Les autres acteurs de la filière laitière
Ce sont essentiellement les collecteurs, les unités modernes et artisanales de transformation et les consommateurs.
Les collecteurs
Les collecteurs constituent le second maillon de la filière et ont pour rôles la collecte du lait auprès des producteurs et la vente directe aux consommateurs ou aux unités de transformation. C’est une activitépratiquée aussi bien par les producteurs que par les non producteurs. Autour de Niamey, les ethnies rencontrées sont les peuls (88 p.100) et les Zarma (12 p.100), leur âge varie de 20 à 54 ans avec une moyenne de 33 ans et ont une expérience moyenne de 6 ans dans cette activité Vias et al., 2005 . Les quantités de lait collectées varient en fonction du profil du collecteur. Ceux qui livrent aux unités de transformation collectent entre 30 à 65 litres, alors que les collecteurs spécialisés dans la livraison à domicile collectent entre 4 à 12 litres. La collecte se fait au moyen de bidon de capacité variable, la photo 7nous montre un exemple de collecteur de lait.
Les unités de transformation
Au niveau de la CUN on dénombre deux unités modernes de transformation des produits laitiers à savoir SOLANI et Niger Lait sa. et aussi des unités artisanales. Une mini laiterie moderne vient récemment d’ouvrir ses portes.
Ces acteurs constituent l’avant dernier maillon des filières laitières au Niger. Ils ont pour fonction la transformation du lait. Le lait collecté auprès des producteurs ou des collecteurs subit une transformation artisanale ou moderne avant d’être vendu aux consommateurs. En plus du lait frais de vache, ces agents utilisent du lait en poudre. Les produits laitiers commercialises sont : yaourt, beurre, lait caillé.
Les consommateurs
Ils représentent le maillon final de la filière.Ce sont essentiellement des ménages que l’on rencontre dans toutes les ethnies. On trouve parmi eux des fonctionnaires, des retraités, des commerçants. Le lait acheté est consommé sans transformation dans 62 p.100 de cas, il est chauffé dans 37 p.100 des cas et est transformédans 1 p.100 des cas avant d’être consommé TIEMAGO., 2000.
En dehors des consommateurs où une dynamique d’organisation est amorcéeautour de deux associations, les filières laitières souffrent de l’absence d’une concertation entre les différents acteurs. En effet, les producteurs et les collecteurs ne disposent pas pour l’instant d’organisations formelles à l’exception des coopératives laitières de Niamey et de Kirkissoye.
Cette carence est une contrainte majeure pour les filières laitières, dans la mesure où l’amélioration de la qualité du lait, l’un des principaux enjeux du secteur, implique un dialogue permanent entre les éleveurs, les collecteurs et les transformateurs .
Contraintes et perspectives de la filière
Les contraintes
Les contraintes de la filière laitière périurbaine de Niamey sont :
1) La collecte du lait est effectuée par un réseaude petits collecteurs dans des conditions précaires qui accélèrent la dégradation de la qualité du lait et augmentent, par conséquent, le risque de refus par la laiterie.
2) L’absence d’une concertation entre les différents acteurs de la filière. Cette carence rend difficile l’amélioration de la qualité du lait. La faible compétitivité des productions locales fait face aux produits importés.
3) L’absence de stabilisation du lait au niveau de la production (lactopéroxydase, ou réfrigération), l’absence d’une collecte organisée et rapide, et l’absence depoints de collecte décentralisée du lait, limitent lerayon d’action des laiteries.
4) L’absence d’assainissement de la ville de Niamey qui se traduit, pour les éleveurs laitiers, par l’utilisation demares insalubres pour abreuver leurs animaux (avec des conséquences très négatives sur lasanté/productivité des animaux).
5) L’insécurité de la propriété foncière, qui est notée par tous les producteurs comme la principale difficulté qu’ils rencontrent. Cette situation résulte de la combinaison d’une pression croissante sur les terres pour des usages non agricoles et de profondes lacunes dans la conception et/ou l’application des textes législatifs et réglementaires relatifs au foncier urbain.
