Evolutions architecturales et humanisation des soins

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Hôpital post-Renaissance [19, 20]

Au fil du temps l’hôpital-charité devient le point de convergence de toutes les personnes en difficultés autres que sanitaires : mendiants, exclus de la société… Il en devient le refuge attitré des sans-logis. De nombreux abus et bien des errements dans leur gestion viennent ternir la vocation ecclésiastique de l’hôpital. Ce sombre conduira, en 1505, le dessaisissement des pouvoirs administratifs de l’Hôtel-Dieu de Paris des moines et leur transmission à huit bourgeois parisiens [19, 20]
Jusqu’au XVIe siècle, l’hôpital continue d’accueillir passants et mendiants, mais leurs entrées connaissent de plus en plus de restrictions au profit des malades curables. Mais aux XVIIe et XVIIIe siècles, les préoccupations relatives à la pauvreté quittent la sphère théologique pour devenir un problème politique.
Avec l’édit du 27 avril 1656, le roi Louis XIV consacra L’Hôpital général, en remplacement des anciennes structures hospitalières qu’étaient le « Grand Bureau des pauvres » et « L’Hôpital des pauvres enfermés »). Le règlement qui a complété l’édit précise les missions de cette nouvelle structure administrative, étendue dans toutes les grandes villes de France, à partir de 1662.
À Paris, l’Hôpital général rayonne sur plusieurs sites : la Salpêtrière, Bicêtre, la Pitié, la Maison Scipion, et la Savonnerie et plusieurs autres structures au fil du temps. L’institution est pilotée par 26 gouverneurs laïcs, sous l’autorité du Président du Parlement de Paris et de son procureur général, auxquels s’ajoutent l’archevêque de Paris, le lieutenant de Police, et le Prévôt des marchands de la ville de Paris [21, 22].
L’Hôpital général a été initialement dédié aux « pauvres mendiants », terme réservé à une certaine catégorie d’individus : les mendiants valides (adultes), les enfants et les vieillards, poussés à la mendicité par les guerres et les troubles économiques [22].
Désormais l’Hôpital est investi de deux grandes missions :
• la première mission est le soin et l’assistance par la présence d’un médecin et d’un service pharmaceutique,
• la seconde fonction est la sûreté et le contrôle pour enrayer la mendicité, avec des mesures d’enfermement. Avec le temps, l’Hôpital général exercera son contrôle sur une maison de force, avec la détention de prostituées, d’handicapés, et de nombreuses personnes jugées indésirables ou pouvant causer du trouble [22].

Hôpital post-Révolution en France

La Convention acta la nationalisation des hôpitaux Révolution consacre qui se sous la par un décret du 23 messidor de l’an II (11 juillet 1794), concrétisant ainsi la mainmise étatique. Les principes, forts généreux, clamés par les Constitutions de 1791 et de 1793 eurent peu d’impact sur le nombre de pauvres qui ne cessa de croître et l’augmentation exponentielle des dépenses hospitalières s’avéra insupportable pour les finances de l’État.
La gestion des hôpitaux fut alors municipalisée par la loi du 16 vendémiaire de l’an V (7 octobre 1796) qui stipula que : « les administrations municipales auront la surveillance immédiate des hospices civils dans leur arrondissement ».
Les vestiges historiques de cette tutelle entre l’hôpital et les territoires sont encore résilients en France et bien d’autres pays, le Maire, le Président du Conseil régional ou Conseil départemental, ou leurs représentants, dirigent ou siègent au Conseil d’administration des hôpitaux de leur ressort.

Evolutions architecturales et humanisation des soins [23, 24, 25, 26]

La philosophie des Lumières a considérablement contribué aux premières réflexions sur la fonction de l’hôpital qui ont donné une plus grande considération des malades. Le bon accueil et le confort des usagers devinrent des préoccupations dans la conception et le fonctionnement des hôpitaux et l’humanisation des soins.

