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Aperçu historique
Dans cette section, nous verrons l’origine du nom de la Commune et l’historique de la migration. Autant d’informations, qui nous permettrons de mieux connaître la Commune Urbaine de Vohémar.
Toponymie
Historiquement, le nom de la commune vient du mot Harana ou Iharana, entre les années 1200-1820 par les Njoaty, qui sont originaires d’Afrique. A leur arrivée, ils durent traverser le bord de la mer plein de corail. En effet, le corail signifie Harana. Après le passage du roi Radama 1er, elle fut appelée Vohimarina, en d’autres termes Vohitra Marina ou Vohitra Masina. Ce fameux nom fut utilisé entre la période de 1820-1920. Entre les années 1920-1967, elle fut appelée Vohémar par les colonisateurs et fut redevenue Iharana ou Vohémar entre 1967-1975.
A partir de la Deuxième République jusqu’à nos jours, le nom de la commune était officiellement Iharana. Il faut remarquer que ces deux dernières appellations sont utilisées simultanément par la majorité de la population, sauf les descendants de la tribu Njoaty qui utilisent toujours l’ancien nom Iharana.
Historique de la migration
Selon les recueils de l’histoire malagasy et les différentes recherches effec-tuées dans la partie Nord-est de Madagascar, la tribu Njoaty d’Iharana ou de Vohémar fut issu des ressortissants de l’Afrique du Nord, entre autres, les Nubiana qui se sont mariées avec les Saoudiens.
Ils ont quitté Muzombi1, une localité qui est située au sud de la Mer Rouge, vers les années 900 après JC, passé en Afrique de ’Est,l puis dans l’Île des Comores, celle de Mayotte et finalement débarqué et emménagédéfinitivement dans l’Île de Madagascar vers le début du 13ème siècle.
En majorité, ils furent des navigateurs et des commerçants d’huiles et de par-fum. Leur premier lieu de destination à Madagascar fut la partie Nord-Ouest, à To-liameva : actuellement région du Boeny. C’est un fameux port d’embarcation et de ré-sidence de tous les navigateurs qui ont séjourné sur le territoire de la Grande Île.
Après leur passage à Toliameva, ils se sont dispersé en plusieurs lieux, tel que :
BAKARY et sa famille aux Comores ; ASSANY et sa famille à Mayotte ;
FARANDRIANA et sa famille à Anorontany à l’Ouest de Diego Suarez ;
FASANARIVO à Bobaomby ;
RA-FIKOMPANA et NDRIANTAVIRA à El Qubr ;
MOANA Zenab et ALI Mamba sont débarqués à Iharana ou Vohémar ;
NDRIANAKOMBILAHY et KAMBOBORY sont allés vers le Sud-Est et ont débar-qué à Vohipeno.
Leurs aïeux pratiquèrent la religion Islamique ou ienb ils ont été monothéistes juifs. Enfin, il faut noter que cette localité fut peuplée avant l’arrivée de Njoaty et ce fu-rent les Antemananara et les Antemanamborangy qui se sont déplacés du Sud vers le Nord de la Grande Île.
Situation géographique
Délimitation et localisation
La Commune Urbaine de Vohémar ou CUV fut chef lieu de sous-préfecture. Elle se trouve dans la région Sambava, Andapa, Vohémar et Antalaha ou SAVA, la partie Nord-Est de Madagascar. Du Nord au Sud, elle est délimitée par la Commune Rurale d’Ampondra et à l’Est par l’Océan Indien. Pour y accéder, il y a deux façons :
– d’une part, en traversant la RN 5a, à 152 km d’une route secondaire partant de la Commune Urbaine d’Ambilobe, et
– d’autre part, en passant sur la RN 5a, à 150 km d’une route bitumée vers le Nord du district de Sambava.
Sa superficie est estimée à 300 km2 à l’époque. Elle est composée officielle-ment de sept Fokontany, à savoir :
o Andranomasibe I ;
o Andranomasibe II ;
o Andranomasikely I ;
o Andranomasikely II ;
o Antanamarina ;
o Amboronana ; et
o Tanambao.