Outre ces contraintes précédemment citées on peut évoquer d’autres contraintes et pas des moindres. Il s’agit des :
– Contraintes zootechniques liéesau faible potentiel génétique des animaux
– Contraintes alimentaires en relation avec le manque de disponibilité en aliment et en eau pendant la saison sèche et aussi au coût élevé des intrants ;
– Contraintes sanitaires liées à l’apparition de certaines maladies d’élevage et au coût relativement élevé des produits vétérinaires .
Perspectives
Les filières de productions urbaines et périurbaines sonten développement dans presque toutes les capitales de l’Afrique subsaharienne. Malheureusement elles ne bénéficient pas du soutien qu’elles pourraient attendre comme l’a dit GERARD., 1996. Il est donc important de réfléchir à un développement urbain compatible avec ces activités .
Le Niger a depuis des années adopté une politique de développement de la filière laitière notamment à travers :
¾ La sélection, la multiplication et la diffusion des géniteurs performants ;
¾L’amélioration de l’alimentation du cheptel ;
¾La promotion de l’industrie laitière.
Dans le souci d’augmenter les revenus des populations rurales et assurer une sécurité alimentaire, le Niger a adopté un nouveau document de stratégie delutte contre la pauvreté où figure la promotion de la filière laitière à travers :
¾La promotion de système d’approvisionnement en intrants zootechniques et vétérinaires ;
¾La promotion d’un système d’information du marché ;
¾L’appui aux organisations des producteurs ;
¾La mise en place des commissions foncières et des schémas d’aménagement foncier.
A côté de ces actions entreprises par l’Etat, figurent aussi les appuis inlassables des structures para gouvernementales qui interviennent afin de soutenir cette promotion de la filière laitière.
On peut citer par exemple l’ONG Karkara, VSF/B,et tout récemment le projet Lait Sain pour le Niger (LSN).
L’émergence des mini-laiteries bien qu’elle soit timide pourrait ouvrir de réelles chances de développement de la filière au Niger car ces dernières sont caractérisées par leur capacité de mettre en place divers types de contrats d’approvisionnement avec les producteurs en amont, mais aussi de s’adapter à une demande localeBA., 2005.
Dans tout les cas, au Niger, la demande en produit laitier est loin d’être couverte eu égard aux recommandations de la FAO qui sont de 50 Litres par personne et par an. Les besoins sont donc réels, le terrain à prospecterest immense et le défi est detaille pour les trois grandes usines de transformation existantes.
En résumé, la filière laitière bovine de Niamey est jeune. Elle fait face à de nombreuses contraintes parmi lesquelles les contraintes d’ordre pathologique. En élevage laitier les mammites représentent la première pathologie. Nous les abordons dans le deuxième chapitre.
Rappels sur la mamelle de la vache
Dans cette partie seront traités, l’anatomie et l’histologie de la mamelle de la vache ainsi que les mécanismes naturels de défenses que dispose la mamelle en cas de son infection.
Anatomie – Histologie de la mamelle
La mamelle est une glande annexe de l’appareilde la reproduction et elle n’est fonctionnelle que chez les femelles. Chez les femelles impubères, la mamelle se limite à ses principaux conduits, elle se développe à l’âge où les femelles deviennent aptes à la reproduction.
Chez la vache, la mamelle est constituée par un pis lui-même formé par des quartiers. On dénombre quatre quartiers (antérieur droit, antérieur gauche, postérieur droit, postérieur gauche) . Les deux quartiers postérieurs sont habituellement plus développés que les deux quartiers antérieurs. Chaque quartier porte à son centre un prolongement appelé trayon (mamelon) qui est percé à son extrémité par un orifice (fig 1b) où s’échappe le lait.
La mamelle est une glande richement vascularisée. Le sang est apporté par l’artère mammaire et emporté par la veine mammaire que l’on aperçoit sous la peau de l’abdomen en avant de la mamelle. Cette dernière pénètre dans la paroi de la mamelle par un orifice appelé fontaine du lait.
La mamelle possède également une importante vascularisation lymphatique. Les fentes lymphatiques naissant dans le stroma conjonctif et sont drainées par des vaisseaux lymphatiques qui rejoignent les nœuds lymphatiques régionaux notamment mammaires, rétro mammaires et inguinaux.
