EVALUATION DES CONNAISSANCES ET PRATIQUE DU RELEVE DE COULEUR AUPRES DE CHIRURGIENS DENTISTES EXERÇANT AU SENEGAL

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Tri-variance de la couleur

La construction des couleurs repose sur un modèle tridimensionnel défini par trois couleurs fondamentales, encore appelées couleurs primaires et à partir desquelles toutes les autres couleurs peuvent être reconstituées. Ce mécanisme est de même nature que le principe de perception sensorielle de l’œil humain basé sur l’existence de trois types de cônes spécialisés dans la réception du rouge, du vert et du bleu. C’est le tri-variance de la couleur et la vision trichromate. Le trichromatisme est à la base de la vision des couleurs. La définition des couleurs primaires diffère selon que la couleur est obtenue par le mélange de lumières émises c’est la synthèse additive ou mode rouge, vert et bleu (RVB) ou qu’elle résulte de la réflexion lumineuse sur des supports colorés ou de la transmission lumineuse au travers d’objets colorés c’est la synthèse soustractive ou mode rouge, jaune et bleu (RJB). Ce qui différencie les couleurs primaires additives des couleurs primaires soustractives [35].

Synthèse additive

Selon les lois énoncées en 1953 par Grassmann, toute sensation colorée peut être reproduite par le mélange additif de trois couleurs. Cette synthèse est dite additive, car elle est fondée sur le mélange de plusieurs faisceaux de couleurs différentes pour en obtenir une nouvelle. Les différentes couleurs sont obtenues par le mélange de 3 couleurs primaires additives qui sont le rouge, le vert et le bleu (fig. 7). Le mélange de deux couleurs primaires additives donne une nouvelle couleur qui est appelée une couleur secondaire additive. Le bleu et le vert donnent un bleu turquoise appelé cyan, le rouge et le vert donnent le jaune, le rouge et le bleu donnent un rose violet appelé magenta. Le mélange de façon égale des trois couleurs additives donne une couleur blanche. De même, le mélange d’une couleur secondaire additive avec la couleur primaire qui n’a pas été utilisée pour l’obtenir donne également une couleur blanche. Ces deux couleurs sont dites complémentaires. En synthèse additive, le mélange de plusieurs couleurs donne systématiquement une couleur plus lumineuse, plus les couleurs sont rajoutées, plus on se rapproche du blanc, couleur la plus lumineuse.
Dans une pièce plongée dans le noir, sur un mur blanc éclairé avec un spot rouge et un spot bleu, à l’endroit où les deux faisceaux se coupent, la tache lumineuse sera magenta : c’est le résultat de la synthèse additive de la lumière rouge et de la lumière bleue.
La synthèse additive est propre aux objets émetteurs de lumière comme par exemple la télévision, l’écran d’un ordinateur, ou les spots lumineux [57].

