Évaluation de la teneur en matière organique sédimentaire (M.O.S) 

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Caractéristiques hydrologiques

En dehors des précipitations exceptionnelles, deux principaux facteurs tendent à modifier l’épaisseur de la lame et à provoquer des échanges avec la mer, l’une et le phénomène de marées, l’autre est météorologique ; ’estc le champ de pression barométrique agissant de façon statique (équilibreatmosphère – lagune – mer) et surtout dynamique (effet du vent) (Boutière, 1974).
Courants
Selon Guelorget et al. (1989), la circulation des courants s’effectue en une lente rotation périphérique dans le sens des aiguilles d’une montre. Toutefois, Messerer (1999) décrit des courants rectilignes dans le lac, du Nord au Sud le flot et le jusant inversement selon le sens des courants de la marée (flot et jusant), (Fig. 3).
D’autre part, il faut noter que les échanges entre le lac et la mer sont très important.
Thomas et al. (1973), -1 dans le sens affirment  que  des  débits  de  l’ordre de 0,5 m³.s -1 dans le sens lagune-mer (en hiver), ces débits ne reflètent qu’une mer-lagune et 1,5 m³.s situation d’une période donnée. Cependant, les débits sont directement liés à l’état de colmatage du chenal de communication avec la mer actuellement presque fermé, réduisant ainsi l’échange entre les deux milieux à son minimum.

