Evolution des capacités de production
Dans cet univers économique mouvant et fortement internationalisé il est désormais essentiel à l’entreprise de s’interroger sur sa véritable finalité et sur les atouts dont elle dispose pour se développer pour assurer la réalisation de sa mission. C’est pourquoi la réflexion stratégique loin d’être un luxe pour les plus grandes d’entre elles est devenue une nécessité pour toutes celles qui soucieuses du développement harmonieux de leurs activités acceptent de se remettre en cause. Pour un meilleur développement, l’entreprise lui faut tout d’abord faire une analyse ou un diagnostic qui permet d’éliminer les points faibles Au sein de cette entreprise, il y’a plusieurs problèmes à résoudre mais dans ce travail, on s’est intéressé seulement sur la partie logistique et environnementale. A l’échelle mondiale, le traitement des eaux usées constitue le premier enjeu de santé publique. En Algérie le problème d’eau usée industriel est très répandue et très graves c’est pourquoi l’état lancé une série des projets qui servent à traiter l’eau industrielle dans plusieurs coopérative. La première partie de notre étude consiste à concevoir une station d’épuration des eaux blanches de la laiterie en respectant les différentes étapes du traitement tout en prenant en considération l’aspect technique, lié par exemple à l’efficacité relative des divers procédés possibles, mais aussi au point de vue économique portant sur l’estimation des frais d’investissement de fonctionnement et d’exploitation. En second lieu, le transport permet le mouvement des produits d’un endroit à un autre. Il est par conséquent indispensable à notre économie. La 2ème partie de notre travail est composée d’une mise en contexte du transport routier des marchandises où l’importance du transport est démontrée et d’une description de la problématique qui sera résolue dans cet essai par l’application d’une tournée des véhicules, puit la méthodologie qui sera utilisée et finalement l’interprétation des résultats obtenus.
Le lait est un produit nécessaire pour l’être humain, il existe en plusieurs variétés (le lait cru de vache, le lait pasteurisé … etc. l’organisation internationale de l’alimentation en USA a classé l’Algérie dans les derniers au niveau de la production du lait et cela sans introduire le paramètre de la qualité. [1] L ’industrie, en Algérie, est caractérisée par une forte dichotomie public /privé pour la production de lait et des produits laitiers. La production de lait est assurée essentiellement par les entreprises publiques au moyen d’une forte importation de poudre de lait. En effet, elle est assurée essentiellement par les trois ex-offices régionaux qui se sont groupés par une opération de fusion-absorption pour former le groupe GIPLAIT, composé de 18 filiales et à un moindre degré par le secteur privé qui compte 150 P.M.I. [2] Dans ce chapitre on présente l’entreprise dans laquelle on va appliquer notre projet de fin d’études. On va présenter leurs produits, leur marché, la qualité de leurs produits et le processus de fabrication.
La filière du lait en Algérie :
Le lait constitue un produit de base dans le modèle de consommation algérien. Sa part dans les importations alimentaires totales du pays représente environ 22 %. L’Algérie importe, chaque année, 700 à 800 millions de dollars de lait et de produits laitiers elle se place ainsi au troisième rang mondial en matière d’importation de laits et produits laitiers, après l’Italie et le Mexique. Les éléments explicatifs de cette situation sont : > La consommation de lait et produits laitiers, sous l’effet de la pression démographique et du soutien des prix par l’Etat, a considérablement augmenté, mais sans qu’il y ait eu un accroissement proportionnel de la production à tous les niveaux. > L ’industrie laitière, qui fonctionne essentiellement sur la base de poudre de lait d’importation, ne peut couvrir qu’une faible partie des besoins de consommation, ce qui contraint les pouvoirs publics à importer, à prix fort, des quantités importantes de lait prêt à la consommation pour compenser le déficit de la production industrielle. > L ’élevage, au niveau des exploitations laitières, est peu productif, car il est principalement extensif. La croissance de la production de lait cru n’a pas suivi celle des capacités de transformation dans l’industrie, c’est ce qui explique principalement la déconnexion de cette dernière de la sphère de production locale et, par là-même, le fort degré d’extraversion de la filière. > L ’intervention de l’Etat, au niveau de la filière, a porté essentiellement sur un élargissement du marché par des mesures de soutien des prix à la consommation, négligeant ainsi l’intensification de la production laitière à l’amont. L ’absence d’une dynamique d’intégration entre l’industrie et les exploitations laitières entraînera une totale extraversion de la filière.