Synthèse soustractive par mélange de pigments

La synthèse soustractive est l’opération combinant l’effet d’absorption de plusieurs couleurs afin d’en obtenir une nouvelle. Le terme « soustractive » est utilisé du fait que l’objet éclairé par une lumière va absorber certaines couleurs du spectre lumineux et en réfléchir d’autres. La couleur dépend donc de la nature de l’objet, mais aussi de celle du rayon incident.
Dans le cadre de la synthèse soustractive, les trois couleurs primaires sont le rouge magenta, le jaune, et le bleu cyan, dont le mélange va donner le vert, le bleu, et le rouge. Le mélange deux à deux en quantités égales des primaires, donne les couleurs secondaires ou complémentaires (fig. 8).
Dans ce système, les couleurs complémentaires s’avivent lorsqu’on les juxtapose ; ce procédé est souvent utilisé dans la grande distribution ou la publicité.
Le mélange des 3 primaires ou d’une couleur primaire avec sa complémentaire donne du noir. Le mélange des trois couleurs complémentaires entre elles donne aussi du noir ou absence de couleur [29].
La synthèse soustractive peut être analysée avec le cercle chromatique qui permet d’ordonner et de comprendre la construction pigmentaire des couleurs (fig. 9). Il est construit à partir des trois couleurs primaires soustractives qui en peinture sont le jaune, le rouge et le bleu avec un niveau de pureté maximal. Le mélange deux à deux et en proportion égale des primaires permet d’obtenir les couleurs secondaires soustractives qui sont l’orangé, le vert et le violet.
Le cercle périphérique permet de visualiser les couleurs tertiaires qui sont le jaune orangé, le rouge orangé, le rouge violet, le bleu violet, le bleu-vert et le jaune-vert. Elles sont obtenues par le mélange des couleurs secondaires avec les couleurs primaires les plus proches. Dans le cercle, les couleurs s’ordonnent de la même manière que les couleurs spectrales auxquelles il faut rajouter le pourpre qui est absent du spectre (fig. 9) [29]. Les couleurs qui se font face sont dites complémentaires car leur mélange donne un gris-noir de ton neutre. Les couleurs complémentaires s’avivent lorsqu’elles sont rapprochées mais leur mélange les détruit en donnant du gris alors qu’en lumières colorées, les mélanges complémentaires donnent une lumière blanche. De la même manière, le mélange des trois primaires soustractives ou des trois secondaires soustractives dans les bonnes proportions donne l’absence de couleur c’est-à-dire un ton gris-noir neutre [57].

Synthèse soustractive par mélange optique

La synthèse soustractive par mélange optique ou mode cyan, magenta et jaune (CMJ) obtient l’effet coloré uniforme par juxtaposition de points de couleurs pures et lumineuses. Lorsque l’observateur est suffisamment éloigné ou lorsque la taille des touches de couleur est assez petite pour se situer en dessous du seuil de discrimination, l’œil réalise une recombinaison optique de ces points donnant un effet coloré continu. Ce principe est à la base des procédés d’imprimerie (impression offset) où la couleur est décomposée en points qui s’organisent en trames de couleurs séparées visibles à la loupe. La quadrichromie est le procédé d’imprimerie le plus utilisé ; il travaille avec quatre couleurs normalisées qui sont le cyan, le magenta, le jaune et le noir (CMJN). L’encre noire est rajoutée en remplacement du mélange des trois couleurs primaires d’imprimerie qui ne donnent pas un noir suffisamment pur pour la qualité des images. Elle constitue cependant un système approximatif de reproduction de la couleur. Une plus grande précision peut être obtenue en employant sept couleurs d’impression ou plus (procédé Pentone) [25].
Dans la recherche, la science, l’industrie, ou beaucoup d’autres domaines nécessitant une précision importante, la quantification de la couleur est prévalente. L’odontologie fait partie de ces domaines où l’exigence est particulièrement élevée et confère à la couleur une représentation spatiale.

Représentation spatiale de la couleur

Ce modèle définit la couleur selon 3 dimensions, qui sont, par ordre d’importance la luminosité, la saturation et la teinte.

Dimensions fondamentales

Luminosité

C’est la quantité de lumière réfléchie, ou encore la quantité de blanc contenu dans la couleur (fig. 10). L’axe blanc-noir constitue l’axe de luminosité dans les différents systèmes de représentation des couleurs. L’œil a une sensibilité très fine dans l’évaluation de la luminosité qui est le facteur primordial de réussite d’une prothèse esthétique [5]. Son estimation doit s’effectuer dans une ambiance lumineuse de faible intensité afin de stimuler au mieux les bâtonnets rétiniens [4].

Saturation

Appelée aussi intensité de couleur, densité de teinte ou pureté de teinte, elle correspond à la quantité de pigments purs contenus dans une couleur (fig. 10) [5]. La teinte se désature en se rapprochant de l’axe vertical blanc – noir de saturation nulle en teinte. La saturation est donc la différence entre la couleur et un ton de gris de même luminosité, mesurée sous la forme d’une distance à l’axe neutre.

