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L’EVOLUTION DU KARATE MONDIAL
Le Karaté pratiqué aujourd’hui est bien différent de celui des débuts en 1960.Les méthodes d’enseignement, les connaissances des Maîtres et professeurs, les attentes des pratiquants, l’esprit avec lequel ils abordent cette discipline, le climat social et les valeurs ont tout changé.
Au début des années 60, rares étaient les maîtres japonais chevronnés qui, enseignant hors du Japon, pouvaient afficher une expérience de quelques 15 à 20 ans dans le domaine du Karaté -do. Leur parcours avait été largement perturbé par la guerre mondiale et la période qui s’ensuivit. La plupart d’entre eux étaient de jeunes ceintures noires qui nous arrivaient, frais moulus, des écoles des cadres japonaises. Porteurs de grades rapidement passés, suite à une courte pratique du Karaté et de son enseignement, ignorants de notre culture et de nos règles sociales, ils n’avaient souvent de » Maître Asiatique « , que l’aspect extérieur. Les occidentaux qui enseignaient annonçaient en règle générale moins de 5 ans de pratique. Au mieux certains, issus du Judo, pouvaient faire valoir plus de 10 ans d’entraînement. La connaissance que l’on avait du Karaté était limitée à des techniques élémentaires, apprises soit à la cour de stage de masse, soit par le truchement de livre au contenu douteux ou de films super 8 mm de mauvaise qualité.
Les vraies origines du Karaté (Chine, Okinawa etc.,) étaient méconnues même des japonais. Chacun croyait que son école représentait exclusivement l’art de la main vide (KARA-TE). Les propos colportés sur le Karaté et son efficacité tenaient du mythe d’un quasi invincibilité auquel même les enseignants croyaient, que du réalisme.
Les pseudos maîtres, qui se voyaient conférer de quasi pleins pouvoirs par des élèves administratifs et soumis, masquaient souvent leurs connaissances lacunaires, par des manifestations autoritaires permanentes, voire des châtiments corporels.
Les compétitions auxquelles on participait comme à des duels, souvent sans encadrement (à l’exception de celui qu’assuraient des camarades d’entraînements qui n’étaient pas en train de combattre), n’offraient qu’un seul objectif : tester sa vaillance et sa technique, et vaincre, sans souci ni de titre, ni de médaille.
Tout se passait dans le respect de la hiérarchie des grades, d’ancienneté et d’âges, jamais mis en doute. Les indésirables étaient rapidement éconduits, les fortes têtes corrigées, et les récalcitrants châtiés. Les valeurs morales et sociales se forgeaient en même temps que les qualités physiques. Gagner de l’argent au moyen du Karaté, ou envisager » d’en vivre » n’était pas de mise, sauf pour quelques rares professionnels, qui apparaissaient alors, malgré leur maigre bagage technique, comme des » sachant » intouchables. Il était parfois possible de trouver un » Maître » incontestable, mais seulement après des années de recherches et d’errances. S’il acceptait de nous initier à son Art et partager son savoir, il fallait prendre l’engagement de transmettre avec son accord dans les mêmes conditions, le contenu de l’Ecole, mais uniquement à de rares personnes jugées dignes de foi.
Ces temps, pourtant récents sont révolus et les faits relatés semblent relever de pratiques ancestrales. Aujourd’hui, il n’est pas rare de rencontrer des Professeurs occidentaux, compétents, fort de 40 ans de pratiques, eux-mêmes s’entraînant régulièrement sous la férule de » Vrais Maîtres « , dépositaires de savoirs authentiques.
Les bons Dojo Japonais, Okinawaïens, sont identifiés, visités et leurs méthodes ont été analysées, évaluées, voire améliorées. Les origines réelles du Karaté-do ont été dévoilées, et ont ainsi permis de s’initier à des disciplines complémentaires fondamentales. Depuis des années déjà, sur le plan sportif, quelques équipes occidentales, dominent les équipes asiatiques, et sont devenues les chefs de file de la fédération Mondiale.
KARATE SUR LE PLAN NATIONAL
Fondateur et son évolution
Après avoir franchi des étapes, le karaté fait partie intégrante du programme d’éducation physique aussi bien dans les écoles que dans les universités tant en Europe qu’en Amérique. Quant aux Malgaches, ils ont également le désir de le pratiquer. En 1965, un maître vietnamien en karaté satisfait cette soif en enseignant le karaté avec le style Shotokan du maître Funakoshi à Antsirabe qui se situe à environ 178 kmdu capital d’Antananarivo.
