L’ENSEIGNEMENT DU FRANÇAIS AU VENEZUELA (DONNEES HISTORIQUES)
Même si nous sommes consciente du fait que lorsque l’on parle d’enseignement/apprentissage du FLE, nous avons affaire à un univers très ample regroupant beaucoup de pays et de cultures concernés (à savoir, tous ceux qui sont répertoriés par l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), comme étant des pays /cultures francophones), il est vrai que dans la réalité administrative vénézuélienne, cette gamme de nations disparaît quasiment et se réduit, dans les faits, aux relations établies spécialement avec la France et moyennement avec le Canada et la Belgique. En effet, nous n’avons pas trouvé d’informations assez riches pour les inclure dans ce chapitre de notre travail concernant les relations entre le Venezuela et les autres pays francophones. Pour cette raison, et dû au fait que notre recherche s’y circonscrit, nous nous limitons donc à analyser les relations franco-vénézuéliennes. L’ensemble des éléments contextuels qui seront décrits nous permettront non seulement de connaître la situation dans laquelle se déroule notre recherche mais aussi, et surtout, de comprendre à quel point il est important d’approfondir sur des sujets concernant le FLE au Venezuela : il s’agit là d’un domaine lié à d’autres secteurs directement et indirectement dans ce pays (le tourisme, le commerce, la politique, etc.). La France et le Venezuela entretiennent des échanges bilatéraux importants depuis l’époque de la Révolution française, à laquelle a participé le vénézuélien Francisco de Miranda (Général de l’Armée française en 1792, seul Latino-américain dont le nom est inscrit à l’Arc de Triomphe à Paris, à côté de ceux des autres combattants de la révolution) et qui a servi d’inspiration à l’indépendance du Venezuela, en 1810. Ces relations se sont enrichies au fil du temps par des visites successives et réciproques des chefs d’État des deux pays dont le but était de créer des liens pour la coopération internationale. L’action centrale la plus récente de ces rencontres a été la création d’une Commission franco-vénézuélienne de haut niveau qui se réunit régulièrement depuis le début du XXIème siècle pour promouvoir le dialogue entre les deux nations autour des sujets divers dont l’importance est accentuée par la proximité entre la Martinique, la Guadeloupe, la Guyane française et le Venezuela, et donc, par l’existence d’une frontière maritime commune avec la France. Cette commission se charge, entre autres, des projets renfermant l’identification de thèmes de recherche liés aux « agendas de développement du Venezuela ». Elle se charge aussi des projets du programme ECOS NORD, des projets de bourses de la Banque Interaméricaine de Développement, créés sur le modèle français et des projets de conventions sportives (pour des compétitions et des formations). La promotion et le renforcement de programmes déjà existants font également l’objet de cette commission. C’est le cas du PCP (Programme de Coopération Post-gradué), de la modernisation des Instituts Universitaires des Technologies avec IUT Consultants, des programmes de bourses en partenariat avec Fundayacucho et ÉDUFRANCE et du programme d’échange d’assistants de langue (Muñoz, 2002). Il existe, d’ailleurs, entre la France et le Venezuela, un accord de promotion et de protection réciproque des investissements, signé en 2004 et des accords de coopération dans les secteurs énergétique, de transport, social et économique. Sur ce dernier plan, le Venezuela est pour la France un partenaire important qui a permis l’implantation de grandes entreprises françaises sur son territoire, notamment en ce qui concerne l’extraction de gaz et de pétrole, le développement des industries pharmaceutiques et de télécommunications et des systèmes de transport comme le métro. La France est classée, de cette manière, parmi les cinq premiers investisseurs étrangers au Venezuela, ce qui se consolide encore par l’existence, depuis 1974, d’une Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture vénézuélienne-française à Caracas4 (CCIAVF : http://www.cciavf.com.ve/fr/). En plus de la CCIAVF, en ce qui concerne directement le commerce, nous devons mentionner aussi l’existence de l’Association des Jeunes Entrepreneurs Francophones (AJEF). L’Ambassade de France au Venezuela répertorie également des associations avec plus au moins la même finalité de coopération entre les nations, mais avec d’autres spécificités. Nous comptons parmi celles-ci l’Institut International pour le Développement et la Coopération (IIDEC), l’Union des Français de l’Étranger (UFE), l’Association