Teinte

Appelée aussi ton, tonalité chromatique ou chromaticité, la teinte correspond aux sensations colorées que l’œil perçoit grâce aux 3 types de cônes rétiniens : rouge, vert, bleu, jaune, orange, violet etc. elle caractérise la longueur d’onde dominante de la lumière réfléchie par un objet (fig. 10) [4].
Il a toujours été nécessaire dans les métiers artistiques et dans l’industrie de disposer d’un moyen précis de classifier et ordonner les couleurs.
Avec l’avènement du numérique, on a vu l’apparition de logiciels, intransigeants par nature et nécessitant un langage fiable et sans ambigüités, représenté par les différents modèles colorimétriques telle la sphère colorimétrique ou le schéma de Munsell.

Cylindre de Munsell

Munsell fut le premier (en 1905) à décrire le caractère tridimensionnel de la couleur. Il la représente par un espace en 3D cylindrique dans lequel chaque couleur est définie par trois coordonnées (fig. 11) [52]. Le schéma employé est du type « tsl » pour teinte, saturation, luminosité. Il permet de définir toute couleur existante [14].
L’axe central de ce cylindre, appelé « noyau des gris », correspond à l’échelle de luminosité. La luminosité la plus haute correspondant à un blanc pur, et la plus basse au noir, en passant par diverses nuances de gris.
La distance par rapport à l’axe central correspond à la saturation.
La teinte est représentée en périphérie du cylindre. Elle peut être définie comme un angle qui donne une « direction » dans laquelle s’oriente la droite associée à la saturation.
Par son organisation tridimensionnelle correspondant aux paramètres L*C*H* communément utilisés en dentisterie, c’est un des schémas les plus simples pour formuler la couleur dans l’exercice dentaire [14].

Classification CIE L*a*b

Cette classification, créée en 1976 par la commission internationale de l’éclairage (CIE), définit un espace chromatique sphérique. Ce système de perception dépend de la température de couleur de la source lumineuse, selon laquelle il est défini. Le plus souvent, c’est l’espace CIE L*a*b « D », qui correspond à l’espace CIE L*a*b à une température de blanc de 5000°Kelvin (K) (fig. 12) [18 ].
Les cordonnées sont définies par L, a, et b, avec un axe vertical qui représente la luminosité (L) et varie de 0 (noir) à 100 (blanc) et deux axes horizontaux (a et b), l’axe (a) représentant les variations du vert au rouge et l’axe (b) représentant celles du bleu au jaune.
Les 3 axes se coupent perpendiculairement en leur centre [26].
Le CIE L*a*b a pour avantage de prendre en compte la différence de perception entre les couleurs, ce qui signifie que si deux couleurs semblent proches pour un observateur, la différence ΔE (delta E) entre deux couleurs qui caractérise l’écart avec leurs coordonnées dans l’espace de la sphère chromatique sera faible (fig. 13).

Couleur des dents naturelles

La combinaison des trois dimensions fondamentales de la couleur est insuffisante pour expliquer la couleur des dents naturelles. L’aspect visuel d’une dent est avant tout lié à la nature stratifiée de ses tissus; son comportement optique est une combinaison de nombreux paramètres comme la transparence et la translucidité, l’opalescence, la fluorescence, l’état de surface, les caractérisations et l’effet nacré [29].

Stratification

Les dents naturelles sont faites de différentes couches qui sont responsables de variations colorées. L’épaisseur, la structure et la composition de l’émail, de la dentine et de la pulpe interviennent dans la couleur de la dent du fait de leurs propriétés optiques différentes (fig. 16) [31].

Pulpe

Elle se situe au centre de la dent, c’est un tissu conjonctif contenant des nerfs et des vaisseaux sanguins. Elle est de couleur rouge en raison de ces derniers. La cavité pulpaire se réduit avec l’âge, du fait de la formation de dentine tout au long de la vie. L’influence de la pulpe dans la couleur dentaire est donc maximale chez l’enfant et diminue progressivement avec l’âge [20].

Dentine

C’est la plus grande partie de la dent, située entre l’émail et la pulpe. Elle se compose à 70% de minéraux, avec 20% de matériaux organiques complétés par 10% d’eau. Sa structure est parcourue de centaines de tubulii dentinaires qui sont de petits canaux perpendiculaires au grand axe de la dent. Le noyau dentinaire opaque donne à la dent sa teinte [20].

