ETUDE PHARMACOLOGIQUE DES SUBSTANCES STIMULANTES
Chanvre indien
Caractères botaniques
Le chanvre provient d’une espèce : Cannabis sativa, plante herbacée annuelle originaire de l’Asie centrale. Sa présentation est. très variable suivant le climat, l’altitude, le sol ainsi que sa teneur en produit actif, témoignant d’une grande souplesse écologique.
A l’état sauvage, le cannabis se développe sous forme bisexuée : moitié mâle, moitié femelle à part égale [52j. La tige est droite, cannelée, plus ou moins ramifiée. La plante possède cinq calices et aucune corolle. Les calices des fleurs fertiles sont entiers et brillants [39].
Les feuilles sont dentées. elliptiques, palmées et formées de 5 à 7 segments inégaux
Les fleurs sont en grappes très discrètes. Les fleurs mâles sont assemblées en panicules. Concentrées dans les longs flamants glandulaires des feuilles et des fleurs, les résines narcotiques servent à fabriquer le harschisch, la marijuana et leurs dérivés.
Les graines sont ovoïdes, lisses et de couleur marron.
Composition chimique
Plusieurs substances ont été identifiées à savoir des acides aminés, des protéines, des enzymes, des sucres, des hydrocarbures, des alcools, des aldéhydes, des acides gras, des vitamines, des composés terpéniques ou on retrouve des substances psychotropes dont le plus représentatif est le D-9 tétra hydro cannabinol (D-9 TI-IC) responsable des effets psychotropes et qui a été isolé en 1964 par une équipe de l’université hébroïque de Jérusalem et également le D-8 tétrahydro cannahinol qui possède des effets psychotropes moindres que le D-9 THC.
Outre les graines, toutes les parties de Cannabis sativa peuvent contenir des cannabinoïdes mais dans des proportions variables.
Mécanisme d’action
On a pu rapprocher le THC des drogues anticholinergiques ou des drogues hallucinogènes. Cependant, les cannabinoïdes semblent former une classe pharmacologique particulière dont le mécanisme d’action reste inconnu [15].
Propriétés pharmacologiques
Chez certains consommateurs, le cannabis stimulerait l’appétit. Unc action anti-émétique a été décrite et utilisée en thérapeutique notamment aux Etats-Unis où des médicaments à hase de THC sont associés à certaines chimiothérapies anti-cancéreuses pour enrayer les vomissements. Un effet analgésique est également décrit et reste cependant controversé [9, 24].
Néanmoins on observe assez peu de modifications après inhalation ou absorption orale de cannabis, si ce n’est parfois une légère tachycardie, une tendance à la baisse de la pression artérielle, une hyperthermie conjonctivale ou une sécheresse de la bouche. Chez les consommateurs réguliers, peuvent survenir des céphalées, des vertiges., des troubles du sommeil, une conjonctivite et une irritation trachéo-bronchique. Les fumeurs de cannabis sont exposés à des risques cancérogènes pulmonaires liés non pas à la substance elle-même, mais à la combustion du goudron, qui serait trois fois plus forte avec le haschich qu’avec le tabac [48]. Selon certaines recherches menées notamment aux .Etats-Unis et en France, un déficit immunitaire et une altération de 1a spermatogenèse seraient entraînés par l’usage abusif de cannabis [38, 611.
Les effets psychologiques du cannabis sont relativement légers, fortement subjectifs et très variables suivant la personnalité du sujet et son expérience antérieure. Il apparaît un état d’euphorie, un sentiment de relaxation ou de légèreté et de flottement, susceptible de s’accompagner d’une levée d’inhibition avec impossibilité plus ou moins marquée, liée à la conviction que tout est devenu facile et possible. Il peut aussi survenir une intensification des perceptions sensorielles avec augmentation de la sensibilité aux stimuli externes, une relative désorientation temporo-spatiale, une perception ralentie du temps et une certaine apathie pouvant se solder par une somnolence. Dans certains cas, c’est un sentiment de tristesse qui s’exprime, accompagné parfois d’un certain degré d’anxiété. On notera que les effets aphrodisiaques relèvent surtout de la suggestion [15].
