Evaluation des habitudes d’hygiène orale et de l’état de santé dentaire et parodontale

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Le système scolaire et l’éducation

Il existe deux systèmes éducatifs où l’enfant peut évoluer parallèlement et simultanément : l’école coranique et l’école officielle.

L’école coranique

Elle est une institution séculaire et démocratique par excellence, très fortement implantée dans le pays du fait que la population est à 100% musulmane. Chaque village en possède plusieurs. La mission de cette école est de dispenser un enseignement religieux visant à renforcer la culture et la religion islamique. Cette institution entièrement autonome, est une initiative du maître qui accueille les enfants chez lui et qui fixe lui-même son organisation en dehors de toute hiérarchie. Elle échappe à tout contrôle de l’Etat. L’enfant peut y séjourner à partir de 3 ans jusqu’à l’âge de sa majorité. Les langues d’enseignement sont le Shikomori (langue nationale) et l’arabe.

L’école officielle

Elle est une institution inspirée du modèle français, placée sous la tutelle du Ministère de l’Education Nationale, comportant quatre niveaux, dont l’enseignement préélémentaire à ce jour entièrement communautaire et privé, et les enseignements élémentaires, secondaires et supérieurs. Les langues d’enseignement sont le français et l’arabe. Jusqu’à la fin des années 1980, l’enseignement aux Comores était essentiellement dispensé dans des établissements publics. Depuis le début de la décennie 90, l’enseignement privé connaît un développement rapide, en partie lié aux perturbations qui ont affecté le fonctionnement des établissements publics.

Enseignement pré-élémentaire

Ce premier niveau d’enseignement est dispensé dans deux types d’établissements : les écoles maternelles privées et les centres préscolaires
• Les écoles maternelles privées accueillent les enfants de trois à cinq ans et organisent sur trois ans des activités pédagogiques bien structurées, visant le développement intellectuel et psychomoteur des enfants et les préparant à l’enseignement élémentaire. Ces établissements sont implantés dans quelques centres urbains.
• Les centres préscolaires sont une institution communautaire issue de la combinaison de l’école coranique traditionnelle et de l’école maternelle. Ils concilient les objectifs d’islamisation des enfants comoriens et de leur préparation à l’enseignement élémentaire.

Enseignement élémentaire

L’enseignement élémentaire, d’une durée de six ans, comprend trois cycles de deux années : cours préparatoire (CP1 et CP2), cours élémentaire (CE1et CE2) et cours moyen (CM1 et CM2). L’âge officiel d’entrée au CP1, depuis la promulgation de la Loi d’Orientation en janvier 1995, a été ramené de 7 à 6 ans. Depuis 1992, le nombre d’écoles publiques est resté stationnaire : 262 écoles. Par contre, le nombre d’établissements privés n’a cessé d’augmenter, surtout en milieu urbain. Le Diplôme de Fin d’Etudes Elémentaires (DFEE) sanctionne ce niveau d’étude.