Phénomène de marées

Les marées sont mises en évidence par l’alternancede mouvement d’entrées d’eaux de mer vers la lagune (le flot), et les sorties des eaux de celle-ci vers la mer (le jusant). Dans la lagune Mellah, ces marées peuvent atteindreune amplitude de 40 cm (Thomas et al., 1973). Cependant, la dynamique des eaux de la lagune est réglée par le régime des marées non seulement barométriques(Semroud, 1983) qui sont d’ailleurs très faibles, mais surtout d’origines astronomiques (Ounissi et al., 2002). Le régime de marée est de type microtidal semi-diurne. Il peut être occulté par leremplissage de la lagune en hiver et au printemps, où la marée se trouve masquée par l’évacuation d’eau excédentaire continentale. En été, le régime semi-diurne s’affirme avec deux cycles de marée durant 23 heures environ (Ounissi, com. pers.).
Houles
Selon Grimes (1994), en se basant sur les données hydrologiques pour les prévisions des houles dans la région d’El-Kala, onnote en période estivale, des houles de Nord-Ouest qui vont favoriser le courant entrant par le chenal, tandis que les houles de direction Nord-Ouest agissent durant le mois d’octobre à avril.
Texture sédimentaire
La granulométrie de la lagune Mellah comme dans la majorité des lagunes méditerranéennes, s’organise d’une façon concentrique ; c’est-à-dire que la taille des grains diminue régulièrement de la rive vers le centre de la lagune. Ce phénomène serait du au processus d’accumulation des particules fines dans la cuvette centrale, ainsi qu’à la courantologie des eaux, accompagnée d’une forte agitation à la périphérie, puis le courant s’affaiblit vers l’intérieur de la lagune (Guelorget et al., 1989). C’est ainsi qu’on rencontre des sables fins au niveau des rives et au fur et à mesure que l’on se dirige vers les grandes profondeurs la fraction fine a tendance à augmenter , et le centre de la lagune n’est formé que d’une vase pure très fluide. Toutefois, Draredja (1992) signale en saison printanière avant l’aménagement du chenal de communication (1988), l’existence de cinq zones lithologiques, allant des sables purs près des rives aux vases pures au centre de l’étendue, en passant par les sables légèrement envasés, les asesv sableuses et les vases légèrement ensablées. Selon cet auteur, la fraction pélitiquereste également importante dans les sédiments de la zone centrale de l’étranglement dela lagune au Nord. Toutefois, le tapis de l’herbier Ruppia sp. couvre les sables purs du pourtour lagunaire. Cet herbier est d’une importance écologique majeure, car beaucoup d’espèces macrozoobenthiques l’utilisent comme refuge et zone d’abri pour leurs œufs et leur s jeunes recrues. En effet, la plupart des jeunes palourdes (Refes, 1994) et des jeunes coques (Grimes, 1994) sont rencontrés au niveau de cet herbier.
Chenal de communication avec la mer
La lagune Mellah est reliée à la mer par un chenal d’une longueur d’environ 900 m, mais très étroit et sinueux. L’aménagement du chenal réalisé en 1988, a permis de l’élargir et d’approfondir son lit à 2 m, afin d’am éliorer les échanges entre la mer et le lac, et par conséquent améliorer sa production halieutique. Une fois calibré ce chenal devrait permettre un échange quotidien d’environ 900 000 m³soit trois fois l’ancien débit tout en maintenant sa salinité inférieur à celle de la mer (FAO, 1987). Pendant notre échantillonnage (environ 23 ans après l’opération ’aménagement),d nous avons constaté une diminution remarquable des échanges (Fig. 4). Le ralentissement de la circulation des eaux lors de flux et de reflux (pendant la marée), est directement lié au colmatage du chenal en raison de l’ensablement très important qui réduit progressivement la section libre du chenal. Cependant cette sédimentation estde plusieurs origines :
* Les crues hivernales et printanières des oueds charrient d’importantes charges des matériaux dont une partie peut être acheminée versle chenal.
* Les courants côtiers entraînent du sable dans les zones mortes de chenal (transfert littoral) et les vents violents du secteur Ouest et Nord-Ouest transportent du sable, qui le dépose dans le chenal (transport éolien).
Pour mettre fin à se problème d’ensablement, il est recommandé de :
• Rectifier le profil (notamment la fermeture des accès aux marécages).
• La mise en place d’un moyen de protection dunaire par la plantation d’espèces d’arbres locales, afin de limiter les transferts éoliens et réduise le phénomène d’érosion au niveau des bords.
• Établir un système de régulation hydraulique afin de permettre une augmentation des échanges mer-lac.
Donc, un plan d’aménagement rigoureux faisant appel aux biologistes, aux hydro-géologues et aux hydrauliciens est nécessaire à présent.
Embranchement des mollusques
Caractères généraux
Malgré la grande diversité de formes, plusieurs caractères se retrouvent chez tous les mollusques actuels (Brusca et al., 2003), (David et al., 1978). La partie dorsale du corps est un manteau qui secrète des spicules calcaires, formant des plaques ou une coquille.
Entre le manteau et la masse viscérale se trouve la cavité palléale au sein de laquelle débouchent l’anus et les conduits génitaux. Le système nerveux est constitué d’un anneau nerveux autour de l’œsophage avec au moins deux pai res de cordons nerveux (trois chez les bivalves) (Ruppert et al., 2004). La plupart des mollusques ont perdu toutes traces de métamérisation. Ils ont une symétrie bilatérale, mais qui peut être altérée par une torsion du corps (par exemple chez les Gastéropodes). Leur tégument est mou. Il contient de nombreuses glandes qui sécrètent du mucus. Les mollusques sont des cœlomates mais leur cœlome se limite à un péricarde, c’est-à-dire que l e cœur est situé dans une cavité creusée dans du tissu d’origine mésodermique. La cavité générale des mollusques est plus ou moins oblitérée par du tissu conjonctif, à l’exception d’une partie qui enveloppe le cœur (péricarde) et d’une autre partie, en relation avecles deux autres, qui constitue les organes excréteurs (néphridies).