Evolution des capacités de production :
Les capacités de production industrielle de lait et produits laitiers ont connu une forte expansion depuis les premières années de l’indépendance en passant de 24 millions de litres en 1963 à 2milliard de litres de lait en 2015. L ’industrie laitière, en Algérie, est à dominante publique, la part du secteur privé est faible 8 (moins de 10 % de la production globale) et son activité est essentiellement orientée vers la production de laitages (fromages, desserts lactés, yaourts…). La production de lait pasteurisé demeure le monopole des laiteries étatiques. Il existe actuellement une vingtaine d’unités de production qui sont localisées aux alentours des périmètres laitiers au niveau des trois principales régions du pays (Est, Centre et Ouest). Réalisées dans le cadre de la mise en œuvre d’une politique de sécurité alimentaire, elles ont été conçues dans le but de répondre à une demande en forte croissance, avec la perspective d’une intégration aux exploitations laitières qui devaient en constituer la principale source d’approvisi onnement.
La situation de la production laitière à la wilaya de Naâma :
Une production laitière de plus d’un million de litres a été collectée de janvier à fin octobre 2015 dans la wilaya de Naâma, en légère hausse par rapport à celle de la même période de la saison écoulée(2014), auprès de la direction locale des services agricoles. Cette production, ayant contribué à l’approvisionnement des consommateurs en quantités suffisantes de lait cru et dérivés, a été réalisée grâce aux mesures incitatives mises en place pour le développement de cette filière, dont le soutien des producteurs à travers le fonds national de régulation et de développement agricole, la modernisation de l’élevage, notamment bovin, et à la faveur de la qualification et l’équipement des éleveurs de bovidés en moyens de production laitière, ont précisé les responsables du secteur. La même source a fait état, dans le cadre du soutien aux éleveurs bovins, du déblocage d’un montant de 69 millions de dinars au profit de 101 éleveurs et producteurs de lait, destiné à l’aménagement des étables, l’acquisition d’équipements d’élevage, en plus de l’octroi, durant la même période, d’une enveloppe de 23,8 millions de dinars de primes d’intégration au profit de 64 fournisseurs de laiterie et trois collecteurs de lait cru. La wilaya de Naâma, à vocation pastorale, a enregistré, cette année, dans le cadre de la réhabilitation de la filière laitière, la création de 706 nouvelles fermes d’élevage bovin, l’agrément de sept collecteurs de lait, en plus de l’adhésion de 44 producteurs et deux collecteurs au programme de soutien du fonds national pour la régulation des produits agricoles, a-t-on fait savoir. Le secteur de l’agriculture a été renforcé par l’ouverture d’une laiterie à Mécheria devant s’ajouter à celle existante dans la commune d’Aïn Sefra et ayant réalisé cette année une production de 1,5 million litres de lait pasteurisé destiné à la consommation.
Lait pasteurisé :
Le lait pasteurisé est un lait ayant subi un traitement thermique qui détruit partiellement les germes. La pasteurisation est un traitement obtenu en maintenant le lait pour une durée de 20 secondes à 80-85°C ou 30 minutes à 63°C. Le lait pasteurisé ne se conserve que quelques ]ours au froid.