Enseignement secondaire

Il comprend 2 cycles : le premier cycle et le second cycle.
• L’accès à l’enseignement secondaire du premier cycle se fait par concours, dont la sélectivité varie suivant les années. Les études, d’une durée de quatre ans, se font dans des collèges, qualifiés de «ruraux » et des établissements privés de plus en plus nombreux surtout en milieu urbain. Le pays compte 47 collèges publics dont 6 à Mohéli, 14 à Anjouan, et 27 à la Grande-Comore. A ceci s’ajoute 89 collèges privés dont 4 à Mohéli, 27 à Anjouan, et 58 à la Grande-Comore.
Parallèlement à ce type d’enseignement, six collèges arabo-islamiques dispensent des cours aux enfants issus des «madrasas » (écoles coraniques). Le ministère de l’éducation nationale n’arrive pas à assurer le contrôle et l’encadrement pédagogique approprié, faute de ressources humaines spécialisées. Le Brevet d’Etude de Premier Cycle (BEPC), sanctionne ce premier cycle secondaire.
La population cible de notre étude est issue de cet ordre d’enseignement.
• L’enseignement secondaire du deuxième cycle comprend deux filières : générale, technique et professionnelle
– la filière générale est la plus importante et comporte une série littéraire (A) et deux séries scientifiques (C et D). Cet enseignement est assuré dans dix lycées publics et des établissements privés, dont le nombre augmente très rapidement. Le baccalauréat sanctionne le cycle secondaire et conditionne l’accès à l’enseignement supérieur.
– la filière technique et professionnelle, assure des formations de niveau BEPC (Brevet d’Etude de Premier Cycle) en électricité, mécanique, bâtiment à l’Ecole nationale technique professionnelle (ENTP), et en gestion et administration dans la nouvelle Ecole Nationale d’Administration et de Commerce (ENAC).
Le Service d’Education Rurale (SER) de Nvuni, qui est devenu le Centre National Horticole (CNH), mène des actions de formation en horticulture de courte durée, en faveur des déscolarisés et des groupements de paysans. Le service accompagne également les stagiaires dans leurs efforts d’insertion professionnelle.

Enseignement supérieur

Il est assuré par l’Université des Comores et l’Ecole Nationale de Santé [25].

Le système sanitaire

Les Comores ont adhéré aux principes de la déclaration d’Alma Ata, au scénario africain de développement sanitaire en trois phases et à l’initiative de Bamako, dont l’objectif principal est la santé pour tous, à travers une stratégie basée sur le développement des soins de santé primaires [30].
La réforme du système sanitaire a été entreprise à partir de 1994 avec l’élaboration du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS), perspectives 2010. Ce plan met l’accent sur le renforcement des districts sanitaires, la décentralisation effective dans la gestion des activités, l’approvisionnement en médicaments essentiels et le recouvrement des coûts.
Les états généraux de la santé, organisés en novembre 2001, ont permis de faire le point sur la mise en œuvre de cette réforme et mis en évidence le dysfonctionnement du système de santé dû entre autres à la persistance du conflit de compétences entre les gouvernements des îles et celui de l’Union, la faible contribution de l’État au fonctionnement des structures de santé, l’utilisation inadéquate des ressources humaines existantes, la faible capacité de mobilisation des ressources pour soutenir le processus de réforme et l’insuffisance de coordination des intervenants dans le secteur de la santé [30].

Organisation

Aux Comores, le système de santé est pyramidal avec trois niveaux hiérarchiques : niveau central, insulaire et périphérique.
– Le niveau central est composé du Cabinet du Ministre, de l’Inspection Générale de la Santé, du Secrétariat Général, de la Direction Nationale de la Santé, des Directions et Services chargés de la coordination des programmes et projets de santé publique et de la Pharmacie Nationale Autonome des Comores (PNAC).
– Au niveau insulaire ou des îles Autonomes, le système de santé est constitué de l’administration sanitaire de l’île comprenant le Ministre de la santé et son Cabinet assisté d’un directeur de la santé, des responsables de services de santé et des Centres Hospitaliers Régionaux (CHR).
– Au niveau périphérique, il est constitué par les différents responsables des districts sanitaires, des centres médicaux chirurgicaux et des postes de santé.

