Etude expérimentale de l’activité anti-ulcéreuse de Leptadenia hastata 

Mécanisme de la baisse de la résistance de la muqueuse

Cette baisse est liée soit à la diminution et ou à la modification des sécrétions gastriques, soit à une perte de vitalité de la muqueuse, ou les deux à la fois.
En effet, la structure histologique de certaines zones (muqueuse gastro-œsophagienne) ne leur permet pas de supporter sans dommage des sucs gastriques hyper-acides.La structure aglandulaire interdisant de bénéficier de la protection mucoïde et dont la régénération cellulaire est lente.
Chez le porc par exemple, les nombreux shunts artério-veineux exposent la muqueuse gastrique aux retentissements vasculaires et aux troubles vasomoteurs directement responsables de la mort cellulaire et de leurnécrose soit par ischémie soit par hyperhémie avec stase asphyxique. Notons que l’histamine provoque à la foisla dévitalisation de la muqueuse et l’hypersécrétion acide (TAYLOR, 1979).

Mécanisme d’hyperacidification du suc gastrique

Chez l’homme comme chez les animaux, la sécrétion d’acide chlorhydrique est sous la dépendance de trois phénomènes (QUINTON, 1994).
¾ un phénomène psychique dont le point de départ est une sensation olfactive, visuelle, auditive ou gustative ;
¾ un phénomène chimique réflexe déclenché par lagastrine et qui dépend lui-même de la sécrétion d’acétylcholine au niveau des terminaisons nerveuses post-glandulaire de la paroi gastrique ;
¾ le rôle de l’acétylcholine laisserait entrevoir l’importance des déséquilibres entre les deux systèmes neuro-végétatifs (para et ortho sympathique) dansl’hyperacidification du suc gastrique.

Etude clinique

Ulcères gastriques non associés à H.pylori

Symptomatologie

Chez l’homme, il existe un signe sémiologique important : une douleur épigastrique ou souscostale droite appelée épigastralgie ; son intensité est variable, en général sans irradiation, évoquant au malade une crampe ou une torsion et survenant dans la période post-prandiale : il s’agit d’un ulcère en poussée.
Ces douleurs gastriques se traduisent chez les animaux par des grincements des dents. Elles sont parfois révélées à l’examen clinique, par palpation de l’abdomen du côté droit (CLAPPAZ, 1968)
Les carnivores domestiques présentent surtout des vomissements associés généralement à la prise d’aliments ou de liquides. Ces vomissements contiennent du mucus, souvent mêlés de sang rouge ou partiellement de bile.
Le porc, en cas d’évolution sub-aiguë est pâle, anorexique et les excréments d’abord pâteux et noirs se présentent ensuite sous forme de petites crottes couvertes de mucus (TAYLOR, 1979).

Lésions

Sur le plan anatomopathologique, l’ulcère chronique est une perte de substance profonde arrondie ou ovalaire à bords nets, recouverte d’une fausse membrane jaunâtre amputant la musculeuse qui est transformée en un bloc séreux. Il convient donc de distinguer en fonction de l’atteinte pariétale l’ulcère vrai des entités suivantes :
¾ une abrasion : destruction del’épithélium et de la partie supérieure des cryptes ;
¾ une érosion : destruction des cryptes et d’une hauteur variable des glandes, mais respect de la musculaire muqueuse ;
¾ une ulcération : perte de substance amputant la musculaire muqueuse avec bords nets et fond inflammatoire non scléreux.
L’aspect endoscopique de l’ulcère gastrique bénin est celui d’une perte de substance profonde dont le fond est recouvert par un dépôt de fibrine blanc grisâtre. L’ulcère est rond ou ovalaire entouré par un œdème qui a l’aspect d’une couronne régulière (COWLEY, 1972).

Ulcères gastriques associés à Helicobacter pylori

Symptomatologie

L’infection à H.pyloria des traductions cliniques très variables, certaines infections étant cliniquement muettes (asymptomatiques ou chroniques), d’autres étant très bruyantes.
Lorsqu’elle présente des symptômes, les plus fréquents sont :
¾ les douleurs abdominales ;
¾ les hématémèses ;
¾ les nausées et les vomissements ;
¾ la diarrhée ;
¾ des signes généraux : anorexie, altération de l’état général.