Email

Il s’agit de la couche la plus superficielle de la couronne dentaire. C’est le tissu le plus dur et le plus minéralisé du corps humain, capable de résister à de forts traumatismes et subit une usure prolongée. Il contient approximativement 95% de minéraux, et aucune cellule. C’est donc un tissu « inerte », sans vascularisation ni innervation.
L’émail a la particularité d’être translucide et de couleur plus claire que la dentine (fig. 16). C’est lui qui définit la luminosité de la dent. Dans la zone du collet où il est le plus fin, la teinte de la dentine ressort avec plus d’intensité. Du fait de sa minéralisation, il est le tissu le plus radio-opaque du corps humain [20].

Transparence et translucidité

La transparence se trouve très peu au niveau des dents naturelles (fig. 17). Un matériau transparent laisse passer la totalité de la lumière. En revanche les dents naturelles ont une certaine translucidité. La translucidité d’un matériau traduit le fait que celui-ci laisse passer seulement une partie de la lumière.
Plus une dent est translucide, plus sa luminosité baisse car une grande partie de lumière la pénètre. La translucidité de la dentine, calibrée en échantillons d’1mm d’épaisseur, est de 40% alors que celle de l’émail est quasiment double. Ce phénomène est retrouvé surtout sur les dents jeunes au niveau du bord libre [45].