Ressources

Il s’agit des ressources infrastructurelles et humaines

Ressources infrastructurelles

On dénombre l7 districts sanitaires dont 7 en Grande-Comore, 7 à Anjouan et 3 à Mohéli. Ces l7 districts sanitaires incluent 2 Centres Médico-chirurgicaux (CMC) à Anjouan et Ngazidja (Grande-Comore) et un Centre Médical Urbain (CMU) au niveau de chaque île. En plus des Centres de Santé de District (CSD), il y a 49 Postes de Santé (PS) qui constituent le tout premier contact de la population avec les services de santé.
Il faut ajouter un réseau de dispensaires de santé des Armées, le dispensaire CARITAS de la Mission Catholique et un secteur privé mal organisé mais en pleine expansion. Les hôpitaux sont des établissements publics à caractère administratif avec autonomie de gestion. Les Centres Hospitaliers Régionaux (CHR) de référence assurent des missions de prise en charge des malades référés par les formations sanitaires périphériques. Ils sont administrés par des Conseils d’Administration (CA) qui constituent les organes d’orientation et de prise de décision. Les Centres de Santé de District quant à eux sont gérés avec la communauté dans le cadre du système de recouvrement des coûts sous l’égide d’un conseil d’administration dont les membres sont élus au niveau de cette communauté.
Chaque district sanitaire est doté soit d’un Centre Médical Chirurgical (CMC) soit d’un Centre de Santé de District et d’un certain nombre de Postes de Santé (PS) où sont réalisées toutes les activités de soins de santé primaires. Le district sanitaire est placé sous la responsabilité d’un Médecin chef qui dirige l’équipe de santé de district.
Grâce à l’existence de toutes ces structures, l’accessibilité géographique à un centre de santé dans un rayon de 5 kilomètres est estimée à 45% à la Grande-Comore, 74% à Anjouan et 69% à Mohéli soit une moyenne globale de 63% pour l’ensemble du pays. Les taux de fréquentation des formations sanitaires en Grand-Comore, Anjouan, et Mohéli sont respectivement de 14,7%, 20,21% et 8,92% ; le taux national étant de 10,25%. Le taux moyen d’occupation des lits est de 20% à 60% avec de fortes variations selon les saisons et selon les centres de santé [30].
• Secteur pharmaceutique public
La Pharmacie Nationale Autonome des Comores (PNAC) assure l’approvisionnement et la distribution des médicaments essentiels dans les formations sanitaires. Elle dispose dans chaque île d’un dépôt de médicaments et de matériels médicaux et aussi des dépôts de vente. L’évaluation du secteur pharmaceutique en 2003 a révélé l’existence de dépôts pharmaceutiques non conformes au code de la santé publique [30]. De même 89,5% des vendeurs de médicaments ne sont pas qualifiés. Bien que des mesures aient été prises depuis 1999 pour réduire les taxes sur les médicaments essentiels, la disponibilité en médicaments est très faible : 54,4% à Ngazidja (Grande-Comore), 36% à Anjouan et 36% à Mohéli.
Il n’existe pas de laboratoire national qui permettrait de contrôler la qualité des médicaments importés ou conditionnés localement. De plus, nous avons noté le développement croissant du marché illicite des médicaments, une disparité des prix selon les structures, ainsi qu’une absence de contrôle systématique des prix des médicaments.
• Secteur privé
Aux Comores, le secteur privé est en pleine expansion. Toutefois il n’est pas encore bien organisé et structuré. Dans chaque île la situation se présente comme suit
En Grande-Comore
¾ 23 cabinets médicaux
¾ 6 structures d’hospitalisations dont 4 réalisent des activités chirurgicales et /ou obstétricales
¾ 9 officines
¾ 2 laboratoires d’analyse biomédicale.
A Anjouan
¾ 5 cabinets médicaux;
¾ 1 groupement médical avec une unité d’hospitalisation médicale;
¾ 2 officines.
A Mohéli
¾ 1 cabinet médical
¾ 1 officine.
I.3.2.2. Ressources humaines
Le recensement du personnel de santé au niveau national, réalisé en 2007, ressort que le pays dispose environ de 2 Médecins, 3 Infirmiers d’Etat et plus de 2 Sages femmes d’Etat pour 10.000 habitants.

