Présentation de la structure d’accueil et du thème
Présentation de la structure d’accueil
Historique
Toute expérience, si petite soit-elle est une propriété de la communauté à laquelle nous appartenons. Il devient alors un devoir de la rendre disponible à l’usage de la société. En Août 1995, lorsque après sa « graduation »il était sur la route du retour au Burkina et se prêtant à l’exercice de briefing final avec son program manager de African American Institute, Monsieur Patrice SANOU, concepteur du centre Adjaratou avait promis la valorisation des SIG de l’aide USAID au Burkina et en Afrique. Dans cette optique, la formation a vite occupé une grande place dès le retour de l’intéressé. En effet, il fut l’expert principal du réseau PNGIM qui forma plusieurs structures nationales en SIG (BUNASOLS, Météorologie Nationale, Impôts/Cadastre, BUMIGEB, Université Ouagadougou, INSD, INERA, DRED, ARMEE, projets, indiv idus, etc.).
L’engouement se faisant grandissant, il fut indispensable en 2001 de créer une structure qui valorise et canalise l’ensemble des énergies développées pour que les SIG et la télédétection soient adoptés comme outils de production d’information, d’aide à la décision, donc de bonne gouvernance. La disparition brutale le 9 mars 2000 de la compagne du fondateur, Madame Adjaratou SANOU qui participait à la mise en œuvre de cette volonté scientifique, donnera une raison supplémentaire mais suffisante de fonder le 1er janvier 2001 le Centre SIG et Télédétection Adjaratou (SIGET-A), celle de rendre hommage à toutes les femmes qui participent anonymement aux inventions et initiatives du monde.
Depuis le 1er septembre 2008, le centre a franchi un seuil essentiel de son importance et de son rôle dans le développement de la géomatique. En ouvrant l’enseignement diplômant en technologies spatiales, le centre Adjaratou s’approprie sans adversaire le titre de « Leader de la géomatique en Afrique ».
Structuration
Le Centre SIGET-A est structuré de la façon suivante:
Le Conseil Scientifique (CS)
Il définit les normes scientifiques appliquées en expertise, formation et enseignement. Il assure le suivi contrôle de la mise en œuvre de ces normes dans les plans et programmes. Toute évaluation ou validation scientifique en expertise, formation et enseignement relève du domaine exclusif du conseil scientifique.
Le Conseil Général de Gestion (CGG)
Il est l’organe de contrôle des activités et de la gestion du centre. Il valide les programmes et plans d’action définis par la direction générale, statue sur les rapports financiers et moraux présentés par la direction générale.
La Direction générale
La Direction Générale du centre SIGET-Adjaratou est chargée du développement, de l’analyse et de la validation des relations de partenariat. Elle assure les investissements et le développement du groupe. Elle analyse, évalue et valide les activités, les rapports, les budgets.
L’Unité de Géo-information et des Télécommunications (UGITEL)
Cette unité s’occupe de l’expertise du centre en réalisant des études et recherches/développement. Elle assure le développement et l’application des technologies spatiales dans toutes les thématiques. L’UGITEL assure des formations courte durée et réalise les produits géomatiques (bases de données, cartes numériques et/ou analogiques).
L’Institut Supérieur d’Etudes Spatiales et Télécommunication (ISESTEL)
Elle développe l’enseignement supérieur des technologies spatiales dans trois cycles: cycle « brevet de technologies spatiales », cycle « licence avancée de technologies spatiales» et le cycle « master scientifique de géo-information ».
La Bibliothèque des Technologies Spatiales (BTS) La bibliothèque assure des missions assez spécifiques pour non seulement faire la promotion des technologies spatiales et offrir des prestations assimilées mais aussi créer les conditions documentaires d’amélioration de l’apprentissage. Ainsi, elle assure des activités de bureautique (internet, photocopie, impression, saisie, communication), de marketing des capacités du centre (enseignement, formation, expertise, distribution) et de vente de produits et outils géomatiques du centre (bases de données, cartes, logiciels ESRI), offre et gère une documentation technique, même électronique, au profit des étudiants et enseignants.
La Fondation Adjaratou pour la Géomatique (FAG)
Cette fondation est une association de personnes présentes ou hors du centre voulant contribuer à la promotion de la géomatique. Elle s’occupe du développement et de la gestion des œuvres sociales et ou techniques au profit des étudiants, des enseignants et tout praticiens de la géomatique. Elle mène ainsi une action de recherche de bourses, aides et soutiens pour les étudiants en besoin pour la prise en charge de leurs études. Elle sponsorise aussi des formations géomatiques initiatiques au profit des étudiants et élèves. Elle développe toute relation utile au développement et à l’adoption de la géomatique.
Partenaires
le Centre SIG Et Télédétection Adjaratou (SIGET-A) entretien depuis sa création de multiples relations de partenariat, ce qui le positionne sans doute leader dans le domaine de télédétection dans la sous région. En effet, sur le continent Africain, nous pouvons citer: INFOCOM, BUNASOlS, Météorologie Nationale, BUMIGEB, Université Ouagadougou, INSD, INERA, ZAIN, PDRSO… le Centre SIGET-A travaille déjà en étroite collaboration avec un certain nombre d’institutions internationales présentes au Burkina Faso (l’Ambassade des Etats Unis, la GTZ…) et des partenaires internationaux tels que TECSUlT pour le Canada, le Centre AGRHYMET pour le SaheL) mais souhaiterait étendre le réseau de ses partenaires sur la scène internationale. le Centre est également le représentant exclusif d’IGE, PixoneerGeomatics, BERD, SCl et d’ESRI-France pour la distribution des logiciels de SIG et de Télédétection au Burkina Faso, le Mali et le Niger.