La glande mammaire est formée par un nombre variable de glandes tubuleuses irrégulières.
Les acini ou tubules glandulaires constituent l’unité fonctionnelle de la mamelle. Ils se présentent comme des sphincters de 100 à 300 microns de diamètre. Les canaux excréteurs forment une arborisation touffue dont les ramification communiquent avec les acini. On distingue de l’intérieur vers l’extérieur ( fig 1 : 1a ,1b ,1c, et 1d ) :
¾ Les canaux intra-lobulaires et extra –lobulaires ;
¾ Les canaux intra-lobaires et extra–lobaires,
¾ Le sinus galactophore ou sinus lactifère situé à la base du trayon ;
¾ Le sinus ou la citerne du trayon..
La mamelle est soutenue par une charpente conjonctive qui forme des cloisons divisant ainsi l’organe en plusieurs lobes. Chaque lobe est lui-même divisé en de nombreux lobules et possède son propre canal galactophore qui présente une dilation ampulaire appelée sinus galactophore (figure 1b).
Le parenchyme glandulaire est constitué d’alvéoles et des canaux excréteurs.
Les alvéoles ou acini sont de petite taille au repos et constituées par un épithélium reposant sur une basale comportant deux couches cellulaires :
– Cellules épithéliales glandulaires cubiques ou pyramidales au noyau sphérique et central ;
– Cellules myoépithéliales contractiles, aplaties interposées entre les cellules épithéliales glandulaires et la basale. Elles possèdent un noyau aplati, leur cytoplasme renferme des prolongements unis à ceux des cellules voisines, et portent aussi lenom de cellules de BOLL.
Les structures canalaires sont également constituées par un épithélium associant un revêtement cubique et des manchons de cellules épithéliales.
En période d’activé, les cellules épithéliales glandulaires apparaissent très développées avec en région basale un Réticulum Endoplasmique Granuleux (REG) abondant en région supra nucléaire, un volumineux appareil de Golgi et demitochondries. Au pôle apical, s’accumulent des enclaves lipidiques et des graines de sécrétion qui renferment des protéines provenant duREG.
Streptococcus agalactiae
Il vit uniquement dans le pis de la mamelle etne survit que quelques minutes à l’air libre.
Grâce à son facteur de CAMP, il est capable d’hémolyser les hématies du mouton prétraitées à l’hémolysine bêta des staphylocoques.
C’est une bactérie Gram positif, oxydase -, catalase -, immobile se regroupant par deux ou en chaînette plus ou moins longue.
D’autres espèces sont également impliquéesdans l’infection de la glande mammaire :
Streptococcus uberis, Streptococcus dysgalactiae, Streptococcus bovis, Streptococcus fecalis.
Streptococcus uberis et streptococcus dyslactiaese trouvent dans les matériaux organiques utilisés comme litière (paille, sciure de bois ), dans l’eau et le sol contaminés par les matières fécales et vivent à la surface du trayon.
Les bactéries coliformes
Les E. coli sont rencontrées dans le sol et l’intestin des animaux. Elles se multiplient dans le fumier et les litières contaminées par les matières fécales. Contrairement aux autres bactéries, les coliformes ne peuvent pas s’attacher au tissu mammaire mais se multiplient dans le lait rapidement et libèrent leur toxine.
Les Klebsielles sont rencontrées dans les eaux, lesol, dans la flore fécale et sont souvent commensales de la peau, des muqueuses et des voies respiratoires. Ces bactéries donnent des colonies rondes, de 3 à 4µm de diamètre etapparaissent bombées avec une tendance à la confluence.
Les Serratia sont des bactéries de l’environnement. Serratia marcescens est la seule à jouer un rôle important comme pathogène opportuniste AVRIL et al., 1992. Les Serratia donnent des colonies pigmentées en rouge.
Les Enterobacter sont des commensaux du tube digestif de l’homme et des animaux. On les retrouve dans les eaux, sur le sol, sur la peau et les muqueuses.
9 Corynebacterium bovis
Il appartient au groupe des actinomycètes et est rarement cité comme cause de mammite et peut même par ailleurs occasionner une augmentation de la résistance de la glande mammaire
à l’infection par les autres pathogènes. Cette bactérie vit au niveau de la peau des trayons, dans le lait et la citerne du quartier.