Groupe des opiacés
Les principaux produits
Le groupe des opiacés comprend l’opium et ses dérivés : des analgésiques de synthèse et des antitussifs qui ont en commun des propriétés pharmaco mimétiques. Parmi toutes les substances appartenant à cette classe, seuls l’opium et l’héroïne peuvent être considérés comme des drogues parfaitement illicites, les autres produits faisant partie de la pharmacopée et n’étant donc susceptibles que d’un détournement d’usage [15].
L’opium
C’est le suc laiteux qui s’écoule de la capsule du pavot. il est cultivé en Asie, en Inde et en Extrême Orient. Il se fume ou se mange. Les jeunes toxicomanes utilisent assez souvent l’opium mélangé à la marijuana [10].
L’opium se présente sous la forme de boulettes, d’une poudre blanche ingérée ou bue en décoction. Ces produits sont le plus souvent fumés dans une pipe après avoir été préalablement piquée avec une aiguille et chauffée[6].
Dérives de 1*()pium
Ce sont la morphine et l’héroïne principalement :
• La morphine se présente sous forme de blocs compacts de couleur beige foncée. Elle présente des effets analgésiques et parfois déprime la fonction respiratoire quelque fois des nausées et des vomissements.
■ L’héroïne ou di-acétyl morphine se présente sous la forme d’une poudre blanche facilement soluble dans l’eau. : Opiacées de synthèse Succédanés synthétiques de la morphine ils peuvent être :
■ Agonistes : dérivés de la péthidine (Dolosal®) et dérivés du diphénylmétha.ne, ces dérivés comprennent le dextromoramide(palfiume), le chlorhydrate de méthadone, l’acétyl méthadone (IAAM) et le dextropropoxyphène (Antalvic® et Diantalvic®).
■ Mixtes : la pentazocine (fortal), dont les propriétés agonistes morphinomimétiques sont au premier plan : la Buprénorphine (Temgésic®), plus agoniste qu’antagoniste, la normorphine (nalorphine®) plus proche des antagonistes.
Tolérance et dépendance
La tolérance à l’opium est théoriquement faible, tout au moins chez de petits fumeurs très prudents et contrôlés. En revanche, la tolérance aux morphiniques est rapide et précoce, varie selon la dose, la fréquence d’administration ou les réactions individuelles, et ne se développe pas de façon uniforme au regard des différents symptômes. En outre, les divers opiacés donnent lieu à une tolérance croisée.
La dépendance physique est importante et s’installe rapidement. Elle est également croisée entre opiacés [49].
La dépendance psychique est aussi très forte, ce qui rend l’arrêt de la prise d’opiacés difficile et pénible.
Toléranee et dépendance
L’induction enzymatique et l’accélération de la dégradation des barbituriques contribuent à créer une tolérance rapide et croisée pour les différents barbituriques. Les barbituriques interviennent pour leurs effets sédatifs et thymiques. La dose léthale reste cependant la même pour le toxicomane et le sujet néophyte normal, ce qui est source d’accidents.
Similaire à ceux observés lors de la prise de benzodiazépine ou de méprobamate, le sevrage des barbituriques se manifeste lors de l’interruption brutale des prises :
° Dans les intoxications moyennes par une anorexie, une insomnie, des tremblements et une hyperthermie, nausée, vomissements et altération de l’Electrocardiogramme (EEG).
■ Dans les intoxications sévères les symptômes précédents sont souvent les prodromes d’un tableau de delirium avec possibilité de survenue de convulsions épileptiques [30].
Les amphétamines
Présentation
Les amphétamines proviennent originellement de l’Ephédra, plante connue de longue date en Chine et dont le principal alcaloïde, l’éphédrine, fut isolé en 1887 par Yamanashi et Négoi. Ce n’est qu’au X)e le siècle, dans les années trente, que fut synthétisée aux Etats-Unis la première d’entre elles, la benzédrine, à l’origine de la création de nombreuses autres molécules du même type [15].