Le Fokontany de Tanambao est le plus éloigné du centre de la ville et les autres bordent la RN 5a jusqu’au port maritime:
Antanamarina est le premier Fokontany rencontré à l’entrée de la ville, il se si-tue à l’extrême Sud ; Amboronana est le second vers le centre de la ville ;
Les Fokontany d’Andranomasikely II et I se situent de part et d’autre parallèle-ment le long de la RN5a et se sont succédés par Andranomasibe II et I ;
Le dernier est Tanambao se trouve au Sud-Est de la ville.
En général, les différents groupes socioprofessionnels existants, entre autres les fonctionnaires, les employés du secteur privé, les artisans, les pêcheurs, les com-merçants, les éleveurs, les cultivateur,… sont présents dans tous les Fokontany de cette ville. Leur répartition par groupe et par Fokontany figure dans le Tableau ci-dessous.
Caractéristiques climatiques
Dans cette section, nous allons présenter les ressources et leurs moyens d’utilisation par la population dans cette localité.
Pluie
Le climat, c’est l’ensemble des phénomènes météorologiques qui caractérisent l’état de l’atmosphère en un lieu donné. Parmi cesphénomènes figurent : les pluies et la température.
La CUV se trouve dans une zone côtière intertropicale. Elle est marquée par l’abondance de pluies, présentes presque toute l’année mais avec une variation quantitative selon le mois.
Les trois formes des saisons existant dans la Commune urbaine de Vohémar se décrivent comme suit :
– de décembre à fin avril, une période de fortes pluies mais tempérée, appelée saison pluvieuse ou Asara ;
– de mai à juin, c’est la saison intermédiaire, la pluie diminue quantitativement en même temps que la température ; et
– à partir du mois de juillet jusqu’au mois de novembre, c’est la saison sèche et froide.
Température
La forte humidité atmosphérique, les précipitations abondantes et continues, justifient les moyennes de températures quasi-identiques le long de la côte. Le Ta-bleau ci-dessous nous représente la variation de température dans la CUV.
Dans ce tableau, nous constatons que par rapport à la période 1961-1990, l’amplitude thermique augmente de 5 degrés à la période 2003-2007. L’augmentation de la température a des effets pervers sur l’agriculture. En effet, si la chaleur arrive au moment inopportun, elle entraîne des perturbationssur le calendrier cultural. Par con-séquent, le rendement agricole en général va diminuer.
Caractéristiques physiques
Relief
La CUV se situe à une altitude comprise entre 769 et 1 225 m. Elle se trouve sur une zone côtière. La zone Nord-Est de Madagascar constitue un ensemble massif qui est marqué par le contact rapide et brusque entre les hautes terres et la mer. Du point de vue géomorphologique, la région juxtapose des formes variées : volcaniques, quartziques et cristallines.
Le relief du socle qui correspond essentiellement à des unités tectoniques spé-cifiques. Les mouvements tectoniques et orogéniques affectant la masse continentale sont suivis par des formations variées : plateau, horst, graben. Ainsi, les failles ont dé-coupé cette région en blocs massifs vigoureusement disséqués par l’érosion.
Les bassins sédimentaires se caractérisent par le contact avec le socle sédi-mentaire. Le volcanisme a fait apparaître des nombreux lacs et des dépressions.
Caractéristiques du sol
On distingue deux grandes catégories de terrain : le terrain sédimentaire et le terrain cristallin. Primo, le terrain sédimentaire est formé principalement par des ap-ports fluviaux et éoliens. Ces derniers relativement récents et se sont emboîtés dans des couches plus anciennes qui constituent la plus grande partie d’une étroite plaine côtière. Cette plaine repose en grande partie sur un socle précambrien.
Secundo, le terrain cristallin est composé de différents types de roches : gra-nites, gabbros, migmatites. Celles-ci se sont formées à la surface de la terre ou bien à l’intérieur de l’écorce terrestre quand elles sont d’origine volcanique. Le passage fré-quent de violents cyclones et l’abondance des pluies favorisent le phénomène érosif et modifient souvent les paysages cristallins en relief accidenté. L’utilisation du sol est marquée par la prédominance de la riziculture pluviale, de la vanille ainsi que la culture maraîchère. Le izr et les brèdes sont destinés à l’autoconsommation. La plantation de la vanille est une nouvelle pratique dans cette Commune, alors qu’auparavant, cette zone fut réservée au pâturage.
