Etude rétrospective a propos de 81 cas colliges au service de dermatologie de l’hôpital Aristide le dantec

Système glutathionréductase- glutathion péroxydase

L’orientation de la synthèse vers la formation de phaeomélanines ou d’eumélanines dépend dela teneur en soufre de la cellule pigmentaire. Le glutathion est riche en composés soufrés et peut donner par lyse enzymatique de la cystéine. La peau noire a une teneur en GSH (glutathion réduit) et en GR (glutathion oxydé) plus importante que la peau blanche.
D’autre part, il a été démontré lors d’une hyperpigmentation provoquée, une baisse des GSH et une augmentation du glutathion oxydé.

Propriétés des mélanines

• Stabilité : les mélanines ne sont pas biodégradables.
• Mélanines et radicaux libres : la mélanine joue le rôle de piège de radicaux libres, composés très réactifs présents au niveau de la peau.
En effet, les radicaux libres induisentde multiples altérations de l’ADN, des lipides et des protéines des membranes cellulaires, ainsi que la dépolymérisation des glycoprotéines du derme, la polymérisation des protéines et des liaisons intermolaires.
Le rôle de la mélanine est donc très important dans ce cadre.
En outre des enzymes localisées dans l’épiderme, telles que la superoxyde dismutase, les catalases et les peroxydases sont capables de neutraliser une partie des radicaux libres produits.
• Mélanine et rayonnements solaires : lamélanine assure la protection des cellules épidermiques en diffractant ou en réfléchissant partiellement les rayonnements incidents.
Au cours d’une irradiation, les mélanosomes se regroupent au dessus du noyau et protègent ainsi le matériel génétique des cellules épidermiques.
L’irradiation peut induirel’oxydation de la mélanine et la formation de substances toxiques telles que les superoxydes et le peroxyded’hydrogène.

Unité épidermique de mélanisation (UEM)

Les mélanines synthétisées dans les mélanocytes sont transportées au niveau des dendrites par des organelles spécialisées appelées mélanosomes, qui sont ensuite transférées aux kératinocytes avoisinants. Cette association fonctionnelle constitue l’UEM.
Les mélanocytes sont définis comme des cellules qui contiennent l’enzyme tyrosinase, nécessaire à la conversion de la tyrosine en DOPA et possèdent la capacité de synthétiser une particule cellulaire unique, le mélanosome, sur lequel l’hydroxydation etla polymérisation de la DOPA en mélanine s’effectuent.

Formation des mélanosomes

Les mélanosomes sont des organites complexes deprotéines de structure, de tyrosinase et d’autres enzymes accessoires.
Il existe deux hypothèsesconcernant la formation des mélanosomes :

Première hypothèse

Plusieurs acteurs ont suggéré que la tyrosinase et les protéines de structure seraient synthétisées par les ribosomes, puis se condenseraient dans le cytoplasme pourformer le mélanosome.
D’autres schéma ont été proposés : le mélanosome proviendrait de la fusion ou de l’augmentation du volume des vésicules dérivées de l’appareil de Golgi ou résulterait d’une dilatation puisd’une séparation de l’extrémité de saccules golgiens et du réticulum endoplasmique associé à l’appareil de Golgi.

Deuxième hypothèse

La tyrosinase et les protéines de structure s’assembleraient plus tardivement. La tyrosinase s’accumulerait dans une zone particulière del’appareil de Golgi puis se condenserait en petites vésicules. Celles-ci transféreraient leur contenu à des dilatations du réticulum endoplasmique contenant les protéines de structure.

Mélanisation des mélanosomes

Les stades de maturation des mélanosomes diffèrent en fonction du type de pigment synthétisé. On peutdistinguer quatre stades dans la maturation des eumélanosomes:
♦Le mélanosome I : il correspond à une vésicule ronde délimitée par une membrane contenant des filaments et possédant une activité tyrosinase.
♦Le mélanosome II : ovale, il contient des filaments qui peuvent s’entrecroiser. L’activité tyrosinase est très marquée.
♦Le mélanosome III : il est caractérisé par l’opacification due à la formation de mélanine. L’activité tyrosinase diminue progressivement avec la mélanisation.
♦Le mélanosome IV, ou mélanosome mature: c’est un organite ovoïde, entièrement opaque aux électrons carrempli de mélanines. L’activité tyrosinase est absente.