Rappels sur l’hygiène orale, la carie dentaire et les parodontopathies

Hygiène orale

Définition

L’hygiène bucco-dentaire se définit comme étant « l’ensemble des mesures prises, par le patient et par l’équipe dentaire, pour empêcher l’accumulation de plaque bactérienne et d’autres dépôts sur les dents et la gencive voisine » [41].
Elle fait appel à des moyens matériels et des techniques

Matériels d’hygiène

Des moyens matériels divers et variés sont à notre disposition mais le choix va dépendre de plusieurs facteurs tels que le degré d’inflammation gingivale, l’état dentaire, des appareils prothétiques en bouche, et des moyens financiers du patient. Ces moyens sont essentiellement :
¾ la brosse à dents,
¾ le bâtonnet frotte dents,
¾ le fil dentaire,
¾ le dentifrice,
¾ le bâtonnet inter-dentaire,
¾ le cône de stimulation inter-dentaire,
¾ la bossette inter-dentaire,
¾ l’hydropulseur [41].

Technique de brossage

Selon les mouvements faits, nous distinguons le bossage : transversal, circulaire, vertical, vibratoire, rotatoire et de gommage. Mais nous décrivons ici la technique de Bass modifié dite de « gommage » [41].
Bass indique une brosse synthétique souple et sèche.
La brosse est placée à moitié sur les dents et la gencive, à 45° apicalement, l’extrémité des brins se situant dans le sillon gingivo-dentaire. Les brins ne doivent pas être fléchis. L’ordre de brossage indiqué est :
– vestibulairement, de la dernière molaire supérieure à la dernière molaire inférieure ;
– lingualement et palatinement, selon le même ordre ;
– enfin, les surfaces occlusales.
Pour les faces linguales des incisives, la brosse est verticale, et agit par le « talon » de la tête pour éviter d’éclabousser le miroir. Il s’agit en fait d’une association de mouvement de rotation et de vibration. Elle assure un bon nettoyage proximal et son action stimulante au niveau de la gencive est incontestable. Selon Bass, le mouvement est physiologiquement normal, pour les droitiers comme pour les gauchers. Il est simple, et pour un temps de brossage égal, les indices de plaque se révèlent mieux réduits qu’avec les autres techniques. Il convient toutefois de ne pas exercer une pression trop forte au moment de l’insertion des brins dans le sulcus. La durée idéale du brossage est de 5 minutes [41].

La carie dentaire

Définition

Il existe plusieurs définitions mais retenons celle de l’OMS qui dit que : « la carie est un processus localisé d’origine externe apparaissant après l’éruption des dents qui s’accompagne d’un ramollissement des tissus durs de la dent et évolue vers la formation de cavité » [31]. Aujourd’hui, il est accepté et démontré que la carie dentaire est une pathologie multifactorielle.

Etiologie

La carie dentaire est une maladie infectieuse transmissible pour laquelle l’alimentation joue un rôle clé, et qui résulte de l’interaction entre trois principaux facteurs :
9 l’hôte par l’intermédiaire des dents et la salive,
9 les micro-organismes cariogènes,
9 les hydrates de carbone fermentescibles [40].
Ainsi, Keyes (1960) a proposé un schéma des interactions entre ces différents facteurs étiologiques ; et Koenig en 1987 en a rajouté un autre le temps. Selon lui, pour qu’il y ait carie de l’émail, il faut que la trilogie citée plus haut, se situe dans le temps et avec une certaine fréquence [38]
Les principales bactéries impliquées dans l’étiologie des caries sont le Streptococcus mutans et les lactobacillus. Les streptocoques jouent un rôle essentiel dans l’initialisation des lésions carieuses et dans les récidives sous obturation, alors que les lactobacillus seraient plutôt responsables de l’évolution des lésions. Ces bactéries possèdent une grande variété de facteurs de virulence qui leur confère un pouvoir cariogène et un avantage écologique certain sur les autres bactéries de la plaque. Ce sont des micro-organismes acidogènes et acidotolérants, capables de résister au bas pH induit par une consommation importante de sucre [18].