Aérisme et l’hôpital pavillonnaire

A la fin du XVIIIe siècle, avec l’apparition des notions d’hygiénisme, les architectes repensent, en profondeur, la conception de l’hôpital afin de prendre en considération la nécessité de soigner les patients dans des meilleures conditions d’accueil, de sécurité et de confort.
Le système pavillonnaire devient, progressivement, le modèle dominant adopté pour éviter les risques de contagion et d’infection. Le concept de base est de favoriser la circulation et l’assainissement de l’air. La pensée « aériste » postule que l’air en mouvement participe à la guérison des malades alors que sa stagnation le rend mortel.
Les établissements sont désormais conçus sous la forme de plusieurs unités, bâtiments isolés spécialisés selon les pathologies. Le séjour des patients se passe dans de grandes salles de trente ou quarante lits maximum, équipées de hauts plafonds et de grandes fenêtres de chaque côté pour permettre à l’air de s’élever et d’évacuer les miasmes.
L’hôpital de Lariboisière, inauguré à Paris en 1854, fut le premier hôpital conçu comme établissement de soin et devint un véritable modèle au niveau mondial.

Hôpital bloc

Après plusieurs transformations l’hôpital devient, au XIXe siècle, une véritable « machine à guérir », un réceptacle des connaissances scientifiques, un lieu d’expression des avancées médicales, un centre de formation et de recherche.
L’hôpital-bloc, initié aux Etats-Unis au cours des années 1930, s’exporte vers l’Europe, en France notamment avec l’hôpital Beaujon à Clichy, conçu par les architectes Walter et Cassan. L’expansion est rapide en raison de la découverte de la pénicilline et de l’utilisation des nouvelles techniques de construction en béton armé et en acier. L’hôpital-bloc constitue, par ailleurs, une réponse économique aux difficultés liées à la spéculation foncière de l’époque.
Le modèle des établissements pavillonnaires a cédé ainsi la place à l’hôpital compact, agglomérat de plusieurs unités, construction en hauteur empilant des dizaines d’étages dans lesquels sont concentrés plusieurs services et spécialités répartis en unités indépendantes.

Naissance de la clinique (1794 à 1940)

A la fin du XVIIIe siècle, la médicalisation des activités hospitalières est source de profondes divergences entre le personnel soignant et les représentants de l’ordre religieux.
L’ascendance prise par les premiers nommés, favorisée par les progrès considérables de la médecine, a abouti à l’établissement de soins moderne

Evolution de la typologie des hôpitaux [23-26]

L’hôpital qui a connu un parcours, complexe et tumultueux, de plus de 1500 ans a ainsi évolué d’une conception simple, sous emprise cléricale et d’efficacité peu satisfaisante vers une structure complexe, laïque, doté de ressources humaines et de moyens techniques à même d’assurer des prestations de qualité.
La typologie des hôpitaux, indissociable de leur l’histoire, consiste à sérier les hôpitaux suivant leurs principes de construction ce qui permet d’envisager de multiples formes, certaines convergences et de nombreux cas particuliers.

Facteurs déterminants et leurs interactions.

L’interaction de six groupes de facteurs détermine la résultante dynamique sur laquelle reposent la naissance, l’évolution et la pérennité de l’hôpital (Figures 5 et 6). En fonction des contextes certains de ces facteurs prennent moins d’importance et peuvent même céder leur place à d’autres, mais la plupart d’entre eux perdurent sous des formes de plus en plus sophistiquées.