Les substances appartenant à la classe des amphétamines existent sous une grande variété de composés et sous des formes diverses : comprimés, capsules. ampoules injectables, poudre dite « Crystal ». Les plus connues d’entre elles étant l’amphétamine, la dextro-amphètamine (Ma.xiton,
Dexadrine) et la méthamphétamine (Méthédrine). Elles sont réservées à un usage médical restreint (syndrome hyper kinétique infantile, narcolepsie) et sont inscrites au tableau des substances vénéneuses. Elles sont devenues aujourd’hui d’un accès très difficile. On en trouve néanmoins sur le marchéclandestin, qu’ils s’agissent de produits licites fabriqués industriellement et détournés de leur usage, ou de préparations artisanales illégales.
L’usage toxicomaniaque a généralement lieu, soit à la suite d’une rencontre fortuite entre le produit et un sujet prédisposé à la drogue, qui va peu à peu augmenter les doses d’un stimulant prescrit par son médecin, soit dans le cadre d’une escalade toxicomaniaque chez un sujet déjà poly- toxicomane [6].
Métabolisme et mode d’action
L’absorption per os est rapide et totale. La dégradation se fait dans le foie et l’élimination par les voies urinaires.
L’amphétamine est. responsable de la libération de dopamine dans les noyaux gris centraux. Elle stimule le largage et inhibe le récaptage de la sérotonine et des catécholamines, de la norépinéphine en particulier, au niveau de la membrane synaptique [201. La voie IV permet au produit d’atteindre plus rapidement le SNC et donc accroît les effets euphorisants.
Effets cliniques
Du point de vue physiologique, on observe des réactions au niveau du SNC : hyper-vigilance avec insomnie et des améliorations de la performance.
Les effets sont variables d’un individu à un autre, mais en règle générale, on peut observer une certaine expansivité avec accélération, des représentations mentales, intensification de l’idéation et euphorie. injecté en IV, le produit peut donner lieu à un flash d’une extrême violence, puis à un véritable tableau d’allure maniaque. Après cette phase d’excitation, survient une phase dépressive qui incite le sujet à prendre une nouvelle dose [38].
Tolérance et dépendance
La tolérance est classiquement rapide et marquée, mais peut parfois varier d’un sujet à l’autre. La tendance à augmenter la dose dépend de l’effet recherché.
La dépendance physique est induite par une consommation importante d’amphétamines, susceptible de donner lieu à un syndrome de sevrage : crampes abdominales, myalgies, asthénies, boulimie, irritabilité et insomnie.
La dépendance psychologique prime cependant avec des manifestations dépressives liées au sevrage [6].
La Cocaïne
Présentation
La feuille de coca peut être cueillie en deux espèces d’arbustes, 1 *Erythroxylon coca et I’ Erythroxylon novogratense il 0]. Elle est mâchée depuis l’Antiquité par les Indiens d’Amérique du Sud à cause de ses effets excitants et coupe-faim. Ils en ont aussi fait le centre de leur système soda! et religieux. Elle continue encore à jouer un rôle socio-économique important dans certains pays latino-américains, en particulier là où les populations sont fortement frappées par la misère et la sous alimentation. La cocaïne est un alcaloïde extrait de la feuille de coca que l’on fait macérer dans un bain d’acide sulfurique et rincer au kérosène pour obtenir la « pâte base », qui sera ensuite raffinés en chlorhydrate donnant des cristaux. Newman en détermine la formule chimique en 1959 et elle sera d’abord utilisée en thérapeutique comme anesthésique local, avant de donner lieu aux premiers usages toxicomaniaques dans les milieux médicaux et d’être ensuite au début du XX è siècle, largement consommée sous différentes formes [32]. IV-5-2- Métabolisme et mode d’action
Les cocaïniques sont solubles dans les graisses et. diffusent rapidement dans l’organisme, quelque soit le mode d’administration. D’abord stockés au niveau du cerveau, ils sont ensuite métabolisés, en grande partie au niveau hépatique, avant d’être éliminés dans les urines, 10% de la cocaïne élimée reste inchangée.
Les produits agissent en bloquant la recapture des catécholamines au niveau pré-synaptique et selon certains travaux, il existerait chez les intoxiqués une diminution temporaire du nombre de récepteurs dopaminergiques.
Les solvants
Les Principaux produits et mode d’utilisation
Il s’agit d’une gamme extrêmement large de produits de droguerie.