9 Mycoplasma bovis
Il peut vivre un mois dans les litières et une semaine dans la matériel de traite. Sa survie est courte dans l’air, et dans la mamelle ne se développe qu’à l’absence d’autres facteurs pathogènes d’où leur apparition après traitement.
Conséquences pour le transformateur
Les modifications physico-chimiques et biologiques du lait lors des mammites perturbent la technologie du lait :
• Laits : défaut de goût, instabilité à la chaleur, stockage réduit ;
• Beurre : défaut de goût, stockage réduit ;
• Fromages : défaut de coagulation, baisse de rendement, problème d’égouttage, défaut de goût.
Par exemple, en technologie fromagère dans la coagulation normale obtenue par la présure, on obtient une floculation de la caséine entraînant la matière grasse. Ainsi le coagulum se rétracte, abandonne le lactosérum (égouttage) pour alors être envahi et ensemencé par la flore lactique. Le caillé lactique s’égoutte alors bien et ne permet pas le développement des germes coliformes et putréfactifs.
Lors des mammites comme nous l’avons vu, le taux de caséine est abaissé et celui des protéines plasmatiques est augmenté : les micelles d’albumine et de globuline entourent celles de caséines et les protègent ainsi contre l’action de la présure avec comme conséquence le ralentissement de la coagulation qui donne de ce fait un caillot mou et visqueux. L’élévation du pH du lait contribue davantage à provoquer ces anomalies.
La persistance des antibiotiques dans le laitaprès traitement des mamelles infectées provoque une inhibition de la flore lactique entraînant un mauvais égouttage et l’envahissement par la flore colibacillaire et les moisissures. Il existe divers remèdes à cet état de fait :
– Utilisation des souches de fermants lactiques résistants aux antibiotiques ;
– Mélange de péllicinase au lait douteux ;
– Détection systématique des antibiotiques dans le lait de mélange ;
Toutefois, ces procédés sont coûteux et quelquefois inopérants et tout à la charge du transformateur.
Conséquences pour le consommateur
Pour le consommateur, les conséquences sontliées à des problèmes d’hygiène publique. Les bactéries les plus impliquées dans les intoxications alimentaires par ingestion des produits laitiers sont :
• Staphylocoques (toxines) : les espèces les plus impliquées sont celles qui produisent les entérotoxines (Staphylococcus aureus, Staphylococcus hyicus, Staphylococcus intermedius) et ces dernières agissent directement sur les centres du cerveau qui commandent les vomissements. Une très petite quantité suffit ( 100 ng =100 milliardième de gramme pourdes sujets sensibles) pour déclencher les symptômes caractérisés par :
– Vomissements plus ou moins violents ;
– Douleurs abdominales ;
– Nausées et maux de tête.
• Coliformes : entraînent des troubles digestifs ;
• Salmonelles : entraînent des troubles digestifs ;
• Listéria : les formes graves de listériose peuvent entraîner des avortements, méningites, et sont parfois mortelles .
Lors de certaines maladies infectieuses , les agents étiologiques peuventse retrouver dans le lait chez la femelle en lactation. C’est le cas avec quelques zoonoses notamment la tuberculose, la brucellose, la listériose et le charbon bactérien.
Tuberculose
La mamelle peut jouer le rôle d’émonctoire pour le bacille de la Tuberculose provenant d’autres endroits de l’organisme. La voie hématogène est la voie d’infection habituelle. Sur le plan clinique la tuberculose mammaire se présente sous trois formes : tuberculose miliaire aiguë, tuberculose lobaire infiltrante et mammite caséeuse.
Traitement spécifique
Il est dirigé spécifiquement contre le microbe etcherche à réaliser l’antisepsie de la mamelle pour obtenir une véritable stérilisation dela glande.