Lésions

Il s’agit en particulier de la gastrite chronique associée à un infiltrat chronique non spécifique, on parle alors de gastrite active.
Cette gastrite, très rare en l’absence de Hélicobacter pylori, est pratiquement constante quand il est présent.
Sur le plan histologique, on note :
¾ une infiltration par des polynucléaires neutrophiles;
¾ des modifications épithéliales : l’infection à H.pyloriprovoque de très importantes modifications de la morphologie des cellules des cryptes et de la surface de l’épithélium gastrique.
Les cellules peuvent diminuer de hauteur, prendre un aspect cubique, ou bien être de hauteur très irrégulière, parfois séparéesentre elles par des « micro espaces ». La membrane basale est normale.
Les cellules épithéliales sécrètent moins de mucus et sont souvent atrophiées (BERRUOCOS, 1972).

Diagnostic de l’ulcère gastrique

Diagnostic clinique

La symptomatologie fruste le rend extrêmement difficile. Aucun symptôme n’est pathognomonique d’une part, et seuls les troubles digestifs d’aspect chronique sont constants d’autre part. Le diagnostic clinique ne peut donc conduire qu’à une suspicion.
Seul le diagnostic nécropsique apporte une certitude et permet d’observer la lésion spécifique.

Diagnostic expérimental 

La fibroscopie

Elle constitue l’exploration de première intention du tractus oeso-gastro-duodénal. Chez l’homme, cet examen peut se réaliser en ambulatoire, chez un malade à jeun auquel on aura recommandé de ne pas fumer le matin de l’examen.
La fibroscopie permet la découverte des lésions gastro-duodénales et précise leur nature histologique grâce à la réalisation de multiples biopsies (QUINTON, 1994)

La radiographie

Elle permet l’exploration de l’œsophage, de l’estomac et du duodénum après ingestion barytée. Elle complète la fibroscopie gastriquelorsque celle-ci n’a pu être réalisée de façon satisfaisante. Un diagnostic radiographique négatif n’autorise pas de poser un diagnostic ulcéreux négatif (RAMBAUD, 2001).

Le tubage gastrique

Il peut être envisagé afin de ramener le liquide de stase et d’en étudier l’acidité. La réaction doit être positive au moins trois jours de suite avant de confirmer une suspicion d’ulcère.

Test à l’acide chlorhydrique

Selon LIEGEOIS cité par CLAPPAZ (1955), l’ingestion forcée d’une solution faible d’acide chlorhydrique doit entrainer l’exacerbation de la douleur gastrique.
En résumé, le diagnostic clinique repose sur letrépied suivant : mélénas, vomissements et surtout hématémèses. L’anémie est toujours trop tardive et trop peu spécifique. Dans le cadre de diagnostic instrumental, seule la fibroscopie permet de préciser la localisation et l’importance d’un ulcère in vivo.

Traitement chirurgical

Les échecs du traitement médical sont rares ; il arrive cependant qu’un pourcentage minime d’ulcères résiste à un traitement bien conduit, dans ce cas on fait recours à la chirurgie (RAMBAUD, 2000).
Les objectifs de la chirurgie sontd’enlever l’ulcère en cas d’ulcère gastrique et de supprimer les mécanismes de la maladie ulcéreuse.

Traitement en médecine traditionnelle.

En médecine traditionnelle, plusieurs plantes sont utilisées dans le traitement des ulcères (Tableau I).Parmi ces plantes, figure Leptadenia hastatadont nous nous proposons de faire une étude botanique.

La sous-classe des Gamopétales

Du grec Gam: mariage, union, soudure et pétal : feuille.
Les Gamopétalesgroupent des plantes à feuilles presque toujours simples et sans stipules, à corolle gamopétale, à pistil gamocarpellé à ovules ténuinucellés et unitégumentés.
Les autres caractères généraux des Gamopétalessont :
• le tube de la corolle entraîne avec lui les étamines qui paraissent ainsi insérées sur la corolle ;
• les ovules sont unitegmines ;
• toutes les pièces florales sont disposées en verticilles alternant régulièrement en nombre défini et limité, l’androcée ne possède habituellement qu’un verticille de cinq étamines.
Les Gamopétales comprennent 51 familles et 50 000 espèces environ.