Le club en ce temps était FMJDA, en 1986 maitre RAMANITRANDRASANA René fut le premier pionnier malgache que prenait l’essor du karaté-do ; maitre LI SAO ne cesse de superviser le déroulement du karaté et il a apporté des touches de perfectionnement. En 1965-1966 et 1967 furent les années de démonstration de KATA, des assauts conventionnels, ouverte au public qui sont toujours placés sous l’égide de maître LI SAO.
Les premiers pionniers karatéka malgaches ont obtenu la ceinture noire en 1968avec une quarantaine de ceinture marron.
Le premier championnat de Madagascar s’est déroulé en avril 1968 à Toamasina sous l’égide de LI SAO avec trois clubs tels que :
• Le club de Tana
• Le BUDOKAN d’Antsirabe
• Le BUDOCLUB de Toamasina
Maître LI SAO a cédé saplace au maîtreABEMATSAKA (3ième Dan du style wadoryu), il a subdivisé le karaté par catégorie :
• Civil critérium
• Militaire challenge
• Universitaire championnat
La FKM a vu le jour en 1972 et a fait une rupture avec FMJDA, à partir de cette date, le nombre de club qui s’intéresse aux compétitions n’a eu de cesse de se multiplier, entre autre, BUDOKAN d’Antsirabe, de Fianarantsoa, le malagasy karaté-do (MAKA), le club de la police, le BUDOKAN d’Antananarivo.
De son côté, l’arméen’a manqué de prendre sa part en faisant appel à un grand Japonais KAWASOE adaptant le style Shotokan, d’où l’apparition du FIKATEMA sous l’égide de la FIHEZAMA (fikambanan’nyherin’nyzatovo malagasy).
En 1975, KAWASOE fut remplacé par HARRIED TANNING (4ième Dan) ; on enregistre une concurrence entre FIHEZAMA d’un côté et le FMK de l’autre. Chaque organe a, de son côté, son championnat, pourtant, cela a suscité un petit problème jusqu’à ce qu’une ordonnance régissant le karaté-do est mise en œuvre.
L’ordonnance 80-012 /07 mai 1980 a stipulé que le CNCK (comité national de coordination de karaté-do) est le seul organisme englobant le karaté-do. Ce qui n’est pas actuellement le cas pour d’autre discipline comme le Judo et le Volley-ball.
Le karaté-do est composé de trois mots bien distincts, KARA qui veut dire «vide », TE veut dire « main » et le DO qui signifie « voie ou moyen ». Il est à l’origine d’un art martial, c’est-à-dire une manière de vaincre une ennemie sur le champ de batail. C’est une méthode de combat sans arme.En y mettant l’esprit Japonais du BUDO, le karaté-do est un moyen ou une voie conduisant à la perfection humaine.
CADRE THEORIQUE
Dans ce cadre théorique, nous allons repartir notre travail en deux parties bien distinctes, en premier lieu se trouve notre étude sur la réalité de la discipline karaté et en second lieu l’explication théorique des questions soulevées par notre problématique qui se termine par la formulation de notre hypothèse.
ETUDE SUR LA REALITE DE LA DISCIPLINE KARATE
Dans cette partie, nous avons trois sous chapitres pour mener à bien notre travail. D’abord sur l’étude théorique puis après cela l’étude pratique de cette discipline et enfin par l’analyse des mouvements techniques à savoir le Mae geri et le Mawashi geri.
ETUDE THEORIQUE
Les compétitions de karaté sont soumises à des règles très strictes éditées par la Fédération Mondiale de karaté. Chaque fédération nationale peut aménager ce règlement, par exemple en ce qui concerne les catégories de poids et d’âge.
L’aire de compétition
L’aire de compétition doit être plane et ne présente aucun danger. L’Aire de compétition doit être un carré de 8 mètres de côté (mesures prises à l’extérieur). Un mètre supplémentaire est prévu sur tous les côtés, comme surface de sécurité. Cette surface totale de 10 x 10 m est composée de tatamis. L’aire de sécurité de deux mètres, doit être clairement délimitée. Pour la position de l’Arbitre, une ligne de 50 centimètres de long, doit être tracée à une distance de deux mètres du centre. Pour marquer la position des compétiteurs, deux lignes parallèles, chacune d’un mètre de long, perpendiculaires à la ligne de l’Arbitre, doivent être tracées à une distance d’un mètre et la bordure d’un mètre à l’intérieur de l’aire de compétition, doit être composée de tatamis de couleur différente.