Mouvement des mélanosomes

Les mélanosomes migrent dans les mélanocytes de la région péri nucléaire vers l’extrémité des dendrites.
Les mouvements de dispersion et de concentration des mélanosomes autour du noyau ont pu être observés chez les bactériens.
Les microfilaments et les microtubules seraient responsables de ces mouvements qui ont pour effet d’assombrir ou d’éclaircir les mélanophores.
Chez l’homme, ce sont des filaments trouvés dans les mélanocytes de la peau exposée aux rayons ultravioletsqui semblent être responsables de l’élongation des dendrites et des mouvements des mélanosomes.

Transfert des mélanosomes aux kératinocytes

L’UEM est un mélanocyte entouré dekératinocyte. Le mélanocyte injecte les mélanosomes dans le cytoplasme des kératinocytes par l’intermédiaire de ses dendrites.
Actuellement, la plupart des auteurs pensent que le rôle actif est joué par les kératinocytes : il s’agit d’une véritable phagocytose et le passage des mélanosomes est facilité par l’étroit contact qui existe entre les cellules.
Il y a donc une activité complémentaire entre le kératinocyte et le mélanocyte.

Dégradation des mélanosomes

Il est classiquement admis que la dégradation des mélanosomes débute par une destruction de leurs constituants non mélaniques.
Les résidus de mélanosomes et/ou de mélanines sont éliminés à la surface de l’épiderme avec les kératinocytes qui ont desquamé.
Une partie des mélanosomes et dela mélanine est probablement éliminée normalement, au niveau du derme par voie lymphatique.

Facteurs influençant la pénétration cutanée 

L’importance de la pénétration cutanée des dermocorticoïdes dans la peau dépend de plusieurs facteurs :

Facteurs liés aux dermocorticoïdes

♦Les caractéristiques physicochimiques de la molécule : la pénétration est favorisée par une forte liposolubilité.
♦La concentration : la pénétration augmente avec l’augmentation de la concentration.
♦L’excipient : la pénétration est favorisée par un excipient gras (effet occlusif), ou par le propylène glycol (solubilisant).
♦L’adjuvant : les kératolytiques comme l’acide salicylique et les agents hydratants de la kératine comme l’urée favorisent la pénétration.

Facteurs liés à l’état cutané

♦L’altération de l’épiderme : dans les dermatoses exfoliaires et inflammatoires, la couche cornée est altérée,et laisse pénétrer le principe actif beaucoup plus facilement que la peau normale.
♦L’hydratation : il y a une meilleure diffusion dans un épiderme hydraté.
♦La localisation anatomique : la pénétration est fonction de l’épaisseur de la couche cornée, principale barrière à ladiffusion, par exemple au niveau des paupières et des plis, la couche cornée est mince, donc la pénétration cutanée est accrue.

GENERALITES SUR LES DERMOCORTICOIDES

Définition

On désigne sous le nom de dermocorticoïdes tous les corticoïdes recommandés dans les affections inflammatoires ou allergiques limitées à un territoire de la peau, des muqueuses ou des articulations (6).
Ils se présentent sous plusieurs formes galéniques dont le choix est adapté à chaque situation (19).
Deux éléments sont à considérer : l’aspect de la lésion et son siège.
– Les pommades, par leur aspect gras, ont un effet occlusif. Elles sont à réserver aux lésions très sèches hyperkératosiques et lichénifiées. En raison de leur constitution plus simple, sans conservateur le plus souvent, elles sont moins allergisantes.
– Les crèmes et les gels sont cosmétiquement plus agréables, plus faciles à étaler aux plis. Cependant, ils peuvent avoir un potentiel irritant, voire exceptionnellement allergisant.
– Les lotions sont utilisées dans le traitement des zones pileuses.

