Evolution de la relation Homme-animal
La relation entre l’homme et les espèces étudiées
Il est intéressant de connaitre l’évolution du statut des animaux de compagnie pour mieux comprendre la nature des liens actuels qui les unissent à leurs propriétaires. Aujourd’hui ces animaux ont établi des liens forts d’affection et d’attachement avec leurs propriétaires, mais cela n’a pas toujours été le cas. Nous nous intéressons dans cette partie à la place de l’animal aux côtés de l’homme dans l’histoire.
La relation homme- chien
Des lévriers existaient déjà dans l’Egypte antique. Anubis, le dieu des morts, a une tête de chien, et on attribue au chien, déjà à cette époque, le rôle de « bon compagnon ». Il a parfois été méprisé comme en témoigne son nom dans des écritures cunéiformes datant de 2 000 ans av. J.-C. où le mot « chien » est le même que le mot « esclave » (Grandjean, Haymann 2010). C’est l’Empire Romain qui inaugure l’élevage canin. Principalement de type molossoïde, les chiens romains sont des gardiens mais ont aussi leur place au sein du foyer en tant que véritables animaux de compagnie. Au Moyen Âge en Europe, il acquiert une très mauvaise image. Comme le chat, le chien a été banni par l’église catholique, qui le considère comme une incarnation du diable parce qu’il véhicule la rage et se nourri de charognes voire parfois de cadavres. L’église interdisait à ses évêques de posséder des chiens.Ce que l’on sait moins, c’est que le chien a été consommé pour sa viande, depuis la préhistoire en passant par l’Antiquité, mais jusqu’au tout début du 20ème siècle, en Europe et en France. Il a aussi été une source d’énergie comme a pu l’être le cheval par exemple, au Moyen Âge et à la Renaissance : des « roues à chien » permettaient d’actionner divers outils comme un soufflet de forge ou un tour à bois, en utilisant l’énergie cinétique d’une roue en bois dans laquelle un chien devait courir. Les races de chien telles qu’on les connait aujourd’hui, avec les standards qui résultent de la fixation des caractères phénotypiques, ont vu le jour à partir du 16ème siècle et concernait au début uniquement les chiens de chasse. Elles sont véritablement consacrées au 19ème siècle, où ont lieu les premières expositions canines à Londres en 1861 et à Paris en 1863. Le Livre des Origines Français est créé en 1885 et divise l’espèce canine en vingt-neuf sections. On regroupe aujourd’hui les différentes races en dix groupes. Le chien a plusieurs images dans les mythologies. Il est gardien des enfers dans la mythologie grecque, psychopompe dans la mythologie égyptienne et mexicaine, véritable Prométhée dans la mythologie de certaines tribus amérindiennes. Et dans la culture contemporaine il est très souvent le fidèle compagnon de l’homme, depuis Idéfix dans la bande-dessinée à Beethoven au cinéma, en passant par Pluto chez Disney. Le chien serait le premier animal domestiqué par l’Homme. Il est son plus fidèle compagnon, à la fois intelligent, attachant et utile. Il n’est plus nécessaire de le louer aujourd’hui car on connait la relation privilégiée qu’il peut avoir avec son maître.