Le choix est laissé au vétérinaire de terrain qui pource traitement doit respecter les principes qui guident le choix de la voie et de la forme d’administration ainsi que celui de l’antibiotique. Certaines considérations sont à connaître pourréussir le traitement
Souvent la vache retient son lait lors de la traite qui précède l’injection de l’antibiotique et celui-ci trop dilué perd de son efficacité, mais l’injection en IV de 32 à 20 UI d’extrait posthypophysaire pratiquée quelques minutes avant favorise l’expulsion du lait SHIPPER cité par FRENEY.,1966.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre I : La filière laitière périurbaine de Niamey
I Les producteurs laitiers périurbains
1.1 Localisation des élevages et identification des éleveurs
1.1.1 Localisation des élevages
1.1.2 Identification des éleveurs
1.2 Les pratiques d’élevage dans les exploitations laitières périurbaines
1.2.1 Les pratiques d’agrégation et de conduite des troupeaux laitiers périurbains
1.2.2 Alimentation des troupeaux laitiers
1.2.3 Les pratiques d’hygiène, de santé et de traite
1.2.4 Les pratiques de valorisation
1.3 Composition et structure des troupeaux laitiers
1.3.1 Les races exploitées
1.3.2 La production laitière en Afriquesubsaharienne et au Niger
II Les autres acteurs dela filière laitière
2.1 Les collecteurs
2.2 Les unités de transformation
2.3 Les consommateurs
III Contraintes et perspectives de la filière
3.1 Les contraintes
3.2 Perspectives
Chapitre II : La mamelle de la vache et son infection
I Rappels sur la mamelle de la vache
1.1 Anatomie – Histologie de la mamelle
Passant par les quartiers gauches
1.2 Système de défense de la mamelle
1.1.1 Au niveau du trayon
1.1.2 Au niveau de la mamelle
II Les mammites chez la vache
2.1 Etiologie
2.1.1 Les causes primaires
2.1.1.1 Les bactéries
2.1.2 Les causes secondaires
2.1.2.1 Champignons et levures
2.1.2.2 Autres
2.2 Epidémiologie
2.2.1 Mode d’invasion
2.2.2 Les voies et mode de transmission
2.2.3 Facteurs favorisant
2.2.3.1 Facteurs intrinsèques
2.2.3.2 Facteurs extrinsèques
Chapitre III : Conséquences des mammites et les mesures de lutte
I Conséquences des mammites
1.1 Incidence de mammite sur la composition du lait
1.2 Conséquences pour l’éleveur
1.3 Conséquences pour le transformateur
1.4 Conséquences pour le consommateur
II Mesures de lutte
2.1 La prévention des mammites
2.2 Traitement des mammites
2.2.1 Traitement hygiénique
2.2.2 Traitement symptomatique
2.2.3 Traitement spécifique
DEUXIEME PARTIE : ETUDE ETIOLOGIQUE DES MAMMITES SUBCLINIQUES DANS LES ELEVAGES BOVINS LAITIERSPERIURBAINS ETURBAINS DE NIAMEY
Chapitre I : Présentation de la zone de l’étude
1.1 Localisation
1.2 Le milieu naturel
1.3 Le milieu humain et son organisation
Chapitre II : Matériel et méthodes
I Matériel et méthodes sur le terrain
1.1 La revue documentaire
1.2 Enquête sur le terrain
1.2.1 L’échantillonnage
1.2.2 La fiche d’enquête
1.3 Le test du CMT
1.4 Les prélèvements de lait
II Matériel et méthodes au laboratoire
2.1 La préparation des milieux de culture
2.2 L’isolement
2.3 L’identification
2.4 L’antibiogramme
CHAPITRE III : Résultats
I. Caractéristiques de l’échantillon
III Résultats du Californian Mastitis Test et du laboratoire
3.1 Résultats du CMT
3.2 Résultats au laboratoire
3.2.2 Résultats de l’antibiogramme
3.3.3 Score au CMT et espècesbactériennes isolées
Chapitre IV Discussion et recommandations
I Discussion
1.1 Caractéristiques de l’échantillon et résultats de l’enquête
1.2 Les résultats du CMT
1.3 Les résultats au laboratoire
II Recommandations
2.1 Recommandations à l’éleveur
2.1.1 Conduite de la traite
2.1.2 Entretien des parcs des animaux
2.2 Recommandations aux partenaires
CONCLUSION
Références bibliographiques
ANNEXES