L’éther, le trichloréthylène sont les produits les plus employés et les plus puissants. Ils sont souvent utilisés par les enfants et les jeunes adolescents en raison de la facilité à se les procurer. H y eut également des abus de l’éther dans les milieux in rirmiers [30]. Le plus souvent, le produit est inhalé (on respire au dessus de la bouteille ou au dessus d’un chiffon imbibé du produit) ou dans le cas de la rustine, le produit est placé dans un sac en plastique que l’adolescent applique comme un masque sur sa ligure pour mieux respirer les vapeurs [58].
Effets cliniques
Ces produits provoquent rapidement une ivresse qui s’accompagne d’exaltation de l’humeur et peut être renouvelée. Cet état peut se manifester par une excitation intellectuelle accompagnée souvent d’illusions oud’hallucinations.
La pharmacodépendance
La dépendance, qui est variable, est surtout psychologique mais parfois également physique notamment avec l’éther ou l’on peut voir des accidents de sevrage de type delirium tremens. Souvent ces produits sont utilisés de manière irrégulière [51].
La ‘ furnée du tabac
La fumée du tabac est consommée durant des années par les fumeurs du fait de la dépendance induite par la nicotine. Elle comprend des milliers de composés dont plusieurs centaines sont toxiques et plus de trente classés comme cancérigènes [46].
En tirant sur sa cigarette, le fumeur prend un courant principal de fumée dont il inhale quelques dizaines de millilitres une douzaine de fois par cigarette. 11 inhale aussi. durant des périodes beaucoup plus longues, la fumée qui s’échappe latéralement de la cigarette, il en est ainsi pour les personnes qui vivent autour. La fumée latérale a une composition différente de celle du courant principal [20].
La nicotine inhalée
La nicotine est la substance la plus caractéristique de la fumée du tabac.
Elle crée une dépendance psychique, niais elle a aussi de nombreux effets sur la santé. Son inhalation avec la fumée de cigarette provoque une vasoconstriction des artères coronaires, accélère le pouls. augmente la pression artérielle et le débit cardiaque. Ces effets cardiovasculaires sont moindres ou absents quand la dose de nicotine est régulière [6].
La nicotine augmente par ailleurs la concentration sanguine en acides gras et l’adhésion plaquettaire, ce qui est un facteur de risque de thrombose artérielle. La nicotine baisse le taux d’oestrogènes, conduisant à une ménopause plus précoce et à une ostéoporose post ménopausique plus intense.
L es oudrons
Ils sont de puissants cancérogènes et mutagènes. Ils provoquent des cancers en altérant l’ADN et en provoquant en particulier des mutations du gène de la protéine P 53 (inhibitrice de tumeur). Par ailleurs les goudrons :
■ participent à la paralysie des systèmes d’épuration pulmonaire,
■ endommagent les alvéoles pulmonaires, • diminuent l’efficacité du système immunitaire [431.
Ce_g_t.ji est inhalé_pqr . le fumeur
L’étiquetage porté sur le paquet de cigarettes n’est pas conforme à la réalité de ce qui est inhalé par le fumeur. Il y’a environ 12 mg de nicotine dans chaque cigarette, même s’il indique I ou 0,2 mg sur le paquet. C’est dans la fumée que sont mesurés les contenus par cigarette, selon la norme ISO, mais chacun fume à sa façon : le simple fait de boucher les aérations du . < filtre avec les doigts peut multiplier par I0 le taux de nicotine dans la fumée.
En modifiant très légèrement sa façon de fumer, le fumeur qui veut passer des cigarettes normales aux cigarettes légères absorbe de fait la même quantité de nicotine et de goudron qu’auparavant [20,46].
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITE SUR LES SUBSTANCES 4 STIMULANTES
I. Définition des substances stimulantes
Il. Historique
III. Mode d’administration des substances stimulantes
IV. Etude pharmacologique des substances stimulantes
IV.1. Chanvre indien
IV.1.1. Caractères botaniques
IV.1.2. Composition chimique
IV.1.3. Mécanisme d’action
IV.1.4. Propriétés pharmacologiques
IV.1.5. Pharmacodépendance
IV.2. Groupe des opiacés
IV.2.1. Les principaux produits
IV.2.1.1. L’opium
IV.2.1.2. Dérivés de l’opium
IV.2.1.3. Opiacées de synthèse
IV.2.2. Structure chimique
IV.2.3. Mécanisme d’action
IV.2.4. Effets pharmacologiques
IV.2.5. Tolérance et dépendance
IV.3. Les barbituriques.