Série des Tétracycliques-hypogynes

Les gamopétales atteignent ici leur type parfait : la fleur est réduite à quatre cycles, car l’androcée ne comporte plus désormais qu’un verticille, toujours alternipétale, et toujours inséré sur le tube de la corolle.
Le pistil est toujours réduit à deux carpelles (anisocarpie) formant un ovaire supère ou infère, ce qui permet de distinguer deux séries :
• les gamopétales tétracycliques à ovaire infère ;
• les gamopétales tétracycliques à ovaire supère.
Cette dernière série comporte entre autres ordres, celui des gentianales.

L’ordre des Gentianales

Les Gentianalessont caractérisés par cinq étamines. C’est pourquoi ils sont encore appelés contortées
Les Gentianalesont des feuilles ordinairement opposées, de fleurs actinomorphes, bisexuées, pentamères ou tétramères : la préfloraison dela corolle est euverticillée, beaucoup plus souvent tordue que valvaire.
Cet ordre est subdivisé en quatre familles suivant le modede soudure des carpelles.
On distingue :
• les Apocynacées
• les Asclépiadacées
• les Logoniacées
• les Gentianacées

Famille des Asclépiadacées

Les Asclépiadacées forment avec les Apocynacéesun groupe naturel caractérisé par l’indépendance des carpelles dans leur région ovarienne, et la présence de laticifères vrais.
Cependant, la particularité des Asclépiadacéesréside dans la soudure des anthères au stigmate et la présence d’un translateur permettant le transport du pollen par les insectes. Le pollen est aggloméré en tétrades ou en pollinies. Cette famille est bien représentée avec une vingtaine de genres dont Leptadenia.

Etude spéciale de Leptadenia hastata (KERHARO et ADAM, 1971).

Synonymie

Leptadenia hastataest encore appelé Leptadenia lancifolia(Schum et Thonn) à cause de la forme de ses feuilles. D’autres auteurs l’appellent Cynanchum hastatum Pers.ou encore Cynanchum lancifolium (Schum et Thonn).

Les différentes utilisations de Leptadenia hastata.

Son abondance, sa facilité de cueillette et la présence de latex expliquent largement son utilisation courante.

Alimentation

Leptadenia hastatacontient une quantité non négligeablede phosphore et de Sélénium, et à l’instar des autres plantes, ellepeut contribuer pleinement à satisfaire les besoins essentiels de l’alimentation humaine.
Au Sénégal, il est utilisé pour la préparation d’un aliment appelé « m’boum » mais aussi pour assaisonner les repas (DIA, 1991).

Utilisations médicales traditionnelles (KERHARO, 1971 ; AMADOU, 1981 ; ADJANOHOUN, 1986 ; DIA, 1991 ; ; DIAGNE, 1991 ; LAPO, 2000)

Les feuilles

Les feuilles se prennent en macéré contre l’agalactie et l’impuissance .Pour calmer les douleurs, un verre de décocté et tiges est recommandé le matin avant le petit déjeuner et le soir avant le coucher.
La poudre de feuilles et tiges séchées est utilisée pour traiter les plaies infectées, elle est aussi administrée per os dans le cas de morsures de serpent. Pour traiter la gonorrhée, les feuilles et le latex sont utilisés en association.

Les racines

Elles sont données en macéré dans les anuries.
Le décocté de racines et de feuilles est considéré comme bon vermifuge et aussi comme constituant d’une préparation trypanocide.
Dans les ophtalmies, il est préconisé de laver les yeux et de les instiller avec le décocté de racines de Leptadenia hastata.

Le latex

Il est utilisé dans le traitement des affections se traduisant par un écoulement exagéré blessures, rhume, la gonorrhée…
En association avec les tiges séchées, le latex est utilisé comme un antiseptique ou comme un hémostatique.

Plante entière

Elle est utilisée pour éviter l’infection urinaire.
Chez les femmes allaitantes, on donne à boire le décocté de la plante comme galactogène. La plante entière est également utilisée comme anti – ulcéreuse, sous forme de décoction.

Utilisations en médecine vétérinaire

Les indications précédemment citées restent valables chez les animaux. Il faut ajouter ici, l’utilisation des racines chez les chevaux pour les délivrer de la flatulence.
Les peulh Toucouleur utilisent les racines de Leptadenia hastata contre les coliques du cheval. Pour la même affection, on utilise également la pulpe séchée et réduite en poudre fine, obtenue à partir des tiges et feuilles fraîchement récoltées et pilées, ajoutée à l’alimentation ou à l’eau de boisson.