Habitat
Les zones d’habitation dans la Commune Urbaine de Vohémar sont subdivi-sées en trois blocs de la façon suivante :
– les Fokontany d’Antanamarina et d’Amboronana sont groupés au Sud de la Commune et ils sont séparés des autres Fokontany par une digue de 800 mètres de long sur la RN 5 a;
– les Fokontany d’Andranomasibe II, d’Andranomasibe I, d’Andranomasikely I et d’Andranomasikely II sont situés au centre de la ville et ils bordent la route nationale ; et
– le Fokontany de Tanambao est situé à l’Est de la Commune et il est plus ou moins isolé car l’accès y est très difficile en période de pluies et enfin, une partie seu-lement est électrifiée et approvisionnée en eau courante.
En majorité dans cette Commune, les maisons sont en dur ou en bois avec des toitures en tôles. L’absence d’un plan directeur d’urbanisme de la ville a causé beau-coup d’anomalies au sein des quartiers périphériques car des maisons d’habitation sont construites sans avoir obtenu une autorisation préalable.
Malgré cela, les responsables communaux ont envisagé, dès maintenant, une extension de la ville dans la partie Sud-Est de la Commune. L’agglomération urbaine dispose encore des espaces disponibles pour le futur habitat.
Très souvent, les Fokontany Andranomasibe II et Andranomasikely II sont inondés en partie pendant la marée haute. Cette inondation est devenue plus grave et a touché plusieurs Fokontany au centre de la ville en période pluvieuse. Cependant, d’après l’explication des responsables communaux, al mer envahit des maisons.
Hygiène
Les mangroves bordent les Fokontany Andranomasibe II, Andranomasikely II et Amboronana sur la baie d’Iharana. Cette formation végétale a tendance à diminuer si l’opération d’aménagement du terrain le long de la digue continue tandis qu’elle aug-mente de volume dans le Fokontany d’Amboronana. En outre, la Commune dispose des rives et des plages touristiques mais ils sont généralement salis et pollués. Cette situation est la conséquence du non-respect des règles élémentaires d’hygiène.
En d’autres termes, les défécations sauvages, les déchets et les ordures pro-viennent de la population riveraine voire des marchands des alentours. Si aucune me-sure concrète et draconienne n’est prise par les autorités locales, les gens ne pourront pas se défaire de leurs mauvaises habitudes. Ce thème a été longuement abordé lors des enquêtes au niveau des Fokontany.
Terrain de reboisement et récif corallien
Le seul terrain de reboisement, reconnu par la population, se situe dans le vil-lage d’Antanambao Ankirikirika. Il se trouve à 7 km sur la RN 5a en direction de Sambava. C’est là qu’est définie la limite territoriale de la Commune Urbaine de Vo-hémar et sa voisine Ampondra. Ce terrain est estimé à 100 ha et la majorité de la plantation est composée d’eucalyptus. Annuellement, des associations et des diffé-rentes branches de service y organisent des activités de reboisement. Il existe égale-ment des plantations de vanille à l’intérieur de ce terrain de reboisement.
À l’entrée de la Commune par la voie maritime, des récifs de coraux bordent le rivage à une certaine distance de la côte. Très souvent on les appelle récifs-barrières car jusqu’à présent deux bateaux ont visiblement échoué à cet endroit. Ces accidents ont été causés par l’absence de repérage et de balise maritime. La présence de ces deux bateaux a affecté et souillé la mer tout autour de la ville par des dépôts de carbu-rant, de lubrifiants et des déchets qui s’y sont répandus.
Situation administrative et organisation de la Commune
L’organisation est un ensemble des procédures, des méthodes relatives au tra-vail et à la communication entre les postes1. FAYOL a dit : administrer c’est organiser. Dans cette section, nous présenterons ci-dessous la situation administrative et l’organisation de la Commune Urbaine de Vohémar.
Situation administrative de la Commune Urbaine de Vohémar
De la période coloniale jusqu’à nos jours, la situation administrative de la Com-mune de Vohémar a beaucoup évoluée. Pendant la colonisation, Vohémar avait porté le titre de province puis fut devenue chef lieu de district. A cette époque, il fut encore rattaché à la circonscription autonome de Mahajanga. A partir de l’avènement de la 1ère république, il fut redevenu chef lieu de district et fut de nouveau rattaché à la province de Diego-Suarez. BETOTO Charles fut le premier administrateur Malagasy, nommé au poste du chef de district de Vohémar. C’est JINORO Houlder qui lui a succédé.