Classification

Les dermocorticoïdes constituent actuellement le meilleur traitement de la dermatite atopique et des eczémas de contact.
Leur activité anti-inflammatoire est due à un effet vasoconstricteur et à un effet immunosuppresseur.
Ils sont classés en 4 niveaux d’activité: faible, modéré, fort et très fort.
Les corticoïdes faibles onthabituellement une efficacité insuffisante au cours des eczémas chroniques.
Les corticoïdes les plus souvent utilisés sont modérés avec malheureusement un arrêt de la commercialisation de plusieurs d’entre eux.
Cela est heureusement compensé par la commercialisation récente, en France, d’un dermocorticoïde puissantaux effets secondaires limités, le propionate de fluticasone (21) et qui n’est pas contre indiqué chez l’enfant âgé de plus d’un an.
Les corticoïdes forts seront utilisésen cas de lésions ayant résisté aux corticoïdes modérés ou d’emblée en cas d’atteinte épaisse etlichénifiée.
Les corticoïdes très forts ne sont pas indiqués chez l’enfant.
La puissance d’un dermocorticoïde dépend des caractéristiques chimiques et pharmacologiques de la molécule, de sa concentration dans le véhicule et de la nature du véhicule.
Cette classification est fondée d’une part sur le test de vasoconstriction en peau saine (Mckenzie, Stoughton, 1962) (16) (17) et d’autre part sur les résultats d’essais cliniques comparatifs menés chez les malades. Elle permet de choisir la classe la plus appropriée en terme de rapport bénéfice/risque.
Pour plus de commodité, nousprésentons ces différentes classes de dermocorticoïdes sous forme de tableau (22) (23).

Mécanisme d’action

Les corticoïdes pénètrent aisément la membrane plasmatique cellulaire et se lient à des récepteurs intracytoplasmiques. Le complexe stéroïderécepteur va traverser après une modification de conformation, la membrane nucléaire et par interaction avec un site récepteur nucléaire chromatien, va agir sur l’ADN et modifier la transcription du gêne cible. L’affinité d’un corticostéroïde pour le récepteur varie d’une molécule à l’autre et différents gênes sont impliqués.
Les effets sont donc variés en fonction des gênes influencés et des cellules qui expriment les différents récepteurs.
Les corticoïdes jouent deux rôles particuliers : (32) (33)
– Ils inhibent la synthèse de l’IL1, TNF alpha et d’autres cytokines ;
– Ils inhibent la phospholipase A2,enzyme clé du métabolisme de l’acide arachidonique vers des médiateurs inflammatoires.
Les corticoïdes sont donc anti-inflammatoires, antimitotiques et immunosuppresseurs (34).

Activité anti-inflammatoire 

Les dermocorticoïdes possèdentdes propriétés anti-inflammatoires non spécifiques capables de s’exercer quelquesoit l’agent inflammatoire mis en œuvre : agression traumatique, chimique, physique, bactérienne ou immunologique.

Processus inflammatoire

Ce processus se déroule en trois principales étapes.

Phase initiale précoce

Au niveau de la zone ayant été en contact avec un agent inflammatoire, on assiste à une dilatation des vaisseaux capillaires et précapillaires provoquant un ralentissement circulatoire avec stase et une hyperperméabilité des parois vasculaires conduisant à un œdème localisé.
Ce sont des médiateurs chimiques actifs ou libérés au niveau des foyers inflammatoires qui sont responsables de ces modifications, par des mécanismes complexes faisant intervenirdes amines vasoactives telles que l’histamine, les kinines, la sérotonine, des protéases telles que la plasmine, les peptides, les prostaglandines etc…

