Tolรฉrance
ย ย ย Elle est en gรฉnรฉral supรฉrieure ร celle de lโadulte, les polypathologies et les coprescriptions รฉtant en gรฉnรฉral moins nombreuses. En revanche, lโutilisation hors AMM augmente le risque dโeffets indรฉsirables, tant en pratique de ville quโร lโhรดpital. Dans une รฉtude anglaise, 30 % des mรฉdicaments en cause dans un effet indรฉsirable รฉtaient utilisรฉs en dehors des conditions de lโAMM. Certains effets secondaires surviennent prรฉfรฉrentiellement, voire exclusivement chez lโenfant (troubles du rythme liรฉs au cisapride, retard deย croissance liรฉ aux corticoรฏdes, รฉpaississements des os longs et ossification prรฉmaturรฉe des cartilages de croissance avec les quinolones et certains macrolides). Dโautres sโexpliquent par des indications exclusivement pรฉdiatriques (purpura thrombopรฉnique idiopathique aprรจs le vaccin rougeole, rubรฉole, oreillons).
Les mรฉdicaments clairement rรฉservรฉs ร lโadulte
ย ย ย Ceux-ci sont dรฉpourvus dโindication, de posologie, de forme galรฉnique pรฉdiatriques, ou encore dotรฉs dโune contre-indication pรฉdiatrique. Leur prescription est donc hors AMM. Le mรฉdecin nโest pas lรฉgalement tenu de respecter lโAMM mais il engage sa responsabilitรฉ sโil ne respecte pas les usages thรฉrapeutiques conformes aux donnรฉes de la science au moment de la prescription.
๏ Une contre-indication fondรฉe sur un risque rรฉel chez lโenfant ne doit pas รชtreย outrepassรฉe.
๏ Lโabsence de posologie pรฉdiatrique oblige le prescripteur ร ยซchoisirยป la posologie admise par la communautรฉ scientifique pรฉdiatrique et exige une surveillance particuliรจre de la tolรฉrance.
๏ Lโabsence dโindication pรฉdiatrique sous-entend celle de preuve dโefficacitรฉ chez lโenfant. Le prescripteur doit donc pouvoir justifier, en cas dโeffet indรฉsirable ou dโinefficacitรฉ, lโintรฉrรชt ยซattenduยป du mรฉdicament ร partir de critรจres scientifiques (et non seulement dโhabitude de prescription).
Lโacide fusidique
ย ย ย Seul reprรฉsentant de sa classe, lโacide fusidique inhibe la synthรจse protรฉique. Cโest un antibiotique bactรฉriostatique. Lโacide fusidique se prรฉsente sous forme de comprimรฉs, suspension buvable, crรจme, pommade, gel ophtalmique. La posologie chez lโenfant est de 25 ร 50 mg/kg/j. Il est indiquรฉ dans les infections ร staphylocoques notamment osseuses.
Mรฉdicaments agissant sur les nรฉmatodes
ย ย ย Les mรฉdicaments actuellement utilisรฉs sont des produits de synthรจse. Il existe :
๏ Les antihelminthiques classiques dont la pipรฉrazine et la difรฉtarazone qui sont les plus anciens ;
๏ Les nouveaux antihelminthiques dont les benzimidazolรฉs avec :
o Le mรฉbendazole : il agit directement sur les ลufs, durant leur รฉvolution dans les ovaires et lโutรฉrus du ver par diminution de la formation de lโadรฉnosine triphosphate (ATP). La posologie est la mรชme quels que soient lโรขge et le poids :
– 100mg matin et soir dans lโoxyurose ;
– 100mg matin et soir pendant 3 jours consรฉcutifs dans lโascaridiase, la trichocรฉphalose lโankylostomiase, lโanguillulose.
o Le fluoromรฉbendazole ou flubendazole : cโest un dรฉrivรฉ para fluorรฉ du mรฉbendazole qui agit sur les nรฉmatodes par blocage des mรฉcanismes dโabsorption nutritive des vers. La posologie est de :
– 100mg en prise unique dans lโoxyurose, renouvelable une semaine ร 15 jours plus tard pour รฉviter la rรฉ-infestation ou lโauto-infestation ;
– 100mg matin et soir pendant 3 jours consรฉcutifs dans lโascaridiase, la trichocรฉphalose lโankylostomiase, lโanguillulose.
o Lโalbendazole : il exerce une activitรฉ antiparasitaire sur les nรฉmatodes et certains cestodes par blocage de lโabsorption de glucose par les parasites. . La posologie (chez lโenfant de plus de 2ans) est de :
– 200mg en prise unique dans lโoxyurose, lโascaridiase, lโankylostomiase, la trichocรฉphalose ;
– 200mg pendant 3 jours dans lโanguillulose et le teaniasis.