Du mois d’avril 1962 à février 1964, le chef lieu du district a obtenu le statut de Commune urbaine de plein exercice. Depuis la période de transition 1972, la Com-mune a déjà existé mais ce fut le chef de canton qui l’a dirigée jusqu’en 1977. De 1977 jusqu’en 1994, elle est devenue chef-lieu de Firaisampokontany. Et finalement, à partir de l’année 1995 jusqu’à ce jour, Vohémar estredevenu une Commune urbaine et fut classée dans la deuxième catégorie.
Gestion de la Commune Urbaine de Vohémar
Dans son organisation actuelle, la Commune Urbaine de Vohémar dispose de 19 personnes pour le Comité Exécutif, 14 conseillers municipaux, un délégué d’arrondissement et 7 chefs de Fokontany. Cinq postes ont été récemment délibérés par le Conseil Municipal et les nomi-nations sont en cours de régularisation, à savoir le Secrétariat Général et le Service de sécurité urbaine qui devrait être assuré par quatre policiers à recruter spécialement par la Commune elle-même. D’après les explications des responsables de la Com-mune, cette démarche a été adoptée pour avoir plusd’efficacité et de régularité dans la gestion des affaires locales. Ainsi la Commune a besoin de recruter ses propres agents car elle doit en assurer la direction et la gestion.
Par ailleurs, nous avons remarqué que la Commune ne dispose pas d’un orga-nigramme permettant de lui assurer un fonctionnement rationnel. Le seul service fonc-tionnant effectivement est celui de l’administration interne, lequel est assuré par le Délégué d’Arrondissement.
Dans le cadre du recouvrement des impôts, des redevances et des droits com-munaux, la Commune dispose de deux agents d’exécution qui sont rattachés : l’un à la perception du marché et l’autre auprès du service des douanes. Ce dernier a tou-jours collaboré étroitement avec les autorités portuaires.
Du côté de l’assainissement et de la collecte desdéchets, aucune action n’a pu être entreprise par la Commune. En effet, elle ne d ispose ni des ressources humaines ni de matériel adéquat.
La gestion de l’aménagement du territoire et celle de l’urbanisation de la Com-mune nécessitent une attention particulière. Deux raisons sont évoquées : première-ment, la Commune ne possède pas de plan directeur d’urbanisme et deuxièmement, le niveau de la mer est au-dessus de celui de la majeure partie de la plate-forme d’habitation actuelle. Si aucune mesure n’est prise la situation risque de s’aggraver.
Autres services existant dans la Commune
Outre les services rattachés directement à la Commune comme les chefs Fokontany, l’enseignement (EPP, CEG, Lycée) et la santé, il existe des services dé-concentrés, qui représentent les pouvoirs centraux au niveau de district de Vohémar. Les domaines suivants sont concernés, à savoir : l’Intérieur , la Sécurité Publique , la Gendarmerie, la Population, la Jeunesse et Sports , le Budget et Finances , l’Environnement, les Eaux et Forêts , l’Agriculture et l’Elevage et la Pêche , les Tra-vaux Publics , le Commerce , les Postes et Télécommunications, l’Information et Communication et le Service Pénitentiaire.
En plus de la faiblesse de cette Commune en matière de communication et d’information, la population d’Iharana a toujours souffert des carences administratives suivantes : la justice et le service domanial. En ce qui concerne l’absence du service de la justice au niveau local un retard a toujours été constaté au niveau du traitement des dossiers judiciaires. Jusqu’à pré-sent, toutes les affaires juridiques au niveau de la Commune voire du district sont en-core rattachées au Tribunal de Première Instance ou TPI d’ Antalaha. Souvent, les magistrats se déplacent d’Antalaha à Vohémar dans el cadre des séances foraines.
Pour tout ce qui est relatif aux affaires domaniales et les problèmes fonciers de la Commune sont assurés par le service de domaine et de topographie localisé à An-talaha. Pour y aller, il faut se déplacer sur une distance de 230 km.