Lait caillé (fermenté) :
Le développement des bactéries lactiques dans le lait s’accompagne d’une dégradation (fermentation) du lactose (sucre du lait) en acide lactique, ce qui limite le développement des micro-organismes nuisibles et provoque la coagulation du lait.. Il permet d’obtenir un produit plus facile à conserver que le lait, mais aussi plus digeste (dégradation du lactose). Deux techniques sont possibles pour la fermentation : – La fermentation spontanée. On laisse le lait fermenter tout seul en le maintenant à un niveau de température et d’humidité relative appropriée ; – La fermentation conduite. Le lait est pasteurisé puis réensemencé avec des starters ou levains sélectionnés. C’est cette méthode qu’on utilise dans la laiterie.
Conception d’une station d’épuration des eaux usées :
Les eaux résiduaires industrielles laitières se composent exclusivement de rinçage et de nettoyage. Ces eaux sont constituées à la réception du lait ou au poste de remplissage des récipients, au nettoyage des camions citernes, des stérilisateurs et évaporateurs ainsi que les diverses installations de laiteries. Elles sont polluées par des traces de lait, parfois aussi par les produits chimiques utilisés pour le nettoyage et la désinfection (l’acide nitrique, la soude et le désinfectant). Pour les eaux provenant de l’atelier de beurrerie, celles-ci vu leur teneur en graisses et en sels nutritifs, sont évacuées avec les eaux résiduaires.
Cadre D’étude :
a 3ème partie de notre projet consiste à concevoir une station d’épuration qui traite l’eau usée de la laiterie Frères Guerinik dans la région d’Ain Safra wilaya de Naâma. Le projet sera une solution pour le problème d’eaux blanches jetées dans les rivières ou dans de Puits septiques qui pollue l’eau potable et cause de maladies graves. Le but de cette étude est de vérifier et de convaincre la coopérative par le dimensionnement et les raisons de choix des procèdes d’épuration non seulement sur le niveau technique mais aussi au niveau économique et environnemental. En premier lieu, une étude détaillée consiste à dimensionner et à sélectionner les composants de chaque phase du traitement. Et puis on fera une analyse fonctionnelle du système avec une étude de faisabilité économique en prenant en considération l’impact environnemental des différentes technologies utilisées.
Réception du lait
Le lait est reçu par l’usine, en bidons ou parfois en citernes. La pollution est due au lait perdu qui reste au fond des récipients avant leur lavage et dans une mesure beaucoup moindre, au lait répandu par terre au cours de son transfert. Plus les récipients qui sont utilisés sont petits, plus la perte du lait (et donc la pollution) est forte. Une source supplémentaire de pollution à ce poste est le lavage de la carrosserie des camions. Il entraîne le rejet d’insolubles en quantité souvent importante, mais n’est pas la source de beaucoup de DBO.
Tanks de stockage
La pollution, là encore est due au lait qui reste dans les récipients au moment où ceux-ci sont nettoyés. La forme des cuves, la place des tuyauteries de vidange auront une importance sur la quantité résiduelle du lait. Plusieurs expériences ont montré que les pertes étaient souvent notablement plus importantes à ce poste qu’au lavage des bidons et des citernes de ramassage.
Pasteurisateur
La quantité de DB05 rejetée au moment du lavage de pasteurisateurs peut être très variable suivant l’opérateur. Au cours de cette opération, on envoie en effet la solution de lavage par le circuit du lait. La pollution sera faible si la grande partie du lait contenu dans l’appareil est récupérée avant l’ouverture de la vanne de rejet. Elle peut être beaucoup plus intense si tout le lait est perdu (cette hypothèse est celle qui se rapproche le plus souvent de la réalité).
Eau de lavage des sols :
Elle représente souvent un gros débit, qui peut être de l’ordre de la moitié de la consommation générale de l’usine (refroidissements exceptés), mais cette opération n’apporte pas une DBO importante. Dans beaucoup de cas; il est possible d’envisager une réduction de cette consommation par des consignes d’exploitation, par l’installation de robinets appropriés et parfois par la réutilisation de certaines eaux (eau d’évaporation par exemple, s’il existe des installations de concentration).