Trois évolutions majeures

Comme indiqué précédemment la longue marche du système hospitalier vers son format moderne actuel comporte plusieurs étapes qu’il est possible de regrouper en trois périodes caractérisées chacune par un type d’hôpital [23] :
1- L’hôpital religieux et charitable, du VIe au XVIe siècle, environ un millénaire durant lequel, à défaut de soigner les corps, l’institution s’est préoccupée du sort des « âmes ». Les ecclésiastiques se chargent de soulager la misère humaine dans « les infirmeries » des monastères. Le recours à l’isolement (maladreries, lazarets, …), aux « simples », à l’eau vinaigrée et la « construction des cathédrales » est la principale réponse face aux grandes épidémies qui dévastent le continent européen. La typologie est alors celle de l’hôpital-chapelle, de la Maison-hospitalière et surtout de l’Hôtel-Dieu souvent en forme de cloître.
2- L’hôpital de bienfaisance et d’assistance, aux XVIIe et XVIIIe siècles, qui voient s’estomper la tutelle ecclésiastique et la naissance de « l’hôpital du grand enfermement » coexistant avec de nombreuses organisations altruistes. C’est la typologie palais-hospitalier classique, souvent plan linéaire ou en U avec cour(s).
3- L’hôpital laïc moderne: son avènement est le résultat du processus entamé au XVIIe siècle, et accéléré par la laïcisation de l’hôpital en 1789.
Le développement fulgurant des sciences fondamentales, la maitrise de nouvelles techniques, la mise au point de nouveaux équipements, l’arrivée de nouvelles de générations de médicaments et l’utilisation de matériaux de construction innovants favorisent la naissance de l’hôpital public destiné à guérir les patients ce qui engendra l’hôpital moderne.
L’hôpital hygiéniste se développa au XIXe siècle et l’hôpital scientifique au XXe siècle, avec les typologies: hôpital pavillonnaire dispersé ou « en peigne », hôpital monobloc, tour(s) sur socle puis hôpital-rue poly blocs.
Les établissements sont de plus en plus classés selon différents critères que sont : l’activité, l’environnement, la situation administrative, et l’efficacité économique. Leur modernisation se traduit par des reconstructions totales ou partielles, dans une optique de convergence des moyens, de stratégies d’alliances internes ou externes, de recomposition et de mise en réseau du paysage des structures sanitaires et médico-sociales existantes [24-26].

LE SYSTEME HOSPITALIER SENEGALAIS

Pyramide socio-sanitaire [27]

L’organisation du secteur socio-sanitaire sénégalais est de type pyramidal, recoupant le découpage administratif du territoire. Elle comprend :
• un niveau central qui regroupe le Cabinet du Ministre, le Secrétariat Général, les Directions générales, les Directions nationales, les services centraux rattachés, les Centres Nationaux de Réinsertion Sociale et les Etablissements Publics de Santé de niveau 3 ;
• un niveau intermédiaire stratégique constitué des Régions Médicales, les Brigades Régionales de l’Hygiène (BRH), les Services Régionaux de l’Action Sociale (SRAS), les Etablissements Publics de Santé de niveau 2
• un niveau périphérique opérationnel avec les Districts Sanitaires, les Sous Brigades de l’Hygiène, les Services Départementaux de l’Action Sociale, les Centres de Promotion et de Réinsertion Sociale (CPRS) et les Etablissements Publics de Santé de niveau 1.

Offre publique de services de soins

Elle est rendue possible grâce à l’existence de plusieurs types de structures que sont : les Etablissements Publics de Santé (EPS), les Districts Sanitaires, les structures d’hygiène et les structures de l’Action Sociale.

Etablissements Publics de Santé (EPS)

Au nombre de quarante (40) dont 36 hospitaliers et 04 non hospitaliers, les EPS sont structurées en trois niveaux :
• les EPS de Niveau 1 au nombre de 10
• les EPS de Niveau 2 au nombre de 15
• les EPS de Niveau 3 au nombre de 11.
Quatre (04) nouveaux EPS hospitaliers, sont en cours de construction dans les régions de Diourbel (EPS3), de Kédougou (EPS2), de Sédhiou (EPS2) et de Kaffrine (EPS2).
Les EPS non hospitaliers sont :
• le Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS) ;
• le Centre National d’Appareillage Orthopédique (CNAO) ;
• le Service d’Assistance Médicale d’Urgence (SAMU)
• la Pharmacie Nationale d’Approvisionnement (PNA) qui compte des services déconcentrés au niveau des régions, appelés Pharmacies Régionales d’Approvisionnement (PRA), au nombre de onze (11), permettant de rapprocher le médicament des Points de Prestations de Service (PPS).

Districts Sanitaires

Le territoire national est divisé en 77 districts sanitaires comprenant, en 2018:
• 102 centres de santé
• 1 415 postes de santé
• 2 676 cases de santé.
La figure 8 illustre la hiérarchisation des différents niveaux de la pyramide sanitaire du Sénégal.