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: RAPPELS BIBLIOGRAPHIQUES
CHAPITRE I : LA PEAU ET LES FACTEURS INFLUENCANT LA PENETRATION CUTANEE
1- Rappel sur la peau
1-1-Physiologie dela peau
1-1-1-Epiderme
1-1-1-1-Kératynocytes
1-1-1-2- Mélanocytes
1-1-1-3- Cellules de Langerhans
1-1-1-4- Cellules de Merckel
1-1-2-Derme
1-1-2-1- Derme papillaire
1-1-2-2- Derme moyen ou réticulaire
1-1-2-3-Derme profond
1-1-3- Hypoderme
1-2- Système pigmentaire de la peau
1-2-1-Mélanines
1-2-1-1-Nature chimique
1-2-1-2- Biosynthèse
a) Mécanisme biochimique
b) Contrôle enzymatique
-Tyrosinase
-Dopachrome oxydo-réductase
-δ-Glutamyl transpeptidase (δ-GT)
-Système glutathion réductase – glutathion péroxydase
1-2-1-3- Propriétés des mélanines
1-2-2- Unité épidermique de mélanisation
1-2-2-1-Formation des mélanosomes
a) Première hypothèse
b) Deuxième hypothèse
1-2-2-2-Mélanisation des mélanosomes
1-2-2-3-Mouvements des mélanosomes
1-2-2-4- Transfert des mélanosomes aux kératinocytes
1-2-2-5- Dégradation des mélanosomes
2- Facteurs influençant la pénétration cutanée
2-1-Facteurs liés aux dermocorticoïdes
2-2-Facteurs liés à l’état cutané
2-3-Facteurs liés au mode d’emploi
CHAPITRE II: GENERALITES SUR LES DERMOCORTICOIDES
1- Définition
2- Classification
3- Propriétés physico-chimiques
3-1-Propriétés physico-chimiques de la Cortisone
3-1-1-Propriétés physiques
3-1-2-Propriétés chimiques
3-1-2-1- Caractérisation des groupements Cétones en C3et C11
3-1-2-2- Mise en évidence du pouvoir réducteur du groupement Cétol
3-1-2-3- Différenciation Cortisone-Hydrocortisone
3-2-Propriétés physico-chimiques de l’Hydrocortisone
3-2-1-Propriétés physiques
3-2-2-Propriétés chimiques
3-2-2-1-Caractérisation par la mise en évidence des propriétés réductrices du groupement Cétol
3-2-2-2- Différenciation Cortisone-Hydrocortisone
4- Relation structure-activité
5- Mécanisme d’action
5-1-Activité anti-inflammatoire
5-1-1-Processus inflammatoire
5-1-1-1-Phase initiale précoce
5-1-1-2- Phase d’infiltration cellulaire
5-1-1-3- Phase derégénération et de cicatrisation
5-1-2-Action des dermocorticoïdes sur l’inflammation
5-2-Activité anti-proliférative ou antimitotique
5-2-1-Au niveauépidermique
5-2-2-Au niveaudermique
5-3-Activité immunosupressive
5-4-Activité anti-allergique
6- Indications et contre-indications
6-1-Indications
6-2-Contre-indications
7- Effets secondaires
7-1-Effets secondaires locaux
7-1-1-Atrophie cutanée
7-1-1-1-Atrophie épidermique
7-1-1-2-Atrophie dermique
7-1-1-3-Dyschromies
7-1-2-Dermites du visage
7-1-2-1-Acné stéroïdienne
7-1-2-2-Rosacée
7-1-2-3-Dermite péri-orale
7-1-3-Aggravation des infections cutanées
7-1-4-Accidents oculaires
7-1-4-1-Glaucome
7-1-4-2-Cataracte
7-1-5-Autres effets secondaires locaux
7-1-6-Dépigmentation artificielle
7-1-6-1-Définition
7-1-6-2-Mécanisme de la dépigmentation
7-2-Effets secondaires systémiques
7-2-1-Accidents d’hypercorticisme
7-2-1-1-Perturbations métaboliques
a) Rétention hydrosodée
b) Déplétion potassique
c) Hyperglycémie
d)Troubles phosphocalciques
7-2-1-2-Accidents digestifs
7-2-1-3-Accidents vasculaires
7-2-1-4-Troubles psychiatriques
7-2-1-5-Risque infectieux
