Données sur la scolarisation
La population analphabète est dominante puisque seulement 40,2% des sénégalais savent lire et écrire selon les estimations de 2003.
Le taux brut de scolarisation est de 68,3 % avec des disparités importantes entre les régions administratives. C’est ainsi que des régionscomme Dakar et Ziguinchor bénéficient d’un taux brut de scolarisation respectif de 86.3% et 99.1%, nettement supérieur à la moyenne nationale (68.3) alors que d’autres comme Diourbel (40,4%), Kaolack (44,3%), Louga (55,9%) et Fatick (54,5%) sont loin d’atteindre cette moyenne. Malgré le lancement en 1990, par Jomtien, du concept d’« Education pour tous à l’an 2000 » la scolarisation au Sénégal reste relativement faible. Selon les statistiques de l’année scolaire 2002-2003 le nombre d’enfants scolarisésdans l’enseignement élémentaire est de 1.287.093 élèves tous statuts confondus (public, privé laic, privé confessionnel). Avec un taux brut de scolarisation de 75.8%, l’enseignement élémentaire est certainement le sous-secteur où on compte le plus d’enfants scolarisés. Les détails des effectifs des enfants de 12 et 13 ans scolarisés dans le sous secteur de l’enseignement élémentaire figurent dans le tableau I.
L’enseignement moyen et secondaire général a un effectif de 306 026 élèves (40.6% de filles) avec un taux brut de scolarisation global de 26.5% au moyen ( garçons 32.3% et filles 21.1%) et 9.1% au secondaire.
L’effectif des élèves âgés de 12-13 ans dans l’enseignement élémentaire est de 215 672 (98 218 filles).
Dans l’enseignement moyen et secondaire général les éléves agés de 13 ans sont au nombre de 21273 tandis que les moins de 13 ans sont chiffrés à 51993.
Considérations cliniques
Agencement intra-arcade et relation inter-arcades normaux en denture permanente.
L’agencement intra-arcade et les relations inter-arcades qui sont décrits ici relèvent d’une disposition idéale. Toute déviation par rapport à cette disposition est considérée comme étant une anomalie ou une dysmorphose orthodontique. Cependant, les anomalies orthodontiques ainsi définies ne requièrent pas toutes, un traitement orthodontique.
Agencement intra-arcade
L’agencement intra-arcade concerne la disposition des unités dentaires au sein des arcades maxillaire et mandibulaire. Il est généralement décrit dans les 3 plans de l’espace.
Dans le plan horizontal
Au niveau des dents cuspidées : les tables occlusales d’une même arcade présentent des dimensions vestibulo-linguales sensiblement égales. Il en résulte que les cuspidesd’appui (primaires) sont disposées selon la même courbe tant au maxillaire (cuspides linguales) qu’à la mandibule (cuspides vestibulaires). A la courbe des cuspides d’appui, correspond, sur l’arcade antagoniste,une courbe des fosses et des fossettes.
Au niveau incisivo-canin : l’arc incisivo-canin se situe dans le prolongement de la courbe des cuspides d’appui.
RELATIONS INTER-ARCADES
Les relations interarcades normales doivent s’analyser au moment des contacts dentaires en intercuspidation maximale et au cours des différentes excursions de la mandibule.
Relations statiques
L’occlusion engrenante en intercuspidie maximale
Elle est caractéristique des mammifères et peut être assimilée à un engrenage de mécanique hautement spécialisée dont les déplacements peuvent s’effectuer dans les trois sens de l’espace.
Les dents s’articulent dans le sensvestibulo-lingual de la façon suivante : cuspides vestibulaires mandibulaires en relation avec le sillon mésio-distal maxillaire et cuspides linguales maxillaires en relation avec le sillon mésio-distal mandibulaire.
Dans le sens mésio-distal : les dents mandibulaires sont en mésioclusion d’une demi-cuspide par rapport aux dents maxillaires, ce qui correspond à la définition dela classe I d’Angle. Ainsi, une dent s’articulera avec deux dents antagonistes, sauf les incisives centrales mandibulaires et les troisièmes molaires maxillaires.
Rapport des faces occlusales en intercuspidie maximale (I.C.M.) :
L’intercuspidie maximale est une situation dans laquelle les dents des deux arcades présentent un maximum de points de contacts. Les surfaces occlusales étant convexes, les points de contacts sont punctiformes, aussitôt après la phase de constitution de la denture adulte jeune, puis deviennent progressivement des surfacesd’appui avec l’âge.
