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Activités de la société
BHL Madagascar est une société à responsabilités limitées oeuvrant dans la prestation de services concernant l’hygiène.
La prestation de services en hygiène comporte quatre sous activités, à savoir : la dératisation, la désinsectisation, la désinfection et la fumigation.
La dératisation ou DRT:
Cette opération consiste à réduire un peuplement de rongeurs vivant dans des endroits bien déterminés à un niveau inférieur au seuil de nuisibilité.
La désinsectisation ou DSS:
Elle consiste à éliminer tous les arthropodes nuisibles (araignées, insectes,…) vivant dans un endroit bien déterminé à niveau inférieur au seuil de nuisibilité.
La désinfection ou DSF:
Qui est préconisée pour éliminer les microbes, bactéries et virus dans un endroit bien déterminé.
La fumigation ou FUM:
C’est une technique spéciale utilisée dans la lutte contre les insectes à l’intérieur des marchandises stockées, par l’emploi de fumigènes (comprimés ou pastilles ou plaquettes).
Organigramme de la société
L’organigramme de la société BHL Madagascar adopte la ligne hiérarchique. C’est-à-dire : que tout est sous contrôle de la gérante, ainsi la direction supervise toute décision prise par les employés.
L’organigramme se compose de seize (16) postes différents dont :
Le coordonnateur.
Le contrôleur de gestion.
Trois (3) responsables (celui du planning, celui de la qualité et le chef comptable) qui sont placés au même rang et en contact direct avec la direction sous lesquels viennent s’aligner :
L’assistant commercial.
Le chef d’agence.
Le gestionnaire parc auto et maintenance.
Le contrôleur qualité.
L’assistante administrative et financière.
Le chargé de recouvrement.
Sur le même rang que ces postes mais en contact direct avec la gérante, se situe le technico- commercial. En bas de leur, se rangent :
Le chef d’équipe qui peut être en contact direct avec le responsable planning.
Le technico – administratif sous le contrôle du chef d’agence.
les applicateurs.
Enfin :
L’ouvrier polyvalent et les femmes de ménages agissent sous le contrôle de l’assistante administrative et financière.
L’organigramme de la société est donné sur la figure n°1 ci-dessous.
Origine et historique des plantes
Il doit son nom à Tagès, petit-fils de Jupiter, probablement en raison de la facilité qu’ont les plantes de cette espèce à ressortir chaque année de terre, grâce aux graines produites l’année précédente.
Originaire d’Amérique du Sud, Tagete minuta est aujourd’hui très développée en Afrique de l’Est : d’Afrique du Sud jusqu’au Rwanda, en passant par Madagascar.
Description botanique
– Ordre : asterales.
– Famille : asteraceae.
– Genre : tagète.
– Nom latin : Tagète glandulifera.
– Nom vernaculaire : Bodamaimbo, Maimbo kely.
Promotion 2009.
C’est une herbe ou arbrisseau aromatique très odoriférant de 60 à 120 cm de hauteur qui pousse spontanément au printemps, garnie d’un bouquet de petites fleurs jaunes au sommet. Feuilles : feuilles composées dentées avec phyllotaxie distique. Tiges : les tiges sont herbacées c’est-à-dire de couleur verte, souple et de faible épaisseur.
Usages thérapeutiques traditionnels des plantes
Elle a été utilisée à une certaine époque en infusion pour traiter les infections respiratoires et gastriques.
Elle est utilisée comme aromate pour les viandes.
Etude botanique et ethnobotanique
Origine et historique des plantes
L’ « eucalyptus » vient du mot grec eu, « bon » et kalypto, « couvrir », car ses pétales et sépales sont soudés.
Originaire de l’Australie, Tasmanie, Malaisie. Cette plante a été introduite plus tard dans des nombreux pays tels que le Portugal, l’Afrique du nord, l’Algérie, le Maroc, l’Europe. Elle est rencontrée aussi dans les îles de Madagascar, de Mayotte et de la Réunion, au Sri Lanka, en Afrique du Sud et en Californie.