Protocole : Au début d’un combat, pour le salut, l’Arbitre se tient sur le bord extérieur de l’aire de compétition. Deux juges se tiennent sur sa gauche, l’Arbitrator et un juge se tiennent sur sa droite. Après l’échange traditionnel des saluts entre les combattants et l’équipe arbitrale, l’Arbitre fait un pas en arrière, les Juges et l’Arbitrator, se retournent, lui faisant face, tous se saluent puis ils prennent leurs positions respectives.
Le corps arbitral
Pour chaque combat, l’équipe arbitrale est composée d’un Arbitre (Shushin), 3 Juges (Fukushin) et un Arbitrator (Kansa). Le rôle de ce dernier est de s’assurer que le combat se déroule dans le respect des règlements de compétition. Il n’est en aucun cas un juge supplémentaire, il n’a pas droit au vote. Sa responsabilité concerne uniquement la procédure. La table de l’aire de compétition est composée : d’un chronométreur, d’un annonceur, d’un marqueur et de l’Arbitrator.La tenue officielle d’un arbitre est la suivante : Blazer bleu-marine, chemise blanche, cravate officielle sans épingle, pantalon gris-clair, chaussettes bleue-foncées ou noires sans motifs et chaussons d’arbitrage à utiliser sur l’aire de compétition.
Compétiteurs et protections.
En ce qui concerne les compétiteurs, ils doivent porter, un karaté-ji blanc sans bande ni liseré. Un numéro d’identification, délivré par le Comité d’Organisation, peut être fixé au dos de la veste. L’un des compétiteurs doit porter une ceinture rouge (aka) et l’autre une ceinture bleue (ao).Les compétiteurs doit avoir les cheveux propres et coupés à une longueur telle qu’ils ne gênent pas le bon déroulement du combat. Le hachimaki (bandeau de tête) n’est pas autorisé. Les compétiteurs doivent avoir les ongles coupés courts. Ils ne doivent pas non plus porter d’objets qui puissent blesser leurs adversaires. Le port d’appareils dentaires métalliques doit être approuvé par l’Arbitre et le Médecin Officiel.Le port des gants homologués par la FFKAMA est obligatoire ; un des compétiteurs porte des gants rouges et l’autre des gants bleus. Les protège-dents sont obligatoires. Pour les hommes, la coquille est autorisée. Pour les femmes, le protège-poitrine est autorisé. Le port des plastrons réversibles bleu-rouge est obligatoire pour les catégories des minimes et des cadets. Le port du casque est obligatoire pour la catégorie des minimes. Les protège-tibias souples sont autorisés.Quand un compétiteur se présente sur l’aire de compétition avec une tenue non-conforme, il ne sera pas immédiatement disqualifié, mais une minute lui sera accordée pour qu’il se mette en conformité avec le règlement.
Le combat et son pointage
La durée des combats est limitée, en fonction de la catégorie d’âge. Elle va de 1 minute 30 à 3 minutes. Le décompte du temps d’un combat commence quand l’Arbitre donne le signal de début et s’arrête chaque fois qu’il dit « Yame! ». Le chronométreur signale distinctement les 30 dernières secondes du combat au moyen d’un gong, d’une sonnette ou d’un Butzer. La fin du combat est annoncée par un second signal.
Les points sont accordés d’après les critères suivants : forme correcte, attitude sportive, grande vigueur d’application, vigilance (Zanshin), bon « timing », distance correcte :
• Sanbon: 3 points, est accordé pour : coups de pieds Jodan, projections ou balayage de jambe suivis par une technique qui marque.
• Nihon : 2 points. est accordé pour : coups de pied Chudan, coups de poing dans le dos, combinaison de techniques de poing, dont chacune marque selon sa propre
valeur, déséquilibrer l’adversaire et le marquer par une technique de poing.
• Ippon : 1 point. est accordé pour : Chudan ou JodanTsuki, Uchi
Les attaques sont limitées aux surfaces du corps suivantes : tête, visage, cou, abdomen, poitrine, dos, côtés. Une technique effective portée en même temps que le signal de fin de combat est considérée comme valable. Une attaque délivrée après un ordre d’arrêt de combat (Yame!), n’est pas comptabilisée, et peut même valoir une pénalité au fautif.
Aucune attaque, même techniquement correcte, n’est considérée comme valable lorsque les 2 compétiteurs sont hors de la surface de compétition. Quand l’un des compétiteurs est hors de la surface de compétition et que son adversaire effectue une technique effective alors qu’il est encore dans la surface de compétition, et ce, avant le commandement « Yame ! » de l’Arbitre, la technique est comptabilisée.