Traitement

Le traitement peut être de deux ordres : préventif et curatif
• Traitement préventif : Il aura pour but d’empêcher la carie de s’installer et ceci par : a/ l’enseignement d’une bonne hygiène orale,
b/ l’utilisation du fluor par voie topique ou par voie générale, permettant de renforcer la résistance des dents.
c/ des soins dentaires périodiques, soit par des traitements précoces de la carie, soit par l’application des mesures spécifiques (détartrage).
• Traitement curatif : dans ce cas la carie est déjà bien installée et on cherchera à arrêter sa progression ou bien empêcher ses complications par :
¾ des traitements conservateurs ou dentinogènes des Catégories I et II de Baume,
¾ des traitements endodontiques des catégories III et IV de Baume,
¾ des extractions dentaires qui seront indiquées en derniers recours lorsqu’il n’y a aucune possibilité de conservation de la dent.

Les parodontopathies

Définition

Les parodontopathies (maladies parodontales) sont des affections bactériennes touchant les tissus de soutien de la dent (gencive, desmodonte, os alvéolaire et cément). Ce sont des maladies infectieuses qui peuvent se manifester sous forme inflammatoire, ne touchant que le tissu gingival sans lyse osseuse et sans perte d’attache épithéliale on parlera de gingivopathies ou gingivite ou par la perte d’attache épithéliale avec une lyse partielle ou totale des éléments du parodonte : on parlera dans ce cas de parodontite [36].

Etiologie

Les parodontopathies sont des affections multifactorielles. Les facteurs sont d’ordre local et général:
¾ Facteurs locaux
Ils se résument essentiellement dans la plaque bactérienne qui peut évoluer sous forme de tartre ; c’est le facteur initial des maladies parodontales.
Les bactéries de cette plaque suspectées sont :
o Porphyromonas gingivalis o Prévotella intermedia
o Actinobacillus actinomycetem comitans
A ce facteur initial, s’ajoutent des facteurs prédisposants constitués par l’ensemble des éléments qui tendent à créer un environnement propice à l’accumulation de la plaque bactérienne, et des facteurs fonctionnels :
– facteurs prédisposants :
• les restaurations iatrogènes
• les malpositions dentaires
• une architecture gingivale défavorable
• un irritant physique ou chimique (nicotine, etc.)
– facteurs fonctionnels
Ils agissent sur le parodonte par l’intermédiaire de l’odonte. Ce sont les forces occlusales traumatisantes et les parafonctions.
¾ Facteurs généraux ou systémiques Ce sont :
ƒ les endocrinopathies diabète,
ƒ les maladies digestives entraînant une modification de la flore bactérienne,
ƒ les maladies sanguines leucémie,
ƒ les maladies du système nerveux,
ƒ la grossesse et l’utilisation de contraceptifs oraux,
ƒ l’intoxication industrielle ou alimentaire.