de bienfaisance du Lycée français de Caracas (Présence française) et l’Association pour le développement des échanges avec le Venezuela (FRAVEN). Recouvrant un caractère plutôt politique, il faut mentionner l’Association démocratique des Français à l’étranger (ADFE) et l’Association française des conjoints d’agents du ministère des Affaires étrangères (AFCA). En ce qui concerne les sciences naturelles, nous pouvons évoquer l’Association Franco Vénézuélienne des Sciences de la Santé (AVFCS) et la Société Franco Vénézuélienne des Ingénieurs et Scientifiques (SFVIC). Finalement, dans le domaine des sciences sociales et de l’éducation s’inscrivent l’Association Franco Vénézuélienne des Juristes (JURISFRAVEN), l’Association Franco Vénézuélienne des Sciences Sociales et Humaines (CISHFRAVEN), l’Association COLOMBBUS (pour favoriser l’éducation), l’Association d’anciens élèves du Collège Francia et l’Association vénézuélienne des professeurs de français (Avenprof).Tout ceci se traduit par la présence d’artistes, de chercheurs, d’enseignants et de scientifiques de renom des deux pays sur le territoire de l’autre, ainsi que par des échanges et des interventions solidaires en cas de besoin (comme la catastrophe naturelle sur les côtes vénézuéliennes en 1999, lors de laquelle la France a apporté une aide précieuse aux habitants, aux services des sécuristes et aux autorités du Venezuela). De fait, en 2011, on a recensé six mille Français résidant au Venezuela constituant ainsi « la plus importante communauté française de l’Amérique andine7 ». Même si les destinations touristiques préférées par les Français sont l’Équateur et le Pérou, il y a également un nombre significatif de touristes de cette nationalité au Venezuela ainsi que d’autres Français de passage (pour des séminaires ou d’autres évènements scientifiques). D’ailleurs, ce sont les associations mentionnées qui se chargent, en général, de l’organisation des formations et des activités culturelles impliquant les deux pays (notamment des programmes pour le développement des orchestres, la fête de la francophonie, le festival du cinéma français et la fête de la musique). Ces programmes-là, ainsi qu’une influence visible de la France au Venezuela dans l’architecture et l’urbanisme de certaines de ses villes ou encore la présence des établissements français sur le territoire vénézuélien, témoignent également de l’intensité historique desdits échanges et du dynamisme de la communauté française implantée dans le pays. En outre, la plupart des activités de ces associations, parmi d’autres institutions, se nourrissent par l’existence des accords de coopération signés entre des établissements vénézuéliens et certains centres de recherche et universités français. Au Venezuela, les principaux partenaires de ces accords ont leur siège notamment à Caracas : Université Simón Bolívar (USB), Université Centrale (UCV), Institut d’études supérieures d’administration (IESA), Université Santa María, Fondation-Institut d’ingénierie pour la recherche et le développement technologique, Institut Universitaire et Technologique (IUT), Université Pédagogique et Centre panaméricain de recherche et formation sur le lèpre et les maladies tropicales. Mais, certains accords ont été signés aussi à Mérida : Université des Andes (ULA) et Centre interaméricain de développement intégral des eaux et des terres, à Maracaibo : Université du Zulia (LUZ) et à Cumaná : Université d’Orient (pour la situation géographique de ces institutions, voir l’annexe n° 4). Du côté français, des nombreuses universités et écoles supérieures sont impliquées dans ces accords académiques. Parmi elles, on compte l’Université Toulouse 2 Jean Jaurès. Ces accords s’inscrivent dans des domaines très divers10 allant de la chimie à la philosophie et en passant notamment par le français langue étrangère (Muñoz, 2002)11. Nous voudrions attirer l’attention sur le fait que nous venons de souligner, en caractères gras, sur ces trois derniers paragraphes, la ULA, l’Université de Toulouse 2 et le domaine du FLE. En effet, il existe un accord de coopération dans ce domaine entre ces deux institutions qui représente le cadre administratif dans lequel se développe cette recherche. De manière à ce que, comme nous l’avons mentionné dans notre introduction, lorsque l’on fait des recherches autour du FLE au Venezuela, nous pouvons affirmer que les efforts impliqués concernent et bénéficient directement et indirectement le développement de beaucoup de domaines différents d’une grande importance pour les deux pays. Ceci justifie et accroît l’intérêt de cette thèse.