Les eucalyptus dominent d’ailleurs à 95% des forêts australiennes avec plus de six cents espèces. Ils possèdent toute une gamme de mécanismes d’adaptation et ont une croissance rapide, ce qui leur permet d’être présents dans une grande gamme d’environnements.
Distribution géographique
Le gommier rouge est un arbre trouvé dans de nombreuses parties du monde. C’est un des eucalyptus le plus cultivé au monde (5000 km² de plantation en 1980).
A Madagascar, il existe dans presque dans toutes les régions de l’île.
Usages thérapeutiques traditionnels des plantes
L’Eucalyptus rostrata, en ingestion, en bain ou en inhalation constitue le remède miracle des maladies respiratoires.
Activités pharmacologiques des plantes
L’huile essentielle de l’Eucalyptus Rostrata est antiseptique, sédative contre les douleurs de piqûres d’insectes, efficace contre la colibacillose, les affections génito-urinaires et le diabète ; en remède pectoral, en frictions légères contre les douleurs du rhumatisme ; elle fait espacer les crises d’épilepsie.
Eucalyptol, eucalyptine sont des médicaments contre la toux, bronchite et pneumonie, laryngite, trachéite, rhinite, sinusite.
Quelques méthodes d’extraction des huiles essentielles [4], [5], [6]
L’extraction peut être réalisée selon trois méthodes :
– La séparation physique.
– La séparation mécanique.
– La séparation chimique.
Séparation physique : distillation
La distillation consiste à réaliser le transfert de la substance volatile sous l’action de la chaleur puis à procéder à la condensation de la vapeur.
Il existe trois variantes de cette technique pour l’extraction de l’HE:
– L’ hydrodistillation.
– L’ hydrodiffusion.
– L’entrainement à la vapeur.
Hydrodistillation
Ce procédé va mettre en contact la matière végétale et l’eau et le tout est porté à ébullition. L’élévation de température provoque l’éclatement des cellules végétales et la libération des composés volatils. La vapeur émise composée d’huile essentielle et de vapeur d’eau va ensuite passer dans le réfrigérant. Le distillat refroidi est composé de la phase huileuse et de l’eau florale.
Entraînement à la vapeur
L’entraînement à la vapeur consiste à exposer la matière végétale à des courants de vapeur d’eau injectée au fond de l’alambic, durant une période variable selon la nature du végétal, et entraînant toutes substances étheriques et solubles dans l’eau. Ces composés et l’eau se retrouvent mélangés dans le condensat recueilli après refroidissement.
Si l’extraction se fait à feu nu, l’alambic est directement posé sur le foyer à l’aide d’une ceinture pose de cuve. Si on utilise une chaudière, le fond de l’alambic est relié à la chaudière par un tuyau collecteur de vapeur.
Séparation mécanique : Expression
L’expression consiste à soumettre la substance végétale préliminairement broyée à une forte pression mécanique afin d’extraire des arômes ou des parfums dans les plantes. Cette technique d’extraction s’applique souvent pour les écorces et les fruits de genre citrus.
Séparation chimique : extraction par solvant
Cette extraction consiste à transférer le principe actif à partir d’un végétal solide vers un solvant. Le matériel végétal dont on veut extraire l’huile essentielle est placé dans des grilles puis dans des cuves appelées extracteurs. On les remplit de solvant et on effectue ainsi plusieurs lavages successifs. Le mélange est ensuite envoyé dans un décanteur où on le laisse reposer : cette phase de repos va permettre d’obtenir deux phases. Celle au fond contiendra l’eau contenue dans les plantes, l’eau étant plus lourde que le solvant. Celui-ci sera en surface.
Les huiles essentielles étant très soluble dans le solvant, elles se trouvent dans la même phase. Il suffit donc d’éliminer l’eau. Ensuite, évaporer le solvant afin d’obtenir une huile essentielle.
