Soutenance mémoire
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Le livret junior ou Epargne SOMBINIAINA
C’est un compte ouvert pour les enfants de 0 à 16ans et ne peut être retiré particulièrement. Ce compte se transforme en compte MIHARY quand l’enfant atteindra l’age de 16 ans.
Pour le calcul d’intérêt, la CEM utilise le taux stable (T) du compte livret Epargne de la CEM de quatre virgule vingt cinq pourcent (4,25%) qui sera augmenté quelque soit la catégorie d’épargne utilisée c’est-à-dire :
Supposons que le taux d’intérêt au livret Epargne junior est T1. T1=T+0,25.
L’Epargne SOMBINIAINA a pour but : d’assurer la sécurité d’un enfant dès sa naissance et pour la prévoyance sociale.
Une personne ne peut avoir qu’un seul compte dans une agence.
Le livret jeune ou compte épargne MIHARY
C’est un compte ouvert au jeune de 16 à 25 ans avec un minimum de 5 000Ar. Le disposant ne peut pas retirer de l’argent que s’il a l’âge majoritaire c’est-à-dire avoir une carte d’identité Nationale.
Le mode de calcul d’intérêt est indexé en fonction d’une base taux stable (T) du compte livret d’Epargne de la CEM ou en fonction du taux ordinaire (t).
Le taux d’intérêt du compte ordinaire est fixé de 4% en 20071 et celui du compte stable est de 4,24%.
La méthode de calcul des intérêts est comme suit :
Si un client exerce plus de quatre retraits par an, le taux d’intérêt est : T + 0,1 et si un client ne fait aucun retrait par an, le taux d’intérêt est : T + 0,2.
Le compte Epargne MIHARY est utilisable pour la préparation des évènements spécifiques, la constitution du patrimoine et la préparation d’avenir .Ce compte se transforme automatiquement en livret MITSIMBINA une fois que le client atteindra l’âge de 25 ans.
Le livret d’Epargne particulier ou MITSIMBINA
Ce compte est ouvert à toutes personnes de plus de 25 ans qui désirent épargner ses revenus. Mais d’autre cas, les mineurs sous l’administration de son père ont droit d’ouvrir leur compte mais par contre n’auront pas le droit de procéder à un retrait. L’intérêt de ce compte peut être :
Stable si le propriétaire du compte respecte ce délai et ne fait du retrait que quatre fois par an. Il est ordinaire si le déposant fait beaucoup de retrait
Les comptes spéciaux
Ce compte se divise en deux parties qui sont le compte spécial épargne et le compte spécial retraite.
Le Compte Spécial Epargne (CSE)
C’ est un compte classé parmi les « comptes spéciaux » ou «grands comptes » car le placement doit être au minimum Ar10 000 000. La durée de placement peut être trimestrielle, semestrielle ou même annuelle.
En principe, la durée d’échéance du CSE s’étale au moins trois mois renouvelable et à chaque date d’échéance 3 cas peuvent se présenter :
1er cas : Retrait définitif du Capital avec intérêt.
2ème cas : Retrait d’intérêt seulement avec renouvèlement d’échéance.
3ème cas : Aucun retrait mais on doit renouveler l’échéance avec le dépôt initial réunit.
Le Compte Spécial Retraite (CSR)
C’est un compte ouvert pour les travailleurs formels. Ce compte se divise en deux parties : compte spécial retraite particulier et compte spécial retraite entreprise.
Organigramme générale de la CEM (Voir annexeI)
Etant donné une « société anonyme », un nouvel organigramme a été mis en place en janvier 2004 au sein de la CEM, conformément à la loi régissant toute société anonyme. Ainsi, la CEM est dirigée par un Conseil d’Administration avec neuf (9) Directions.
Le Conseil d’Administration, la Direction Générale et la Direction Générale Adjoint qui supervisent et coordonnent les activités de la société et qui veillent au maintien de son image de marque ainsi que de ses produits. Tandis que les neuf Direction à savoir la Direction Contrôle et Gestion (DCG), la Direction du Système d’Information (DSI), la Direction de l’Audit Interne (DAI), la Direction Financière (DF), la Direction du Réseau d’Exploitation (DRE), la Direction Administration Générale (DAG) et la Direction des Etudes (DE) veillent à la bonne marche des différents services et aux motivations des employés sous leur ordres, elles participent aussi à la recherche d’une meilleure rentabilité et d’efficacité.
La Direction de l’Audit Interne
C’est un organe d’exécution et de contrôle de légalité, de la régularité de l’administration. L’auditeur interne a pour rôle de certifier la véracité des informations comptables et financières publiées, de certifier l’exactitude des états financiers, d’élaborer une procédure légale, de détecter les failles lors d’un processus comptable et de relever les risques d’erreur et enfin d’établir les recommandations pour parvenir les risques.
Deux (2) services sont sous son autorité notamment le service méthode, organisation et procédure et le service inspection et vérification.
Le service méthode organisation et procédure (SMOP) d’une part, contribue à la surveillance des surabondances des employés en matière d’appel téléphonique, les congés, les différents actes de vol quelles que soient leurs formes, au contrôle d’accomplissement du travail de tout un chacun, à l’examen de l’augmentation considérable du montant des factures, au dressage d’un nouveau cadre et une nouvelle méthode de travail selon les normes en vigueur pour mener à bien l’ambiance au travail et la supervision de la sécurité des employés et du fonds de la CEM.
D’autre part, le service des Inspections qui inspecte et vérifie périodiquement la gestion des agences, relève et recense les anomalies constatées lors de la mission et donne des recommandations, collabore avec le centre des devises, assure la fiabilité des informations financières, procède à l’inventaire périodique de biens des Agences, vérifie les mouvements de fonds et ceux des clients, confronte et vérifie définitivement les chiffres à partir des pièces justificatives et dresse le rapport d’inspection pour la direction concernée.