En I.C.M., les forces occlusales transmises par les cuspides d’appui doivent être axiales et passer par une zone proche du centre de résistance de la dent.
Le nombre et la disposition des points de contact en I.C.M. concourent à la stabilité des unités dentaires, les contacts bilatéraux étant également répartis.
Un tel agencement des rapports d’occlusion correspond à des relations de la classe I d’Angle, en I.C.M. et des rapports cuspides-embrasures des faces vestibulaires des dents cuspidées et cuspides-fosses centrales ou marginales, au niveau lingual.
Les rapports d’occlusion en I.C.M doivent concourir à la stabilité des unités dentaires et à la liberté des différentes excursions fonctionnelles. Ils ne peuvent pas cependant être considérés comme une position de référence, c’est la relation centrée qui constitue, pour l’orthodontiste, la position de référence la plus satisfaisante, en raison de saprécision de détermination et de sa fiabilité. Elle sera évoquée dans la page suivante.
Le surplomb
Dans le sens vestibulo-lingual l’arcade maxillaire est plus large et plus longue que l’arcade mandibulaire et les dents maxillaires surplombent leurs homologues mandibulaires.
Le surplomb au niveau antérieur correspond à la distance qui sépare dans le plan sagittal les faces vestibulaires des incisives mandibulaires du bord libre de leurs homologues maxillaires (voir figure 5). Sa valeur normale est fixée à 2 mm mais des valeurs allant jusqu’à 4 mm peuvent être tolérées selon les races. Le surplomb au niveau des dents postérieures, correspond à la distance qui sépare les crêtes cuspidiennes vestibulaires des prémolaires et molaires maxillaires à la face vestibulaire de leurs homologues mandibulaires (voir figure 5). Le surplomb diminue de façon progressive au fur et à mesure qu’on va vers les dents postérieures.
Le recouvrement
En occlusion d’intercuspidation maximale, les dents maxillaires recouvrent leurs homologues mandibulaires dans le sens vertical. Ce recouvrement est normalement mesuré entre le bord libre des incisives maxillaires et celui des incisives mandibulaires (voir figure 5). L’identification de sa valeur normale à un nombre n’a pas de sens clinique dansla mesure où les hauteurs coronaires varient d’un individu à un autre. Il n’est dès lors, plus déterminé que par la proportion ou le pourcentage de hauteur coronaire mandibulaire recouverte par les dents maxillaires. Jusqu’à 1/3 ou 30% de hauteur coronaire d’incisive mandibulaire recouverte on estime que le recouvrement est correct. Le recouvrement incisif dépend d’une inter-action de facteurs anatomiques et fonctionnels qui concourent à l’équilibre interincisif, le surplomb et le recouvrement incisif étant liés l’un à l’autre. Le recouvrement des dents mandibulaires par les dents maxillaires, dans les secteurs latéraux, dépend de la hauteur des cuspides et de la profondeur des fosses. Il se réduit progressivement dans lesens mésio-distal.
Cette disposition est nécessaire pour permettre des conditions de simultanéité des contacts dentaires au cours de la fermeture.
Anomalies de l’agencement intra-arcade et des relations inter-arcades
Les anomalies de l’agencement intra-arcade et des relations inter-arcades obeïssent à une terminologie particulière, variable selon les sociètés scientifiques. Certains termes sont néanmoins d’un usage plus ubiquiste.
La terminologie qui est utilisée pour nommer les anomalies orthodontiques dans cette thèse est celle de la Fédération Dentaire Internationale. Laconnaissance des conventions qui ont permis de mettre au point cette terminologie est importante pour bien la comprendre. Quelques explications sont fournies ainsi que des illustrations de quelques anomalies.
Le nom de chaque anomalie comprend généralement: un préfixe (racine grecque ou latine), un radical et un qualificatif.
Les malposition dentaires
Le terme malposition dentairedésigne un ensemble d’anomalies concernant les unités dentaires prises individuellement. Lorsque les arcades dentaires sont observées en vue occlusale les bords libres des incisives et des canines et les cuspides vestibulaires des prémolaires etmolaires dessinent une ligne courbe que Angle a appelé la ligne d’occlusion. Les malpositions dentaires font référence à toutes déviations, de la totalité de la couronne ou d’une des faces proximales de la dent par rapport à la ligne d’occlusion. Il est pratique et didactique d’étudier les malpositions dentaires dans les 3 plans de l’espace (cf tableau II ).