Caractérisation des huiles essentielles
Caractéristiques physiques :
Les huiles essentielles sont caractérisées par leurs propriétés physiques suivantes :
Indice de réfraction :
L’indice de réfraction d’une huile essentielle se définit comme le rapport entre le sinus de l’angle d’incidence et celui de l’angle de réfraction d’un rayon lumineux de longueur d’onde déterminée, passant de l’air à l’huile essentielle maintenue à une température constante.
L’indice de réfraction d’une huile essentielle est généralement élevé.
Pouvoir rotatoire :
Le pouvoir rotatoire donne l’angle où tourne le plan de polarisation d’une radiation lumineuse de longueur d’onde déterminée correspondant aux raies D du sodium, lorsque celle-ci traverse une épaisseur de 100mm d’huile essentielle dans des conditions déterminées de température.
Le pouvoir rotatoire d’une huile essentielle est déterminé par la lecture sur l’appareil appelé « polarimètre ».
Le pouvoir rotatoire indique donc la présence des molécules chiraux ou asymétriques dans l’huile essentielle.
Densité :
La densité relative à 20°C d’une huile essentielle indique le rapport de la masse d’un certain volume d’huile essentielle à 20°C, à la masse d’un égal volume d’eau distillée à 20°C.
Cette grandeur est sans dimension, et son symbole est :
En général, l’huile essentielle a une densité faible inférieure à 1, mais quelques huiles essentielles présentent une densité supérieure à 1.
– Pour d : l’huile essentielle est dite légère.
– Pour d : l’huile essentielle est dite lourde.
Méthode de séparation et d’analyse des extraits : chromatographie
La chromatographie est la technique d’analyse chimique utilisée pour séparer les constituants d’un mélange.
La technique de la chromatographie est fondée sur le principe de l’adsorption sélective des différents constituants (phase mobile) sur une phase fixe, ou sur leur partage en présence de phases liquides ou gazeuses.
Il existe trois variantes de cette technique à savoir :
– La chromatographie en couche mince (CCM).
– La chromatographie sur colonne.
– La chromatographie en phase gazeuse (CPG).
Chromatographie sur couche mince
La chromatographie sur couche mince est utile dans le fractionnement, non seulement comme processus final pour la purification, mais également comme méthode pour surveiller la composition des fractions obtenues par d’autre processus de fractionnement
Le mélange à analyser est préalablement mis en solution. Une petite quantité (tache) de ce mélange liquide est déposée sur la plaque. La phase mobile migre de bas en haut, par capillarité, le long de la phase fixe en entraînant les constituants du mélange. C’est le phénomène d’élution, il permet la séparation des constituants du mélange à analyser. Chaque constituant migre à une certaine hauteur, caractéristique de la substance, appelée rapport frontal ou rétention frontale (Rf).
Chromatographie sur colonne
La chromatographie sur colonne est une méthode importante pour la séparation d’un produit contenant des impuretés difficiles à enlever par distillation ou cristallisation. Cette technique sert également à séparer des produits organiques d’un mélange.
L’appareillage est constitué d’une colonne, remplie d’adsorbant, en général, l’alumine ou le gel de silice, à la surface superficielle duquel est déposé l’extrait sous forme de solution ou de pâte. Ensuite la colonne est parcourue par un courant d’éluant liquide qui permet la succession d’adsorption et de désorption des constituants ainsi que leur séparation.
Chromatographie en phase gazeuse
Elle permet de séparer des mélanges de gaz ou de composés vaporisables à haute température. Le mélange à analyser est injecté dans une colonne métallique de quelques millimètres de diamètre, enroulée sur elle-même et contenant la phase fixe. Les composés sont véhiculés sous pression par un gaz inerte, le gaz vecteur. Le temps que met un constituant gazeux pour parcourir la colonne correspond à son temps de rétention, il est caractéristique au composé. Les constituants sont ainsi séparés par la différence entre leurs temps de rétention respectifs. Le choix de la phase stationnaire est déterminant pour la réussite de la séparation. Cette phase est choisie selon sa porosité et ses interactions avec la phase mobile, elles dépendent en particulier de la différence de polarité entre les deux phases.