Les critères d’attribution des points, nous l’avons vu précédemment, sont fonction de critères techniques détaillés ci-dessous :
Sanbon (3 points) : Toutes les formes de coups de pieds devront être effectives, parfaitement exécutées et maîtrisées. Le balayage ou la projection est une technique maîtrisée durant l’action. Après le balayage ou la projection au sol, la technique de contre doit être effective et exécutée avant que l’arbitre n’arrête le match. Une durée de 2 à 3 secondes est accordée pour marquer. Cette action doit être correctement exécutée sur le point vital.
Nihon (2 points) : Les coups de pieds peuvent être exécutés de face ou de côté, la technique doit être effective. Les coups de poing dans le dos ou derrière la tête se marquent sur faute d’inattention de l’adversaire. En contre, il faut faire pivoter l’adversaire sur lui-même. Les techniques dans le dos peuvent être marquées soit après une esquive (taisabaki), soit après balayage pivotant sans chute au sol. Deux techniques de poing enchaînées et effectives sont comptabilisées. Le regard devra être dirigé vers l’adversaire, l’attaquant ne devra pas tourner la tête. Après l’exécution de la technique, l’attaquant ne devra pas tourner le dos à son adversaire et devra maintenir une attitude vigilante (Zanshin).
Ippon (1 point) : Les techniques marquant ippon doivent être exécutées avec une bonne forme et sans déséquilibre. Le regard devra être dirigé vers l’adversaire, l’attaquant ne devra pas tourner la tête. Après exécution de la technique, l’attaquant ne devra pas tourner le dos à son adversaire et devra maintenir une attitude vigilante (Zanshin).
Le résultat d’un combat est déterminé par un avantage de huit points au profit d’un compétiteur sur son adversaire. A la fin du combat, le compétiteur vainqueur est celui qui a obtenu le plus grand nombre de points ou celui dont l’adversaire reçoit :
• Kiken (renonciation, abandon),
• Hansoku (pénalisation)
• Shikaku (disqualification : abandonner l’aire de combat).
En cas d’égalité en compétition individuelle, l’arbitre annonce obligatoirement Hikiwake. Une prolongation (Encho-Sen) d’une minute est annoncée. Toutes les pénalités et avertissements infligés dans le combat initial y sont reportés. Le premier compétiteur qui obtient un point est déclaré vainqueur. Dans l’éventualité où aucun des compétiteurs ne marque de point au cours de l’Encho-Sen, une décision finale est prise par les juges (Hantei). Cette décision, en faveur de l’un ou l’autre compétiteur, est obligatoire. La décision est prise sur les bases suivantes : l’attitude, l’esprit combatif, et la force démontrée par les compétiteurs, la supériorité des tactiques et des techniques, le compétiteur ayant initié la majorité des actions.
Les annonces de l’arbitre.
• ShobuHajime! Commencez le combat ! L’arbitre recule d’un pas.
• Atoshibaraku! Encore un peu de temps ! Le Chronométreur envoie un signal sonore 30 secondes avant la fin du combat, l’Arbitre annonce « Atoshibaraku ».
• Yame! Arrêt ! Interruption ou fin du combat. L’Arbitre coupe de haut en bas avec la main.
• Tsuzuketehajime! Reprenez le combat ! Reprendre le combat après une interruption.
• Hikiwake! Egalité !
• Torimasen! Technique inacceptable ! L’Arbitre croise les bras puis les étend vers le bas en coupant, paumes des mains tournées vers le bas.
• Aka no kachi! Ao no kachi! Rouge vainqueur! Bleu vainqueur ! L’Arbitre étend le bras obliquement vers le haut, du côté du vainqueur.
• AkaSanbon! AoSanbon! Rouge (Bleu) marque 3 points ! L’Arbitre lève le bras à 45°, du côté de celui qui a marqué.
• Aka Nihon ! Ao Nihon ! Rouge (Bleu) marque 2 points ! L’Arbitre étend le bras à hauteur d’épaule, du côté de celui qui a marqué.
• Aka Ippon ! Ao Ippon ! Rouge (Bleu) marque 1 point ! L’Arbitre étend son bras à 45° vers le bas, du côté de celui qui marque.
ETUDE PRATIQUE : ANALYSE TECHNIQUE DU KARATE
Caractéristiques du karaté
Les avantages du karaté sont:
• Il peut être pratiqué dans un endroit réduit
• Il peut être pratiqué seul ou en groupe
• Sa pratique demande peu de temps
• Chacun peut pratiquer selon sa force physique en choisissant des exercices appropriés au sexe et à l’âge
• Il est efficace en tant que méthode d’entrainement pour conserver une santé robuste
• Résultant de l’entrainement de l’esprit et du corps : il peut construire un esprit invincible
Les techniques autorisées
Catégories de comportements interdits
Catégorie 1
– Les techniques qui ont un contact excessif en fonction de l’endroit attaqué ainsi que les techniques qui entrent en contact avec la gorge.