Réforme hospitalière au Sénégal [28, 29]

Fruit de l’expérience de plusieurs décennies d’existence du système et tenant compte de la dispersion des textes et des initiatives, des nouveaux ambitieux et consensuels ont vu le jour au début de l’année 1998 pour formaliser la réforme hospitalière.
Elle a été consacrée par deux lois adoptées en 1998 : la Loi n° 98-08 portant réforme hospitalière et la Loi n° 98-12 relative à la création, à l’organisation et au fonctionnement des établissements publics de santé.
Deux décrets sont venus préciser leurs modalités d’application : le décret 98-701 relatif à l’organisation des établissements publics de santé hospitalière et le décret 98-702, portant organisation administrative et financière des établissements publics de santé.

Loi n° 98-08 portant réforme hospitalière [28]

Dans le Chapitre premier (« Principes fondamentaux »), la Section I (« Des établissements hospitaliers ») stipule en son Article premier: « Les établissements hospitaliers assurent le diagnostic, la surveillance et le traitement des malades, des blessés et des femmes enceintes en tenant compte des aspects psychologiques du patient. Ils assurent le cas échéant leur hébergement. La qualité de la prise en charge des patients constitue un objectif essentiel pour tout établissement hospitalier. Ils participent à des actions de santé publique dans la limite de leur compétence ».
L’Article 2 indique que les établissements hospitaliers comprennent :
1- les établissements publics de santé hospitaliers dits de premier, de second ou de troisième niveau, selon des critères techniques définis par décret et précise que : « Suivant sa localisation ou ses caractéristiques techniques ou administratives particulières, tout établissement public de santé hospitalier est dénommé Centre Hospitalier National, Centre Hospitalier Régional ou Centre Hospitalier Communal
2- des établissements hospitaliers militaires participant au service public.
3- des établissements hospitaliers privés sans but lucratif ; à but lucratif.
Le Chapitre Il traitant des « Missions et obligations des établissements hospitaliers » intitule sa Section I « Du service public hospitalier ». Son Article 8 énonce : « Le service public hospitalier garantit pour tous un accès équitable aux soins. Il est tenu d’accueillir toute personne de jour comme de nuit, en urgence si l’état du malade ou du blessé le justifie. Afin de dispenser des soins de qualité, les Etablissements Publics de Santé Hospitaliers et les établissements hospitaliers privés ou militaires participant au service public doivent disposer des moyens adéquats. Ils sont tenus de prendre en charge les patients qui leur sont régulièrement référés, ou de leur trouver un lieu de soins adapté à leur état. Ils assurent le diagnostic et dispensent aux patients les soins préventifs, curatifs et de réadaptation que requiert leur état Ils veillent à la continuité de ces soins à l’issue de leur admission, en liaison avec leurs autres structures de soins, les autres professionnels de santé…. Le service public hospitalier ne peut établir aucune discrimination entre les malades en ce qui concerne les soins ».
L’Article 9 précise les missions définies aux articles 1 et 8 de la loi en indiquant que : « le service public hospitalier concourt : 1. à l’enseignement universitaire et postuniversitaire ;
2. à la formation continue des praticiens ;
3. à la recherche médicale, odontostomatologie, pharmaceutique et psychologique;
4. à la formation initiale et continue du personnel paramédical et à la recherche en soins infirmiers et obstétricaux,
5. aux actions de médecine préventive et d’éducation pour la santé et à leur coordination;
6. à l’organisation de l’aide médicale d’urgence conjointement avec les personnes et les services concernés ;
7. à la mise en œuvre de toute activité s’inscrivant dans le cadre des priorités de santé publique définies par le Ministre chargé de la santé ;
8. à la prise en charge de la population pénitentiaire dans des conditions fixées par voie réglementaire.
Le service public hospitalier est assuré par :
1. les établissements publics de santé hospitaliers ;
2. les établissements hospitaliers militaires participant au service public ;
3. les établissements hospitaliers privés qui ont sollicité et obtenu leur participation au service public ».

Loi 98-12 relative à la création, à l’organisation et au fonctionnement des établissements publics de sante

Le Chapitre II « Organisation administrative et financière des établissements publics de santé » dispose en son Article 3 : « Les Etablissements Publics de Santé sont dotés d’un Conseil d’Administration, d’une Direction, de services techniques et de Commissions Consultatives ». Et en son Article 4 : » Le Conseil d’Administration des Etablissements Publics de Santé comprend au plus douze membres. La Présidence des Etablissements publics de Santé Hospitaliers de premier et de second niveau est assurée par le Président du Conseil régional».
Les Chapitres IV et V traitent, respectivement du « Du régime financier et comptable » et « De la tutelle et du contrôle des établissements publics de santé ».