MATERIEL ET METHODES

Matériel

Matériel végétal

Il s’agit du décocté de poudre de Leptadenia hastata obtenue à partir de laplante entière. 3,8 kg de plantes entières ont été récoltés au mois de Janvier 2007 au niveau de l’UCAD. Elles ont été séchées dans une chambre ventilée, à l’abri des rayons solaires car susceptibles de modifier les principes actifs de la plante. Cette opération a duré 3 semaines, c’est-à-dire du 24 Janvier au 14 février 2007. Les plantes séchées, ont été broyées afin d’obtenir une poudre. La poudre obtenue pesait 1,3 kg soit un rendement de 34,2 %.
La décoction est une méthode qui consiste à maintenir en contact plus ou moins prolongé les substances avec l’eau en état d’ébullition. 100g de poudre ont été portés à l’ébullition dans un litre d’eau distillée pendant une heure.
Le décocté obtenu, refroidi a été filtré avec un linge propre et conservé à l’abri des rayons solaires avant l’utilisation.

Matériel animal

Choix des animaux

Le choix des animaux pour cette étude de l’activité anti-ulcéreuse de Leptadenia hastata, s’est porté sur des rats blancs. Ce choix se justifie par trois raisons :
¾ le rat est un animal qui est sensible aux phénomènes ulcérogènes,
¾ les expériences pharmacodynamiques réalisées chez le rat sonttransposables à l’Homme (LAMBERT, 1958).
¾ le coût d’achat des rats est abordable par rapport aux autres espèces notamment le lapin et le cobaye.
Les rats que nous avons utilisés, avaient un poids moyen de 160g et étaient de sexe femelle.

Conditions d’élevage

Les rats ont été gardés par lot de cinq dans des cages métalliques, disposées en batterie et munies chacune d’une fermeture, d’une mangeoire et d’un dispositif d’abreuvement.
Sur le plancher de chaque cage, nous avonsmis une litière en copeaux de bois qui est renouvelé tous les 4 jours pour des raisons hygiéniques et pour éviter les phénomènes de coprophagie.
L’aliment distribué aux animaux était sous forme de granulés préparé par les moulins SENTENAC de Dakar à partir d’un mélange de maïs, mil, tourteaux d’arachide, éléments minéraux et complexe vitaminé ; ces granulés et l’eau étaient distribués à volonté.