La relation homme- chat
A l’origine, le chat se serait approché des villages humains stockant des céréales et attirant les rongeurs, et aurait été apprivoisé pour ses qualités de chasseur (Hu et al. 2014). Au Moyen Âge le chat est diabolisé et banni par l’église catholique qui interprète les reflets de la lumière dans ses yeux comme celui des flammes de l’enfer. Les chats sont alors persécutés au même titre que les sorcières, dont ils sont supposés être les compagnons. Pendant neuf siècles ils seront brûlés vifs aux bûchers de la Saint-Jean. On en oubliera même, au bout d’un certain temps, la signification religieuse de cet acte cruel, en qualifiant cette pratique de simple « coutume » dans des écrits du 18ème siècle. Finalement c’est le siècle des Lumières qui entame la réhabilitation du chat en Europe. En 1727, Moncrif, écrivain et poète français, choque ses collègues en consacrant un ouvrage entier à la gloire du chat pour la première fois (Gagnon 2012), intitulé Histoire des chats :Dissertation sur la prééminence des chats dans la société. C’est à partir de cette date que l’on compte d’innombrables ouvrages consacrés au chat, même si ce premier texte semble avoir reçu un accueil mitigé. C’est sans doute le 19ème siècle et la littérature romantique qui confèrent ses lettres de noblesse au chat, symbole de la liberté, de la beauté et du mystère. Il devient également un symbole de la féminité. Les plus grands noms ont écrit sur lui : Baudelaire, Hugo, Poe… C’est aussi au 19ème siècle que l’on commence à créer les races de chats connues aujourd’hui. Le Livre Officiel des Origines Félines dénombre une soixantaine de races, ayant été sélectionnées sur des critères esthétiques et de caractère, plutôt que d’utilité comme pour le chien. Dans nos sociétés urbaines modernes, le chat représente le foyer et la famille (Gagnon 2012). Comme le chien, il représente un contact avec la nature. Il permet à son propriétaire de sortir de l’anonymat quotidien, d’être aimé et reconnu par un compagnon familier lorsqu’il rentre chez lui. Depuis plusieurs décennies, il est aussi digne d’attention que le chien, sur le plan affectueux et scientifique. Le chat fait preuve d’élégance, d’affection et d’intelligence, et ne manque jamais une occasion de faire rire, parfois malgré lui.
La relation homme- furet
Dans l’Antiquité le furet était utilisé dans la lutte contre les rongeurs au même titre que le chat, avec lequel il était souvent confondu, dans les écrits et les représentations iconographiques. Il est intéressant de remarquer d’ailleurs, que le grec ailouros que l’on traduit souvent par chat, et qui donne le nom ailurophiles, signifie en réalité qui remue la queue. D’après les spécialistes, il est difficile de différencier les chasseurs de rongeurs dans les textes antiques où martres, belettes, furets et chats portaient donc ce même nom. En plus de ses qualités dans la lutte contre les nuisibles, le furet a aussi été élevé pour sa fourrure, comme son cousin le vison d’Amérique. Fait insolite, depuis le 20ème siècle, le furet a parfois pour travail de passer des câbles dans des endroits où rien d’autre ne peut les acheminer. Pour les célébrations du millénaire à Londres par exemple, trois furets ont aidé à insérer le câblage nécessaire à une retransmission sonore en faisant passer les furets sous une scène de concert, afin de ne pas abîmer le parc de Greenwich. Ils ont aussi été utilisés aux USA pour la Compagnie du Téléphone (Fox, Marini 2014).
Deuxième fait insolite, le furet est utilisé, malgré lui, dans un « sport » anglais appelé le ferret legging : les participants doivent conserver le plus longtemps possible un furet enfermé dans leur pantalon… et le record est d’environ 5 heures. Cette pratique pour le moins douteuse d’un point de vue éthique, serait originaire du 14ème siècle où la détention de furet était réservée à la noblesse. Des braconniers auraient caché des furets illégaux dans leur pantalon lors de contrôles par les garde-chasses (Tremblay 2000). Le furet et ses proches cousins sont représentés également dans l’art et la culture. Léonard de Vinci peint une hermine blottie dans les bras de sa Dame, et certains pensent qu’il s’agissait en réalité d’un furet. La reine d’Angleterre Elisabeth 1ère (1533-1603) a aussi été immortalisée avec un furet albinos à ses côtés. Les furets albinos sont aussi les animaux préférés de la Reine Victoria (1819-1901). Les furets aux couleurs éloignées de leurs origines putoisées sont donc l’apanage de la haute société pendant des centaines d’années (Tremblay 2000). Aujourd’hui le furet est utilisé comme modèle d’étude en laboratoire pour de nombreuses maladies d’importance vétérinaire ou humaines, comme la maladie de Carré, le parvovirus félin, la rhinotrachéite bovine, et la grippe humaine (Tremblay 2000). Il n’existe pas vraiment de races mais des variétés de furet. En France, aucun standard n’existe pour le moment, contrairement aux États-Unis et à l’Allemagne. On distingue les variétés de furet en fonction de la couleur et de la longueur du poil. De l’Albinos au Dark sable en passant par le Pastel, de nombreuses teintes existent, avec des variations de marquages et de masques. Depuis les années 1990, le furet fait partie des Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC) les plus populaires et est apprécié pour sa vivacité et sa drôlerie, sa sociabilité, son intelligence et sa curiosité. C’est un animal attachant, intelligent et très affectueux.