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : EVOLUTION DE L’INSTITUTION HOSPITALIERE A TRAVERS LES AGES
1. Principales étapes historiques
1.1. Durant l’Antiquité
1.2. Dans l’Occident médiéval, sous le Christianisme d’État
1.3. Dans le monde arabo-musulman
1.4. Hôpital post-renaissance
1.5. Hôpital post-révolution en France
2. Evolutions architecturales et humanisation des soins
2.1. Aérisme et l’hôpital pavillonnaire
2.2. Hôpital bloc
2.3. Naissance de la clinique (1794 à 1940)
3. Evolution de la typologie des hôpitaux
3.1. Facteurs déterminants et leurs interactions
3.2. Trois évolutions majeures
DEUXIEME PARTIE : SYSTEME HOSPITALIER SENEGALAIS
1. Pyramide socio-sanitaire
1.1. Offre publique de services de soins
1.1.1. Etablissements Publics de Santé (EPS)
1.1.2. Districts Sanitaires
1.1.3. Structures d’hygiène
1.1.4. Structures de l’Action Sociale
1.2. Offre privée de services de soins
2. Réforme hospitalière au Sénégal
2.1. Loi n° 98-08 portant réforme hospitalière
2.2. Loi 98-12 relative à la création, à l’organisation et au fonctionnement des établissements publics de sante
TROISIEME PARTIE : EXERCICE DE LA PHARMACIE HOSPITALIERE AU CENTRE HOSPITALIER REGIONAL AMADOU SAKHIR MBAYE DE LOUGA
1. Présentation du CHRASML
1.1. Historique et cadre institutionnel
1.2. Analyse de l’environnement
1.2.1. Cadre spatial, architectural et écologique
1.2.2. Environnement externe
1.2.2.1. Environnement socio-économique et culturel
1.2.2.2. Environnement politique
1.2.2.3. Environnement technologique
1.2.2.4. Opportunités et menaces
1.3. Organisation et fonctionnement du CHRASML
1.3.1. Organigramme
1.3.2. Offre de soins
1.3.3. Capacité d’accueil :
1.4. Activités de pharmacie hospitalière au CHRASML
1.4.1. Définition de la pharmacie hospitalière
1.4.2. Aspects réglementaires
1.4.2.1. Conditions d’ouverture
1.4.2.2. Gérance
1.4.3. Missions de la PUI
1.4.4. Description du service
1.4.4.1. Locaux
1.4.4.2. Personnel
1.4.4.3. Equipements
1.4.5. Circuit des médicaments
1.4.5.1. Estimation des besoins et sélection des produits
1.4.5.2. Procédures d’appels d’offres
1.4.5.2.1. Appel d’offre restreint
1.4.5.2.2. Appel d’offre international ouvert
1.4.5.3. Dépouillement
1.4.5.4. Types de commandes
1.4.5.4.1. Dépôt vente
1.4.5.4.2. Produits destinés aux unités de soins
1.4.5.4.3. Produits de l’hémodialyse
1.4.5.4.4. Antirétroviraux
1.4.5.4.5. Antipaludéens
1.4.5.4.6. Les contraceptifs
1.4.5.5. Réception et stockage des produits
1.4.5.6. Distribution/délivrance des produits
1.4.5.6.1. Pour les services
1.4.5.6.2. Traitement des sorties des produits de la pharmacie IB
1.4.6. Préparations hospitalières
1.4.7. Le logiciel de gestion HOPITALIA
1.4.8. Gestions des déchets biomédicaux, des médicaments périmes, emballages et autres
1.5. Bilan des activités de la PUI pour l’année 2018
1.5.1. Délivrance des produits pour césariennes
1.5.2. Délivrance des produits antipaludéens
1.5.3. Délivrance des produits pour hémodialyse
1.5.4. Délivrance des produits antirétroviraux
1.5.5. Montant estimé des consommations par chaque service de l’hôpital
COMMENTAIRE
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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