Conclusion générale:
Le travail qu’on a présenté est décomposé en 02 stades différents : L ’importance de la pollution des eaux exige de nos jours une épuration pour éviter que les effluents pollués ne provoquent une destruction totale de Técosystème. Dans notre cas d’étude on a essayé de concevoir une station d’épuration des eaux blanches de la laiterie et on a donné un dimensionnement général des différents postes de traitement passant par une étude financière pour vérifier la rentabilité de la station. De point de vue économique, la station qu’on a choisi de concevoir peut être rentable si le débit entrant dans la station est plus grand que le débit actuel d’autre part les boues produites sont vendues pour les agriculteurs. Ceci rend impossible l’installation de la STEP dans la laiterie pour le moment. Dans le 2ème stade, on a présenté un cas concernant la résolution d’un problème d’optimisation rencontré dans le domaine du transport dans la laiterie. Ce problème est appelé VRPTW (Vehicle Routing Problem with Time Windows) ou problème de tournée des véhicules avec une fenêtre de temps qui consiste à déterminer les tournées de 03 véhicules partant d’un dépôt à destination de plusieurs clients qui sont éparpillés dans 03 différentes régions. Chaque tournée doit desservir un ensemble de clients dont chacun est caractérisé par une fenêtre de temps spécifique. Le problème consiste à minimiser la distance totale parcourue par une flotte de camions homogènes afin d’assurer la livraison, à partir d’un seul dépôt, à un nombre fixe de clients tout en respectant les contraintes de capacité et de temps. (Afin de résoudre le problème du VRPTW on a fait une analyse sur les clients cibles et les distances entre le dépôt et les différents clients et en second lieu, on a fait une modélisation mathématique du problème ; et pour obtenir une solution optimale, on a choisis d’utiliser la méthode approchée des métaheuristiques qui est l’algorithme génétique. Cela permettra à la coopérative de gagner la confiance de ses clients en leurs distribuant le produit à temps et dans les délais qu’ils auront choisis et ainsi ils n’auront plus besoin de commander le produit à d’autres entreprises comme celle de Sidi Belabbess. Comme perspectives, des études sont encore à réaliser pour guider la coopérative et à augmenter sa capacité de production pour satisfaire ses clients et aussi atteindre d’autre clients en visant d’autre régions, voire d’autre wilayas à distribuer en sachets de lait, cela lui permettra aussi de pouvoir envisager l’installation de la station des eaux usées avec la condition d’agrandir sa superficie.
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Table des matières
Introductions
I.2-La filière du ait en A lgérie
.I.2.1- Evolution des capacités de production
I.2.2-La situation de la production laitière à la wilaya de Naâma
3-Le la it
7I.3.1- Valeur alimentaire
.3.2-Les dérivés du la it
.4-Présentation de l’entreprise
.4.1Historique
.4.2-Implantation
.4.3-Supe^icie et architecture
.4.4-L’organigramme de l’entreprise
4.4.1-Organigramme structurel 12
1.4.5-Les fournisseurs
I.4.6- Les clients
14 .4.7-Les moyens de transport
I .4.8-Activités de l’entreprise
1 I .4.9-Le processus de fabrication du lait dans l’usine
1 .4.10-Le Marché d’entreprises
1.4.11-Les normes IS O
I.5-Conclusio
Chapitre II : la stra tég ie du d év elo p p em en t des en trep rises
II.1-Introduction :
II.2–Définition de la stratégie
11.2.1-Quelques vocabulaires de la stratégie
11.3-Stratégie et politique générale de l’entreprise
11.3.1-Objectifs de la stratégie
11.3.2-Les niveaux des décisions stratégiques.