La relation homme- lapin
Le lapin est consommé dans l’alimentation humaine dès la Rome Antique, sous une forme assez particulière. Le laurices est décrit comme un met très délicat, et désigne des fœtus ou des nouveaux nés consommés entiers. A cette période, le lapin cause déjà des dégâts dans l’agriculture comme en atteste le traité De Re Rustica de Varron (116 à 27 av J.-C.)
Au Moyen Âge en France, l’élevage du lapin va se développer dans les monastères en grande partie pour la consommation de laurices. En effet, les moines chrétiens sont autorisés à en consommer pendant le carême car il est considéré comme un aliment d’origine aquatique. On note également, que s’il n’est pas réellement chassé par l’homme à cette époque, il l’est occasionnellement par la femme : les dames nobles prouvent leur adresse par le tir au lapin dans les jardins des châteaux. C’est sous Napoléon III (1808-1873) que le lapin de garenne est « promu » gibier de tir (Rougeot 2004). En clapier et en garenne, le lapin est donc élevé pour sa chair et sa fourrure et commence à être domestiqué : les couleurs blanches apparaissent au 15ème siècle et témoignent des modifications morphologiques issues de la sélection, comme pour le pelage du chat. Au 19ème siècle, l’autoconsommation de lapin est très répandue dans les fermes françaises et s’étend à la classe ouvrière des banlieues au 20ème. Le lapin angora et l’exploitation de sa fourrure apparaissent également au 19ème siècle. Aujourd’hui le lapin est présent partout dans le monde car il a été introduit artificiellement par l’homme au 19ème et 20ème siècle, notamment en Australie, Nouvelle Zélande, Chili et Terre de feu. Ces expériences n’ont pas toujours eu les résultats escomptés. Véritable espèce invasive, la prolifération massive du lapin cause des dégâts aussi bien à la flore qu’à la faune locale. On essaye alors de réduire la population par des tentatives plus ou moins infructueuses : – en Australie où le gouvernement souhaite diminuer la population de lapins de garenne, toutes les armes utilisées se sont révélées inefficaces : l’introduction du virus de la myxomatose, trop dépendante des vecteurs que sont les moustiques, et donc de la pluviométrie, ne permet pas d’éradiquer le problème, – en France, c’est suite à une initiative privée du Dr Armand-Delille en 1952, que le virus de la myxomatose s’est répandu pour empêcher les lapins de garenne de nuire à l’agriculture. C’est une épidémie qui va de loin dépasser les limites de la propriété du Dr Delille et va toucher l’Europe entière. Les chasseurs et les commerçants de fourrure sont furieux, tandis qu’Armand-Delille reçoit les remerciements du ministère de l’agriculture français. Aujourd’hui encore les populations de lapins de garenne souffrent de ce virus. Dans la culture et la mythologie, le lapin est le symbole du renouveau, de la fertilité et du printemps car il est associé aux fêtes de Pâques. En effet la déesse du Printemps anglosaxonne, Eastre, avait un lapin pour animal familier. Le lapin est aussi l’objet de superstitions populaires : « La patte de lapin, ça porte bonheur, mais pas au lapin » comme le fait remarquer Louis Aragon dans La Diane Française (1944). On attribue aussi des symboles au lapin blanc: la pureté, dans la Madone au Lapin de Titien, la mort et le renouveau, dans la mythologie japonaise, ou encore le but poursuivi par Alice dans les œuvres de Lewis Carroll. Depuis les trente dernières années, le lapin de compagnie s’est installé dans les jardins et les salons des propriétaires citadins. Il est particulièrement apprécié pour sa douceur de pelage, son caractère bien trempé, qui se manifeste par ses coups de pieds au sol, sa curiosité et ses courses folles. Il est attachant et interagit beaucoup avec un maître attentif à ses besoins.