Données démographiques
L’analyse économique, sans tenir compte de la variable humaine, s’avère in-complète voire futile1. En effet, le facteur humain est l’acteur principal du développe-ment de l’économie, en général, celui de l’économie de l’éducation, en particulier. Alors, dans cette section, nous allons voir successivement l’évolution du nombre total de la population locale dans la Commune Urbaine de Vohémar, la répartition de la population par âge et par sexe ainsi que l’évolution de la population de 2002 à 2007 dans cette Commune.
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Table des matières
INTRODUCTION
CHAPITRE I : PRESENTATION GLOBALE DE LA COMMUNE URBAINE DE VOHEMAR12
Section : Aperçu historique
1.1 Toponymie
1.2 Historique de la migration
Section II : Situation géographique
2.1 Délimitation et localisation
2.2 Caractéristiques climatiques
2.3 Caractéristiques physiques
2.4 Habitat
2.5 Hygiène
2.6 Terrain de reboisement et récif corallien
Section III : Situation administrative et organisation de la Commune
3.1 Situation administrative de la Commune Urbaine de Vohémar
3.2 Gestion de la Commune Urbaine de Vohémar
3.3 Autres services existant dans la Commune
Section IV : Données démographiques
4.1 Population dans la Commune Urbaine de Vohémar
4.2 Répartition par sexe de la population de la CUV en 2007
4.3 Santé
4.4 Religions et les us et coutumes
Section V : Activités économiques
5.1 Pêche
5.2 Elevage
5.3 Agriculture
5.4 Secteurs privés
5.5 Secteurs administratifs et autres activités
CHAPITRE II : EVOLUTION DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC
Section I : L’enseignement primaire public
1.1 Ecole Primaire Publique ou EPP
Section II : Infrastructures
2.1 Infrastructures scolaires
2.2 Nombre de salles de classe par rapport à l’effectif des élèves
2.3 Nombre de places assises par rapport à l’effectif des élèves
2.4 Dépendances scolaires
Section III : Qualité de l’enseignement
3.1 Personnel enseignant
3.2 Evolution du nombre des enseignants
3.3 Qualification des enseignants.
3.4 Répartition du personnel selon le statut et ancienneté.
Section IV : Effectif des élèves
4.1 L’âge d’entrée et l’âge de sortie
4.2 Evolution des effectifs des élèves
4.3 Répartition de l’effectif des élèves
4.4 Analyse de l’efficacité de l’enseignement primaire
Section V : Financement de la CISCO
5.1 Approche globale de la circonscription scolaire
5.2 Le crédit de fonctionnement
5.3 Organisation de la CISCO de Vohémar
CHAPITRE I : PROBLEMES RENCONTRES AU NIVEAU DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC
Section I : Problèmes au sein des établissements
1.1 Problèmes d’infrastructures
1.2 Manque d’équipements scolaires
Section II : Problèmes de financement
2 .1 Faiblesse de la part des budgets alloués aux élèves
Section III : Problèmes liés aux enseignants
3.1 Insuffisance de motivation des enseignants
3.2 Insuffisance du personnel enseignant
3.3 Qualité de l’enseignement
Section IV : Problèmes liés aux parents
4.1 Manque d’encadrement
4.2 Niveau d’instruction des parents et leur mentalité
4.3 Faiblesse du pouvoir d’achat des ménages
Section V: Problèmes au niveau des élèves
5.1 Age des élèves
5.2 Assiduité
5.3 Rendement scolaire
5.4 Niveau des compétences
CHAPITRE II: STRATEGIES D’AMELIORATION ET SUGGESTIONS
Section I : Amélioration du rendement scolaire
1 .1 Augmentation des effectifs des enseignants
1.2 Renforcement de l’encadrement des enseignants
1.3 Motivation des enseignants
Section II : Amélioration des infrastructures scolaires
2.1 Augmentation du nombre des salles de classe
2.2 Amélioration de l’équipement scolaire
Section III : Amélioration des conditions des élèves et des parents
3.1 Motivation des élèves
3.2 Renforcement de discipline scolaire
3.3 Concernant les parents
Section IV: L’Etat et la société
4.1 Ressources publiques allouées au secteur d’éducation
4.2 Augmentation de budget sur les infrastructures scolaires
4.3 Amélioration de l’environnement scolaire
4.4 Efforts de l’autorité compétente
Section V : Résultats attendus et suggestions
5.1 Résultats attendus
5.2 Suggestions
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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