Lโintรฉrรชt de ces composรฉs rรฉside dans la possibilitรฉ de dรฉparasitage de masse dans leur large spectre dโaction. Il est รฉgalement recommandรฉ de traiter lโentourage familial et de prendre des mesures dโhygiรจne pour prรฉvenir les rรฉinfestations.
Les corticoรฏdes
Les actions caractรฉristiques des corticoรฏdes sont :
๏ Action hyperglycรฉmiante (par nรฉoglucogenรจse) ;
๏ Action anti-inflammatoire et antiallergique ;
๏ Action immunodรฉpressive ;
๏ Rรฉtention de sodium et fuite de potassium ร forte dose.
Le chef de file de ces mรฉdicaments est le cortisol (ou hydrocortisone) qui est une hormone naturelle cortico-surrรฉnalienne. La cortisone, mรฉtabolite moins actif du cortisol a รฉtรฉ la premiรจre hormone cortico-surrรฉnalienne isolรฉe par Kendal. A partir de ces hormones naturelles, les scientifiques ont pu synthรฉtiser les corticoรฏdes de synthรจse. Ces hormones sont diffรฉrentes des corticoรฎdes naturels, avec des propriรฉtรฉs de glucocorticoรฏdes renforcรฉes (effets anti inflammatoire, antiallergique et immunosuppressif) et des effets minรฉralocorticoรฏdes trรจs diminuรฉs (rรฉtention hydro sodรฉe, excrรฉtion du potassium). On distingue ainsi :
๏ Les glucocorticoรฏdes synthรฉtiques, ni halogรฉnรฉs, ni ยซ compensรฉs ยป : prednisone, prednisolone ;
๏ Les glucocorticoรฏdes synthรฉtiques, non halogรฉnรฉs, compensรฉs (puissance antiinflammatoire renforcรฉe par diverses substitutions sur la structure fondamentale): mรฉthylprednisolone ;
๏ Les glucocorticoรฏdes synthรฉtiques halogรฉnรฉs non compensรฉs (rรฉservรฉs aux administrations locales car la puissance dโaction anti-inflammatoire a รฉtรฉ multipliรฉe par plus de 30) : fludrocortisone, fluocinolone, fluocinonideโฆ. ;
๏ Les glucocorticoรฏdes synthรฉtiques halogรฉnรฉs compensรฉs (la puissance dโaction des dรฉrivรฉs fluorรฉs a รฉtรฉ rรฉduite par adjonction dโun substituant): triamcinolone, dรฉxamรฉthasone, bรฉclomรฉthasone diproprionate, fluticasone proprionate, bรฉthamรฉthasoneโฆ. ;ย Les glucocorticoรฏdes sont indiquรฉs dans de nombreux cas, chaque indication รฉtant avant tout individuelle. Les prescriptions prolongรฉes sont toujours dรฉlicates surtout pour lโenfant. Les principales indications reconnues sont :
๏ Indications substitutives dans lโinsuffisance surrรฉnale aiguรซ ou chronique ;
๏ Indications urgentes de sauvetage :
o grand ลdรจme anaphylactique ;
o laryngite aiguรซ sous glottique ;
o choc cardiogรฉnique, choc toxinique ;
o รฉtat de mal asthmatique ;
๏ En cancรฉrologie :
o traitement palliatif des leucรฉmies, myรฉlomes et lymphomes ;
o effet anti-inflammatoire et anti-ลdรฉmateux ;
o action antiรฉmรฉtisante en association avec les anti-5HT3 dans les chimiothรฉrapies trรจs รฉmรฉtisantes ;
๏ Transplantations dโorganes surtout lors des crises de rejet ;
๏ Asthme sรฉvรจre et affections pulmonaires dyspnรฉisantes ;
๏ Affections rhumatismales (rhumatisme articulaire aigu, polyarthrite rhumatoรฏde, arthrites);
๏ Affections auto-immunes : lupus, maladie de Horton, purpura thrombopรฉnique idiopathique ;
๏ Affections digestives : maladies inflammatoires chroniques de lโintestin ;
๏ Affections dermatologiques ;
๏ Affections rรฉnales ;
๏ Autres : ลdรจme cรฉrรฉbral, hypertension intracrรขnienne (HIC), certaines affections oculaires.
