
I.2.1.4- Lumière
I.2.1.5- Altitude
I.2.1.6- Sols
I.2.2 – Descriptif de la zone d’ étude
I.2.2.1- Localisation
I.2.2.2- Situations Géographiques
I.2.2.3- La topographie
I.2.2.4- Caractéristiques pédoclimatiques
I.2.2.5- Les végétations
I.3 – LES STRUCTURES SOCIO-ECONOMIQUES DE LA REGION
I.3.1 – Les ONG et leurs principales activités
I.3.1.1- LDI
I.3.1.2- KOLO HARENA
I.3.2 – Les activités du secteur primaire
I.3.2.1- Production rizicole
I.3.2.2- Balance de production
I.3.2.3- culture contre- saison
I.3.2.4- Elevage
I.3.3 – Les secteurs non agricoles et hors exploitations
I.3.4 – Les activités commerciales
I.3.5 – L’organisation de la société : [2]
I.4 – CONCLUSION PARTIELLE
II – LES ESSAIS SUR LES SITES CONTROLES : LE SEMIS DIRECT AVEC COUVERTURE PERMANENTE DU SOL
II.1 – SEMIS DIRECT
II.1.1 – définition et rappel historique
II.2 – PRINCIPES DE BASE DU SEMIS DIRECT
II.3 – PRELIMINAIRES A LA PRATIQUE DE SEMIS DIRECT 
II.3.1 – Cultures susceptibles d’ être pratiquées
II.3.2 – Plantes de couverture
II.3.3 – Sols permettant la pratique du semis direct
II.3.4 – ITINERAIRE TECHNIQUE AVEC COUVERTURE MORTE
II.3.4.1- Préparation du sol
II.3.4.2- SEMIS
II.3.4.3- C.EPANDAGE DES ENGRAIS
II.3.4.4- CONTROLE DES MAUVAISES HERBES
II.3.4.5- FUMURE
II.3.5 – les compléments intéressants en semis direct
II.3.5.1- 2.4.1.Semis direct sur résidus
II.3.5.2- Compléments intéressants et / ou indispensables
II.3.6 – Précautions
II.3.6.1- Respect du calendrier cultural
II.3.6.2- Le sol
II.3.6.3- .Le mulch
II.4 – LA RIZICULTURE PLUVIALE DE LA REGION DE BEFORONA :LE TAVY
II.4.1 – Techniques culturales et calendrier cultural
II.4.1.1- Défrichement
II.4.1.2- Installation des pare-feu
II.4.1.3- Brûlis
II.4.1.4- Le semis
II.4.1.5- Sarclage et gardiennage
II.4.1.6- La récolte
II.4.1.7- Cultures associées
II.4.1.8- Calandrier cultural
II.5 – ESSAIS AGRONOMIQUES AU NIVEAU DU CENTRE
II.5.1 – Problématiques
II.5.2 – Hypothèses
II.5.3 – Objectifs généraux des essais
II.5.4 – Les moyens mis en œuvre
II.5.4.1- Moyen humain
II.5.4.2- Moyen matériel
II.5.5 – Méthode et dispositif expérimental
II.5.6 – Les facteurs de variation étudiés
II.5.6.1- Essai comparatif de fertilisants
II.5.6.2- Test variétal
II.5.6.3- Les variables à observer
II.5.7 – Itinéraire technique des essais
II.5.7.1- Préparation du sol
II.5.7.2- Le semis
II.5.7.3- Lutte contre les mauvaises herbes
II.5.7.4- Dispositifs de lutte contre les ennemis du riz
II.5.7.5- Organisation temporelle de la collecte des données
II.6 – ANALYSE DES RESULTATS ET DISCUSSION
II.6.1 – Effet des facteurs sur le nombre de talles maximum ( NTmax ) par touffe
II.6.1.1- Analyse de variance
II.6.1.2- Discussion
II.6.2 – Effets des engrais sur le taux de fertilité des talles ( % fert )
II.6.2.1- Analyse de variance
II.6.2.2- Discussion
II.6.3 – Effet des facteurs sur le nombre de panicules par mètre carré (NPa/m²)
II.6.3.1- Analyse de variance
II.6.3.2- Discussion
II.6.4 – Effet des engrais sur le nombre d’épillets par panicule (NEpillet/Pa )
II.6.4.1- Analyse de variance
II.6.4.2- Discussion
II.6.5 – Effet des engrais sur le pourcentage de fertilité des grains (%GP)
II.6.5.1- Analyse de variance de la variable % GP
II.6.5.2- Discussion
II.6.6 – Effet des engrais sur le poids de 1000 grains ( P1000G)
II.6.6.1- Analyse de variance
II.6.6.2- Discussion
II.6.7 – Effet des engrais sur le rendement
II.6.7.1- Analyse de variance pour la variable rendement par unité de surface (Rdt /m²)
II.7 – CONCLUSION PARTIELLE
III – ASPECT ECONOMIQUE ET POSSIBILITE D’INTEGRATION DU SEMIS DIRECT EN MILIEU PAYSAN
III.1 – INTERETS DU SEMIS DIRECT
III.1.1 – Les possibilités apportés par le semis direct et couverture permanente du sol
III.1.1.1- Economie d’ eau
III.1.1.2- Economie d’ énergie et de temps par rapport aux autres méthodes conventionnelles
III.1.1.3- Limitation des mauvaises herbes
III.1.1.4- Restauration de la fertilité
III.1.1.5- Apport en matière organique et amélioration du sol
III.1.1.6- Lutte biologique contre les insectes et les maladies par l’ association et rotation de la culture
III.1.1.7- Augmentation des rendements
III.1.1.8- Optimisation des investissements
III.1.1.9- Stabilisation de la situation foncière et augmentation des revenus
III.2 – ASPECT ECONOMIQUE
III.2.1 – Etablissement des coûts de production de chaque système
III.2.1.1- Coûts des mains d’œuvres
III.2.1.2- Coûts des intrants
III.2.1.3- Calcul des différents ratios
III.2.2 – Seuil de rentabilité pour l’utilisation de chaque engrais
1 SCVM150
2 LM150
3 SVVM75
4 LM75
5 SVC10
6-LC10
7-SVC7.5
8-LC7.5
III.3 – ANALYSE DE LA FAISABILITE DU SYSTEME AU NIVEAU DU SYSTEME DE PRODUCTION DE LA REGION
III.3.1 – Caractérisation du système de production
III.3.1.1- Les caractéristiques générales de chaque type d’exploitation
III.3.1.2- Bilan d’occupation des mains d’œuvre [17]
III.3.2 – Faisabilité du système par rapport aux facteurs de production
III.3.2.1- Capital humain
III.3.2.2- Faisabilité par rapport au capital terre
III.3.2.3- Faisabilité par rapport au capital financier
III.3.3 – Faisabilité technique
III.4 – CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION GENERALE ET SUGGESTIONS

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