Caractéristiques des bioinsecticides
En général, le mode d’action de l’insecticide et du bioinsecticide sont fondés sur la perturbation anatomique, physiologique ou biochimique dans le métabolisme de l’insecte : attaque au système nerveux, perturbation de la respiration cellulaire et de la mise en place de la cuticule.
L’action de l’insecticide sur les différents insectes varie en fonction des produits utilisés selon leur composition et leur nature.
Il se distingue par leurs produits actifs qui agissent :
après ingestion : au niveau du tube digestif des insectes .
par contact : souvent absorbés par la cuticule des insectes (couche organique solide constituant le squelette externe des insectes) .
par inhalation : il s’git des fumigants gazeux qui se diffusent rapidement dans l’hémolymphe des insectes .
sur la chitine (substance organique, principal composant du squelette externe des insectes) : provoquant un dessèchement immédiat et la mort de l’insecte, mais ils n’attaquent pas le système nerveux de l’insecte.
De manière répulsive: en repoussant les insectes très utilisés comme barrière à une maison.
Différents types de bioinsecticides
Les bioinsecticides comprennent deux types : les insecticides biologiques et les insecticides naturels.
Les insecticides biologiques concernent les prédateurs naturels. :
Ces prédateurs sont des ennemis naturels d’une espèce, ils appartiennent à des groupes biologiques très divers : micro-organismes, insectes, vers, oiseaux, mammifères.
Ils peuvent servir pour la lutte biologique en les introduisant dans l’endroit à protéger pour minimiser la surpopulation de l’espèce qui y vit.
On citera quelques prédateurs naturels et leurs nourritures :
– la taupe avale des vers de terre, des insectes, des larves .
– la chauve-souris raffolent d’insectes en grand nombre .
– les araignées sont redoutables pour les insectes.
– les oiseaux sont souvent insectivores .
Les insecticides naturels se rapportent aux insecticides d’origine végétale :
Il s’agit d’extraits de plantes obtenus par les différentes méthodes d’extraction chimique émanant une activité biocide à savoir : des huiles essentielles, des alcaloïdes, des saponines, des flavonoïdes…
Ils n’ont aucun effet sur les hommes et les animaux à sang chaud car ils ne contiennent pas de composés très nocifs tels les dérivés chlorés, phosphorés…. et ne présentent pas des risques pour l’écosystème.
On citera quelques exemples :
– La Roténone, cette substance extraite des racines de différentes plantes tropicales, de feuilles et de graines agit sur le système respiratoire des insectes .
– Le Pyrèthre est élaboré à base de feuilles de chrysanthèmes de différentes variétés (pyrèthre de Dalmatie: chrysanthemum cinerariaefolium, P. caucasicum, P. tamrutense), cet insecticide attaque le système nerveux des insectes .
– La nicotine, extraite au niveau des feuilles et des tiges du tabac, Nicotiana tabacum (Solanaceae). Cet alcaloïde agit par inhalation, ingestion et contact. La nicotine a des propriétés acaricides, insecticide et fongicide.
Plantes attractives ou répulsives des insectes :
Des plantes ont des fortes odeurs qui déplaisent aux insectes mais, par ailleurs, certaines autres attirent les insectes. Elles sont appelées « plantes pièges ».
Quelques exemples comme :
– les tagetes attirent les nématodes, tandis que les capucines attirent les pucerons.
– La Sauge, le romarin, le thym, le moutarde, le persil, la trèfle : pour lesquelles le parfum éloigne la piéride du chou (papillon), les limaces et les escargots .
– L’absinthe ou l’armoise déplaît à beaucoup d’insectes. Traditionnellement, elle est plantée près des groseilliers pour les protéger des parasites.
– L’oeillet d’Inde a un effet répulsif sur les insectes.
Paramètres de mesure de la toxicité d’une substance
Dans des conditions normales de température, les principales voies dans lesquelles les substances toxiques peuvent pénétrer dans l’organisme sont :
– L’inhalation.