Il faut toujours avoir ร lโesprit que les corticoรฏdes sont prescrits ร des doses รฉlevรฉes, provoquant des effets bien supรฉrieurs aux effets physiologiques , faisant apparaรฎtre des effets indรฉsirables indissociables des effets thรฉrapeutiques ; lโapprรฉciation prรฉcise et raisonnรฉe du rapport bรฉnรฉfice โ risque de la prescription est donc essentielle.
Les bรฉta-2- stimulants dโaction retardรฉe et prolongรฉe
๏ Mรฉdicaments disponibles pour inhalation : Ces prรฉparations ne sont pas indiquรฉes pour le traitement dโune crise dโasthme dรฉclarรฉe mais la prรฉvention des crises notamment nocturnes et ร lโeffort, en association avec les glucocorticoรฏdes. Nous avons :
o le Salmรฉtรฉrol xifonate ร la dose de 25 ou 50 ยตg en une ou deux prises selon la sรฉvรฉritรฉ des symptรดmes ;
o Formotรฉrol fumarate.ร la dose de 12 ร 48ยตg /j en deux prises selon la sรฉvรฉritรฉ des symptรดmes.
๏ Mรฉdicaments disponibles pour voie orale : Bambutรฉrol
Les classes thรฉrapeutiques
ย ย ย Les classes thรฉrapeutiques les plus frรฉquentes รฉtaient les antibiotiques (51,6%), les antihistaminiques (48,4%), les antalgiques-antipyrรฉtiques-AINS (37,4%), les antihelminthiques (17,16%) et les corticoรฏdes (17%). Cinquante et un virgule six pour cent des ordonnances analysรฉes comportaient un antibiotique au moins. A lโhรดpital dโenfants Albert Royer, Sbaa-Hafni avait aussi la mรชme tendance en consultation externe en 2008 [93] tandis que Sylla et al. retrouvaient 64% [101] et Sawadogo 80,75% chez des patients hospitalisรฉs [92]. En France, entre 1998 et 2005, 251 sur 930 patients (soit 27%) dโun CHU avaient reรงu au moins un antibiotique dโaprรจs Patry et al. [79]. Dans un article comparant plusieurs รฉtudes, Rossignoli et al. retrouvaient des taux de prescription dโantibiotiques de 54,2% en Italie et de 14, 2% au Royaume-Uni. La frรฉquence moyenne de prescription des antibiotiques dans divers pays dโEurope et dโAmรฉrique รฉtait de 34% [88]. En effet, ces diffรฉrents taux sont relatifs ร la politique dโantibiothรฉrapie mise en ลuvre dโun pays ร lโautre. Dans les pays dรฉveloppรฉs, on distingue deux grands groupes : ceux dans lesquels la prescription a รฉtรฉ depuis des annรฉes intensive telles la France et lโEspagne et ceux dans lesquels elle est restรฉe modรฉrรฉe tels le Royaume Uni, lโAllemagne. En Afrique, se pose รฉvidemment la question de savoir quelle politique dโantibiothรฉrapie il est souhaitable de promouvoir pour รฉviter ร moyen et ร long termes lโรฉmergence de souches rรฉsistantes tout en tenant compte des impรฉratifs รฉconomiques [41]. Parmi les antibiotiques, les bรชta-lactamines constituaient la famille la plus prescrite (72,34%) comme lโavait retouvรฉ Ndoye-Cissรฉ avec 99,1% [74]. Lโassociation amoxicilline-acide clavulanique et lโamoxicilline รฉtaient en tรชte de file (30,8% et 26,6%). Clavenna et al. ainsi que Piovani et al. avaient trouvรฉ la mรชme tendance en 2003 en Italie avec respectivement 38,7% et 25,8%) et (47,7% et 32,5%) [33, 81]. Les cรฉphalosporines reprรฉsentaient 13,83% des prescriptions. Les macrolides venaient en deuxiรจme position ร 17, 02% avec