7-2-2-Accidents d’hypocorticisme
7-2-3-Risques divers
7-2-4-Corticothérapie, grossesse et allaitement
8- Etude de certaines infections cutanées causées par les dermocorticoïdes dépigmentants
8-1-Infectionsmycosiques
8-1-1-Dermatophyties
8-1-1-1-Définition
8-1-1-2-Formes cliniques
a) Dermatophythie circinée de la peau glabre
b) Dermatophythie faciale
c) Autres dermatophythies
8-1-1-3-Traitement
8-1-2-Candidoses cutanées
8-1-3-Pytiriasis versicolor
8-2-Infections bactériennes
8-2-1-Erysipèle
8-2-1-1-Définition
8-2-1-2-Epidémiologie
8-2-1-3-Diagnostic
a) Diagnostic positif
-Signes cliniques
-Examenscomplémentaires
b) Diagnostic différentiel
8-2-1-4-Traitement
a) Traitement curatif
b) Traitement préventif
8-2-1-5- Evolution-complications
8-2-2- Folliculites
8-2-3-Impétigo
8-3-Gale
8-3-1-Définition
8-3-2-Formescliniques
8-3-2-1-Gale commune
8-3-2-2-Gale profuse
8-3-2-3-Gale croûteuse
8-3-3-Traitement
9- Causes de la mauvaise utilisation des dermocorticoïdes
9-1-Automédication
9-1-1-Insuffisance d’informations médicales et d’éducation sanitaire des populations
9-1-2- Nombreinsuffisant de médecins etleur mauvaise répartition dans les pays sous-développés
9-1-3-Faibles revenus des populations
9-1-4-Vogue de médicaments nouveaux en milieu urbain
9-2-Causes esthétiques
9-3-Causes socio-économiques
9-4-Causes culturelles
10 – Principes d’utilisation des dermocorticoïdes
DEUXIEME PARTIE: TRAVAIL PERSONNEL ;
ETUDE RETROSPECTIVE ETPROSPECTIVE SUR LA DEPIGMENTATION ARTIFICIELLE PAR LES DERMOCORTICOIDES
CHAPITRE I: ETUDE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 81 CAS COLLIGES AU SERVICE DE DERMATOLOGIE DE L’HOPITAL ARISTIDE LE DANTEC
1- Cadre et Objectif de l’étude – Matériel et Méthode
1-1-Cadre de l’étude
1-2-Objectif del’étude
1-3-Matériel
1-4-Méthodes
2- Résultats et commentaires
2-1-Données épidémiologiques
2-2-Données socio-économiques
2-3-Données cliniques
2-3-1-Durée d’utilisation des dermocorticoïdes
2-3-2-Types de problèmes cutanés
2-3-3-Localisation des problèmes cutanés
2-3-4-Resultats obtenus après le traitement
3- Discussions
CHAPITRE II: ETUDE PROSPECTIVE: Enquêtemenée dans des marchés de Dakar
1- Cadre et Objectif de l’étude – Matériel et Méthode
1-1-Cadre de l’étude
1-2-Objectif de l’étude
1-3-Matériel
1-4-Méthodes
2- Résultats et commentaires
2-1-Résultats et commentaires du questionnaire proposé
aux femmes
2-1-1-Données épidémiologiques
2-1-1-1-Population utilisatrice des dermocorticoïdes
2-1-1-2-Age
2-1-2-Données socio-économiques
2-1-2-1-Situation matrimoniale
2-1-2-2-Niveau d’instruction
2-1-2-3-Profession
2-1-2-4-Raisonsd’utilisation des dermocorticoïdes
2-1-2-5-Sources d’approvisionnement
2-1-3-Donnéescliniques
2-1-3-1-Durée d’utilisation
2-1-3-2-Types de corticoïdes utilisé
2-1-3-3-Fréquence d’utilisation
2-1-3-4-Connaissance des risques
2-1-3-5-Taux de satisfaction
2-1-3-6-Arret d’utilisation
2-1-3-7-Raisonsempêchant l’arrêt de l’utilisation
2-1-3-8-Raisons poussant à l’arrêt de l’utilisation
2-2-Resultats et commentaires du questionnaire proposé aux vendeurs du marché
3- Discussions
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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