Nous allons ensuite évoquer l’évolution des rapports entre l’homme et les « NAC-àplumes » et « NAC-à-écailles », ainsi que quelques détails législatifs qui entourent ces espèces, considérées comme sauvages. D’après l’article 214-6 du Code Rural, les reptiles et oiseaux sauvages sont bien des animaux de compagnie dans la mesure où ils sont destinés à « l’agrément » de l’homme. La détention d’oiseaux et de reptiles est soumise à une règlementation internationale. Ces règles proviennent de la Convention on International Trade in Endangered Species of wild fauna and flora, tenue en 1973, plus connue sous le nom de la CITES. Ce texte classe les espèces d’animaux et de végétaux en trois catégories en fonction de la menace plus ou moins grande de leur extinction. Les espèces citées en Annexe I sont les plus en danger et leur commerce international, ainsi que celui de leurs sous-produits, est interdit.
La relation homme- tortues
Il convient donc de rappeler que d’après les réglementations françaises, européennes et internationales, les tortues ne sont pas des animaux domestiques. Ce sont des espèces sauvages comme la plupart des reptiles faisant partie des NAC, que l’homme détient pour leur compagnie. La plupart des tortues étant en voie d’extinction dans leur habitat naturel, principalement à cause des prélèvements d’individus sauvages, elles sont fortement protégées par des lois. La détention de certaines tortues est purement interdite, mais pour celles qui ne sont pas en danger, il suffit de souscrire à des règles peu contraignantes : l’identification et la demande d’autorisation d’élevage d’agrément (qui commence dès la détention d’une seule tortue). Ce sont des formalités administratives simples. L’identification est la même que pour les chiens et chats : il s’agit de la pose d’un implant électronique sous cutané par un vétérinaire. Le site de la Fédération Francophone pour l’Elevage et la Protection des Tortues (ffept.org) explique très clairement les démarches à suivre pour tout détenteur de tortue. Les espèces les plus fréquemment possédées en France sont : les tortues Hermann (Testudo Hermanni hermanni et Testudo Hermanni bottgeri), la tortue des steppes (Testudo horsfieldii), et malgré son statut protégé, la tortue grecque (Testudo graeca). Parmi les tortues aquatiques c’est certainement Trachemys scripta, la tortue de Floride, qui est la plus représentée en nombre. Comme les autres NAC, les tortues sont très prisées par le public depuis les 30 dernières années. Les tortues terrestres et aquatiques sont de plus en plus faciles à acheter par des particuliers. Les tortues peuvent parfois paraître faciles à élever et être un animal de compagnie peu exigeant, pouvant convenir à des enfants par exemple, mais chaque espèce a des besoins biologiques et physiologiques particuliers. Par méconnaissance des besoins physiologiques de l’animal, les propriétaires non avertis se retrouvent souvent avec des tortues malades. Selon l’espèce, les tortues peuvent vivre entre 50 et 100 ans : il ne s’agit donc pas d’un engagement à court terme, contrairement à l’adoption de petits mammifères NAC par exemple. Jusqu’au 20ème siècle, l’intérêt de l’homme pour les tortues était purement alimentaire : lentes et peu agressives, les tortues constituaient des proies faciles à capturer sur les territoires où elles étaient présentes naturellement. En Asie, elles sont encore très prisées pour la consommation de leur chair et de leurs sous-produits destinés à la médecine traditionnelle. Le cas le plus dramatique est celui de Cuora trifasciata, supposée capable de guérir le cancer dans la médecine chinoise, qui a été véritablement décimée (Bour, Cadi, Garon 2012). Suite à l’extinction des tortues asiatiques, la Chine a déjà commencé à importer des tortues américaines pour subvenir à une demande croissante. Le goût pour la terrariophilie est la troisième cause de prélèvement dans la nature, après l’alimentation et la médecine traditionnelle (Bour, Cadi, Garon 2012). Les chéloniophiles doivent donc porter une attention particulière à l’origine de leurs tortues s’ils ne veulent pas participer au déclin des espèces qu’ils affectionnent, en privilégiant les animaux issus d’élevages.