lโรฉryhromycine (8,51%) comme principale macrolide prescrit suivi de la josamycine (5,32%) et de lโazithromycine (3,19%). Faucon M avait aussi retrouvรฉ cette moindre importance de la prescription des cรฉphalosporines et des macrolides [47]. Cette hiรฉrarchie dans la frรฉquence des antibiotiques prescrits pourrait รชtre expliquรฉe par la prรฉdominance des infections respiratoires oรน lโamoxicilline et lโamoxicilline-acide clavulanique constituent les molรฉcules de premiรจre intention. Les fluoroquinolones รฉtaient prescrites ร une frรฉquence assez faible (2,12%). En effet, elles doivent rester chez l’enfant un antibiotique de deuxiรจme ou troisiรจme intention dans les infections sรฉvรจres chez des patients oรน aucun autre antibiotique n’est possible. De plus, ce sont des molรฉcules dont lโAMM ne couvrait pas initialement la pรฉdiatrie ; elle a รฉtรฉ secondairement รฉlargie pour les patients de moins de 15 ans, en pratique courante. En outre, en limitant de faรงon drastique leur usage pรฉdiatrique, on aidera ร limiter l’รฉmergence de rรฉsistances [51]. Aprรจs les antibiotiques, les antihistaminiques constituaient la classe thรฉrapeutique la plus reprรฉsentรฉe avec 48,4%. En effet ces mรฉdicaments sont trรจs frรฉquemment prescrits du fait de leurs nombreuses indications chez lโenfant telles que la rhinite allergique, lโasthme, la dermatite atopique, lโurticaire, lโanaphylaxie, la toux ร composante allergique, la conjonctivite allergique. Ils sont aussi utilisรฉs dans des indications qui ne leur sont pas classiquement connus (traitement de nausรฉes et vomissements post chimiothรฉrapie anticancรฉreuse) [40]. Par ailleurs, dans ce groupe des antihistaminiques, les principales molรฉcules prescrites (mรฉquitazine ร 42,05%, desloratadine ร 39,77% et cรฉtrizine ร 15,91%) รฉtaient des anti-histaminiques H1 de deuxiรจme gรฉnรฉration. En effet ces derniers sont favorisรฉs dans les prescriptions car, lorsquโils sont utilisรฉs aux doses recommandรฉes, les antihistaminiques de deuxiรจme gรฉnรฉration sont en gรฉnรฉral dรฉpourvus dโeffets secondaires sur le systรจme nerveux central comme la somnolence. Ils sont aussi moins susceptibles de causer les effets anticholinergiques caractรฉristiques des antihistaminiques de premiรจre gรฉnรฉration [27, 32]. Les antalgiques-antipyrรฉtiques et AINS venaient en troisiรจme position dans les prescriptions avec 37,4%. Sawadogo avait trouvรฉ chez de enfants hospitalisรฉs une frรฉquence dโutilisation des antalgiques ร 44,5% [92]. Palmaro et al. avaient trouvรฉ un taux de 51,2% [78]. Dans ce groupe, le paracรฉtamol รฉtait de loin la molรฉcule la plus prescrite ร 94,12%. Lโibuprofรจne et le diclofรฉnac รฉtaient prescrits ร des taux รฉgaux ร 2,94%. Lโaspirine nโa pas รฉtรฉ prescrite par ailleurs. Les corticoรฏdes รฉtaient retrouvรฉs ร une frรฉquence de 17%. Sbaa-Hafni avait trouvรฉ une frรฉquence de 10,75% [93]. Parmi les corticoรฏdes, la bรชta-mรฉthasone a รฉtรฉ la plus prescrite avec un taux de 41,94%. Sawadogo avait aussi retrouvรฉ une prรฉdominance de cette molรฉcule mais ร un taux nettement supรฉrieur au nรดtre (79%) [92].