Éléments théoriques et historiques façonnant leur définition
Pour Allport (1935, p. 799) les attitudes sont « un état mental et neurophysiologique, déterminé par l’expérience, et qui exerce une influence dynamique sur l’individu en le préparant à agir d’une manière particulière à un certain nombre d’objets et d’événements ». Dans ce même sens, Álvarez soutient que « [les attitudes] peuvent être considérées comme des réactions évaluatives favorables ou défavorables et nous devons assumer qu’elles prédisposent les sujets à certaines réponses envers l’objet » (Álvarez, 2007, p. 63)47. De ces définitions et précisions ressortent quatre constats importants pour leur analyse : a) elles se traduisent par un comportement visible, b) elles résultent d’un ensemble d’évènements qui sont arrivés dans la vie de l’individu, c) elles résultent de la personnalité de chaque individu et d) elles peuvent changer. Dans le cas spécifique des Attitudes Linguistiques, l’évaluation faite par des individus porte sur les objets langues, cultures (celles que les langues véhiculent) et (leurs) locuteurs. C’est-à-dire qu’elle porte sur les éléments essentiels renfermés dans l’expression langues-cultures introduite en DDL en 1975 par Galisson. Dans le cadre des attitudes, les trois éléments évoqués (langues, cultures, locuteurs) deviennent les cibles par rapport auxquelles l’individu réagit, développe certains sentiments et sensations, qui peuvent se transformer plus tard en des comportements observables y compris dans les propos tenus. Ce type d’attitudes est aussi appelé des Attitudes langagières dans le Dictionnaire de Linguistique et des Sciences du langage de Larousse où on lit que « les attitudes langagières constituent l’ensemble des opinions explicites ou implicites sur l’usage d’une langue » (Dubois, Giacomo, Guespin, Marcellesi, C., Marcellesi, J-B. et Mével, 2012, p. 57). Ces définitions préliminaires nous situent face à un phénomène dont l’étude commence vers la deuxième moitié du XXème siècle au sein de la sociolinguistique, mais qui est en lien avec d’autres disciplines : la psychologie, la sociologie, la psychologie sociale, la didactique des langues (DDL) et les sciences de l’éducation. L’analyse des Attitudes Linguistiques (AL) exige donc une approche multidisciplinaire. En outre, les AL résultant d’un vécu expérientiel, de nombreux facteurs contextuels peuvent avoir un rôle prépondérant dans leur configuration. Galisson et Coste, citant Cruchon (1963) les définissent, de ce fait, comme étant des éléments toujours en formation, toujours inachevés, car elles sont le produit de l’interaction des individus avec des composantes constitutionnelles, éducatives, culturelles et personnelles. Ces auteurs insistent sur le fait que les AL sont en lien avec des éléments intérieurs aux individus : sentiments, goûts et désirs, et comment les individus se les approprient : normes sociales et culturelles et modèles de comportement. (Galisson et Coste, 1976). Ainsi, elles ont une relation étroite avec l’ethnicité, l’âge, la famille, l’école, la religion et la planification (comprise comme l’ensemble d’actions et de politiques dirigées par l’État ou par des organisations internationales à propos des langues présentes sur un territoire) (Álvarez, 2007).