► Anatomie générale Leur: corps se subdivise en trois parties :
– La tête qui contient les organes sensoriels et la bouche qui contient la radula. Elle est absente chez les bivalves.
– Le pied ou sole pédieuse est un organe musculeux, typique des mollusques, destiné à la locomotion. Il revêt des formes très diverses suivant les espèces. Il est peu développé chez les Solénogastres et les Caudofovéates mais devient plus important chez les Eumollusques. Il forme la couronne de tentacules qui permet la prédation chez les Céphalopodes.
– La masse viscérale, comme son nom l’indique, contient les viscères. Elle est contenue dans une mince tunique qu’on appelle le manteau. C’ est le manteau qui sécrète la coquille de la plupart des mollusques, qui leur sert de protection et/ou de squelette et/ou de régulateur de la flottaison (exemple de la seiche) .Entre le manteau et la masse viscérale, le bourrelet palléal constitue une cavité palléalequi protège les organes respiratoires, et où débouchent les métanéphridies (organes excréteurs),l’intestin et les conduits génitaux.
► Coquille : Des glandes du manteau des Eumollusques se regroupent et sécrètent généralement une coquille calcaire, qui comprend, ed l’extérieur vers l’intérieur :
– Une cuticule diversement colorée;
– Une couche prismée, formée de prismes calcaires perpendiculaires à la surface;
– Enfin, une couche lamelleuse formée de lamelles alternantes de carbonate de calcium et de substance organique (conchyoline). Cette couche interne, lorsque les lamelles sont suffisamment minces pour diffracter la lumière, constitue la nacre, et, indirectement, les perles fines.
► Système nerveux : Le système nerveux typique d’un mollusque comprend des ganglions cérébroïdes (qui peuvent fusionner pour ormerf un cerveau) reliés d’une part à des ganglions pédieux, d’autre part à des ganglions viscéraux, par un double collier périœsophagien.
► Cycle reproductif : Les sexes sont généralement séparés. Quelques espèccourantes sont hermaphrodites comme l’huître. Les œufs sont p lus ou moins riches en vitellus, et l’éclosion a lieu après un stade plus ou moins avancé de développement. Le début du développement embryonnaire est un clivage ou segmentation en spirale ce qui permet de classifier les Mollusques aux côtés des Annélides parmi les Spiralia. Quand il y a larve libre (trochophore, véligère), celle-ci ressemble beaucoup à la trochophore des Annélides (Haqward et al 1998).
► Évolution : On pense que les Mollusques descendent d’animaux semblables à des Annélides de par les traces de métamérie découvertes chez les Monoplacophores. On estime leur apparition à au moins 500 Millions d’années à partir d’un ancêtre commun (radiation adaptative). La fonctionnalité qui semble avoir conditionné les mollusques primitifs paraît être la radula : un organe fonctionnant comme une râpe, sorte de langue porteuse de dents chitineuses, qui permet à l’animal de se nourrir plus efficacement. Par rapport aux « vermiformes » primitifs, qui ne peuvent que gober une nourriture fragmentaire, la radula donne un avantage adaptatif, dans la mesure où elle permet d’arracher de la nourriture sur des proies cohérentes. Les mollusques ont ainsi inventé l’art de brouter. L’autre fonctionnalité caractéristique des mollusques est le blindage, permettant de se protéger de prédateurs actifs : acquisitionl’ de plaques calcaires protégeant le dos. Ces mollusques primitifs devaient donc ressembler à des polyplacophores (une sorte d’escargot qui peut se rouler en boule comme un hérisson ou un cloporte), mais ce type est à présent très marginal.
En s’adaptant à différentes formes de vie, ils ont progressivement conquis tous les types de milieu : surtout présents en milieu marin, les Gastéropodes et les Bivalves ont ensuite réussi à s’adapter à l’eau douce. Dans leur radiation adaptative, les mollusques ont donné naissance aux classes importantes suivantes :
– Les Gastéropodes continuent à ramper, et se caractérisent par une céphalisation plus avancée. La seule innovation que leur a apportée évolutionl’ est que cette reptation se fait sur un organe spécialisé, le pied. Les plaques calcaires de la carapace primitive se sont simplifiées au fil du temps, ce qui a conduit à ces coquillages généralement spiralés. Les premiers gastéropodes à respiration pulmonaire ont conquis les milieux terrestres au cours du Carbonifère. Mais les escargots modernes, du genre Helix ne sont apparus qu’au Crétacé.
– Les Bivalves sont devenus sédentaires et ont misé urs la protection que leur apporte la coquille calcaire, au point de ne pratiquement plus se déplacer. Leur mode de vie se rapproche de celui des anémones, voire des éponges,consistant à filtrer l’eau ambiante. Dans cette évolution, ils ont perdu leur tête, devenue inutile, et les yeux ne sont plus présents que sous forme dégénérée, dans quelquespèces. Les bivalves constituent un cas intéressant où une régression fonctionnelle (pertedu déplacement propre aux structures vermiformes) se traduit par un succès évolutif. Les bivalves ont perdu leur radula, caractère qui avait été la cause de l’explosion radiative initiale des mollusques.
– Les Céphalopodes ont appris à nager, et sont des prédateurs. La capacité d’attraper des proies qui peuvent chercher à s’échapper met une contrainte évolutive forte sur ce qui caractérise ce groupe : de bons yeux, et un cerveauperformant capable de coordonner les mouvements de chasse. La coquille commune des invertébrés, que l’on retrouve chez l’argonaute, tend à se profiler en pointe, se réduire comme chez la seiche, voire disparaître totalement comme chez le poulpe (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mollusca).