– La pénétration à travers la peau.
– L’ingestion.
Les doses nécessaires pour induire un effet nocif varie énormément selon la substance. La DL50 et le CL50 sont utilisées.
La dose létale 50 ou DL50 :
Ce paramètre est utilisé pour désigner la quantité de la substance pouvant causer la mort de 50% de la population examinée.
La DL50 est exprimée en mg par kg du poids corporel de l’animal soumis à l’essai pendant une durée de contact bien déterminée (généralement 24 heures).
La concentration létale ou CL 50 :
Ce paramètre est utilisé pour indiquer la concentration de substance toxique contenu dans l’air inspiré et causant la mort de 50% de la population examinée.
La CL50 est exprimée en ml par kg du poids corporel de l’animal à l’essai, exposé à la substance par inhalation pour une durée déterminée (généralement 4 heures).
Méthode par saupoudrage de contact [20]
Le test biologique se réalise dans des boîtes de pétri. Le principe consiste à saupoudrer les insectes d’un mélange de la substance organique à tester avec un support solide (Kaolin) permettant d’obtenir une poudre d’insecticide.
Les insectes sont introduits avec précaution dans les boîtes de pétri, le nombre acceptable d’insectes à chaque boîte de pétri est d’environ 10. Une petite quantité de farine de céréale servant de nourriture aux insectes y est versée.
Les poudres insecticides, en concentration désirée, sont introduites dans la boîte de pétri de manière à ce qu’elles couvrent les graines et les insectes de façon homogène.
La durée du test est de 48 heures et le comptage des insectes morts s’effectue toutes les 24 heures.
Méthode par fumigation [20]
Le test biologique s’effectue dans une chambre de forme cubique. Le principe consiste à exposer les insectes à la vapeur des insecticides.
Le nombre des insectes introduits dans la chambre est de 20. Le test dure 24 heures et le comptage des insectes morts est effectué toutes les 4, 8, 12, et 24 heures. Le test est réalisé à une température ambiante.
La vapeur de l’insecticide peut être obtenue, soit par évaporation de la substance organique à tester, soit par incinération du support contenant la substance organique à tester. La vapeur de l’insecticide est introduite par des trous munis d’un tuyau à la chambre contenant les insectes.
Résultat d’analyse sur CPG
L’analyse par chromatographie en phase gazeuse d’un échantillon de cette huile a été effectuée à la Direction pour la Protection des Végétaux (DPV).
Conditions opératoires :
– Colonne mégabore, CARBOWAX (30m 0.53mm 1μm).
– Four : 60°C à 210°C (3°C/mm).
– Température Détecteur (FID) : 260°C.
– Température injecteur : 240°C.
– Gaz vecteur : Azote U- Débit : 15ml/mm /injection : splitless.
– intégration : pourcentage d’aire.
Analyse des effets du projet sur l’environnement
Impact sur le milieu humain
Leur exploitation permet d’augmenter la production agricole et contribue à l’amélioration des revenus monétaires des paysans en relevant de niveau de vie de la population.
Les insecticides naturels ne présentent pas de danger à la vie humaine c’est à dire ils sont moins toxiques sauf à dose élevée.
L’autosuffisance du pays en insecticide naturel va diminuer l’importation des insecticides de synthèses.
Impact sur le milieu naturel
Les insecticides naturels sont biodégradables et ne posent aucun danger pour l’écosystème. Mais leurs préparations présentent quelques problèmes pour l’environnement.
Impact pendant la récolte des plantes :
– La récolte des feuilles, de l’écorce et de la racine entrainent l’arrêt de la croissance des plantes en volume et en nombre et même leur disparition.
– La dégradation des sols et l’érosion c’est-à-dire une instabilité de terrain à cause de l’inexistence des racines d’arbres qui vont soutenir les sols.
– Les changements climatiques provoqués par la diminution des plantes.
– Le changement du paysage
Impact pendant l’extraction des plantes :
Après l’extraction, les résidus sont en grandes quantités et contiennent des composés aromatiques ou seulement des molécules organiques hydrosolubles.