11.4-La stratégie générale d’entreprise
11.4.1- La stratégie par domaine d’activité
11.4.2-La stratégie fonctionnelle
11.5-Le Diagnostic stratégique
11.5.1-Définition du diagnostic stratégique
11.5.2- Le diagnostic externe
11.5.3-Le diagnostic interne
11.5.4-Le Benchmarking
11.5.5-L’ analyse fonctionnelle
11.6-Les principaux outils du diagnostic stratégique
11.6.1-Le modèle L C A G
11.6.2-Application du modèle
II.6.3-Finalité : réagir stratégiquement
11.7-Les Stratégies de développement
11.7.1-Les modalités de développement stratégique
11.8-Cadre d’étude
11.8.1- Approvisionnement
11.8.2- Technologie et m atériel
11.8.3- Personnel
II.8.4. Contrôle qualité
11.8.5- Distribution et commercialisation
11.8.6- Financement
II.8.7. Traitement des déchets
32II.9-Conclusion
Chapitre III : conception d’une station d’épuration des eaux usées
111.1-Introductio n
111.1.1-Cadre D ’étu d e
III. 1.2-Conception général
111.1.3-Performance attendue
111.1.4-Conception Général de station d’épuration
Partie 01 : Généralité sur le traitement des eaux blanches
111.2-Généralités sur le traitement des eaux
111.3- Les polluants
111.3.1-Origines des eaux u sées
111.4-Caractéristiques des eaux usées blanche
111.4.1-Constituants physiques
111.4.2-Constituants chim iques
111.4.3-Constituants biologiques
111.5-Normes et standards
111.6-Conception de la Station d’épuration des eaux usées de la laiterie
111.6.1-Traitements Préliminaires
111.6.1.1-étape – Tam isage
111.6.1.2-Le dessablage et le dégraissage
111.6.2-Traitement primaire
III.6.2.1-Décantation
III 6 3- Traitements Secondaire
III 6 3 1 — dari^cation
111.7-Traitement des boues
III.7.1- Origine et caractéristique des b o u es
Partie 02 : application
III-8-traitement préliminaire
III.8.1 -dégrillage et tamisage : dimensionnement
III.8.2-Déssablage et dégrissage : dimensionnement
111.9-Traitement primaire
III.9.1-Décanteur : dimensionnement
111.10-Traitement secondaire
III.10.1-Clarificateur : dimensionnement
III. 11-Etude économique
III.11.1-éstimation des investissements
111.11.2-Les frais personnel
111.11.3-Les frais d’électricité
111.11.4-Rendement épuratoire de la station
111.11.5-Les frais d’e a u
111.11.6-Calcul du bénéfice net
III.12-Conclusion
hapitre IV : p ro b lè m e d e to u r n é d es v é h icu les
IV.1 -Introducti on
IV.2-Problème de Voyageur de Commerce(PVC)
IV.3-Problème de Tournées de Véhicules (V R P)
IV.4-Champs d’Application
IV.5-Paramètres du V R P
IV.1-Résea u
IV.5.2-Clientèle
IV.5.3-Flotte de véhicules
IV.5.4-Fonction objectif
IV.6-Variantes du V R P
IV.6.1-VRP à Contraintes Liées à la Flotte de Véhicules
IV .6.2-VRP à Contraintes Liées à la Demande des C lie n ts
IV 6.3-VRP à Contraintes Liées aux Dépôts
IV .6.4-VRP à Contraintes Liées aux Produits
IV 6.5-VRP à Contraintes Liées au Temps
IV .6.6- Problèmes de Tournées de Véhicules F r é q u e n t s
IV .7-modélisation mathématique du ‘V R P
IV.7.1- Formulation mathématique
IV.8-Méthodes de résolution
IV.8.1-Les algorithmes génétiques
IV.8.2-Principe de fonctionnement de l’algorithme génétique
2eme partie : Application
IV.9-Définition de la problématique
VI.9.1-Les contraintes
IV.10-Modélisation M athématique
IV.10.1-Modèle mathématique
IV.10.2-résolution du problème
IV.10.2.1-l’application de l’Algorithme génétique
a-Codage du chromosome
b-Croisement
c-Mutation
d-Génération de la population initiale
e-Correction des chromosomes
f-Procédure de calcul
IV9.2.2-Resultat et interprétation
IV.10-Conclusion
Conclusion général
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