ATTITUDES LINGUISTIQUES ET ENSEIGNEMENT DE LANGUES
Selon Galisson (1970), cité par Martinez (2011, p. 25) « la didactique se construit d’une part sur la méthodologie des langues étrangères, de l’autre sur la linguistique appliquée à l’enseignement de langues étrangères ». À leur tour, chacune de ces sciences prend appui sur d’autres, ou bien se scinde dans des domaines plus spécifiques. Si nous citons cette vision des choses est que, à notre avis –comme pour Martinez– malgré le temps passé depuis sa parution et malgré ses limites, elle reste encore d’actualité. Mises à part la méthodologie et la linguistique appliquée, des aspects d’autres domaines viennent s’ajouter à la DDL dans sa constitution. De manière plus spécifique –et beaucoup plus récemment– Matthey (2003) décrit cette approche nécessairement multidisciplinaire comme la recherche théorique sur la description des langues en conjonction avec d’autres connaissances liées spécialement au contexte et aux représentations des coparticipants à l’acte d’enseignement/apprentissage des langues. Ainsi, en ce qui concerne la méthodologie dans l’enseignement des langues, nous ne pouvons pas ignorer le rôle prépondérant que jouent dans son développement la sociologie, la psychologie et les sciences de l’éducation. Intégrant l’idéologie et la politique avec notamment la pragmatique, la kinésique et la proxémique, ainsi qu’avec la dimension technologique et docimologique en particulier. Quant à la linguistique appliquée à l’enseignement des langues étrangères, il est possible de faire des études très spécifiques lorsque l’on se penche sur la phonétique, la grammaire, la lexicologie, la sémantique, la stylistique (Martinez, 2011). En outre, les travaux en psychologie ont fortement influencé la didactique des langues. C’est ainsi que l’on note au cours des années d’après guerre jusqu’à aujourd’hui des impacts plus ou moins marqués du behaviorisme, du cognitivisme, du constructivisme, du socioconstructivisme et du connectivisme sur la manière d’enseigner une langue étrangère. De manière encore plus spécifique, une linguistique que Martinez décrit comme étant « plus soucieuse de l’individu, plus anthropologique » s’ouvre vers l’analyse fonctionnelle, l’analyse de l’oral, le variationnisme, la pragmatique, l’analyse du discours, la sémantique, l’ethnographie de la communication, la sociolinguistique et les avancements dans les théories et modèles de la communication ; ce qui rejoint les propos de Dabène (1994) et Matthey (2003).
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Table des matières
INTRODUCTION
1 CONTEXTE
1.1. L’ENSEIGNEMENT DU FRANÇAIS AU VENEZUELA (DONNEES HISTORIQUES)
1.1.1. Orientations de l’apprentissage du français dans ce contexte
a) Formations à des fins non professionnelles
Les Alliances Françaises (AF)
D’autres écoles privées
b) Formations à des fins professionnelles ou menant à une professionnalisation
Au niveau primaire et secondaire
Au niveau universitaire
1.2. LE FRANÇAIS A LA UNIVERSIDAD DE LOS ANDES (LA ULA)
1.3. PROBLEMATIQUE DE LA RECHERCHE
2 CADRE THEORIQUE
2.1. LES ATTITUDES LINGUISTIQUES
2.1.1. Éléments théoriques et historiques façonnant leur définition
2.1.2. Leurs caractéristiques
2.2. ATTITUDES LINGUISTIQUES ET ENSEIGNEMENT DE LANGUES
2.2.1. Attitudes Linguistiques et motivations
2.2.2. Attitudes Linguistiques et représentations
2.3. LES RECHERCHES EN ATTITUDES LINGUISTIQUES
2.3.1. Le changement des Attitudes Linguistiques