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre 1 : La prescription mรฉdicamenteuse en pรฉdiatrie
1.1 Dรฉfinition de concepts
1.1.1 Prescription
1.1.2 Mรฉdicament
1.1.3 Notice
1.1.4 Abus
1.1.5 Autorisation de mise sur le marchรฉ
1.1.6 Mesusage
1.1.7 Rapport bรฉnรฉfice et risque dโun traitement mรฉdicamenteux
1.2 Particularitรฉs pharmacologiques chez lโenfant
1.2.1 Rรฉsorption
1.2.1.1 Les voies digestives
1.2.1.2 La voie cutanรฉe
1.2.1.3 Les voies sous-cutanรฉe et intramusculaire
1.2.1.4 La voie intraveineuse
1.2.1.5 Autres voies
1.2.2 Distribution
1.2.3 Mรฉtabolisme
1.2.4 Elimination
1.2.5 Tolรฉrance
1.3Particularitรฉs de la prescription en pรฉdiatrie
1.3.1 Problรฉmatique de lโAMM
1.3.1.1 Les mรฉdicaments dotรฉs dโune AMM pรฉdiatrique
1.3.1.2 Les mรฉdicaments clairement rรฉservรฉs ร lโadulte
1.3.1.3 Les mรฉdicaments dรฉpourvus de mention particuliรจre
1.3.2 Formes galรฉniques adaptรฉes
1.3.3 Adaptation posologique
1.3.4 Erreurs et difficultรฉs
1.4 Rรจgles de prescription
Chapitre 2 : Normes de prescription par classe de mรฉdicaments
2.1 Les antibiotiques
2.1.1 Les bรชta-lactamines
2.1.1.1 Prรฉsentation- Mรฉcanisme dโaction
2.1.1.2 Posologies, voies et rythme dโadministration
2.1.1.3 Indications
2.1.2 Les macrolides
2.1.2.1Prรฉsentation- Mรฉcanisme dโaction
2.1.2.2 Posologies, voies et rythme dโadministration
2.1.2.3 Indications
2.1.3 Les macrolides apparentรฉs
2.1.3.1 Prรฉsentation- Mรฉcanisme dโaction
2.1.3.2Posologies, voies et rythme dโadministration
2.1.3.3 Indications
2.1.4 Les aminosides
2.1.4.1Prรฉsentation- Mรฉcanisme dโaction
2.1.4.2Posologies, voies et rythme dโadministration
2.1.4.3 Indications
2.1.5 Les fluoroquinolones
2.1.5.1Prรฉsentation- Mรฉcanisme dโaction
2.1.5.2 Posologies, voies et rythme dโadministration
2.1.5.3 Indications
2.1.6 Les nitro-imidazolรฉs
2.1.6.1Prรฉsentation- Mรฉcanisme dโaction
2.1.6.2Posologies, voies et rythme dโadministration
2.1.6.3 Indications
2.1.7 Autres antibiotiques utilisรฉs en pรฉdiatrie
2.1.7 Les nitrofuranes
2.1.8 Lโacide fusidique
2.2 Les antihelminthiques
2.2.1 Mรฉdicaments agissant sur les nรฉmatodes
2.2.2 Mรฉdicaments agissant sur les cestodes
2.2.3 Mรฉdicaments agissant sur les trรฉmatodes
2.3 Les antimycosiques ou antifongiques
2.3.1 Les antifongiques topiques
2.3.2 Les antifongiques par voie orale dโabsorption digestive
2.4 Les antalgiques-antipyrรฉtiques et les antiinflammatoires non stรฉroรฏdiens
2.4.1 Les antalgiques
2.4.1.1 Palier I : les antalgiques pรฉriphรฉriques ou non opiacรฉs
2.4.1.2 Palier II : les antalgiques centraux faibles (dรฉrivรฉs morphiniques)
2.4.1.3 Palier III : les antalgiques centraux forts
2.4.1.4 Les co-analgรฉsiques
2.4.2 Les AINS
2.5 Les corticoรฏdes
2.6 Les antihistaminiques H1
2.7 Les antiasthmatiques
2.7.1 Les mรฉdicaments bรฉta-2- stimulants
2.7.1.1 Les bรฉta-2- stimulants dโaction rapide
2.7.1.2 Les bรฉta-2- stimulants dโaction retardรฉe et prolongรฉe
2.7.2 Les mรฉthylxanthines :tรฉophylline et autres dรฉrivรฉs xantithiques
2.7. 3 Mรฉdicaments antiasthmatique divers
2.8 Antitussifs et fludifiants bronchiques
2.8.1 Les antitussifs
2.8.2 Les fludifiants bronchiquues
2.9 Les mรฉdicaments utilisรฉs en pathologie digestive
2.9.1 Les antiรฉmรฉtiques
2.9.1.1 Les antiรฉmรฉtiques pour la prรฉvention des cinรฉpathies
2.9.1.2 Les antiรฉmรฉtiques pour le traitement et la prรฉvention des vomissements chimiques
2.9.2 Les laxatifs
2.9.3 Les antidiarrhรฉiques
2.9. 4 Les antispasmodiques
2.10 Le fer