Intérêt environnemental
En plus de l’intérêt économique des la majorité desespèces appartenant à l’embranchement des mollusques, actuellement certaines espèces sont utilisées dans la bioindication de l’état de santé de différents écosystèmes littoraux. En effet, en raison de leur importance écologique, mode de vie sédentaire,répartition, longévité, abondance, leur capacité de filtration et de bioaccumulation, et de leur facilité d’échantillonnage, les Mollusques et plus particulièrement les Bivalves sont les bioindicateurs les plus fréquemment utilisés dans les programmes d’évaluation de la qualité de l’environnement marin (Huang et al., 2006 ; Espinosa et al., 2007). En effet, leur capacité à faire face aux différents stress affectant leur milieu, les rendent très utiles pour caractériser les effets des contaminants auxquels ils sont exposés, et en font d’excellents indicateurs pour les programmes de suivi à long terme (Guerra-García et al., 2006). Ces espèces, par leur sensibilité, ont la capacité de mettre en évidencedes signes précurseurs d’altération du milieu naturel dans lequel ils vivent. Ils agissent par conséquent, comme une sorte de signal d’alarme pour l’ensemble de l’écosystème marin (Markert et al., 2003).
Classification des Mollusques
L’embranchement contient plus de 130 000 espèces dont certaines sont très souvent consommées par l’Homme. Certains mollusques peuventsecréter des perles en recouvrant de nacre les éléments irritants qui s’introduisentdans leur coquille. Le phylum des Mollusques a été créé en 1795 par Georges Cuvier.ctuellement,A on compte huit classes de Mollusques :
– Solénogastres (350 espèces connues vivant dans toutes les mers).
– Caudofovéates (100 espèces connues vivant dans toutes les mers du globe).
– Polyplacophores (900 espèces connues vivant entre 0 et 3000 m).
– Monoplacophores (15 espèces connues vivant dans les fosses océaniques).
– Gastéropodes (103 000 espèces connues ayant une épartition mondiale).
– Céphalopodes (786 espèces connues toutes marines, dans toutes les mers sauf la Mer Noire).
– Bivalves (12 000 espèces vivant en eau douce et dans toutes les mers du monde).
– Scaphopodes (400 espèces toutes marines).
Les Solénogastres et les Caudofovéates étaient anciennement regroupés dans une même classe : les Aplacophores. Au contraire, les Eumollusques regroupent tous les mollusques à l’exception des Solénogastres et des Caudofovéates.Les Conchifères sont un sous-embranchement regroupant tous les Eumollusques sauf les Polyplacophores. Les Amphineures sont le deuxième sous-embranchement des Mollusques et regroupent les Aplacophores et les Polyplacophores (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mollusca).
Écologie et biologie de la coque Cerastoderma glaucum
Position systématique
Embranchement : Mollusques
Classe : Bivalves (Linné, 1758),
Sous-Classe : Hétérodontes (Neuymar, 1884),
Ordre : Vénéroïdes (Adams & Adams, 1953),
Sous-Ordre : Lucinina (Dall, 1889),
Famille : Cardiidae (Goldfuss, 1820),
Genre : Cerastoderma (Linné, 1758),
Espèce : glaucum (Bruguière, 1789).
Synonymes : Cardium lamarcki Reeve, 1844. Noms vernaculaires : Angleterre : Olive green cockle, Espagne : Berberecho verde, France : Coque glauque, Algérie : Coque.
Morphologie générale
La coquille de Cerastoderma glaucum est solide et équivalve, elle est arrondie et globuleuse (Fig. 5). Les deux valves de la coquille sont identiques, mais inéquilatérales. Forme arrondie, globuleuse. Elle porte des côtes ra diaires bien visibles, au nombre de 22 à 28, avec une moyenne de 25. La charnière est longue et très peu arquée, elle comprend deux dents cardinales à chaque valve, une dent latérale antérieure et deux postérieures à la valve droite. Le ligament est externe, court et saillant tend en permanence à ouvrir la coquille (Fig. 6). La face interne de la coquille porte deux empreintes de muscles adducteurs (servant à refermer la coquille), et une empreinte de la ligne palléale sans sinus. Les valves sont fortement convexes blanchâtr es à gris jaune sale extérieurement, plus ou moins teintées de brun violacé à olivâtre, surtout vers l’arrière, intérieur blanc souvent taché de gris brun. La taille maximale chezC. glaucum peut atteindre 40 mm. Ce bivalve se déplace en sautant tout en s’appuyant sur son pied très musclé, situé ventralement. Par ailleurs, celui-ci lui sert également à s’enfouir dans le sable ou la vase, où il passe la plus grande partie de son existence.
Analyses sédimentologiques
Choix des stations et prélèvement
Dans ce chapitre, on s’intéresse à l’analyse granulométrique des sédiments, composés uniquement de matériaux meubles, allant des sables purs aux vases pures très fluides. Notre objectif est de définir la taille et la répartition des particules formant le substrat, aux différents endroits de la lagune.
L’échantillonnage des sédiments a été effectué auébutd du printemps (mars 2010), où 33 stations ont été échantillonnées systématiquement telled manière à couvrir l’ensemble de l’étendue (Fig. 10). Le prélèvement du sédiment est assuré grâce à utilisationl’ d’une benne Van Veen. Pour des raisons de maniabilité et d’efficacité, il est indispensable d’utiliser ce type de benne dans des fonds à sédiments mous et peu profonds (< 10 m). La mise à l’eau de la benne s’effectue verticalement e n raison de son propre poids (environ 15 kg), tout en maintenant ces deux mâchoires ouver tes jusqu’au fond grâce à un dispositif de blocage. La fermeture se fait après le relâchement de ce dernier, et la traction du câble à la remontée. On récupère ainsi une portion suffisante (1000 – 500 g) pour l’ensemble des analyses sédimentaires envisagées (granulométrie, eneurst en pélites, en matières organiques sédimentaires et en carbonates totaux).