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Table des matières
Liste des annexes
Liste des illustrations
Liste des abréviations
Introduction
PARTIE 1 Etude bibliographique de la relation homme-animal et de la psychologie de la personnalité
I. Evolution de la relation Homme-animal
A. Anthropozoologie
B. Domestication et origine des espèces étudiées
1. Domestication du chien
2. Domestication du chat
3. Domestication du furet
4. Domestication du lapin
5. Elevage des tortues
6. Apprivoisement des psittacidés
7. Domestication de la poule
C. Relation homme-animal pour les espèces étudiées
1. Relation homme-chien
2. Relation homme-chat
3. Relation homme-furet
4. Relation homme-lapin
5. Relation homme-tortues
6. Relation homme-psittacidés
7. Relation homme-poule
D. Evolution de la médecine vétérinaire féline et NAC
E. Démographie des animaux familiers en France
II. Apports de la psychologie à l’étude de la personnalité
A. Contexte et introduction à la psychologie de la personnalité
B. Les théories de la personnalité
C. Outils d’évaluation de la personnalité : les tests
1. Principes et limites du Big Five Inventory (BFI)
a. Les 5 dimensions
b. Corrélation à la structure du cerveau
c. Limites du modèle des Big5
2. Principe et limites du Myers-Briggs Type Indicator (MBTI)
III. Caractérisation des propriétaires d’animaux de compagnie
A. Typologie des propriétaires
B. Personnalité des propriétaires
PARTIE 2 Contribution personnelle : Enquête auprès de 1 192 propriétaires
I. Contexte et démarche
A. Intérêt de l’étude
B. Présentation de la démarche de l’étude
II. Enquête préliminaire : entretiens semi directifs (ESD)
A. Conception des ESD
B. Description des répondants
C. Apports des ESD
D. Difficultés liées aux entretiens
III. Enquête par questionnaire
A. Test et diffusion du questionnaire
B. Le corps du questionnaire
1. Le test de personnalité : autorisations et traduction
2. Nombre et liste des animaux possédés
3. Possession et préférence
4. Choix de l’animal
5. Expérience passée
6. Type de possession mono/multi
7. Identification
8. Médicalisation et utilisation des nouvelles technologies
9. Données démographiques
IV. Analyse des résultats
A. Dépouillement et méthode d’analyse
B. Données démographiques et générales
1. Démographie des propriétaires
2. Démographie des animaux
3. Comparaisons démographiques entre propriétaires chiens et chats
4. Données démographiques des propriétaires de NAC
C. Analyse et comparaison du choix de l’animal
1. Choix des chiens
2. Choix des chats
3. Choix des NAC
D. Analyse de l’identification
E. Expérience passée
1. Lien entre expérience et préférence
2. Lien entre expérience et possession
3. Lien entre expérience et identification
4. Lien entre expérience et personnalité
F. Médicalisation et utilisation des nouvelles technologies
1. Assurances
2. Traitements antiparasitaires
3. Stérilisation
4. Vaccination
V. Résultats du test de personnalité
A. Traitement statistique
B. Méthode statistique et présentation des résultats
C. Personnalité selon les variables d’intérêt de l’étude
1. Personnalité selon le genre
2. Personnalité selon la possession
a. Etude de la préférence
b. Etude du type de possession
3. Personnalité selon l’identification à l’animal
VI. Discussion
A. Objectifs de l’étude
1. Différences de personnalité selon le genre
2. Différences de personnalité selon la préférence et le type de possession
3. Différences de personnalité selon l’identification
4. Différences de possession et d’identification selon l’expérience passée
5. Cas particulier des NAC dans l’étude
B. Synthèse des résultats sur la personnalité
1. La personnalité est liée à la préférence
2. La personnalité est liée au type de possession
3. La personnalité est liée à l’identification de l’animal
4. L’expérience passée comme explication des différences
C. Comparaison à la littérature sur la personnalité des propriétaires
1. Comparaisons pour les chiens et chats
2. Comparaisons pour les NAC
D. Limites de cette étude
1. Représentativité de l’échantillon
2. Limites et biais dans l’enquête
a. Limites de l’analyse statistique
b. Biais dans l’enquête psychosociale
– Effet barnum – Désirabilité sociale – Artéfacts du questionnement
c. Limites dans la construction et la diffusion du questionnaire
– Traduction du test de personnalité – Stratégie de diffusion et attractivité du questionnaire
Conclusion
Bibliographie
Annexes
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