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Table des matières
INTRODUCTION
Ière partie : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre I. PHYSIOPATHOLOGIE DE L’ULCERE GASTRIQUE
I.1. Généralités sur l’estomac
I.1.1. Données anatomo-histologiques
I.1.1.1.Conformation extérieure de l’estomac
I.1.1.2. Conformation intérieure de l’estomac
I.1.1.3. Histologie de l’estomac
I.1.1.4. Les vaisseaux et les nerfs
I.1.1.4.1. Les artères
I.1.1.4.2. Les veines
I.1.1.4.3.Les nerfs
I.1.2.Rôle physiologique de l’estomac
I.1.2.1. Fonction mécanique
I.1.2.2. Fonction sécrétoire
I.1.2.3. Rôle cytoprotecteur dela muqueuse gastrique
I.2. Les ulcères gastriques
I.2.1. Généralités sur les ulcères gastriques
I.2.1.1. Définition
I.2.1.2. Classification
I.2.2. Etiologie des ulcères
I.2.2.1. Facteurs favorisants
I.2.2.1.1. Facteurs intrinsèques
I.2.2.1.1.1. Facteurs génétiques
I.2.2.1.1.2. L’espèce
I.2.2.1.1.3. La race
I.2.2.1.1.4. Le sexe
I.2.2.1.1.5. L’âge
I.2.2.1.2.Facteurs extrinsèques
I.2.2.1.2.1. Les maladies infectieuses
I.2.2.1.2.2. Les parasites
I.2.2.1.2.3. Les carences
I.2.2.1.2.4. Les maladies intercurrentes
I.2.2.2. Facteurs déterminants
I.2.2.2.1. L’alimentation
I.2.2.2.2. Les agressions et les facteurs psychosomatiques
I.2.2.2.3. Les agents médicamenteux
I.2.2.2.4. Les facteurs hormonaux
I.2.3. Pathogénie des ulcères
I.2.3.1. Mécanisme de la baisse de la résistance de la muqueuse
I.2.3.2. Mécanisme d’hyperacidification du suc gastrique
I.2.4. Etude clinique
I.2.4.1. Ulcères gastriques non associés à Helicobacter pylori
I.2.4.1.1. Symptomatologie
I.2.4.1.2. Lésions
I.2.4.2. Ulcères gastriques associés à Helicobacter pylori
I.2.4.2.1. Symptomatologie
I.2.4.2.2. Lésions
I.2.5. Diagnostic de l’ulcère gastrique
I.2.5.1 Diagnostic clinique
I.2.5.2. Diagnostic expérimental
I.2.5.2.1. la fibroscopie
I.2.5.2.2. La radiographie
I.2.5.2.3. Le tubage gastrique
I.2.5.2.4. Test à l’acide chlorhydrique
I.2.7. Traitement des ulcères
I.2.7.1. Traitement en médecine moderne
I.2.7.1.1. Bases physiologiques
I.2.7.1.2.Traitement médical
I.2.7.1.3.Traitement chirurgical
I.2.7.2. Traitement en médecine traditionnelle
Chapitre II.Etude biosystématique de Leptadenia hastata (pers.) Decne
II.1. Systématique horizontale
II.1.1. Le sous-groupe des Eucaryotes
II.1.2. L’embranchement des Spermaphytes
II.1.3. Le sous-embranchement des Angiospermes
II.1.4. La classe des Dicotylédones
II.1.5. La sous-classe des Gamopétales
II.1.6. La série des Tétracycliques-hypogynes
II.1.7. L’ordre des Gentianales
II.1.8. La famille des Asclépiadacées
II.2. Etude spéciale de Leptadenia hastata
II.2.1. Synonymie
II.2.2. Noms vernaculaires
II.2.3. Description de Leptadenia hastata
II.2.3.1. Morphologie générale
II.2.3.2. Les feuilles
II.2.3.3. Les fleurs
II.2.3.4. Les fruits
II.2.4. Habitat
II.2.5. Composition chimique de Leptadenia hastata
II.2.6. Les différentes utilisations de Leptadenia hastata
II.2.6.1. Alimentation
II.2.6.2. Utilisations médicales traditionnelles
II.2.6.2.1. Les feuilles
II.2.6.2.2. Las racines
II.2.6.2.3. Le latex
II.2.6.2.4. Plante entière
II.2.6.3. Utilisations en médecine vétérinaire
II.2.6.4. Autres usages en association
IIème partie : ETUDE EXPERIMENTALE DEL’ACTIVITE ANTI-ULCEREUSE DE Leptadenia hastata 
Chapitre I.Matériel et méthodes
I.1. Matériel
I.1.1. Matériel végétal
I.1.2. Matériel animal
I.1.2.1. Choix des animaux
I.1.2.2. Conditions d’élevage
I.1.3. Matériel de laboratoire
I.1.3.1. Matériel de chirurgie
I.1.3.2. Autres matériels
I.1.3.3. Solution ulcérogène
I.2. Méthodes d’études
I.2.1. Principe
I.2.2. Essais préliminaires
I.2.2.1. Objectif
I.2.2.2. Constitution des lots
I.2.2.3. Préparation des animaux
I.2.2.4. Préparation de la solution ulcérogène
I.2.2.5. Administration de lasolution ulcérogène
I.2.2.6. Prélèvements des estomacs et cotation des ulcérations
I.2.3. Etude de l’activité gastro-protectrice du décocté de Leptadenia hastata
I.2.3.1. Principe
I.2.3.2. Constitution des lots et préparation des animaux
I.2.3.3. Administration des solutions
I.2.3.4. Cotation des ulcérations gastriques
I.2.4. Etude de l’activité curative des ulcérations gastriques par le décocté de Leptadenia hastata
I.2.4.1. Principe
I.2.4.2. Constitution des lots
I.2.5. Examen histologique des muqueuses
I.2.6. Analyse statistique
Chapitre II.Résultats et discussions
II.1. Résultats
II.1.1. Essais préliminaires
II.1.2. Activité gastro-protectrice du décocté de Leptadenia hastata
II.1.3. Activité curative des ulcérations gastriques par le décocté de Leptadenia hastata
II.1.3.1. Données macroscopiques
II.1.3.2. Observations microscopiques
II.2. Discussions
II.2.1. Etudes préliminaires
II.2.2. Etude de l’activité gastro-protectrice du décocté de Leptadenia hastata
II.2.3. Etude de l’activité curative du décocté de Leptadenia hastata
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE 

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