Opalescence

L’opalescence explique les effets bleutés et orangés souvent visibles sur les bords d’émail naturel d’une dent observée à la lumière du jour. Ceci s’explique par deux phénomènes.
En Réflexion lumineuse, l’émail va réfléchir préférentiellement les longueurs d’onde courtes (partie bleue du spectre visible), lui donnant un aspect bleuté.
En Transmission lumineuse, l’émail qui réfléchit les longueurs d’ondes courtes laisse passer celles longues, faisant apparaître une teinte rouge-orangée (fig. 18). L’opalescence peut aussi être observée par exemple dans une très fine couche d’huile à la surface de l’eau [36].
Le terme est inspiré de la pierre d’Opale ; il existe une similitude entre la fine taille de cristalline des cristaux d’hydroxyapatite de l’émail et les cristaux de dioxyde de silicium dans la pierre d’Opale. Il y’a donc des poudres de céramiques feldspathiques avec effets d’opalescence.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR LE RELEVE DE COULEUR DES DENTS EN PROTHESE FIXEE
I. NOTIONS FONDAMENTALES SUR LA COULEUR
1. Couleur et vision
1.1. Spectre de la lumière visible
1.2. Photorécepteurs
1.3. Dyschromatopsies
1.3.1. Héréditaires
1.3.2. Acquises
1.3.3. Dépistage
2. Tri-variance de la couleur
2.1. Synthèse additive
2.2. Synthèse soustractive par mélange de pigments
2.3. Synthèse soustractive par mélange optique
3. Représentation spatiale de la couleur
3.1. Dimensions fondamentales
3.1.1. Luminosité
3.1.2. Saturation
3.1.3. Teinte
3.2. Cylindre de Munsell
3.3. Classification CIE L*a*b
4. Couleur des dents naturelles
4.1. Stratification
4.1.1. Pulpe
4.1.2. Dentine
4.1.3. Email
4.2. Transparence et translucidité
4.3. Opalescence
4.4. Fluorescence
4.5. Etat de surface
4.6. Caractérisations
4.7. Effet nacré
II. TECHNIQUE DE RELEVE DES COULEURS
1. Système visuel
1.1.1. Teintiers classiques
1.1.1.1. Teintier VITA Classical®
1.1.1.2. Teintier VITA 3D MASTER®
1.1.1.3. Teintier CHROMASCOP IVOCLAR®
1.1.2. Teintiers spécifiques
1.1.2.1. Teintiers de moignon
1.1.2.2. Teintiers de gencive
1.1.3. Lampe d’éclairage calibrée
1.1.4. Caméra intra-orale
1.1.5. Photographie numérique
1.2. Technique
1.2.1. Méthode empirique
1.2.2. Méthode de 3 étapes
2. Système numérique
2.1. Matériel
2.1.1. Colorimétre
2.1.2. Spectrophotomètre
2.2. Méthode
2.2.1. Procédé du colorimètre
2.2.2. Procédé des spectrophotomètres
III. ENREGISTREMENT ET TRANSMISSION DE LA COULEUR DES DENTS
1. Fiche de laboratoire
2. Schéma de la couleur
3. Photographie
DEUXIEME PARTIE : EVALUATION DES CONNAISSANCES ET PRATIQUE DU RELEVE DE COULEUR AUPRES DE CHIRURGIENS DENTISTES EXERÇANT AU SENEGAL
I. JUSTIFICATION ET OBJECTIF
II. METHODOLOGIE
1. Type d’étude
2. Cadre et population d’étude
3. Critères d’inclusion
4. Critère de non inclusion
6. Procédures de collecte et variables étudiées
7. Considérations éthiques
8. Saisie et analyse des données
III. RESULTATS
1. Résultats descriptifs
1.1. Identification du praticien
1.1.2. Genre
1.1.3. Age
1.1.3. Secteur d’activité du praticien
1.1.4. Ancienneté professionnelle
1.1.5. Spécialisation
1.2. Connaissances
1.2.1. Lumière idéale pour le choix de la couleur
1.2.2. Impact de la couleur des murs du cabinet
1.2.3. Impact de la couleur des habits
1.2.4. L’élément le plus important lors du relevé de couleur
1.2.5. Temps conseillé pour éviter la fatigue oculaire
1.2.6. Impact de l’hydratation du teintier
1.2.7. Changement de couleur du teintier
1.2.8. Score de connaissance sur le relevé de couleur des dents
1.3. Pratique
1.3.1. Dyschromatopsie
1.3.2. Disponibilité du dispositif du relevé de couleur
1.3.3. Dispositif du relevé de couleur utilisé
1.3.4. Utilisation du même teintier pour la prothèse adjointe et la conjointe
1.3.5. Identification du teintier utilisé pour la prothèse fixée
1.3.6. Choix de la lumière pour le relevé de couleur des dents
1.3.7. Dépose du maquillage
1.3.8. Moment de relevé de couleur
1.3.9. Hydratation du teintier avec la salive
1.3.10. Méthodologie de relevé de la couleur
1.3.11. Chronologie du choix de la couleur correspondante à la pratique
1.3.12. Prise en compte de l’avis du patient lors du relevé de couleur
1.3.13. Répartition de la face vestibulaire pour déterminer la couleur d’une dent
1.3.14. Photographie de la dent à restaurer
1.3.15. Schéma de la dent à restaurer
1.3.16. Informations sur la marque de teintier du laboratoire
1.3.17. Disposition du même teintier au laboratoire
1.3.18. Produits de désinfection des teintiers
1.3.19. Méthode de désinfection des teintiers
1.3.20. Stérilisation des teintiers
1.3.21. Produits de stérilisation des teintiers utilisés
1.3.22. Formation post universitaire sur le relevé de couleur
1.3.23. Intérêt pour une formation sur le relevé de couleur
1.3.24. Score de la pratique de relevé de couleur des dents
2. Résultats analytiques
2.1. Facteurs associés à la connaissance du relevé de couleur des dents
2.1.1. Connaissance du relevé de couleur en fonction du secteur d’activité
2.1.2. Connaissance du relevé de couleur des dents en fonction du genre
2.1.3. Connaissance du relevé de couleur des dents suivant les tranches d’âge
2.1.4. Connaissance du relevé de couleur des dents suivant l’expérience dans la profession
2.1.5. Connaissance du relevé de couleur des dents suivant la spécialité
IV. DISCUSSION
1. Données socioprofessionnelles
2. Niveau de connaissance sur le relevé de couleur
3. Evaluation de la pratique des chirurgiens dentistes face au relevé de couleurs des dents
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXE

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