– Les attaques aux bras ou aux jambes, attaques à l’aine, aux articulations et au coup de pied. Les attaques au visage avec des techniques mains ouvertes.
– Les projections jugées dangereuses ou interdites qui occasionnent une blessure.
Catégorie 2 :
– Feindre d’être blessé, ou exagérer les conséquences d’une blessure.
– Les sorties répétées de l’aire de compétition (Jogai).
– Mettre en danger sa propre sécurité en adoptant des comportements qui exposent aux blessures (Mubobi).
– Fuir le combat pour gagner du temps, privant ainsi l’adversaire d’une opportunité de marquer.
– Saisir l’adversaire directement sans exécuter une technique de karaté dans un délai maximum de 2 à 3 secondes.
– Le corps à corps (lutter, pousser, ou saisir sans tenter de technique).
– Les attaques de coups de tête, de genou, ou de coude.
– Provoquer ou parler à l’adversaire et tout comportement injurieux envers l’équipe arbitrale.
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Table des matières
INTRODUCTION
1. PRESENTATION DE LA RECHERCHE
1.1. HISTORIQUE
1.1.1. Origine des arts martiaux
1.1.2. La diffusion des arts martiaux
1.1.3. Les arts martiaux en Occidents
1.1.4. L’évolution du karaté mondial
1.1.5. Fondateur du karaté moderne
1.1.6. Karaté sur le plan national
1.2. GENERALITE SUR LES CONCEPTS
1.2.1. Le karaté en tant qu’art martial
1.2.2. Le karaté en tant que sport de compétition
1.2.3. Le kumité
1.2.4. La technique
1.3. OBJET DE LA RECHERCHE
1.4. BUT ET LIMITE DU SUJET
1.5. PROBLEMATIQUE
2. CADRE THEORIQUE
2.1. ETUDE SUR LA REALITE DE LA DISCIPLINE KARATE
2.1.1. ETUDE THEORIQUE
2.1.1.1. L’aire de compétition
2.1.1.2. Le corps arbitral
2.1.1.3. Compétiteurs et protections
2.1.1.4. Le combat et son pointage
2.1.1.5. Les annonces de l’arbitre.
2.1.1.6. Les gestes de l’arbitre
2.1.1.7. Les arbitres avec drapeaux.
2.1.2. ETUDE PRATIQUE : ANALYSE TECHNIQUE DU KARATE
2.1.2.1. Caractéristiques du karaté
2.1.2.2. Les techniques autorisées
2.1.2.3. Les infractions
2.1.2.4. Déroulement du combat
2.1.2.5. Les attaques des membres inférieurs
2.1.3. ANALYSE DES MOUVEMENTS
2.1.3.1. LE MAWASHI GERI
2.1.3.2. LE MAE GERI
2.2. HYPOTHESE
3. METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE
3.1. EXPERIMENTATION
3.1.1. ETUDE EXPERIMENTALE
3.1.1.1. Protocole d’expérimentation
3.1.1.2. Le programme préétabli en 8 séances avec des objectifs
3.1.1.3. Organigramme de décision en sport de combat mi-distance
3.1.1.4. Organisation du test
3.1.1.5. Récapitulation des résultats du test de niveau à partir de cette grille d’observation
3.1.1.6. Interprétation
3.1.2. PROCEDURE DES CONTENUS EXPERIMENTAUX
3.1.2.1. Processus de l’expérimentation
3.1.2.2. Mode d’intervention dans la maitrise de MAE GERI
3.1.2.3. Mode d’intervention de la maitrise de MawashiGeri
3.1.2.4. Notion d’algorithme
3.1.3. Déroulement du test final
3.1.3.1. Organisation de la compétition
3.1.3.2. Tableau récapitulatif des résultats du combat final du karaté à Ankatso
3.1.3.3. Interprétation
3.1.3.4. Discussion
3.1.3.5. Problèmes rencontres
3.1.3.6. Conclusion partielle
3.2. ENQUETE ET ENTRETIEN
3.2.1. Présentation du protocole de l’enquête
3.2.2. Les contenues des questionnaires
3.2.3. Présentation des résultats des questionnaires
3.2.4. Récapitulation des résultats obtenus
3.2.5. Interprétation
3.2.6. Conclusion partielle
DISCUSSION
SUGGESTIONS
CONLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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