2.11 Les vitamines
DEUXIEME PARTIE
Chapitre 1: Patients et mรฉthodes
1.1 Cadre dโรฉtude
1.1.1 Le service universitaire de pรฉdiatrie
1.1.2 Le personnel
1.1.3. Lโรฉquipement et le fonctionnement pratique
1.1.3.1 Activitรฉs hospitaliรจres
1.1.3.2 Activitรฉs universitaires
1. 2.Mรฉthodologie
1.2.1 Type et Pรฉriode dโรฉtude
1. 2.2 Critรจres
1.2.2.1 Critรจres dโinclusion
1.2.2.2 Critรจres de non inclusion
1.2.3 Echantillonnage
1.2.4 Recueil de donnรฉes
1.2.5 Saisie et analyse des donnรฉes
Chapitre 2 : Rรฉsultats
2.1 Etude descriptive
2.1.1 Donnรฉes sociodรฉmographiques
2.1.1.1 Lโรขge
2.1.1.2 Le sexe
2.1.1.3 Lโorigine gรฉographique
2.1.2 Donnรฉes cliniques
2.1.2.1 Le poids
2.1.2.2 La prรฉvalence de la fiรจvre
2.1.2.3 Rรฉpartition des patients selon lโappareil
atteint
2.1.3 Les mรฉdicaments
2.1.3.1 Le nombre moyen de mรฉdicaments par ordonnance
2.1.3.2 Les classes thรฉrapeutiques
2.1.3.3 Rรฉpartition des antibiotiques selon la famille et la molรฉcule
2.1.3.3.1 Rรฉpartition des antibiotiques selon la famille
2.1.3.3.2 Rรฉpartition des familles dโantibiotique selon la molรฉcule
2.1.3.4 Autres classes
2.1.4 Les formes galรฉniques
2.1.5 Les erreurs de prescription
2.1.5.1 Conformitรฉ de la prescription par rapport au diagnostic
2.1.5.1.1 Pour lโensemble des prescriptions
2.1.5.1.2 Par classe thรฉrapeutique
2. 1.5.2 Conformitรฉ de la posologie
2.1.5.2.1 Pour lโensemble des prescriptions
2.1.5.2.2 Par classe thรฉrapeutique
2.1.5.3 Les erreurs de durรฉe
2.1.5.3.1 Pour lโensemble des prescriptions
2.1.5.3.2 Par classe thรฉrapeutique
2.1.5.4 Les erreurs de forme galรฉnique
2.1.5.4.1 Pour lโensemble des prescriptions
2.1.5.4.2 Par classe thรฉrapeutique
2.2 Etude analytique
2.2.1 La prescription dโantibiotiques selon la tranche dโรขge
2.2.2 La prescription dโantibiotiques en fonction de la pathologie
2.2.3 La prescription dโantibiotiques non indiquรฉs en fonction de la pathologie
2.2.4 La prescription dโantibiotiques non indiquรฉs en fonction de la tranche dโรขge
2.2.5 Les erreurs de posologie des antibiotiques en fonction de la pathologie
2.2.6 Les erreurs de posologie des antibiotiques en fonction de lโรขge
Chapitre 3 : Commentaires et discussion
3.1 Etude descriptive
3.1.1 Donnรฉes sociodรฉmographiques
3.1.1.1 Lโรขge
3.1.1.2 Le sexe
3.1.1.3 Lโorigine gรฉographique
3.1.2 Donnรฉes cliniques
3.1.2.1 Le poids
3.1.2.2 La prรฉvalence de la fiรจvre
3.1.2.3 Les diffรฉrentes affections retrouvรฉes
3.1.3 Les mรฉdicaments
3.1.3.1 Le nombre moyen de mรฉdicaments par ordonnance
3.1.3.2 Les classes thรฉrapeutiques
3.1.3.3 Les formes galรฉniques
3.1.4 Les erreurs de prescription
3.1.4.1 Conformitรฉ de la prescription par rapport au diagnostic
3.1.4.2 Conformitรฉ de la posologie
3.1.4.3 Les erreurs de durรฉe
3.1.4.4 Les erreurs de forme galรฉnique
3.2 Etude analytique
3.2.1 Analyse de la prescription dโantibiotiques selon la tranche dโรขge
3.2.2 Analyse de la prescription dโantibiotiques en fonction de la pathologie
3.2.3 Analyse de la prescription dโantibiotiques non indiquรฉs en fonction de la pathologie
3.2.4 Analyse de la prescription dโantibiotiques non indiquรฉs en fonction de la tranche dโรขge
3.2.5 Analyse des erreurs de posologie des antibiotiques en fonction de la pathologie
3. 2.6 Analyse des erreurs de posologie des antibiotiques en fonction de lโรขge
CONCLUSION-RECOMMANDATIONS
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
ANNEXE
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