Les malpositions dentaires (rotation mono-marginale, rotation axiale, vestibulo ou linguoposition), entraînent un déplacement de point de contact et sont souvent la conséquence d’un encombrement. C’est généralement le déplacement de point de contact qui sertà mesurer la gravité d’une malposition dentaire.
L’Articulé croisé
Normalement en occlusion d’intercuspidation maximale, les dents maxillaires surplombent leurs homologues mandibulaires.
On parle d’articulé croisé au niveau du secteur antérieur lorsque 1, 2 ou 3 dents mandibulaires surplombent leurs homologues maxillaires. Si les 4 incisives mandibulaires surplombent leurs homologues maxillaires, on parle d’occlusion inversée.
Au niveau des secteurs latéraux, on parle d’articulé croisé chaque fois qu’il y a un décalage dans la relation cuspide-fossette ou cuspide embrasure. Dans les cas extrêmes on peut observer une absence complète de contacts fonctionnels entre les dents maxillaires et mandibulaires. On parle alors d’articulé en ciseaux ou « scissors bite ». L’articulé croisé crée des contacts prématurés et entraine souvent un décalage entre l’occlusion de relation centrée et l’occlusion d’intercuspidation maximale.
Considérations épidémiologiques.
Un indice correspond à une indication numérique ou alphanumérique (donc chiffrée) qui sert à caractériser un signe.Dans le contexte orthodontique, un indice est utilisé pour décrire un système d’évaluation ou de catégorisation, qui attribue un score numérique ou alphanumérique à l’occlusion d’un individu donné.
Les indices orthodontiques sont couramment utilisés dans les milieux orthodontiques européens pour la détermination de l’accessibilité aux fonds publics ou la détermination du taux de remboursement par les mutuelles complémentaires. Ces indices sont également beaucoup utilisés dans la recherche.
Les différents types d’indices
On distingue essentiellement 5 types d’indices correspondant chacun à un objectif donné. En fait, ce sont plus les objectifs que le contenu ou les conventions qui distinguent un indice d’un autre.
Les indices de classification nosologique
Les indices de classification nosologique permettent de catégoriser les malocclusions. Ils sont uniquement descriptifs et facilitent la communication entre praticiens.
La classification d’Angle est la plus utilisée de ces indices de classification nosologique. Elle est basée sur les rapports sagittaux, entre les premières molaires et canines mandibulaires et leurs homologues du maxillaire. Ses subdivisions sont souvent utilisées pour décrire séparément les relations interarcades au niveau des incisives. La classification d’Angle est connue pour sa relative simplicité. En réalité, elle a été créée pour servir de guide lors de l’établissement du plan de traitement.
Les indices épidémiologiques
Ces indices enregistrent chaque trait d’une malocclusion donnée. L’impératif nécessaire pour ces indices épidémiologiques c’est la fiabilité (variabilité intra et inter-examinateur faible). On peut citer le système d’enregistrement des malocclusions décrit par Bjork, et coll., (1964) (9), la méthode de la Fédération Dentaire Internationale (FDI) (6) ou l’indice occlusal de Summers (OI) . Ces indices sont des outils épidémiologiques intéressants, qui peuvent permettrede déterminer la distribution de certains traits occlusaux au sein d’une population. Ils ne peuvent toutefois pas permettre de déterminer avec précision le besoin de traitement au sein d’une population donnée.
Les indices de besoin de traitement
Plusieurs indices ont été mis au pointpour permettre de catégoriser les malocclusions en fonction du besoin de traitement.
Parmi ces indices, on peut citer brièvement, L’IOTN ou Indice of Orthodontic Treatment Need (Indice de Besoinde traitement Orthodontique) (10) et l’ICON ou indice of Complexity, Outcome and Need (indice de complexité, de résultats et de besoin de traitement) (13) . Ils seront plus amplement décrit dans la suite de ce travail.
On peut également citer : l’HLD index (Handicapping labio-lingual deviation index) ou indice de déviation vestibulo-linguale handicapante de Draker (17),l’indice TPI (Treatment Priority Index) ou indice de priorité de traitement de Grainger (23) , et L’HMAR (Handicapping Malocclusion Assessment Record) ou indice d’évaluation des malocclusions handicapantes de Salzmann (42) . Ces indices, initialement mis au point pour l’épidémiologie, ont été adaptés à la détermination des besoins detraitement orthodontique. Ils proposent un score pour chaque type de trait occlusal ou de malposition dentaire auquel on affecte un coefficient de pondération en fonction du degré de morbidité de lamalocclusion. Un chiffre global peut ensuite être attribué en faisant la somme des scores, multipliée par le coefficient de pondération correspondant.