2.3.2. La recherche en termes pratiques
2.3.3. Quelques références des recherches précédentes
a) Hypothèse de travail
b) Hypothèses opérationnelles
3 METHODOLOGIE
3.1. DEMARCHE GENERALE
3.2. PHASE I : RECUEIL DE DONNEES POUR LA CREATION DE L’OUTIL DE MESURE EN MILIEU PEDAGOGIQUE
3.2.1. Le questionnaire
3.2.2. Définition des populations estudiantine et enseignante pour l’étape de pré-enquête
a) Recueil de données et traitement auprès des étudiants
b) Recueil des données et traitement auprès des enseignants (experts)
Les variables
Les indicateurs
3.2.3. Présentation du questionnaire final
3.2.4. Évaluation de l’instrument
a) Fiabilité de l’instrument
b) Évaluation des aspects formels de l’instrument
3.3. PHASE II PREMIERE PARTIE : MESURE DES ATTITUDES LINGUISTIQUES A PARTIR DE L’OUTIL CREE
3.3.1. Définition de la population estudiantine pour la mesure
3.3.2. Étape 1 : application du questionnaire à T0
3.3.3. Étape 2 : Intervention pédagogique A
a) Choix des documents
b) Définition des groupes
c) Mise en place de l’intervention A
3.3.4. Étape 3 : Application du questionnaire à T1
3.3.5. Étape 4 : Intervention pédagogique B
a) Préparation
b) Mise en place de l’intervention B
3.3.6. Étape 5 : Réévaluation des AL (T2)
3.4. PHASE III : TRAITEMENT DES DONNEES
3.4.1. Questions ouvertes et entretiens avec les enseignants : données qualitatives supplémentaires
3.4.2. Codification des données en T0, T1 et T2
a) Raisons cognitives
b) Raisons pragmatiques
c) Raisons affectives
d) Raisons factuelles
e) Raisons sans relation avec la question
3.4.3. Élaboration des bases de données pour l’analyse statistique
4 ANALYSE ET DISCUSSION DES RESULTATS
4.1. CONCERNANT LES ATTITUDES LINGUISTIQUES DES ETUDIANTS
4.1.1. Quelques remarques concernant le contexte
a) L’extra-académique
b) Le milieu social et psychoaffectif
La famille et les parents
Les enseignants, les camarades et l’université
Les médias
4.1.2. Les réactions des étudiants
a) Les raisonnements des étudiants
b) Leur univers affectif
c) Leurs comportements
4.1.3. Degré de positivité des AL de la population
4.1.4. Corrélation des AL avec les résultats académiques de la population
a) Premier groupe d’étudiants
Les étudiants inscrits en Français I
Les étudiants inscrits en Français II
Les étudiants inscrits en Français III
Les étudiants inscrits en Français IV
b) Deuxième groupe d’étudiants
4.2. CONCERNANT LES MOTIVATIONS DES ETUDIANTS
4.2.1. Raisons du choix de la formation
4.2.2. Raisons de la posture face aux items
a) Ce qui sous-tend les raisonnements des étudiants
b) Ce qui sous-tend les sentiments des étudiants
c) Ce qui sous-tend les comportements des étudiants
d) Les AL et les motivations des étudiants de la ULA
4.3. CONCERNANT LES REPRESENTATIONS DE LA POPULATION
4.3.1. Les représentations des étudiants
Taxonomie des cognèmes
4.3.2. Les représentations des enseignants
4.4. ANALYSE DES EFFETS DES INTERVENTIONS PEDAGOGIQUES
4.4.1. Changement d’attitudes par la persuasion subtile
a) Test t de Student
b) Analyse de la variance sur mesure
c) Modèle linéaire mixte
d) L’avis des enseignants
Entretien avec les enseignants 1 et 2 (niveaux débutants)
Entretien avec l’enseignante 3 de niveaux avancés
4.4.2. Changement d’attitude par la socialisation
a) Des effets statistiquement prouvés
b) L’avis de l’enseignante chargée du cours
c) L’intervention B aux yeux des étudiants
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
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