Structure du personnel
Comme la CEM dispose de vingt (20) agences dans tout l’île, elle emploi quatre cent cinquante quatre (454) salariés, selon les informations recueillies auprès du service ressources humaines. Parmi ses employés dont on y trouve deux cent soixante quinze (275) de sexe masculin et cent soixante dix-neuf (179) de sexe féminin.
La comptabilité analytique d’exploitation (CAE)
La comptabilité analytique d’exploitation est un mode de traitement de donnée dont les objectifs sont de connaître les coûts des différentes charges assumées par l’entreprise ; déterminer les bases d’évaluation des certains éléments du bilan ; analyser les rapports de l’exercice en calculant les coûts de chaque produit ; établir les prévisions des charges et des produits courants ; constater la réalisation et expliquer les écarts qui en résultent.
D’une manière générale, elle doit fournir tous les éléments de nature à éclaires les prises des décisions.
La comptabilité budgétaire (CB)
La comptabilité budgétaire est une méthode de prévision systématique et de contrôle, par le moyen de budget découlant d’un plan d’ensemble qui peut couvrir une assez longue période. A ce sujet il suffit de citer les intérêts tel que : la prévision qui permet au dirigeant de réaliser un équilibre idéal aux différents niveaux de l’entreprise ; elle permet de mettre en mesure la direction de prévenir les Évènements au lieu de les subir ; elle permet la mise en évidence d’écart entre la réalisation et la prévision.
Gestionnaire des comptes des charges
Sa tâche consiste à analyser la situation des char ges c’est-à-dire , elle identifie les charge fixes et variables ;imputer dans les compte des charges appropriés suivant PCG légal au fiche d’ imputation ; vérifier les charges correspondantes à l’ exercice traité ; rechercher les informations des charges provenant des autres directions qui sont les fiches de stock , les états de paie.
Gestionnaire des comptes intermédiaires
Il a pour mission d’analyser les différents comptes de tiers c’est-à-dire le compte débiteur et créditeur divers, le compte fournisseur, le compte de régularisation,…… ; d’assurer la véracité de solde présenté à la finde l’exercice
afin de donner des explications en cas de besoin ; de procéder à l’imputation des différents compte de tiers au fiche d’imputation ; de vérifier les compte de tiers provenant des autres directions.
Gestionnaire des immobilisations et fiscaliste
Gestionnaire des immobilisations : Il assure le bon maintien du tableau des immobilisations (codification, localisation, de calculer périodiquement les amortissements correspondant pour chaque immobilisation. mise à jour, ….).Il a pour a ttribution de comptabiliser les opérations sur l’immobilisation de plus, il analyse différents comptes des immobilisations.
Le fiscaliste : Son rôle est de déclarer la TVA (Taxe sur le Valeur Ajoutée) ; déterminer la base taxable de l’exercice ainsi que de procéder au règlement des différents taxe correspondant.
Secrétaire comptable et administratif
Le secrétaire comptable et administratif fait l’enregistrement des courriers entrant et sortant. Il attribut les numéros appelés « chrono » aux factures à la date d’arrivée. Il fait aussi journalièrement le classement des factures et des courriers. Il gère les demandes de factures des autres directions. De plus, le secrétaire comptable et administratif récupère les factures après comptabilisation effective.
Responsable financier
Il a comme attribution d’analyser le besoin de fonctionnement de chaque agence et de suivre les comptes de virement au niveau de chaque entité. Il identifie les opportunités favorables pour les placements sur le marché. De plus, il fait toutes les pièces bancaires.
Responsable de l’entité
Le responsable de l’entité a pour mission de vérifier et de suivre le journal de caisse et de procéder au paiement après aval de la direction. Il assure la sécurité et le niveau de liquidité de coffre ainsi de confronter les pièces justificatives avec l’encaisse existante en fin de la journée.
Liquidateur de dépense
Le liquidateur de dépense a pour mission de procéder au paiement des factures existantes et contrôle les factures impayées par al société. Il a aussi pour mission de suivre les opérations journalières de décaissementet en plus d’assurer l’existence de provision de compte bancaire.
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Table des matières
Première partie : CADRE D’ETUDE ET THEORIES GENERALES SUR LA COMPTABILITE
Chapitre I : CADRE D’ETUDES
Section 1 : Historique et activité de l’entreprise
Section 2 : Structure organisationnelle et environnement de la CEM
Chapitre II : THEORIE GENERALE SUR LA COMPTABILITE
Section 1 : Définition du système comptable
Section 2 : Théorie générale sur la procédure comptable
Deuxième partie : ANALYSE CRITIQUE DE L’EXISTANT
Chapitre I : ORGANISATION AU SEIN DE LA DIRECTION FINANCIERE
Section 1 : Organigramme et responsabilité
Section 2 : Circulation des documents
Chapitre II : DIAGNOSTIC DE L’EXISTANT
Section 1 : Atouts de la direction financière
Section 2: Les lacunes des organisations comptables
Troisième partie : PROPOSITION DES SOLUTIONS–ETUDES D’IMPACTS ET RECOMMANDATIONS GENERALES
Chapitre I : PROPOSITION DES SOLUTIONS
Section 1 : Au niveau de l’organisation comptable
Section 2 : Du point de vue général
Chapitre II : ETUDES D’ IMPACTS- CONDITION DE MISE EN OEUVRE ET RECOMMANDATION GENERALE
Section 1 : Etudes d’impacts
Section 2 : Conditions de mise en oeuvre et recommandation générale
CONCLUSION
TABLE DES MATIERES
BIBLIOGRAPHIE
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