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Table des matières
Partie I : Etude bibliographique
Chapitre I : Présentation du BHL Madagascar
I. Historique de la société
II. Statut de la société
III. Activités de la société
IV. Organigramme de la société
Chapitre II : Généralité sur les plantes étudiées
I. Tagete minuta
I.1.Etude botanique et ethnobotanique
I.1.1.Historique des plantes
I.1.2.Etude botanique
I.1.3.Distribution géographique
I.1.4.Usages thérapeutique traditionnel de la plante
I.2Activités pharmacologique de la plante
II. Eucalyptus rostrata
II.1.Etude botanique et ethnobotanique
II.1.1.Historique des plantes
II.1.2.Etude botanique
II.1.3.Distribution géographique
II.1.4.Usages thérapeutique traditionnel de la plante
II.2.Activités pharmacologique de la plante
Chapitre III : Les différentes méthodes extractives d’une plante
I. Définition des huiles essentielles
II. Quelques méthodes d’extraction des huiles essentielles
II.1. Séparation physique : Distillation
II.1.1Hydrodistillation
II.1.2Hydrodiffusion
II.1.3Entraînement à la vapeur
II.2.Séparation mécanique : expression
II.3.Séparation chimique : extraction par solvant
III. Caractérisation des huiles essentielles
III.1.Caractéristiques physiques
III.2.Caractéristiques chimiques
IV. Méthode de séparation et d’analyse des extraits
IV.1.Chromatographie sur couche mince
IV.2.Chromatographie sur colonne
V.3.Chromatographie en phase gazeuse
Chapitre III : Généralités sur les insectes et les bioinsecticides
I. Généralité sur les insectes
I.1.Généralité sur les insectes
I.2.Quelques notions sur les insectes testés
II. Généralités sur les bioinsecticides
I.1.Définition et caractéristiques des bioinsecticides
I.1.1.Définition
I.1.2.Caractéristiques
I.1.3.Différents types des bioinsecticides
I.2.Notion toxicologique
I.2.1Définition
I.2.2.Paramètres de mesure de la toxicité d’une substance
Chapitre V : Généralités sur les méthodes de tests biologique des insecticides
I. Méthode par pulvérisation de contact
II. Méthode par saupoudrage de contact
III. Méthode par fumigation
Partie II : Partie expérimentale
Chapitre I : Résultats d’extraction des huiles essentielles
I. Matérielle végétale et méthode d’extraction
I.1.Tagete minuta
I.2.Eucalyptus rostrata
II. Caractéristiques et résultats d’analyse sur CPG des HE
II.1. Tagete minuta
II.1.1.Carateristiques
II.1.2. Résultat d’analyse sur CPG
II.2.Eucalyptus rostrata
Chapitre II : Tests biologiques des HE obtenues
I. Préparation de la solution de pulvérisation
II. Effet biologique de l’HE de la Tagete minuta
II.1.Effet biologique sur les mouches
II.2.Effet biologique sur les moustiques
II.3.Interprétation
III. Effet biologique de l’HE de l’Eucalyptus rostrata
III.1.Effet biologique sur les mouches
III.2.Effet biologique sur les moustiques
III.3.Interprétation
IV. Effet biologique d’un insecticide de synthèse
IV.1.Effets biologiques sur les mouches
IV.2.Interprétation
V. Comparaison de l’efficacité des insecticides
VI. Conclusion
Partie III : Evaluation économique et étude d’impact environnemental
Chapitre I : Evaluation économique
I. Objectif
II. Etude financière
II.1.Les matières premières
II.2.Coût de production
III. Avantages et inconvénients
III.1. Avantages
III.2. Inconvénients
Chapitre II : Approche environnemental
I. Analyse des effets du projet sur l’environnement
I.1.Impact sur le milieu humain
I.2.Impact sur le milieu naturel
II. Mesures d’atténuation et quelques perspectives
III. Conclusion
Conclusion générale
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