IV.3.1. Structure chimique
IV.3.2. Mécanisme d’action
IV.3.3. Effets pharmacologiques
IV.3.3. Tolérance et dépendance
IV.4. Les amphétamines
IV.4.1. Présentation
IV.4.2. Métabolisme et mode d’action
IV.4.3. Effets cliniques..
IV.4.4. Tolérance et dépendance
IV.4.5. Les complications
IV.4.5.1. Physiologiques
IV.4.5.2. Psychologiques
IV.5. La cocaïne
IV.5.l. Présentation
IV.5.2. Métabolisme et mode d’action
IV.5.3. Effets cliniques
IV.5.4. Tolérance et dépendance
IV.5.5. Complications
IV.6. Les hallucinogènes
IV.6.1. Présentation
IV.6.2. Effets cliniques
IV.6.3. Tolérance et dépendance
IV.6.4. Complications
IV.7. Les solvants
IV.7.1. Les principaux produits et mode d’utilisation
IV.7.2. Effets cliniques
IV.7.3. Pharmacodépendance
IV.7.4. Les complications
IV.7.4.1. Les accidents médicaux
IV.7.4.2. Les accidents psychiatriques
IV.7.5. L’évolution
IV.8. L’alcool
IV.8.1. Diagnostic de l’intoxication alcoolique
1V.8.1.1. Ivresse simple
IV.8.1.2. Ivresse pathologique
IV.8.2. Evolution et pronostic
IV.8.2.1. Complications
IV.8.2.2. Les facteurs de pronostic
IV.9. Le tabac
IV.9.1. Données générales
IV.9.2. La fumée du tabac
IV.9.2.1. La nicotine inhalée I
IV.9.2.2. Les goudrons
IV.9.2.3. Ce qui est inhalé par le fumeur
IV.9.3. Dépendance nicotinique
IV.10. La caféine
IV.10.1. Effets recherchés
IV.10.2. Effets secondaires
DEUXIEME PARTIE : NOTRE ETUDE
I. Méthodologie de l’étude
1.1. Cadre de l’étude
1.1.1. Université Cheikh Anta Diop de Dakar
1.1.1.1. Situation géographique
1.1.1.2. Historique et création
1.1.1.3. Les cités universitaires
1.1.1.4. Les facultés et les écoles
1.2. Méthode de l’étude
1.2.1. Type d’enquête
1.2 .2.Objectif de l’édude
1.2.3. Le questionnaire
1.3. Population d’étude
1.4. Méthode de sondage
1.5. Déroulement de l’enquête
1.5.1. Le pré-test
1.5.2. Déroulement de l’enquête
1.6. Méthode d’analyse
II. Les résultats de l’étude
11.1. Les caractéristiques sociodémographiques
11.1.4. Distribution des enquêtés selon le sexe
11.1.2. Distribution des enquêtés selon l’age
11.1.3. Distribution des enquêtés selon la nationalité
11.1.4. Distribution des enquêtés selon la religion
11.1.5. Distribution des enquêtés selon la région
11.1:6. Distribution des enquêtés selon la faculté
11.1.7. Distribution des enquêtés selon leur résident
11.1.8. Distribution des enquêtés selon la bourse
11.2. Description de la consommation des substances stimulantes
11.2.1. Là prévalence globale des substances stimulantes
11.2.2. Les différentes substances stimulantes consommées
11.2.3. Influences des facteurs sociaux à l’usage des stimulants
11.2.4. La raison de l’usage des stimulants
11.2.5. Ceux qui ont cessé de consommer les stimulants
11.2.6. La manière de se procurer des stimulants
11.2.7. Perception de la dangerosité des stimulants
11.3. La période d’utilisation des stimulants
11.4. Dépistage de cotinine et du cannabinoide
11.4.1. Les résultats des examens d’urine ‘
11.4.1.1. fumeurs du tabac
11.4.1.2. Les fumeurs de cannabis
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPIQUES
ANNEXES