Les indices de résultats thérapeutiques
Plusieurs indices ont été mis au point pour évaluer les résultats thérapeutiques (7,18,22,40) . L’indice occlusal de Summers que nous avons évoqué dans le paragraphe concernant les indices épidémiologiques a aussi été utilisé pour l’évaluation des résultats thérapeutiques. L’ICON ou indice of Complexity, Outcome and Need (indice decomplexité, de résultats et de besoin de traitement) (13) , cité dans le paragrapheprécédent, permet aussi d’évaluer les résultats thérapeutiques. Quant à l’indice PAR ou Peer Assessment Rating index (indice d’évaluation par paire)(40) , il a été mis au point récemment et spécifiquement pour évaluer les résultats thérapeutiques.
Les indices de complexité de traitement
A ce jour, un seul indice a été mis au point pour mesurer lacomplexité des traitements. Il s’agit de l’ICON ou indice of Complexity, Outcome and Need (indice de complexité, de résultatset de besoin de traitement) (13) . Cet indice a été développé récemment et a été en outre utilisé dans le cadre de ce travail. Il sera décrit plus en détail dans le chapitre ci-dessous consacré aux indicesrécents.
Les indices utlisés dans cette enquête épidémiologique
Les indices orthodontiques que nous avons utilisés pour l’évaluation du besoin de traitement orthodontique normatif chez les enfants de 12/13 ans ont été mis au point au Royaume-Uni.Il s’agit de L’IOTN ou Indice of Orthodontic Treatment Need (Indice de Besoin de traitement Orthodontique) (10) et de l’ICON ou indice of Complexity, Outcome and Need (indice de complexité, de résultats et de besoin de traitement).
L’IOTN ou Indice of Orthoidontic treatment Need (Indice de besoin de traitement Orthodontique).
L’IOTN ambitionne de classer les malocclusions d’un individu donné en tenant compte de la signification de différents traits occlusaux, en terme d’effets néfastes sur la santé dentaire et sur l’esthétique. Cet indice se propose d’identifier les individus qui auraientle plus besoin d’un traitement orthodontique.
Il comprend 2 composantes : une composante de santé dentaire ou en anglais « dental health component (DHC)» et une composante esthétique ou en anglais « aesthetic component (AC) ».
L’instrument de mesure de la composante de santé dentaire de l’IOTN
Une réglette contenant un résumé de toutes les informations nécessaires à l’enregistrement de la composante de santé dentaire, a été spécialement mise au point. La réglette peut être utilisée directement sur le patient. Les informations concernant l’occlusion labiale et les difficultés masticatoires et phonatoires et un éventuel décalage entre l’occlusion de relation centrée (ORC) et l’intercuspidation maximale (ICM) sont enregistrées sur place. Elle peut aussi servir à l’évaluation sur des moulages, dans ce dernier cas, on n’a pas forcément les informations cliniques concernant l’occlusion labiale, le glissement entre la relation centrée etl’intercuspidation maximale et les problèmes fonctionnels. Dans cette situation, il est recommandé de toujours considérer le pire des scénarios, c’est-à-dire que tous ces problèmes existent.