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Table des matières

INTRODUCTION GÉNÉRALE 
CHAPITRE I : GÉNÉRALITÉS
1. Milieu d’étude 
1.1. Position géographique
1.2. Description de la lagune
1.3. Caractéristiques hydrologiques
1.3.1. Courants
1.3.2. Phénomène de marées
1.3.3. Houles
1.4. Texture sédimentaire
1.5. Chenal de communication avec la mer
1.6. Exploitation aquacole de la lagune
2. Embranchement des mollusques 
2.1. Caractères généraux
2.2. Intérêt environnemental
2.3. Classification des Mollusques
3. Écologie et biologie de la coque Cerastoderma glaucum 
3.1. Position systématique
3.2. Morphologie générale
3.3. Mode de vie et distribution
3.4. Alimentation
CHAPITRE II : MÉTHODOLOGIE DE TRAVAIL
1. Introduction 
2. Analyses physico-chimiques 
2.1. Choix et localisation des stations
2.2. Mesures physico-chimique
3. Analyses sédimentologiques 
3.1. Choix des stations et prélèvement
3.2. Analyses sédimentaires
3.2.1. Évaluation des pélites
3.2.2. Analyse granulométrique
2.2.3. Évaluation de la teneur en matière organique sédimentaire (M.O.S) 

3.3. Expression des résultats
3.3.1. Histogrammes de fréquence
3.3.2. Courbes cumulatives semi-logarithmiques
3.3.3. Indices granulométriques
4. Étude de la malacofaune 
4.1. Échantillonnage
4.2. Traitement des échantillons
4.2.1. Conservation
4.2.2. Tri et identification
4.2.3. Expression des résultats
5. Étude de la faune associée 
6. Espèce potentiellement exploitable : la coque Cerastoderma glaucum 

6.1. Cartographie spatiale
6.1.1. Choix des stations
6.1.2. Étude de l’abondance
6.1.3. Étude de la biomasse et estimation du stock naturel existant
6.2. Dynamique de la coque
C. glaucum

6.2.1. Plan et technique d’échantillonnage
6.2.2. Densité et biomasse
6.2.3. Indice de condition
6.2.4. Fréquences de tailles
6.2.5. Croissance
7. Analyses statistiques

CHAPITRE III : RÉSULTATS
1. Introduction 
2. Caractéristiques physico-chimiques 
2.1. Température, salinité et pH
2.2. Transparence des eaux et teneurs en matières en suspension
3. Cartographie sédimentaire 
3.1. Teneurs en pélites
3.2. Granulométrie
3.3. Cartographie sédimentaire
3.4. Teneurs en matière organique sédimentaire (M.O.S)
4. Description de la faune malacologique et des espèces accompagnatrices 
4.1. Inventaire des espèces récoltées
4.2. Variations spatio-temporelles 

4.2.1. Richesse spécifique, densité et fréquence
4.2.2. Dominanc
4.2.3. Variations de la biomasse
4.2.4. Structure et organisation
4.3. Faune associée aux mollusques
5. Espèce potentiellement exploitable : la coque Cerastoderma glaucum 
5.1. Cartographie et estimation du stock naturel
5.2. Variations de la densité et de la biomasse
5.3. Variations de l’indice de condition
5.4. Structure des tailles et détermination du recrutement
5.5. Croissance
CHAPITRE IV : DISCUSSION
1. Physico-chimie 
2. Sédimentologie 
3. Malacofaune 
4. Faune associée 
5. Structure et organisation de la coque Cerastoderma glaucum 
CONCLUSION ET PERSPECTIVES 
RÉSUMÉS
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUE

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