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Table des matières

Introduction
Première par partie : Généralités
I. Présentation des Comores
I.1. Le cadre physique et données sociodémographiques
I .1.1. Le cadre physique
I.1.2. Le cadre sociodémographique
I.2. Le système scolaire et l’éducation
I .2.1. L’école coranique
I .2.2. L’école officielle
I .2.2.1. Enseignement préélémentaire
I .2.2.2. Enseignement élémentaire
I.2.2.3. Enseignement secondaire
I.2.2.4. Enseignement supérieur
I.3. Le système sanitaire
I.3.1. Organisation
I.3.2. Ressources
I.3.2.1. Ressources infrastructurelles
I.3.2.2. Ressources humaines
I.3.3. Statistiques sanitaires
I.4. La santé bucco-dentaire aux Comores
I.4.1.Organisation
I.4.2.Ressources
I.4.2.1.Ressources infrastructurelles
I.4.2.2.Ressources humaines
I.4.3.Statistiques sanitaires et les parodontopathies
II.1.L’hygiène orale
II.1.1.Définition
II.1.2.Matériels d’hygiène
II.1.3.Technique de brossage
II.2.La carie dentaire
II.2.1.Définition
II.2.2.Etiologie
II.2.3.Traitement
II.3.Les parodontopathies
II.3.1.Définition
II.3.2.Etiologie
II.3.2.Traitement
II.4. La relation entre hygiène orale et état de santé parodontale
Deuxième partie: Evaluation des habitudes d’hygiène orale et de l’état de santé dentaire et parodontale
I. Objectifs
II.1.Objectifs spécifiques
II. Méthodologie
II.1.Cadre d’étude
II.2.Type d’étude
II.3.Population d’étude
II.4.Critères de sélection
II.5.Echantillonnage
II.5.1.Taille de l’échantillon
II.5.2.Méthode d’échantillonnage
II.6.Variables et indicateurs utilisés
II.6.2.Habitudes d’hygiène orale
II .6.3.Carie dentaire
II.6.4.Parodontopathies
II.7.Collecte des données
II.7.1.Instrument de collecte des données
II.7.2.Méthodes de collecte des données
II.7.2.1.Evaluation des habitudes d’hygiène orale
II.7.2.2.Evaluation de l’état de santé dentaire
II.7.2.3.Evaluation de l’état de santé parodontale
II.8.Analyse des données
II.8.1.Technique d’analyse
II.8.2.Plan d’analyse
II.8.2.1.Description de l’échantillon
II.8.2.2.Habitudes d’hygiène orale
II.8.2.3.Etat de santé dentaire
II.8.2.4.Etat de santé parodontale
III. Résultats
III.1.Description de l’échantillon
III.1.1.Répartition de l’échantillon selon le milieu et les collèges
III.1.2.Description de l’échantillon selon le sexe et le milieu
III.2.Habitudes d’hygiène orale
III.2.1.Nombre de nettoyage buccale
III.2.1.1.Nombre de nettoyage dans l’échantillon
III.2.1.2.Nombre de nettoyage selon le sexe
III.2.1.3.Nombre de nettoyage selon le milieu
III.2.2.Moment de nettoyage buccal
III.2.2.1.Moment de nettoyage dans l’échantillon
III.2.2.2.Moment de nettoyage selon le sexe
III.2.3.Nettoyage pré ou post prandial
III.2.3.1.Nettoyage pré ou post prandial dans l’échantillon
III.2.3.2.Nettoyage pré ou post prandial selon le sexe
III.2.3.3.Nettoyage pré ou post prandial selon le milieu
III.2.4.Moyens de nettoyage
III.2.4.1.Moyens de nettoyage dans l’échantillon
III.2.4.2.Moyens de nettoyage selon le sexe
III.2.4.3.Moyens de nettoyage selon le milieu
III.2.5.Motivations au nettoyage
III.2.5.1.Motivation au nettoyage dans l’échantillon
III.2.5.2.Motivation au nettoyage selon le sexe
III.2.5.3.Motivation au nettoyage selon le milieu
III.3. Etat de santé dentaire
III.3.1. Composantes CAO
III.3.1.1. Composantes CAO dans l’échantillon
III.3.1.2. Composantes CAO selon le sexe
III.3.1.3.Composantes CAO selon le milieu
III.3.2. Indice CAO moyen
III.3.2.1. Indice CAO moyen dans l’échantillon
III.3.2.2. Indice CAO moyen selon le sexe et selon le milieu
III.3.3. Prévalence
III.3.3.1. Prévalence dans l’échantillon
III.3.3.2.Prévalence selon le sexe et le milieu
III.4. Etat de santé parodontale
III.4.1. Etat de santé parodontale dans l’échantillon
III.4.2. Etat de santé parodontale selon le sexe
III.4.3. Etat de santé parodontale selon le milieu
III.5. Etat de santé parodontal et habitudes d’hygiène orale
III.5.1. Etat de santé parodontale selon le nombre de nettoyage par jour
III.5.2. Etat de santé parodontale et moyens de nettoyage buccal
III.6. Récapitulation synoptique des résultats
IV. Discussion
IV.1.Limites et biais
IV.2.Etude des habitudes d’hygiène orale
IV.3.Etude de l’état de santé dentaire
IV.4.Etude de l’état de santé parodontale
IV.5.Eude de l’état de santé parodontale et habitudes d’hygiène orale
V. Recommandations
Conclusion

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