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Table des matières
Introduction
Données sur le SENEGAL
I. GEOGRAPHIE PHYSIQUE
II. DONNEES SOCIODEMOGRAPHIQUES
III. DONNEES SUR LA SCOLARISATION
Considérations sur l’agencement intra-arcade et les relations inter-arcades
I.Considérations cliniques
1.1 Agencement intra-arcade et relation inter-arcades normaux en denture permanente
1.1.1 Agencement intra-arcade
1.1.1.1 Dans le plan horizontal
1.1.1.2 Dans le plan antéro-postérieur
1.1.1.3 Dans le plan transversal
1.1.1.4 La zone de contact
1.1.1.5 Les crêtes proximales
1.1.1.6 La courbe d’arcade
1.1.2 relations inter-arcades
1.1.2.1. Relations statiques
1.1.2.2 Relations cinétiques
1.2 Anomalies de l’agencement intra-arcadeet des relations inter-arcades
1.2.1 L’agencement intra-arcade
1.2.1.1 Les malposition dentaires
1.1.2.1. L’encombrement et l’espacement
1.2.2 Les relations inter-arcades
1.2.2.3 La Supraclusion
1.2.2.4 Le Surplomb
1.2.2.5. L’Articulé croisé
II. Considérations épidémiologiques
2.1 Les différents types d’indices
2.1.1 Les indices de classification nosologique
2.1.2 Les indices épidémiologiques
2.1.3.Les indices de besoin de traitement
2.1.4 Les indices de résultats thérapeutiques
2.1.5 Les indices de complexité de traitement
2.2 Les indices utlisés dans cette enquête épidémiologique
2.2.1 L’IOTN ou Indice of Orthoidontic treatment Need (Indice de besoin de traitement Orthodontique)
2.2.1.1 La composante esthétique ou Aesthetic component (AC)
2.2.1.2 La composante de santé dentaire (Dental Health Component ou DHC)
2.2.2 L’ICON ou Index of Complexity Outcome and Need (Index de Complexité de Résultat et de Besoin de traitement orthodontique)
2.2.2.1. Description de l’ICON (voir aussi tableau III)
2.2.2.2 Considérations générales sur l’utilisation de l’ICON
2.2.2.3 Les différentes composantes de l’ICON
2.2.2.4 Utilisation pratique de l’ICON
Evaluation de la demande et du besoin en soins orthodontiques chez les enfants sénégalais âgés de 12 – 13 ans
I. Matériels et méthodes
1.1 Type de l’étude
1.2 Population ciblée
1.3 Echantillonnage
1.4 Méthodologie utilisée
1.4.1 Procédures administratives
1.4.2 Formation et calibration des enquêteurs
1.4.3 Période et durée de l’étude
1.4.4 Méthode de collecte des données
1.4.4.1 Données subjectives relatives à l’orthodontie
1.4.4.2 Evaluation objective du besoin de traitement orthodontique
II. ANALYSE STATISTIQUE DES DONNEES
2.1 les variables obtenues
2.1.1 Les variables qualitatives
2.1.2 Les variables quantitatives
2.1.3 Les tests statistiques
2.1.3.2 Les variables quantitatives
2.1.3.3 Fiabilité de l’évaluation du besoin de traitement orthodontique normatif
III. RESULTATS
3.1 Statistiques descriptives
3.1.1 Distribution de la population selon le sexe
3.1.2 Distribution de la population selon l’ethnie
3.1.3 Distribution de la population selon la connaissance de l’orthodontie
3.1.4 Fréquence du besoin de traitement selon l’ICON
3.1.5 Fréquence du besoin de traitement selon l’IOTN DHC
3.1.6 Fréquence du besoin de traitement selon l’IOTN AC évalué par l’investigateur
3.1.7 Fréquence du besoin de traitement subjectif
3.1.8 Fréquence du besoin de traitement selon l’IOTN AC évalué par les enfants
3.1.9 Fréquence du besoin de traitement selon l’IOTN AC évalué par les parents
3.1.10 Fréquence des anomalies orthodontiques nécessitant un traitement orthodontique selon l’IOTN
3.2 Fiabilité de l’évaluation du besoin detraitement orthodontique normatif
3.3 Comparaison du besoin de traitement entre les différents groupes de sujets
3.3.1 Comparaison du besoin de traitementnormatif évalué par l’ICON entre les différents groupes de sujets
3.3.1.1 Selon le sexe
3.3.1.2 Selon le groupe ethnique
3.3.2 Comparaison du besoin de traitement normatif évalué par l’IOTN entre les différents
groupes de sujets
3.3.2.1 Comparaison du besoin de traitement évalué par l’IOTN DHC
3.3.2.1.1 Selon le sexe
3.3.2.1.2 Selon le groupe ethnique
3.3.2.2 Comparaison du besoin de traitement normatif évalué par l’IOTN AC entre les différents groupes de sujets
3.3.2.2.1 Selon le sexe .
3.3.2.2.2 Selon le groupe ethnique
3.3.3 Comparaison du besoin de traitement subjectif (demande en soins) entre les différents groupes de sujets
3.3.3.1 Selon le sexe
3.3.3.2 Selon le groupe ethnique
3.3.3.3 Avec les besoins normatifs
3.3.4 Comparaison du besoin de traitement esthétique entre les parents, les enfants et l’investigateur
IV. DISCUSSION
4.1 Considérations méthodologiques et limites de ce travail
4.2 Données concernant le besoin de traitement orthodontique
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
APPENDICE