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Table des matières
Introduction générale
PREMIERE PARTIE: Présentation de la structure d’accueil et du thème
1. Présentation de la structure d’accueil
1.1. Historique
1.2. Structurati0 n
1.3. Objectifs
1.4. Compétences technique
1.5. Domaines d’activité
1.6. Partenaires
1.7. Organigramme
Il. Présentation du thème
DEUXIEME PARTIE: ETUDE DU THEME
1. Etude de l’existant et besoin du centre
1.1. Le réseau téléphonique interne
1.2. Le réseau 1P
1.3. Besoin du centre SIGET-A
Il. La téléphonie sur 1P
Il.1. Généralité sur la té1éphonie
Il.1.1. Historique
Il.1.2. Le Réseau Téléphonique Commuté
Il.1.2.1 Principe du réseau RTC
Il.1.2.2 Architecture du réseau RTC
Il.2. Qu’est-ce que la téléphonie sur 1P?
Il.2.1. Notions
Il.2.2. Principe de fonctionnement de la voix sur IP
Il.3. Les protoco1es designalisati0 n
Il.3.1. Le protocole H323
Il.3.1.1. Architecture protocolaire
Il.3.1.2. Les équipements et fonctionnement du protocole H323
Il.3.2. Le protocole SIP
Il.3.2.1. Architecture protocolaire
Il.3.2.2. Les équipements du protocole SIP
Il.3.2.3. Requêtes et Réponses SIP
Il.3.2.4. Fonctionnement
Il.3.3. Le protocole IAX2
Il.3.4. Comparaison des protocoles H323 et SIP
Il.4. Les protocoles de transport RTP
Il.4.1. Les fonctions du protocole RTP
Il.4.2. Les fonctions du protocole RTCP
Il.5. Les CODECS
Il.6. Pourquoi adopter le système téléphonie sur IP au lieu du système de téléphonie classique?
Il.6.1. Réduction des coûts
Il.6.2. Disponibilité et mobilité
Il.6.3. Simplification des infrastructures
Il.6.4. Facilitation de l’intégration avec le système d’information
Il.6.5. Nouveaux services et standard ouverts
Il.6.6. Homogénéiser les services téléphoniques sur un ensemble de sites
Il.6.7. 1ntégration des structures
Il.7. PABX et 1PBX
Il.7.1. Le PAElX
Il.7.2. ~IPElX
III. Modes de communications dans un système de téléphonie VolP
111.1. La téléphonie d’ordinateur à ordinateur
111.2. La téléphonie d’ordinateur à téléphone
111.3. La téléphonie de téléphone à téléphone
IV. Architecture d’une infrastructure valP
IV.l. Architecture hybride
IV.2. Architecture FuIl 1P
IV.3. Architecture Centrex
V. Qualité de service (Q.0.5)
V.l. Les facteurs affectant la qualité de la voix et les remèdes possibles.
V.l.l. La bande passante
V.l.2. Le délai d’acheminement: latence (Delay)
V.l.3. Les pertes de paquets (Packets 1055)
V.l.4. La gigue (Jitter)
V.l.5. Les erreurs de séquence
V.l.5. Le phénomène d’Echo
V.l.6. Les applications agressives
V.2. Politique de mise en place d’une qualité de service
V.2.1. La caractérisation du trafic
V.2.2. La certification des flux
V.2.3. La définition des règles des flux
VI. Sécurité VOlP
VI.l. Les vulnérabilités de la Voix sur IP
VI.l.Ll. L’écoute électronique
VI.l.l.2. La relecture
VI.l.l.3. Le déni de service
VI.l.l.4. La manipulation du contenu multimédia et des signaux
VI.L2. Attaques au niveau des applications
VI.l.2.L Les appareils VolP avec services en code source ouvert
VI.L2.2. Les services web de téléphonie VolP
VI.l.2.3. Le vishing
VI.l.2.4. Le spam VolP
VI.l.2.5. La fraude téléphonique VolP
VI.2. Solution de sécurité VolP
VI.2.1. La sécurité de l’infrastructure IP
VI.2.2. Les protocoles AAA (Authentification Autorisation Accounting)
VI.2.3. Les protocoles SRTP et SPTCP
VI.2.4. Les VPN (Virtual Private network)
V.II. Solutions envisageables
V.II.1. Gestion autonomique des communications au niveau de chaque site
V.II.2. Gestion centralisée des communications des différents sites
TROISIME PARTIE: Présentation de la solution retenue
1. Description de la solution
1.1. Mise en place du système de communication local
1.2. Connexion du système de communication local au réseau téléphonique
1.3. Liaison VPN
1.3.1. VPN clest quoi ?
1.3.2. Principe de fonctionnement
Mémoire defin de cycle 2009-2010 Ecole Supérieure d’Informatique PageS
Etude et proposition de solution pour b mise en pbce d’un système de communication TolP
1.4. Mise en place de politique d’authentification
1.4.1. Radius
1.4.1.1. Définition
1.4.1.2. Principe et fonctionnement
1.4.1.2.1. Principe
1.4.1.2.2. Fonctionnement
1.4.2. Ldap
1.4.2.1. Définition
1.4.2.2. Fonctionnement
1.5. Réseau attendu
Il. Logiciels et matériels requis
Il.1. TRIXBOX CE
Il.1.1. Présentation de Trixbox CE
Il.1.2. Pourquoi choisir Trixbox CE
Il.2. Carte TDM22B
Il.2.1. Petite explication sur la syntaxe des cartes TOM
Il.2.2. Explication sur FXO/FXS
Il.3. Softphones
Il.3.2. Ekiga
Il.3.2. X-Lite
Il.4. Autres matériels
Conclusion générale
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